La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1656)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1656)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1655) -
Chapitre 46 : Introspection et punition. –
La séance prenait fin, le couturier repartait, me laissant à quatre pattes à même le sol, pataugeant dans ma dépravation et ma perversion… Depuis la visite de ce vicieux couturier, cela faisait trois jours maintenant, je n’avais plus aucune nouvelle du Château, encore moins de Monsieur le Marquis ! Et Antoine… que devenais esclav’antoine ?, mon futur époux. Était-il encore dans cette noble Demeure, toujours entre les mains du Maître, ou dans celles de ces sadiques et pervers personnages vivant dans cette forteresse, telle que la cuisinière où le sexe, la débauche, la dépravation, la Domination et la soumission étaient l’essence même de la nature de ce lieu ?... Pauvre Antoine… quoique… était-il à plaindre ? N’était-il pas plus chanceux que moi qui me morfondais, qui me désespérais et rongeais mon frein depuis beaucoup trop longtemps maintenant… Je ne vivais plus, j’errais lamentablement, tournais en rond sans plus aucune passion, sauf celle d’être à ma place naturelle de dominé esclave soumis. Alors chez moi, en manque de vivre cette soumission naturelle, je battais le pavé de mon salon à ma chambre, de ma chambre à mon téléphone, de mon téléphone toujours muet à mon salon et ainsi de suite à longueur de journée. Certes, j’avais eu la visite de Charles, qui était venu m’expliquer comment s’était déroulé les vendanges… « Oups, tu en as même oublié les vendanges ! » m’étais-je dis en l’entendant parler de cette récolte exceptionnelle, de cette merveilleuse entraide que lui avait fourni Monsieur le Marquis d’Evans, par l’intermédiaire de Marcel et de ses ouvriers agricoles venus aider, de cette vinification qui permettrait d’obtenir un vin d’exception en cette année à la météo propice à une excellent cuvée… Pauvre Charles ! A peine si je l’écoutais, pourtant il me parlait de son travail avec élan, passion, professionnalisme, émotion et enthousiasme.
- Vous savez Monsieur Alexandre, le pressurage est une étape déterminante du processus de vinification. Elle consiste à presser les raisins afin d’en extraire tout le jus… Et du jus cette année, il y en a et de grande qualité, croyez-moi Monsieur Alexandre. Nous allons faire du très bon vin… avec un bon degré d’alcool… Tenez, je vous ai apporté une bouteille de ce jus… Faites attention de ne pas trop en boire… car… comment dire… vous pourriez avoir… enfin vous voyez ce que je vous dire… ça vous mettrait la chiasse ! En revanche, pas de risque de vous enivrer !
« Non, Charles… ce n’est pas de ce jus là dont j’ai besoin pour me saouler… c’est celui sortant d’une grosse bite ou d’une chatte qu’il me faut pour m’étourdir, me griser, m’exalter et m’enivrer ! », pensais-je à ce moment précis…
Comment avais-je pu retenir mes mots, pour contenir mes maux ? J’étais malade, malade de sexe… simplement et comme déjà dit, en cruel manque, atteins d’une pathologie de désirs sexuels exagérés, excessifs et amplifiés par une frustration de trois jours seulement... Charles était reparti, me laissant là, emmuré dans mes désirs profonds et viscéraux besoins charnels, les yeux brillants et assoiffés, les tétons tendus pointant sous mon teeshirt moulant, ma nouille dégoulinante de mouille, souillant et tâchant l’entrejambe de mon jogging… Outre mes pulsions personnelles, j’avais besoin de quelque chose qui dépassait ma