La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1666)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1666)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1664) –
Dix minutes plus tard, Monsieur Walter me ramène rudement à mon cachot, à grands coups de cravache… Encore une heure plus tard, le Majordome revient me chercher pour m’emmener à la douche commune. Nous arrivons dans une pièce fortement éclairée aux tubes de néon blanc et au haut plafond entièrement vitré de manière à ce que l’on ait une vue parfaite de l’étage du dessus. Cette salle de douches est entièrement carrelée de petits carreaux blancs, aux quatre murs, comme au sol. Quelle est ma surprise de constater qu’une douzaine de soumises femelles esclaves et de soumis males esclaves sont tous placés, bien en ligne, les uns à côté des autres contre le long mur carrelé. Ils sont tous silencieux, debout ayant la tête baissée, jambes écartées et tous décagés, les mains derrière leur nuque et totalement immobile… Au milieu de la pièce se trouve une espèce de fosse également toute carrelée pour l’évacuation de l’eau… Cette fosse traversant la totalité de la longueur de la salle de bains est de la largeur d’un homme couché et profonde d’environ 50 centimètres, trou qui tout au fond de la pièce se termine par une grille d’évacuation des eaux usées… Monsieur Walter exige que je me couche dedans et que je reste ainsi sur le dos, bouche grande ouverte pour servir d’urinoir. C’est ainsi que j’entends le Majordome énoncer d’une vive voix à la dizaine d’esclaves toujours aussi immobiles :
- Comme vous savez quand nous avons un nouvel esclave, il est de coutume de lui faire ce que l’on appelle un bizutage ! Et donc c’est ce que nous allons faire avec votre participation : Avec toute l’eau que je vous ai fait boire, vous devez normalement tous avoir la vessie bien pleine. Alors dès que vous entendrez votre nom, vous viendrez pisser sur ce chien d’esclave Katia couché là, devant vous, dans la fosse. Visez le plus possible sa bouche grande ouverte. Une fois votre vessie vidée, vous reviendrez à votre place et reprendrez la position que vous avez maintenant. Et je veux du silence, pas de bruit, vous venez lui pisser dessus et vous repartez à votre place.
Un bizutage ! Non, pas ça ! Je ne vais pas servir d’urinoir ! Je suis là dans la bassesse de l’humiliation totale ! Et puis boire de l’urine ! Beurk… Baaahh ! Ca me dégoutte … Mais j’avoue que j’en bande bien malgré moi devant cette dégradante situation ! Tout d’un coup j’entends le premier nom, il s’agit d’une femelle ! ‘‘esclave Phryné MDE’’ Cette dernière vient jusqu’à mon niveau, enjambe la fosse, un pied de chaque côté et plie ses genoux en s’accroupissant juste au-dessus de mon visage. Je vois son sexe parfaitement lisse et le rosé de son intimité s’ouvrir… Elle n’a pas à attendre longtemps pour qu’un puissant jet d’urine chaude s’éjecte avec force. La pisse va directement dans ma bouche et j’essaie d’en ingurgiter le plus possible. Mais devant l’abondance de son urine, il en éclabousse tout autour de moi. Et donc la bouche déborde vite et ainsi le liquide doré s’écoule sur mon menton, épaule. Ce surplus de liquide jaune commence à bien mouiller la fosse. Le goût est salé et amer mais je n’ai pas d’autre choix que d’avaler tout ce que je peux avaler. Une fois sa vessie vidée, elle se relève en grand silence sans même un regard sur moi et retourne à sa place. C’est ainsi que ce sont succédés les autres esclaves de façon alternative, c’est-à-dire un mâle, suivi d’une femelle, ainsi il y a eu dans l’ordre de passage à me pisser dans ma bouche juste après ’esclave Phryné MDE : esclave alexsoumis, esclave salope MDE, esclave antoinesoumis, soumise Chloris MDE, esclave juliensoumis, chienne Maera MDE, esclave e6934, soumise Keira MDE, soumis Amabalar, Petite chienne, Lope Olivier …
