La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1663) - histoire érotique

Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1635) -
Marion l’ignorait, mais tous savaient, qu’ils ne devaient en aucun cas la pousser volontairement à la faute, en respectant ses limites physiques à retenir son orgasme…Tout dans ce salon n’était plus que râles, cris ou gémissements plus ou moins audibles suivant la situation. A ce moment-là une chose non préméditée et sublime arriva. Le Seigneur d’Evans prenait toujours fougueusement Louise par derrière et Antonin faisait de même maintenant avec Clémence quand les deux soumises se retrouvèrent face à face. Leur visages étaient à quelques centimètres l’un de l’autre, pour le plaisir des Dominants mais aussi pour le leur. Les deux soumises commencèrent à s’embrasser goulument et avec une excitation évidente et non dissimulée. Quand soudain elles furent interrompues par Ronan et Adrien qui se placèrent entre elles pour que chacun puisse se faire sucer par une bouche, Adrien par Louise et Ronan par sa chère Clémence. Marion, toujours dans un état second, reprenait doucement ses esprits, après avoir été, et pour son plus grand bonheur, amplement fistée, martyrisée des seins et des tétons et avoir été prise abondamment par sa chatte, son cul et sa bouche et cela par deux Dominants forts et viriles. Ces deux mâles Dominateurs avaient fini par la souiller de leur sperme chaud, épais et abondant. Marie était seule également alors le Seigneur d’Evans leur ordonna, pour le moment, de prendre un bref moment de repos, car Il avait eu une idée pour la suite.

Après cette belle partouze quasi orgiaque, le Maître autorisa Louise visiblement épuisée à se retirer, Clémence demanda aussi à Ronan si elle pouvait regagner leur chambre, ce qui lui accorda. Louise et Clémence remercièrent le Seigneur d’Evans pour cette soirée et quittèrent le salon. Après leur départ Marion et Marie qui attendaient en silence dans un coin s’avancèrent en quadrupédie et se mirent en position d’attente à quelques pas des Dominants satisfaits. C’est alors que le Seigneur d’Evans ordonna à Ses deux soumises de leur offrir une danse sensuelle et suggestive et de finir par un scabreux léchage commun de leur sexe, couchées l’une sur l’autre (soit un 69 mais ce mot n’existait pas pour son sens sexuel, au Moyen-Age). Marion qui était au service du Maître depuis fort longtemps avait déjà souvent fait cela. Ce qui n’était, visiblement, pas le cas de Marie entrée à Son service plus récemment. Le Seigneur d’Evans vit dans ses yeux de l’interrogation, qui pouvait passer par de l’hésitation, et une pointe de peur. Alors Il l’interrogea.

- Pourquoi ce regard ? Refuserais-tu de M’obéir et de faire un léchage commun de vos sexes, couchées l’une sur l’autre, avec Marion ? Répond !
- Non ce n’est pas cela, Maître, c’est qu’en fait je ne sais pas danser, du moins comme Vous l’exigez, je n’ai jamais appris.
- Ce n’est pas grave, tu n’as cas suivre Marion et elle te guidera. Quant à toi, Marion, tâche de ne pas choisir une danse trop compliquée pour sa première fois.
- Bien Maître, répondit Marion confiante avec un sourire rassurant à Marie.

Marion commença à bouger doucement son bassin, ondulant des hanches et du cul. Après que Marie ai saisi le rythme, elles passèrent près du Maître et de Ses invités accentuant encore plus leurs mouvements lents et lascifs, bien sûr cela dans le but de leur offrir une meilleure vue et de pouvoir les toucher au passage. Marie imitait Marion et contre toute attente celle-ci bougeait avec une aisance naturelle et un don indéniable et prédestiné à cet exercice, même si elle n’avait jamais pris de leçons. Certes, certains mouvements étaient un peu hésitants et la tenue pas très sensuelle étant trop concentrée à essayer de bien faire, elle ne souriait pas et avait les yeux fixés sur Marion pour essayer de faire aussi bien qu’elle. Mais cela ne leur importaient que peu car ce n’étaient pas uniquement leurs visages qu’ils regardaient. Marion et Marie continuèrent ainsi un bon moment quand peu de temps avant la fin juste avant de passer à ce qu’on appelle de nos jours un 69. Marion frôlant Marie lui chuchota :
- A quatre pattes.

