La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1657)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1657)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1656) -
Chapitre 46 bis : Introspection et punition –
- N… Non… Ma.. Madame Marie, je ne …. ne comprends pas… Madame Marie…
Deux coups de cravache appuyés tombaient sur mes omoplates, avant que cette perverse femme reparte derrière son ordinateur… Elle remettait la vidéo en route puis revenait vers moi, me tenant toujours sévèrement par les cheveux. Je regardais de nouveau le film jusqu’à un arrêt sur image. Je me voyais assis sur le fauteuil avec Louise à mes côtés, me caressant la main.
- Il n’y a rien qui te choque ici, espèce de sale putain…
Je ne voyais toujours pas ce que voulait me faire dire cette odieuse femme. J’essayais désespérément à décrypter cette image… rien ne me choquait… pourtant la cravache entrait de nouveau en action, visant cette fois-ci mes cuisses.
- Quand vas-tu comprendre que tu n’es qu’une pute ?, me disait-elle en me tenant toujours d’une main par les cheveux et en me secouant la tête dans tous les sens.
Je faisais pâle figure… pourtant mes joues devaient être écarlates avec les gifles que je recevais sans cesse…
- Ne vois-tu pas ta posture sale chienne, crois-tu qu’elle soit en adéquation avec ce que tu es ! Par trois fois, tu as croisé les jambes… Quand vas-tu comprendre qu’une pute garde toujours les cuisses grandes ouvertes, hein ?…, dis-moi ! Quand cesseras-tu de faire le contraire de ce que l’on t’enseigne ici ? Une pute doit toujours avoir son entrejambe accessible, donc, elle reste en tout temps, en tout lieu, les cuisses écartées. C’est même strictement interdit que tes genoux se touchent… C’est si compliqué à comprendre, ça ? Espèce de bâtard stupide et sans cervelle !
Les coups de cravache redoublaient d’intensité, cette satanée cuisinière frappait mon corps nu et exposé, le zébrait et lorsqu’elle s’arrêtait enfin, elle me laissait gisant au sol, tel un chien battu et gémissant.
- Si ce sont de bonnes dérouillées comme celle-ci qu’il te faut pour comprendre et strictement obéir, eh bien fais-moi confiance… Je serai toujours là pour t’administrer ces corrections, ça il n’y a pas à en douter. Aller, debout, casse-toi sale bâtard et que ça te serve de leçon car la prochaine fois que tu écartes tes sales pattes, je te pends par les couilles.
Je me relevais non sans peine et quittais cette salle de vidéosurveillance sans trainer et à quatre pattes le plus vite que je pouvais avancer, après avoir remercié Madame Marie en lui léchant les pieds. Oui sincèrement, je la remerciais de me conditionner ainsi, de me rappeler chacune de mes erreurs, chacune de mes lacunes. Ces corrections m’étaient nécessaires pour me remettre sur le droit chemin, à ma place, à cette place qui m’était devenue indispensable pour être cette chose, cette pute que je désirais tellement être… Arrivé dans le grand hall d’entrée et alors que j’allais atteindre la porte principale, j’entendais une voix bien connue, derrière moi, m’interpeller.
- Tiens, que fais-tu là, Ma salope de chienne ! Viens près de Moi…
Cette voix n’était autre que celle du Maître. Je me retournais, immédiatement et toujours à quatre pattes et j’avançais ainsi jusqu’à Lui, pour exaucer Ses volontés. Monsieur le Marquis tenait en laisse d’une main, une jeune et très belle femelle soumise à la plastique magnifique, les sinuosités de son corps nu aurait fait fantasmer tout un régiment !, bref une silhouette splendide. C’était une asiatique aux cheveux longs et noirs attachés en queue de cheval. De l’autre main, le Noble tenait en laisse également un jeune esclave mâle, ébène de peau, la vingtaine d’années environ pour tous deux qui évoluaient donc en quadrupédie. Avec respect, je me prosternais devant Ses nobles pieds, le cul en l’air, la tête au sol, en faisant en sorte de cambrer mes reins au maximum.
- Tu as de belles couleurs, Ma salope de pute ! Je suppose que Madame Marie est passée par là… Sans doute avait-elle de bonnes raisons pour te marquer ainsi ! Parle, salope, Je t’y autorise...