Je ne ressemble plus à rien ! Je n’ai jamais autant bu un quelconque liquide en aussi grande quantité que ce surplus d’urine avalée et qui me donne des hauts de cœur avec cette envie de vomir bien présente quand le dernier chien retourne à sa place… Monsieur Walter m’ordonne de me lever et je n’ai, je crois, jamais autant puer la pisse de ma vie ! Puis il exige à la douzaine de soumis d’aller sous les douches. Et il m’ordonne également de faire de même avec les 12 soumis qui m’ont pissé dessus. Nous nous trouvons ainsi tous sous les douches communes, sans aucune séparation, l’intimité nous étant strictement interdite. J’ai beau tourner le robinet se trouvant devant moi qui aurai du actionner le pommeau de douche se trouvant juste au-dessus de ma tête, qu’aucun jet d’eau ne coule sur moi. Je comprends vite pourquoi quand je vois le Majordome, actionner une sorte de long tuyau d’arrosage, ressemblant plus à une lance à incendie, en notre direction. L’eau est glaciale, et ce sinistre Walter nous arrose tous abondamment avec ce jet puissant... Tremblant de fois à l’instar de mes congénères, je subis ce traitement de choc pour être lavé…
Une demi-heure plus tard, je me retrouve là enfermé, de nouveau dans mon cachot, épuisé et pourtant ressentant un profond bien-être d'avoir été ainsi traité. Je vois posé à terre un sac poubelle noir. J’ouvre et je retrouve mes vêtements... Mais dans quel état ! Tout est en boule, chemise, pantalon. Mais ?, je ne retrouve pas mon slip ! Ils ne m’ont pas remis ! Je mets vite mon pantalon, ma chemise, mes chaussettes et mes chaussures. Deux jours que je suis nue ! Ca fait tout drôle de se retrouver habillé ! Je sors du cachot à quatre pattes et là j'essaie de me lever mais il me faut au moins 15 minutes pour y arriver. Je titube d'avoir été en quadrupédie ou couché deux jours de suite. Je ne suis que l'ombre de moi-même. Mes vêtements sont sales et tout fripés, je pue la pisse sur le visage car le jet d’eau n’a pas été jusqu’à nos visages et mon haleine est encore puante de sperme et même de nourriture pour chien. Je suis en un mot : Dégeulasse ! Je sors dans la grande cour, je croise à nouveau Monsieur Walter, je baisse la tête en passant devant lui :
- Tu fais moins le malin aujourd'hui, le bizuté !, espèce de vermine… Aller salope, met toi à genoux pour saluer Mes chaussures en les léchant.
Honteux, je mets mes genoux dans la boue et je lèche les chaussures de Monsieur Walter. Quelle transformation ! En deux jours !
- Tu retournes chez Marcel, tu sais où il habite au village. Il t’attend. Il te dira comment rentrer chez toi, sale bâtard, me dit-il en me donnant une fessée avec force.
- Merci Monsieur Walter.
Je pars en quittant la riche propriété sans savoir que le Maitre est à la fenêtre et qu'Il me regarde m'éloigner en souriant et en se disant... ‘‘J’ai trouvé là une véritable salope, un profond soumis’’. Il pose les lèvres sur son verre de whisky en se disant... ‘‘Celui-là, il deviendra un véritable esclave à Mon Service’’.
Me revoilà marchant sous le soleil d'avril. Je pue comme jamais. Après une marche assez longue en suivant le sentier balisé, j'arrive chez ce Monsieur Marcel. Je frappe à sa porte. C'est sa femme qui ouvre.
- Ah voilà le chien, entre clébard.
J'entre dans cette pièce où il y a peu, j'ai léché sa chatte et sucer son mari.
- Mets-toi à genoux, salope, je vais chercher mon mari.
- Ah te voilà le chien, Sache que Monsieur Le Marquis a la bonté de te prêter un véhicule pour rentrer chez toi. Suis-moi, salope.