satisfaction immédiate. J’avais un réel besoin d’être aux pieds de Monsieur le Marquis. Il était le Maitre qu’il me fallait, parce qu’en raison de Son charisme et de Ses qualités, il était en droit d’exercer Son pouvoir sur moi et d’en jouir sans autres contraintes que celles issues de Sa propre morale. Il m’éduquait telle une salope, me conformant simplement à Ses exigences, Il me remodelait dans ce qui était ma profonde nature servile. Oui, bel et bien j’étais devenu un esclave, Son esclave, je n’en doutais plus ! J’étais destiné à servir et être asservi en raison de mes faiblesses, de mes craintes, de mes contradictions et de mon manque de volonté. J’avais besoin de trouver mon équilibre en servant Celui qui donnait un sens à ma vie et de la valeur à mes faiblesses. Oui, j’étais né pour être esclave ! …
Mes doutes, mes peurs, mes failles me rendaient inapte à jouir de ma liberté. Je ne trouvais mon équilibre et ma raison d’être qu’en étant asservi et reconnu comme tel par le Maitre. Et Monsieur le Marquis le savait, Il savait que j’appréciais toutes Ses qualités pour que je m’en remette à Lui, corps et âme. Il avait la détermination, l’autorité, la tempérance et l’intelligence pour m’assujettir irréversiblement à Sa volonté. Il m’obligeait à abandonner, tout abandonner pour que je Lui laisse le loisir d’exploiter mon corps et mon mental, pour que je puisse Le servir inconditionnellement sans pouvoir échapper à Son joug qui me permettait, enfin, d’être moi-même. C’était de tout ça dont j’avais besoin, à l’instant même !... Un long moment après la visite de Charles, en lieu et place, autour d’un thé, je recevais Louise, cette bonne et douce Louise qui n’avait de cesse de m’aimer tel un fils. Elle me chérissait, me dorlotait, et à sa façon me motivait, Louise était la bonté même…
- La vie est trop courte Monsieur Alexandre, alors, si je peux me permettre de vous donner un conseil, croquer-là à pleines dents, profitez de chaque minute qui passe, soyez heureux maintenant, n’attendez pas pour vous faire plaisir, le temps est vraiment précieux, savourez-le car personne ne pourra l’arrêter.
Louise assise près de moi, caressait délicatement ma main posée sur l’accoudoir du fauteuil. Ce geste affectueux me donnait de doux frissons et me renvoyait vers l’enfance. Mes yeux s’embrumaient, je revoyais ma mère me câliner, je sentais sa douce main effleurer mon visage pour effacer une larme, je l’entendais me chanter quelques comptines d’antan avec ses yeux remplis d’amour maternel. Impossible pour moi d’imaginer ma mère autrement que celle qu’elle avait été avec moi… et pourtant !
- Monsieur Antoine n’est pas avec vous aujourd’hui ?
- Eh non Louise, hélas, il travaille.
Bien évidemment, Louise, toujours discrète, ne cherchait pas à en savoir plus… Pourtant j’étais persuadé qu’elle savait beaucoup de choses… J’étais même convaincu qu’elle devait connaitre ce qu’avait été la vie dissolue de mes parents, mais aussi ce qu’était la mienne maintenant. Parfois, par un petit sous-entendu qu’elle lâchait inopinément, avant de se reprendre prestement, m’indiquait qu’elle était beaucoup informée qu’elle n’y laissait paraitre… Mais cette femme étant tolérante, elle respectait la vie de chacun avec mansuétude et largeur d’esprit. Je l’admirais ! Alors que je dégustais une nouvelle madeleine faite par Louise, mon téléphone vibrait dans ma poche, m’annonçant l’arrivée d’un texto.
- Lâche la vieille et ramène-toi au plus vite au Château, on a besoin de toi, salope ! Signé, Madame Marie.