- Oui Maître, Madame Marie m’a sévèrement puni, parce que je le méritais, j’avais commis une faute, Maitre…- Et par trois fois, tu as commis cette faute, n’est-ce pas Ma pute ?
- Oui Maitre, veuillez me pardonner, Maître.
Je n’obtenais pas de réponse en retour, mais comprenais que le Maître était parfaitement au courant de la situation. Mais pour l’heure, je restais strictement immobile, impassible même, y compris lorsque je sentis une langue douce et soyeuse passer sur ma raie anale. C’était celle de cette magnifique soumise asiatique qui manœuvrait. D’un claquement de doigts, d’un bref à-coup sur sa laisse, la jeune esclave était venue se placer derrière moi, entre mes cuisses. Sa langue effleurait mon trou de salope et le caressait délicieusement, alors que l’esclave mâle, sur ordre de Monsieur le Marquis, écartait mes lobes fessiers de ses deux mains, pour maintenir ma cavité et ma marge anale largement ouverte. Mon cœur battait comme un torrent, je sentais la moiteur sous mes mains, je sentais mes muscles tendus et enivrés, je contemplais mon esprit flou, déglingué, qui ne demandait qu’à en recevoir plus, toujours plus, plus encore. De temps à autre, je sentais la main tiède du Maitre qui me caressait le dos, qui glissait doucement le long de ma colonne vertébrale, jusqu’à ce que Son index et Son majeur viennent s’enfouir entre mes fesses et caresser doucement la partie sensible, par des petites pressions et des mouvements circulaires sur mon œillet flétrie. Et lorsque Ses doigts se retiraient, la langue de la jeune femelle reprenait possession de mon trou, s’enfonçant doucement, le salivant copieusement, le pénétrant délicatement.
- Tu vois que tu es une vraie putain, je vois ton corps de pute frissonner !, me lançait le Maître.
Le Châtelain avait raison, je frissonnais de plaisir, donc j’étais bel et bien une vraie putain, une vraie salope désireuse de se faire baiser, telle une bête, là, dans ce vaste hall d’entrée, à même le carrelage en damier noir et blanc… Puis le Maître en décidait autrement, désormais c’était à moi de faire travailler ma langue. La jeune soumise, toujours tenue en laisse et tirée par la main autoritaire du Noble s’allongeait à plat, dos près de mon visage. Elle écartait les jambes, les ouvrait en les mettant de part et d’autre de mon corps et laissait apparaitre, sous mes yeux, sa chatte glabre et luisante.
- Broute-là ! Ma salope de chienne, je veux entendre gémir cette petite garce et la voir se tordre sous les assauts de ta bouche et de ta lange agile et baladeuse.
Sans la moindre hésitation, j’obéissais en ventousant ma bouche sur cet abricot juteux. Ce simple contact faisait cabrer la jeune asiatique, un long gémissement sortait de sa gorge. Des cris assourdissants résonnaient encore, lorsque ma langue glissait entre ses lèvres intimes et titillait l’entrée de son vagin dégoulinant. Elle ne tenait plus en place, remuait dans tous les sens, telle une chienne véritablement en chaleur, amarrant ses doigts crochetés à ma tignasse pour m’obliger à la pénétrer plus profondément encore. Elle était de plus en plus endiablée, surtout lorsque ma bouche happait son petit bouton tendu, lorsque mes dents mordillaient ce petit bout de chair érigée… Elle ne criait plus, elle gueulait telle une truie que l’on égorge, alors que son bassin allait et venait sur mes lèvres, alors qu’elle collait sa chatte sur ma bouche engluée de cyprine…
- Tonnerre de dieu, que se passe-t-il ici !, grondait Walter en sortant de son bureau avec lui aussi un esclave mâle en laisse à ses pieds.