C’est ainsi que Marion suivit de Marie se mirent en quadrupédie et dans une démarche féline, sensuelle afin de s’approcher du Maître et des autres Dominants de façon à ce qu’ils puissent, s’ils en avaient envie, leur donner une fessée et/ou une caresse d’encouragement sur leur cul en passant. Ensuite elles s’éloignèrent et étant dos aux Dominants, Marion dit tout bas à Marie.

- J’irai au-dessus de toi ainsi je pourrais aussi te guider.

Marie acquiesça d’un léger signe de tête avec un sourire reconnaissant. Pour commencer elles se placèrent à genoux face à face afin de se caresser et de s’embrasser. Et le moment venu, Marion poussa légèrement Marie par l’épaule pour lui faire comprendre de se coucher sur le dos. Ce qu’elle fit sans attendre. Une fois Marie couchée, les cuisses bien écartées, Marion pris place au-dessus d’elle en 69. Marion avait dit à Marie qu’elle ferait ainsi pour pouvoir la guider. Ce qui était certes la vérité mais maintenant elle se rendait compte que cela lui donnait potentiellement un avantage supplémentaire. Étant donné qu’elle n’avait pas d’autorisation de jouir par punition, et même si depuis un ou deux jours, sans pouvoir l’expliquer, elle arrivait beaucoup plus facilement qu’avant à retenir ses orgasmes, elle pourrait en cas de besoin relever légèrement son bassin rendant l’accès de sa chatte moins aisée pour Marie afin de mieux se retenir de jouir. Marie qui comme, presque, tout le monde était au courant de la sanction de Marion avait déjà prévu de faire le maximum pour satisfaire le Maître tout en évitant, si possible, de faire fauter sa sœur de soumission. C’est ainsi que Marion léchait, suçait, titillait avec habilité la chatte de Marie qui là aussi, bien que sachant le faire, prenait exemple sur elle sans se douter que Marion commençait à sentir l’orgasme monter dangereusement. Alors elle se dit dans sa tête « Le Maître va surement autoriser la jouissance à Marie, et pour ne pas fauter, je dois la faire jouir au plus vite ». Alors elle accentua ses lèches et coups de langues ainsi que la profondeur de sa langue dans la chatte ruisselante de Marie qui gémissait déjà d’un orgasme qu’elle retenait tant bien que mal, c’est alors que le Maître dit.

- Marie, jouit, Je le veux maintenant.

Le Maître n’eut pas besoin de le répéter car sitôt sa phrase terminée, Marie jouit fortement, bruyamment, dans de cris orgasmiques puissants, lâchant un flot impressionnant de cyprine dont Marion se délecta ne laissant pas échapper la moindre goutte sur le luxueux tapis d’orient du Maître. Ensuite elles se remirent en position d’attente et contre toute attente, cat cela était extrêmement rare, les quatre Dominants applaudirent leur prestation. Marion et Marie, tête baissée ne purent s’empêcher de sourire. Puis Ronan pris la parole.

- Bon je vais vous souhaiter à tous la bonne nuit, je m’en vais rejoindre mon épouse.

Antonin et Adrien firent de même et en sortant Antonin regarda son fils et lui dit.

- Je ne t’avais plus vu Dominer depuis ton initiation et je te félicite, tu es devenu un bon Dominant accompli. Et si tu suis la tradition, notre mode de vie de notre famille d’Evans, un jour tu trouveras ta soumise attitrée et en elle aussi peut être ta future femme.
- C’est possible, mais je ne l’ai pas encore trouvé et l’avenir me le dira.