J’avais totalement oublié les caméras de surveillance placées chez moi… La sadique cuisinière du Château devait m’épier, m’observer, m’avoir à l’œil puisqu’elle me savait avec Louise… La vieille avait-elle dit… En tout point, je haïssais cette femme, comment pouvait-elle être aussi dure dans ses propos ? Comment se permettait-elle de nommer Louise ainsi ? Comment pouvait-elle aussi perverse et sadique dans sa façon d’être ? « Une vraie mégère acariâtre » pensais-je même, alors que Louise se relevait du fauteuil…
- Je dois vous quitter, Monsieur Alexandre, me dit-elle comme si elle se doutait de quelque chose…- Prenez votre temps, Louise !, mentais-je- Oh non Monsieur Alexandre, il faut que je file… Je pense que vous êtes attendu !
- Comment savez-vous ça, Louise…- Je ne sais pas… Votre visage blême à la lecture de votre message reçu ou bien mon instinct de femme, mon petit…
Louise me souriait, en clignant un œil malicieux.
- Vos parents aussi blêmissaient lorsqu’ils recevaient un appel téléphonique. Oui ils blêmissaient comme vous venez de le faire Monsieur Alexandre, et suite à cet appel, ils partaient toujours très vite… comme vous allez le faire, d’ailleurs. Alors je ne veux pas vous mettre en retard, je vous laisse vous préparer ! Bonne soirée à vous, Monsieur Alexandre !
- Je peux vous redescendre en voiture jusqu’à chez vous, Louise.
- Oh non, marcher me fait du bien… Et souvenez-vous de ce que je vous ai dit… Mordez la vie à pleines dents, Monsieur Alexandre…
Je quittais la Bastide en trombe, laissant Louise derrière le panache de poussière soulevé par les pneus de mon véhicule. Lorsque j’arrivais au Château, Madame Marie était déjà installée debout, le regard haut, sur le perron, habillée avec sa jupe noire en skaï et sa cravache en main. Visiblement elle regardait sa montre…. En hâte, dans ma voiture, je me dévêtis et regagnais, à poil, le perron en courant. Sans un mot, les doigts de la cuisinière s’agrippaient à ma chevelure, tirait dessus et m’entrainait, plié en deux, derrière elle dans une petite pièce toute proche du grand hall d’entrée du Château. Il y avait là, sur tout un pan de mur, plusieurs écrans de télévision, sur lesquels des images couleurs d’une parfaite netteté défilaient… Il s’agissait d’une salle de télésurveillance, où l’on voyait, sur certains écrans, les couloirs du Château, sur d’autres les Cachots, sur d’autres encore les jardins du Domaine d’Evans, des pièces vides ou occupées par des soumises ou soumis ici ou peut-être chez eux, enfin sur l’une d’elles, je reconnaissais l’entrée de mon domicile….
- A genoux, espèce de sale chienne !, m’ordonnait Madame Marie, sans lâcher ma chevelure et ponctuant son exigence par un cinglant coup de cravache sur mon fessier.
La perverse cuisinière me maintenait la tête en arrière et de son autre main m’assénait aussi plusieurs gifles.
- Regarde sale putain, regarde bien, ici, tu vas comprendre les raisons de ta convocation !
Cette satanée et perverse cuisinière me lâchait enfin pour regagner un bureau sur lequel était posé un ordinateur. L’écran sur lequel je fixais mon regard s’éteignait, puis se rallumait aussitôt. Des images défilaient à toute vitesse, en mode retour arrière, puis se figeaient. Je me voyais assis dans mon salon, bavardant avec Louise. J’entendais même notre conversation… Il n’y avait rien de compromettant, je me voyais sage, respectueux, courtois, détendu et attentionné… Toute la séquence avait été filmée… Je ne comprenais pas pourquoi je devais regarder cette vidéo. Madame Marie ne tardait pas à me le faire savoir. Elle était revenue près de moi et me giflait encore et me cinglait les fesses de nouveau avec sa satanée cravache…
- Est-ce que tu as compris les raisons de ta convocation immédiate, sale putain ?
Non, je ne comprenais pas… Je baissais le regard plus bas encore, sans rien dire.
- Accouche salope !