- Ne t’inquiète pas, Walter… - Oh pardon Monsieur le Marquis, je ne pensais pas Vous trouver ici…- Ah Walter, parfait pour ces aphrodisiaques… Ils sont pour le moins très efficaces sur cette femelle en rut… Regarde Ma jeune soumise, une vraie chienne en chaleur, elle est incontrôlable… Que c’est beau de la voir se métamorphoser, de la regarder se dépraver… Plus aucune limite, juste emportée par le désir sexuel et le plaisir de copulation, comme je l’avais prédit, une fois encore … Nous allons faire d’elle une très bonne salope, une machine à plaisirs, une bombe sexuelle. Elle n’aurait qu’une seule vocation, sous Mon joug, celle de se faire remplir encore et encore et sans modération pour que viennent se soulager tous les Dominants à qui je la prêterai !
Je m’activais toujours, poursuivais mon cunnilingus, fouillais ces chairs, m’abreuvais et m’enivrais de ces sucs intimes, alors que l’esclave mâle, celui tenu en laisse par Monsieur le Marquis, venait de loger sa grosse bite décagée dans la bouche de cette femelle surexcitée… Ce gros chibre circoncis avait le mérite d’étouffer les cris de cette chienne en pleine chaleur… Elle l’avalait goulument, la dévorait avec une certaine voracité… Je la léchais toujours alors qu’elle biberonnait ce dard tumescent avec insatiabilité, jusqu’à cet instant où, tiré par les cheveux, je devais me redresser, me tenir à quatre pattes, mon visage à quelques centimètres de cet esclave mâle, à la peau noire. Une poussée sur nos nuques respectives nous obligeait à coller nos lèvres entre-elles.
- Roulez-vous une pelle, sales putains que vous êtes !, ordonnait le Maître
Sans chercher à comprendre ma langue gluante de mouille entrait en contact avec celle de mon congénère gémissant. Après m’être goinfré de cette chatte, je dévorais la bouche de cet esclave mâle. Ma langue pleine de cyprine s’enroulait autour de la sienne. Avec fougue, et l’un et l’autre, nous nous embrassions à pleine bouche, comme si nous avions été amant depuis toujours... Après de longues minutes encore, le Majordome m’emmenait dans les cachots du Château et m’enfermait, frustré de n'avoir été baisé, avec ce jeune mâle qu'il tenait en laisse, un dénommé juliensoumis ! …
(A suivre…)
Chapitre 46 bis : Introspection et punition –
- N… Non… Ma.. Madame Marie, je ne …. ne comprends pas… Madame Marie…
Deux coups de cravache appuyés tombaient sur mes omoplates, avant que cette perverse femme reparte derrière son ordinateur… Elle remettait la vidéo en route puis revenait vers moi, me tenant toujours sévèrement par les cheveux. Je regardais de nouveau le film jusqu’à un arrêt sur image. Je me voyais assis sur le fauteuil avec Louise à mes côtés, me caressant la main.
- Il n’y a rien qui te choque ici, espèce de sale putain…
Je ne voyais toujours pas ce que voulait me faire dire cette odieuse femme. J’essayais désespérément à décrypter cette image… rien ne me choquait… pourtant la cravache entrait de nouveau en action, visant cette fois-ci mes cuisses.
- Quand vas-tu comprendre que tu n’es qu’une pute ?, me disait-elle en me tenant toujours d’une main par les cheveux et en me secouant la tête dans tous les sens.
Je faisais pâle figure… pourtant mes joues devaient être écarlates avec les gifles que je recevais sans cesse…
- Ne vois-tu pas ta posture sale chienne, crois-tu qu’elle soit en adéquation avec ce que tu es ! Par trois fois, tu as croisé les jambes… Quand vas-tu comprendre qu’une pute garde toujours les cuisses grandes ouvertes, hein ?…, dis-moi ! Quand cesseras-tu de faire le contraire de ce que l’on t’enseigne ici ? Une pute doit toujours avoir son entrejambe accessible, donc, elle reste en tout temps, en tout lieu, les cuisses écartées. C’est même strictement interdit que tes genoux se touchent… C’est si compliqué à comprendre, ça ? Espèce de bâtard stupide et sans cervelle !
Les coups de cravache redoublaient d’intensité, cette satanée cuisinière frappait mon corps nu et exposé, le zébrait et lorsqu’elle s’arrêtait enfin, elle me laissait gisant au sol, tel un chien battu et gémissant.