Le père et le fils se sourirent et prirent chacun une direction différente. Le Maître, le seigneur d’Evans quant à Lui, était resté avec Ses deux soumises toujours agenouillées à Ses pieds.

- Je suis fier de vous, votre comportement ce soir fut exemplaire.
- Merci Maître, dirent-elles ensemble tout en montrant de l’humilité en baissant la tête.
- Bien, il est de Mon devoir de vous récompenser. Marion tu comprends que dans les circonstances actuelles je ne peux te récompenser cette nuit par un orgasme autorisé, mais soit sans crainte tu le seras plus tard. Marie, tu partageras aussi Ma nuit avec Marion, à la seule différence, c’est que Marion ne pourra donc pas jouir de la nuit...

Puis le Châtelain attacha leur laisse et tirant légèrement dessus.

- Allons-y, Mes chiennes, suivez-Moi… Nous allons aller dans un endroit qui vous changera de ma banale chambre ! En effet, quoi de plus insolite et excitant que de changer de lieu ! En effet dans ce Château, il y a tellement de lieux tout aussi délicieux que Ma chambre !

Le Seigneur d’Evans sortit alors à l’extérieur, traversa le grand parc sous la fraîcheur de la nuit, suivi de Ses deux soumises nues et à quatre pattes qui frissonnaient de cette fraicheur mais aussi par l’excitation à ne pas savoir où le Maître les emmenait. La progression était lente mais assurée. Ensuite le Noble entra dans les vastes écuries et après être passés devant les box des chevaux, ils arrivèrent devant une échelle en bois qui menait sur le plancher de la grange emplie de foin qui par endroit touchait les poutres sous le faîtage de la bâtisse
- Marion, monte à l’échelle, va te coucher sur le dos, cuisses écartées et attend Mon bon vouloir que je daigne te rejoindre. En attendant, place-toi de façon à bien Me voir et donc juste au bord du plancher là en haut de cette échelle. Je veux que tu te branles de me voir m’occuper de Marie, mais pour rappel interdiction de jouir, salope !

Marion obtempéra de suite, grimpa les échelons et s’installa comme ordonnée. Puis le Seigneur d’Evans attrapa une longe de corde utilisée pour les chevaux et attacha Marie contre l’échelle. Les bras de la soumise passant derrière un barreau de l’échelle alors que les chevilles étaient plaquées et liées contre les deux montants. Une corde passa aussi juste au-dessous de sa poitrine et sous les genoux pour aller faire le tour de ladite échelle. Le Maître commença à caresser longuement la belle, Ses grosses mains palpaient les seins, puis Ses doigts pincèrent les tétons sensibles, les vrillaient et étiraient. Marie attachée à cette échelle, mouillait fortement de ce traitement alors que plus haut Marion se caressait comme exigé, envieuse de souhaiter être à la place de sa sœur de soumission. Le Seigneur d’Evans passa ensuite Sa main sur le sexe lisse de la belle et commença à lui travailler le clitoris. De ses épais doigts, il décalotta ce clito sensible et érigé pour mieux le branler. La réaction ne se fit pas attendre, Marie accentua sa respiration, et commençait à partir dans l’extase du plaisir, essayant de retenir sa jouissance alors que le Noble accélérait la masturbation de ce clitoris décalotté.

- Marion, toi, là-haut, fait pareil ! Décalotte-toi ton clito de chienne et branle-toi le ainsi ! Mais d’ici quelques secondes, je vais autoriser Marie à jouir, mais toi, tu devras te retenir, est-ce clair ?
- Oui Maître répondit-Marion, le souffle rapide toute autant excitée que sa sœur Marie- Parfait, alors Marie quant à toi, tu peux jouir, je l’exige !