- N… Non… Ma.. Madame Marie, je ne …. ne comprends pas… Madame Marie…
(A suivre…)
Chapitre 46 : Introspection et punition. –
La séance prenait fin, le couturier repartait, me laissant à quatre pattes à même le sol, pataugeant dans ma dépravation et ma perversion… Depuis la visite de ce vicieux couturier, cela faisait trois jours maintenant, je n’avais plus aucune nouvelle du Château, encore moins de Monsieur le Marquis ! Et Antoine… que devenais esclav’antoine ?, mon futur époux. Était-il encore dans cette noble Demeure, toujours entre les mains du Maître, ou dans celles de ces sadiques et pervers personnages vivant dans cette forteresse, telle que la cuisinière où le sexe, la débauche, la dépravation, la Domination et la soumission étaient l’essence même de la nature de ce lieu ?... Pauvre Antoine… quoique… était-il à plaindre ? N’était-il pas plus chanceux que moi qui me morfondais, qui me désespérais et rongeais mon frein depuis beaucoup trop longtemps maintenant… Je ne vivais plus, j’errais lamentablement, tournais en rond sans plus aucune passion, sauf celle d’être à ma place naturelle de dominé esclave soumis. Alors chez moi, en manque de vivre cette soumission naturelle, je battais le pavé de mon salon à ma chambre, de ma chambre à mon téléphone, de mon téléphone toujours muet à mon salon et ainsi de suite à longueur de journée. Certes, j’avais eu la visite de Charles, qui était venu m’expliquer comment s’était déroulé les vendanges… « Oups, tu en as même oublié les vendanges ! » m’étais-je dis en l’entendant parler de cette récolte exceptionnelle, de cette merveilleuse entraide que lui avait fourni Monsieur le Marquis d’Evans, par l’intermédiaire de Marcel et de ses ouvriers agricoles venus aider, de cette vinification qui permettrait d’obtenir un vin d’exception en cette année à la météo propice à une excellent cuvée… Pauvre Charles ! A peine si je l’écoutais, pourtant il me parlait de son travail avec élan, passion, professionnalisme, émotion et enthousiasme.
- Vous savez Monsieur Alexandre, le pressurage est une étape déterminante du processus de vinification. Elle consiste à presser les raisins afin d’en extraire tout le jus… Et du jus cette année, il y en a et de grande qualité, croyez-moi Monsieur Alexandre. Nous allons faire du très bon vin… avec un bon degré d’alcool… Tenez, je vous ai apporté une bouteille de ce jus… Faites attention de ne pas trop en boire… car… comment dire… vous pourriez avoir… enfin vous voyez ce que je vous dire… ça vous mettrait la chiasse ! En revanche, pas de risque de vous enivrer !
« Non, Charles… ce n’est pas de ce jus là dont j’ai besoin pour me saouler… c’est celui sortant d’une grosse bite ou d’une chatte qu’il me faut pour m’étourdir, me griser, m’exalter et m’enivrer ! », pensais-je à ce moment précis…
Comment avais-je pu retenir mes mots, pour contenir mes maux ? J’étais malade, malade de sexe… simplement et comme déjà dit, en cruel manque, atteins d’une pathologie de désirs sexuels exagérés, excessifs et amplifiés par une frustration de trois jours seulement... Charles était reparti, me laissant là, emmuré dans mes désirs profonds et viscéraux besoins charnels, les yeux brillants et assoiffés, les tétons tendus pointant sous mon teeshirt moulant, ma nouille dégoulinante de mouille, souillant et tâchant l’entrejambe de mon jogging… Outre mes pulsions personnelles, j’avais besoin de quelque chose qui dépassait ma satisfaction immédiate. J’avais un réel besoin d’être aux pieds de Monsieur le Marquis. Il était le Maitre qu’il me fallait, parce qu’en raison de Son charisme et de Ses qualités, il était en droit d’exercer Son pouvoir sur moi et d’en jouir sans autres contraintes que celles issues de Sa propre morale. Il m’éduquait telle une salope, me conformant simplement à Ses exigences, Il me remodelait dans ce qui était ma profonde nature servile. Oui, bel et bien j’étais devenu un esclave, Son esclave, je n’en doutais plus ! J’étais destiné à servir et être asservi en raison de mes faiblesses, de mes craintes, de mes contradictions et de mon manque de volonté. J’avais besoin de trouver mon équilibre en servant Celui qui donnait un sens à ma vie et de la valeur à mes faiblesses. Oui, j’étais né pour être esclave ! …