A quatre pattes, je le suis et me voilà dans la cour arrière de terre et donc non goudronnée. Mes genoux dans la boue, mes mains toutes sales. Il me montre une voiture…. Je tombe de haut ! Une vieille 4L des années 60. Blanche, sans sièges arrière. Il manque un phare. La peinture a pratiquement disparu et tout est rouillé.
- Monsieur Le Marquis est généreux. Tu le remercieras à ton retour, le chien. En attendant, rentre bâtard, tu vas nous remercier de notre accueil et gentillesse.
J'imagine déjà ce qu'il m'attend. A peine rentré dans leur salon, sa femme est assise sur le canapé, jambes écartées et j'aperçois sa chatte qui ne m'a pas l’air propre du tout.
- Va lécher, salope et applique-toi !
Je me dirige vers elle et ma langue commence à lécher cette moule puante, j'en ai la nausée, mais je lèche car au fond de moi je sais que c'est ma nature. Ma langue pénètre entre ses lèvres intimes très développées et va lécher les parois de son vagin déjà humide, sous ses gémissements, je titille son clitoris aussi. Son mari, debout, a sorti sa verge de son pantalon et se branle en me regardant.
- Va y salope, c'est bon hein ?
Au bout de 15 minutes environ, la mégère bloque ma tête contre sa chatte et en jouissant, elle éclabousse mon visage de sa mouille abondante.
- A moi, maintenant, vas-y le chien, suce et applique-toi !
Alors je suce cette grosse bite odorante, pas très propre. Je pompe cette queue, je lèche comme la pute que je deviens.
- Lèche mes couilles, aussi !
J’obéis tel un esclave, finalement c'est ce que je suis. Il me défonce la bouche et au bout de cinq minutes à me labourer ma cavité buccale, il se vide au fond de ma gorge dans des râles d’un mâle en rut avec des flots saccadés de semence venant s’éjecter au fond de ma gorge. Combien j'ai avalé de sperme depuis 2 jours ? Aucune idée mais une immense quantité, ça c'est sûr. Je lui nettoie la bite sur son exigence.
- Tu reviens ici, lundi à 5h45. Et chaque minute de retard sera sanctionnée par 10 coups de fouet par le Maître en personne qui sera informé de l’heure exacte de ta venue. Aller, maintenant, dégage le chien
Je monte dans cette voiture délabrée, sûr qu’elle ne passerait pas au contrôle technique ! Alors je me dis ‘’Et si je trouve les flics ? Bah !, c’est le Châtelain qui paierait l’amende, après tout ! ... Une odeur infecte s’en dégage. Le siège avant est tout tâché, des papiers, du bois, des feuilles traînent sur le sol.., des poils de chiens en grand nombres, bref c’est tout simplement une poubelle ambulante qui devait servir aux chasseurs ou garde-chasse du Château ! Quel changement... Je repense à ma luxueuse BMW. Je démarre et file en direction de chez moi... J'arrive enfin chez moi, pas de flics sur la route ! Ouf .... Enfin dans ma villa, je ne sais plus ce qui m'appartient ! Je vois que mon épouse n'est pas encore rentrée. Vite, je pose cette foutue bagnole sur un parking à 100 mètres de là, il n’est pas question que j'entre dans ma maison avec cette poubelle puante, si les voisins me voyaient avec ! Je rentre et je file directement sous la douche ! Ohhhh quel bonheur, enfin de l’eau chaude ! Je laisse couler l'eau salvatrice encore et encore sur mon visage que j’ai longtemps savonné pour enlever l’odeur d’urine et mon corps de sperme. Je me frotte au savon, je me lave les cheveux et je reste plusieurs minutes comme ça sous cette eau bienfaisante. Je sors ensuite et me brosse les dents. J'avais tellement besoin d'une haleine fraîche ! Je regarde mon corps à la glace....