Marie hurla, sans attendre, de plaisir orgasmique alors que le Maître accentuait le frottement de Ses doigts sur ce clito érigé, Des spasmes jouissifs d’intenses plaisirs empêchaient le contrôle de son corps qui tremblait dans une respiration accélérée et dans les cris qui fit lever les oreilles des chevaux ! Alors que plus haut, Marion étant interdite au plaisir, ne pouvait que continuer à se branler sans lâcher son orgasme qui aurait été des plus libérateurs… Ensuite le Châtelain sans attendre, écarta les lèvres intimes de Marie pour dévoiler, à Son regard, l’intérieur du vagin rosé…Il se mit alors à la doigter avec démesure, Ses doigts entrèrent comme dans du beurre tellement Marie était excitée d’être ainsi attachée et doigtée, à peine remise de son fulgurant orgasme clitoridien.

- Marion, toi, là-haut, fait pareil ! Ecarte et doigte-toi ta chatte de chienne et sans modération et sans jouir
Et la même chose se produisit, Marie eut pour sublime exigence de jouir alors que Marion dut encore se retenir… Tout cela avait fortement excité le Châtelain qui par la suite baisa Marie en cette position debout toujours attachée à cette échelle. Il la pénétra avec vigueur et l’utilisa ainsi de longues minutes avant de jouir de son corps bondagé tout en autorisant de nouveau la belle Marie au plaisir. Ce n’est qu’au bout d’une bonne heure qu’Il décida de détacher Marie et de la faire monter à l’échelle pour qu’ensemble ils aillent rejoindre Marion dans la grande sur le plancher, dans le foin… La nuit fut torride, Marie et Marion furent pénétrées à plusieurs reprises, l’une put jouir à chaque fois, l’autre aucune fois. Elles durent aussi se gouiner longtemps entre elles, à se caresser, se doigter, s’embrasser juste pour le spectacle du Maître … Ce n’est quand fin de nuit qu’ils s’endormirent enfin dans la chaleur du foin bienfaiteur…
Au matin, il était déjà tard, Marion se réveilla et se rendit compte que Marie était également réveillée mais qu’elle ne savait pas comment agir pour le réveil du Maître, alors elle ne bougeait pas d’un iota. En effet, elle restait immobile, bien blottie dans les bras du Seigneur d’Evans, la tête bien calée contre Son torse, elle ne pouvait donc pas trop bouger sans Le réveiller. Marion lui chuchota alors doucement pour ne pas réveiller le Maître
- Marie ne bouge pas et écoute-moi. Le Maître exige toujours d’être réveillé par une fellation, Je vais Lui la faire !

En effet Marion décida donc de réveiller le Maître comme Il aimait et tant pis pour les conséquences. Elle commença par le lécher pour bien humidifier la hampe du Châtelain, puis le pris en bouche très doucement pour Le réveiller tout en douceur. Quand le Maître commença à remuer légèrement, elle augmenta progressivement la vitesse et la pression de ses lèvres suçant plus le gland et le titillant de sa langue. Le Noble commença à grogner de plaisir, les yeux restant fermés pour mieux savourer ces douces lèvres, cette langue agile et cette bouche chaude et humide, qu’Il croyait être celles de Marie. A un moment donné par-dessus, Il imprima Son propre rythme. Marion étant punie estimait ne pas avoir droit à Sa noble Semence, elle essaya de se dégager mais Sa poigne était trop forte et Il éjacula dans sa bouche. À ce moment-là tout s’enchaina, Il s'aperçut que Marie dormait toujours alors qu’Il vit Marion avec Sa semence en bouche, la tête encore très proche de Son bas-ventre.

- Marion, salope, t’ai-je autorisé à t'occuper de Mon noble Joyau ? … Avale et répond, la chienne.
- Maître Vénéré, j'ai conscience d’avoir enfreint Vos règles. J’ai chuchoté à Marie comment agir pour Votre réveil et j'ai agi pour Votre satisfaction, sans penser aux conséquences. Aussi je sais que je mérite Votre juste sanction à ajouter à celle que je vis en ce moment, alors je Vous supplie de me punir à juste titre, même si pour ma défense, je sais avoir agi pour Votre plaisir et cela reste pour moi, le plus important.

Puis s'adressant à Marie : …
(A suivre …)