- Si ce sont de bonnes dérouillées comme celle-ci qu’il te faut pour comprendre et strictement obéir, eh bien fais-moi confiance… Je serai toujours là pour t’administrer ces corrections, ça il n’y a pas à en douter. Aller, debout, casse-toi sale bâtard et que ça te serve de leçon car la prochaine fois que tu écartes tes sales pattes, je te pends par les couilles.
Je me relevais non sans peine et quittais cette salle de vidéosurveillance sans trainer et à quatre pattes le plus vite que je pouvais avancer, après avoir remercié Madame Marie en lui léchant les pieds. Oui sincèrement, je la remerciais de me conditionner ainsi, de me rappeler chacune de mes erreurs, chacune de mes lacunes. Ces corrections m’étaient nécessaires pour me remettre sur le droit chemin, à ma place, à cette place qui m’était devenue indispensable pour être cette chose, cette pute que je désirais tellement être… Arrivé dans le grand hall d’entrée et alors que j’allais atteindre la porte principale, j’entendais une voix bien connue, derrière moi, m’interpeller.
- Tiens, que fais-tu là, Ma salope de chienne ! Viens près de Moi…
Cette voix n’était autre que celle du Maître. Je me retournais, immédiatement et toujours à quatre pattes et j’avançais ainsi jusqu’à Lui, pour exaucer Ses volontés. Monsieur le Marquis tenait en laisse d’une main, une jeune et très belle femelle soumise à la plastique magnifique, les sinuosités de son corps nu aurait fait fantasmer tout un régiment !, bref une silhouette splendide. C’était une asiatique aux cheveux longs et noirs attachés en queue de cheval. De l’autre main, le Noble tenait en laisse également un jeune esclave mâle, ébène de peau, la vingtaine d’années environ pour tous deux qui évoluaient donc en quadrupédie. Avec respect, je me prosternais devant Ses nobles pieds, le cul en l’air, la tête au sol, en faisant en sorte de cambrer mes reins au maximum.
- Tu as de belles couleurs, Ma salope de pute ! Je suppose que Madame Marie est passée par là… Sans doute avait-elle de bonnes raisons pour te marquer ainsi ! Parle, salope, Je t’y autorise...
- Oui Maître, Madame Marie m’a sévèrement puni, parce que je le méritais, j’avais commis une faute, Maitre…- Et par trois fois, tu as commis cette faute, n’est-ce pas Ma pute ?
- Oui Maitre, veuillez me pardonner, Maître.
Je n’obtenais pas de réponse en retour, mais comprenais que le Maître était parfaitement au courant de la situation. Mais pour l’heure, je restais strictement immobile, impassible même, y compris lorsque je sentis une langue douce et soyeuse passer sur ma raie anale. C’était celle de cette magnifique soumise asiatique qui manœuvrait. D’un claquement de doigts, d’un bref à-coup sur sa laisse, la jeune esclave était venue se placer derrière moi, entre mes cuisses. Sa langue effleurait mon trou de salope et le caressait délicieusement, alors que l’esclave mâle, sur ordre de Monsieur le Marquis, écartait mes lobes fessiers de ses deux mains, pour maintenir ma cavité et ma marge anale largement ouverte. Mon cœur battait comme un torrent, je sentais la moiteur sous mes mains, je sentais mes muscles tendus et enivrés, je contemplais mon esprit flou, déglingué, qui ne demandait qu’à en recevoir plus, toujours plus, plus encore. De temps à autre, je sentais la main tiède du Maitre qui me caressait le dos, qui glissait doucement le long de ma colonne vertébrale, jusqu’à ce que Son index et Son majeur viennent s’enfouir entre mes fesses et caresser doucement la partie sensible, par des petites pressions et des mouvements circulaires sur mon œillet flétrie. Et lorsque Ses doigts se retiraient, la langue de la jeune femelle reprenait possession de mon trou, s’enfonçant doucement, le salivant copieusement, le pénétrant délicatement.
- Tu vois que tu es une vraie putain, je vois ton corps de pute frissonner !, me lançait le Maître.