Je vois encore les zébrures du fouet, les coups de cravaches reçus par le Maitre et les coups de Madame Marie, mon dos et mes fesses sont bleuis. Je mets vite sur moi un confortable peignoir car je ne souhaite pas que ma femme voit ça et en plus il y a cette satanée cage de chasteté... Comment vais-je faire ? Bien évidemment je n’ai pas la clé du cadenas ! Je vais au salon et je me sers un bon verre de whisky... Oh purée comme ça fait du bien, je m'en sers un deuxième et un troisième avec de la glace ! Je m'assois dans mon fauteuil préféré et je ferme les yeux, je retrouve mon confort de petit bourgeois…. Je suis bien… Mais qu'est ce qui m'a pris de retourner là-bas ! Je n'irai plus, non je n'irai plus, ce n’est pas possible. Me priver de tout mon confort, de mon bien-être matériel, Mon chez moi bien feutré où il ne manque rien ! Non je ne peux pas y retourner !... Mon épouse rentre en fin d'après-midi. Je m’étais assoupi dans mon fauteuil.
- Bonjour chéri, ah enfin, t'es rentré ?
- Oui et très content, j'avais du boulot là-bas et pas facile (si elle savait !).
Je la serre dans mes bras et l'embrasse, je suis sur le point de caresser ses seins mais les paroles du Maitre résonnent à mes oreilles... 'Tu ne la toucheras plus car elle M'appartient'... Je retire mes mains comme si le Maitre était là à me regarder. Mais qu'est ce qui m'arrive ?
- En tout cas ce Monsieur le Marquis est vraiment un homme délicieux, regarde ce qu'il m'a fait apporter.
Je vois un magnifique bouquet de fleurs énorme digne que ceux qu’on offrirait à une grande star ! Et un parfum de marque extrêmement réputée dans le monde entier, d’un très grand prix, le haut de gamme de la parfumerie.
- Il m'a aussi laissé ce mot dans lequel Il me dit qu'Il serait heureux de m'inviter à une de Ses réceptions dans quelques mois. C'est vraiment quelqu'un de bien, de très courtois et d'une grande classe, un véritable gentleman !
Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi dire. Vers 23h, ma femme passe devant moi en sous-vêtements et me dit :
- Tu viens chéri, ça fait deux jours que je t'attends !
De mon côté, j'ai tellement envie de jouir, tellement envieeee… mais je ne peux pas, je suis encagé et le Maitre a bien dit que je ne devais pas me toucher. Ma nature servile me rappelle que je dois obéir.
- Excuse-moi, chérie, mais je suis trop fatigué ce soir, je vais rester un peu dans mon fauteuil.
- Tant pis pour toi, et elle part se coucher.
Moi, je suis terriblement excité, j'ai vraiment besoin de me soulager, j’essaie de toucher mon sexe, impossible ! Une demi-heure après, je vérifie que ma femme s'est bien endormie et j'essaie de secouer tout l’ensemble de la cage mais rien n'y fait, impossible de me masturber. J'en deviens fou, j'ai besoin de me vider les couilles, de jouir... Alors, je ne sais pas ce qui me prend mais je me mets à quatre pattes et je m’enfonce deux doigts dans mon cul qui est resté assez souple et s’ouvre très aisément. Je m’encule et ça me donne un certain plaisir malgré la douleur de mon anus. Je ne suis vraiment plus moi-même, je suis là à gémir en me défonçant le cul avec deux doigts. Je ressens ce bien-être, cette place qui est la mienne à être traité comme une putain. Je sens que mon cul réclame de la bite, c'est complètement fou. Deux doigts, ce n’est pas suffisant, alors je trouve une bouteille de coca et j'enfonce le goulot au fond de mon cul et je m'imagine que le Maitre me défonce, m’encule… Et là, je sens ma bite durcir et se tendre dans la cage. Je gémis comme une véritable salope et sans me toucher. Au bout de dix minutes, je suis pris par un raz-de-marée, un véritable orgasme, sans me toucher la nouille, je jouis comme une vulgaire putain, j’éjacule, mon sperme coule au travers de la cage de ma nouille douloureuse car trop comprimée. Je suis pris de spasmes quand je m’encule encore plus fort. Je tombe ensuite à terre et complètement anéanti. Que suis-je devenu ? J'ai besoin de sucer, de me faire enculer, je repense aux coups, aux insultes, aux multiples humiliations vécues et j'en bande. Mon ventre et mon esprit me crient ‘‘encoreeee encoreeee’’. Je passe la nuit à ne penser qu'à cela. Ma nature servile m’a anéanti et je sais au fond de moi que le Maitre a pris possession du chien que je suis...