Mes doutes, mes peurs, mes failles me rendaient inapte à jouir de ma liberté. Je ne trouvais mon équilibre et ma raison d’être qu’en étant asservi et reconnu comme tel par le Maitre. Et Monsieur le Marquis le savait, Il savait que j’appréciais toutes Ses qualités pour que je m’en remette à Lui, corps et âme. Il avait la détermination, l’autorité, la tempérance et l’intelligence pour m’assujettir irréversiblement à Sa volonté. Il m’obligeait à abandonner, tout abandonner pour que je Lui laisse le loisir d’exploiter mon corps et mon mental, pour que je puisse Le servir inconditionnellement sans pouvoir échapper à Son joug qui me permettait, enfin, d’être moi-même. C’était de tout ça dont j’avais besoin, à l’instant même !... Un long moment après la visite de Charles, en lieu et place, autour d’un thé, je recevais Louise, cette bonne et douce Louise qui n’avait de cesse de m’aimer tel un fils. Elle me chérissait, me dorlotait, et à sa façon me motivait, Louise était la bonté même…
- La vie est trop courte Monsieur Alexandre, alors, si je peux me permettre de vous donner un conseil, croquer-là à pleines dents, profitez de chaque minute qui passe, soyez heureux maintenant, n’attendez pas pour vous faire plaisir, le temps est vraiment précieux, savourez-le car personne ne pourra l’arrêter.
Louise assise près de moi, caressait délicatement ma main posée sur l’accoudoir du fauteuil. Ce geste affectueux me donnait de doux frissons et me renvoyait vers l’enfance. Mes yeux s’embrumaient, je revoyais ma mère me câliner, je sentais sa douce main effleurer mon visage pour effacer une larme, je l’entendais me chanter quelques comptines d’antan avec ses yeux remplis d’amour maternel. Impossible pour moi d’imaginer ma mère autrement que celle qu’elle avait été avec moi… et pourtant !
- Monsieur Antoine n’est pas avec vous aujourd’hui ?
- Eh non Louise, hélas, il travaille.
Bien évidemment, Louise, toujours discrète, ne cherchait pas à en savoir plus… Pourtant j’étais persuadé qu’elle savait beaucoup de choses… J’étais même convaincu qu’elle devait connaitre ce qu’avait été la vie dissolue de mes parents, mais aussi ce qu’était la mienne maintenant. Parfois, par un petit sous-entendu qu’elle lâchait inopinément, avant de se reprendre prestement, m’indiquait qu’elle était beaucoup informée qu’elle n’y laissait paraitre… Mais cette femme étant tolérante, elle respectait la vie de chacun avec mansuétude et largeur d’esprit. Je l’admirais ! Alors que je dégustais une nouvelle madeleine faite par Louise, mon téléphone vibrait dans ma poche, m’annonçant l’arrivée d’un texto.
- Lâche la vieille et ramène-toi au plus vite au Château, on a besoin de toi, salope ! Signé, Madame Marie.
J’avais totalement oublié les caméras de surveillance placées chez moi… La sadique cuisinière du Château devait m’épier, m’observer, m’avoir à l’œil puisqu’elle me savait avec Louise… La vieille avait-elle dit… En tout point, je haïssais cette femme, comment pouvait-elle être aussi dure dans ses propos ? Comment se permettait-elle de nommer Louise ainsi ? Comment pouvait-elle aussi perverse et sadique dans sa façon d’être ? « Une vraie mégère acariâtre » pensais-je même, alors que Louise se relevait du fauteuil…
- Je dois vous quitter, Monsieur Alexandre, me dit-elle comme si elle se doutait de quelque chose…- Prenez votre temps, Louise !, mentais-je- Oh non Monsieur Alexandre, il faut que je file… Je pense que vous êtes attendu !