Le Châtelain avait raison, je frissonnais de plaisir, donc j’étais bel et bien une vraie putain, une vraie salope désireuse de se faire baiser, telle une bête, là, dans ce vaste hall d’entrée, à même le carrelage en damier noir et blanc… Puis le Maître en décidait autrement, désormais c’était à moi de faire travailler ma langue. La jeune soumise, toujours tenue en laisse et tirée par la main autoritaire du Noble s’allongeait à plat, dos près de mon visage. Elle écartait les jambes, les ouvrait en les mettant de part et d’autre de mon corps et laissait apparaitre, sous mes yeux, sa chatte glabre et luisante.
- Broute-là ! Ma salope de chienne, je veux entendre gémir cette petite garce et la voir se tordre sous les assauts de ta bouche et de ta lange agile et baladeuse.
Sans la moindre hésitation, j’obéissais en ventousant ma bouche sur cet abricot juteux. Ce simple contact faisait cabrer la jeune asiatique, un long gémissement sortait de sa gorge. Des cris assourdissants résonnaient encore, lorsque ma langue glissait entre ses lèvres intimes et titillait l’entrée de son vagin dégoulinant. Elle ne tenait plus en place, remuait dans tous les sens, telle une chienne véritablement en chaleur, amarrant ses doigts crochetés à ma tignasse pour m’obliger à la pénétrer plus profondément encore. Elle était de plus en plus endiablée, surtout lorsque ma bouche happait son petit bouton tendu, lorsque mes dents mordillaient ce petit bout de chair érigée… Elle ne criait plus, elle gueulait telle une truie que l’on égorge, alors que son bassin allait et venait sur mes lèvres, alors qu’elle collait sa chatte sur ma bouche engluée de cyprine…
- Tonnerre de dieu, que se passe-t-il ici !, grondait Walter en sortant de son bureau avec lui aussi un esclave mâle en laisse à ses pieds.
- Ne t’inquiète pas, Walter… - Oh pardon Monsieur le Marquis, je ne pensais pas Vous trouver ici…- Ah Walter, parfait pour ces aphrodisiaques… Ils sont pour le moins très efficaces sur cette femelle en rut… Regarde Ma jeune soumise, une vraie chienne en chaleur, elle est incontrôlable… Que c’est beau de la voir se métamorphoser, de la regarder se dépraver… Plus aucune limite, juste emportée par le désir sexuel et le plaisir de copulation, comme je l’avais prédit, une fois encore … Nous allons faire d’elle une très bonne salope, une machine à plaisirs, une bombe sexuelle. Elle n’aurait qu’une seule vocation, sous Mon joug, celle de se faire remplir encore et encore et sans modération pour que viennent se soulager tous les Dominants à qui je la prêterai !
Je m’activais toujours, poursuivais mon cunnilingus, fouillais ces chairs, m’abreuvais et m’enivrais de ces sucs intimes, alors que l’esclave mâle, celui tenu en laisse par Monsieur le Marquis, venait de loger sa grosse bite décagée dans la bouche de cette femelle surexcitée… Ce gros chibre circoncis avait le mérite d’étouffer les cris de cette chienne en pleine chaleur… Elle l’avalait goulument, la dévorait avec une certaine voracité… Je la léchais toujours alors qu’elle biberonnait ce dard tumescent avec insatiabilité, jusqu’à cet instant où, tiré par les cheveux, je devais me redresser, me tenir à quatre pattes, mon visage à quelques centimètres de cet esclave mâle, à la peau noire. Une poussée sur nos nuques respectives nous obligeait à coller nos lèvres entre-elles.
- Roulez-vous une pelle, sales putains que vous êtes !, ordonnait le Maître
Sans chercher à comprendre ma langue gluante de mouille entrait en contact avec celle de mon congénère gémissant. Après m’être goinfré de cette chatte, je dévorais la bouche de cet esclave mâle. Ma langue pleine de cyprine s’enroulait autour de la sienne. Avec fougue, et l’un et l’autre, nous nous embrassions à pleine bouche, comme si nous avions été amant depuis toujours... Après de longues minutes encore, le Majordome m’emmenait dans les cachots du Château et m’enfermait, frustré de n'avoir été baisé, avec ce jeune mâle qu'il tenait en laisse, un dénommé juliensoumis ! …
(A suivre…)
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