(A suivre …)
Dix minutes plus tard, Monsieur Walter me ramène rudement à mon cachot, à grands coups de cravache… Encore une heure plus tard, le Majordome revient me chercher pour m’emmener à la douche commune. Nous arrivons dans une pièce fortement éclairée aux tubes de néon blanc et au haut plafond entièrement vitré de manière à ce que l’on ait une vue parfaite de l’étage du dessus. Cette salle de douches est entièrement carrelée de petits carreaux blancs, aux quatre murs, comme au sol. Quelle est ma surprise de constater qu’une douzaine de soumises femelles esclaves et de soumis males esclaves sont tous placés, bien en ligne, les uns à côté des autres contre le long mur carrelé. Ils sont tous silencieux, debout ayant la tête baissée, jambes écartées et tous décagés, les mains derrière leur nuque et totalement immobile… Au milieu de la pièce se trouve une espèce de fosse également toute carrelée pour l’évacuation de l’eau… Cette fosse traversant la totalité de la longueur de la salle de bains est de la largeur d’un homme couché et profonde d’environ 50 centimètres, trou qui tout au fond de la pièce se termine par une grille d’évacuation des eaux usées… Monsieur Walter exige que je me couche dedans et que je reste ainsi sur le dos, bouche grande ouverte pour servir d’urinoir. C’est ainsi que j’entends le Majordome énoncer d’une vive voix à la dizaine d’esclaves toujours aussi immobiles :
- Comme vous savez quand nous avons un nouvel esclave, il est de coutume de lui faire ce que l’on appelle un bizutage ! Et donc c’est ce que nous allons faire avec votre participation : Avec toute l’eau que je vous ai fait boire, vous devez normalement tous avoir la vessie bien pleine. Alors dès que vous entendrez votre nom, vous viendrez pisser sur ce chien d’esclave Katia couché là, devant vous, dans la fosse. Visez le plus possible sa bouche grande ouverte. Une fois votre vessie vidée, vous reviendrez à votre place et reprendrez la position que vous avez maintenant. Et je veux du silence, pas de bruit, vous venez lui pisser dessus et vous repartez à votre place.
Un bizutage ! Non, pas ça ! Je ne vais pas servir d’urinoir ! Je suis là dans la bassesse de l’humiliation totale ! Et puis boire de l’urine ! Beurk… Baaahh ! Ca me dégoutte … Mais j’avoue que j’en bande bien malgré moi devant cette dégradante situation ! Tout d’un coup j’entends le premier nom, il s’agit d’une femelle ! ‘‘esclave Phryné MDE’’ Cette dernière vient jusqu’à mon niveau, enjambe la fosse, un pied de chaque côté et plie ses genoux en s’accroupissant juste au-dessus de mon visage. Je vois son sexe parfaitement lisse et le rosé de son intimité s’ouvrir… Elle n’a pas à attendre longtemps pour qu’un puissant jet d’urine chaude s’éjecte avec force. La pisse va directement dans ma bouche et j’essaie d’en ingurgiter le plus possible. Mais devant l’abondance de son urine, il en éclabousse tout autour de moi. Et donc la bouche déborde vite et ainsi le liquide doré s’écoule sur mon menton, épaule. Ce surplus de liquide jaune commence à bien mouiller la fosse. Le goût est salé et amer mais je n’ai pas d’autre choix que d’avaler tout ce que je peux avaler. Une fois sa vessie vidée, elle se relève en grand silence sans même un regard sur moi et retourne à sa place. C’est ainsi que ce sont succédés les autres esclaves de façon alternative, c’est-à-dire un mâle, suivi d’une femelle, ainsi il y a eu dans l’ordre de passage à me pisser dans ma bouche juste après ’esclave Phryné MDE : esclave alexsoumis, esclave salope MDE, esclave antoinesoumis, soumise Chloris MDE, esclave juliensoumis, chienne Maera MDE, esclave e6934, soumise Keira MDE, soumis Amabalar, Petite chienne, Lope Olivier …