- Comment savez-vous ça, Louise…- Je ne sais pas… Votre visage blême à la lecture de votre message reçu ou bien mon instinct de femme, mon petit…
Louise me souriait, en clignant un œil malicieux.
- Vos parents aussi blêmissaient lorsqu’ils recevaient un appel téléphonique. Oui ils blêmissaient comme vous venez de le faire Monsieur Alexandre, et suite à cet appel, ils partaient toujours très vite… comme vous allez le faire, d’ailleurs. Alors je ne veux pas vous mettre en retard, je vous laisse vous préparer ! Bonne soirée à vous, Monsieur Alexandre !
- Je peux vous redescendre en voiture jusqu’à chez vous, Louise.
- Oh non, marcher me fait du bien… Et souvenez-vous de ce que je vous ai dit… Mordez la vie à pleines dents, Monsieur Alexandre…
Je quittais la Bastide en trombe, laissant Louise derrière le panache de poussière soulevé par les pneus de mon véhicule. Lorsque j’arrivais au Château, Madame Marie était déjà installée debout, le regard haut, sur le perron, habillée avec sa jupe noire en skaï et sa cravache en main. Visiblement elle regardait sa montre…. En hâte, dans ma voiture, je me dévêtis et regagnais, à poil, le perron en courant. Sans un mot, les doigts de la cuisinière s’agrippaient à ma chevelure, tirait dessus et m’entrainait, plié en deux, derrière elle dans une petite pièce toute proche du grand hall d’entrée du Château. Il y avait là, sur tout un pan de mur, plusieurs écrans de télévision, sur lesquels des images couleurs d’une parfaite netteté défilaient… Il s’agissait d’une salle de télésurveillance, où l’on voyait, sur certains écrans, les couloirs du Château, sur d’autres les Cachots, sur d’autres encore les jardins du Domaine d’Evans, des pièces vides ou occupées par des soumises ou soumis ici ou peut-être chez eux, enfin sur l’une d’elles, je reconnaissais l’entrée de mon domicile….
- A genoux, espèce de sale chienne !, m’ordonnait Madame Marie, sans lâcher ma chevelure et ponctuant son exigence par un cinglant coup de cravache sur mon fessier.
La perverse cuisinière me maintenait la tête en arrière et de son autre main m’assénait aussi plusieurs gifles.
- Regarde sale putain, regarde bien, ici, tu vas comprendre les raisons de ta convocation !
Cette satanée et perverse cuisinière me lâchait enfin pour regagner un bureau sur lequel était posé un ordinateur. L’écran sur lequel je fixais mon regard s’éteignait, puis se rallumait aussitôt. Des images défilaient à toute vitesse, en mode retour arrière, puis se figeaient. Je me voyais assis dans mon salon, bavardant avec Louise. J’entendais même notre conversation… Il n’y avait rien de compromettant, je me voyais sage, respectueux, courtois, détendu et attentionné… Toute la séquence avait été filmée… Je ne comprenais pas pourquoi je devais regarder cette vidéo. Madame Marie ne tardait pas à me le faire savoir. Elle était revenue près de moi et me giflait encore et me cinglait les fesses de nouveau avec sa satanée cravache…
- Est-ce que tu as compris les raisons de ta convocation immédiate, sale putain ?
Non, je ne comprenais pas… Je baissais le regard plus bas encore, sans rien dire.
- Accouche salope !
- N… Non… Ma.. Madame Marie, je ne …. ne comprends pas… Madame Marie…
(A suivre…)
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