Je ne ressemble plus à rien ! Je n’ai jamais autant bu un quelconque liquide en aussi grande quantité que ce surplus d’urine avalée et qui me donne des hauts de cœur avec cette envie de vomir bien présente quand le dernier chien retourne à sa place… Monsieur Walter m’ordonne de me lever et je n’ai, je crois, jamais autant puer la pisse de ma vie ! Puis il exige à la douzaine de soumis d’aller sous les douches. Et il m’ordonne également de faire de même avec les 12 soumis qui m’ont pissé dessus. Nous nous trouvons ainsi tous sous les douches communes, sans aucune séparation, l’intimité nous étant strictement interdite. J’ai beau tourner le robinet se trouvant devant moi qui aurai du actionner le pommeau de douche se trouvant juste au-dessus de ma tête, qu’aucun jet d’eau ne coule sur moi. Je comprends vite pourquoi quand je vois le Majordome, actionner une sorte de long tuyau d’arrosage, ressemblant plus à une lance à incendie, en notre direction. L’eau est glaciale, et ce sinistre Walter nous arrose tous abondamment avec ce jet puissant... Tremblant de fois à l’instar de mes congénères, je subis ce traitement de choc pour être lavé…
Une demi-heure plus tard, je me retrouve là enfermé, de nouveau dans mon cachot, épuisé et pourtant ressentant un profond bien-être d'avoir été ainsi traité. Je vois posé à terre un sac poubelle noir. J’ouvre et je retrouve mes vêtements... Mais dans quel état ! Tout est en boule, chemise, pantalon. Mais ?, je ne retrouve pas mon slip ! Ils ne m’ont pas remis ! Je mets vite mon pantalon, ma chemise, mes chaussettes et mes chaussures. Deux jours que je suis nue ! Ca fait tout drôle de se retrouver habillé ! Je sors du cachot à quatre pattes et là j'essaie de me lever mais il me faut au moins 15 minutes pour y arriver. Je titube d'avoir été en quadrupédie ou couché deux jours de suite. Je ne suis que l'ombre de moi-même. Mes vêtements sont sales et tout fripés, je pue la pisse sur le visage car le jet d’eau n’a pas été jusqu’à nos visages et mon haleine est encore puante de sperme et même de nourriture pour chien. Je suis en un mot : Dégeulasse ! Je sors dans la grande cour, je croise à nouveau Monsieur Walter, je baisse la tête en passant devant lui :
- Tu fais moins le malin aujourd'hui, le bizuté !, espèce de vermine… Aller salope, met toi à genoux pour saluer Mes chaussures en les léchant.
Honteux, je mets mes genoux dans la boue et je lèche les chaussures de Monsieur Walter. Quelle transformation ! En deux jours !
- Tu retournes chez Marcel, tu sais où il habite au village. Il t’attend. Il te dira comment rentrer chez toi, sale bâtard, me dit-il en me donnant une fessée avec force.
- Merci Monsieur Walter.
Je pars en quittant la riche propriété sans savoir que le Maitre est à la fenêtre et qu'Il me regarde m'éloigner en souriant et en se disant... ‘‘J’ai trouvé là une véritable salope, un profond soumis’’. Il pose les lèvres sur son verre de whisky en se disant... ‘‘Celui-là, il deviendra un véritable esclave à Mon Service’’.
Me revoilà marchant sous le soleil d'avril. Je pue comme jamais. Après une marche assez longue en suivant le sentier balisé, j'arrive chez ce Monsieur Marcel. Je frappe à sa porte. C'est sa femme qui ouvre.
- Ah voilà le chien, entre clébard.
J'entre dans cette pièce où il y a peu, j'ai léché sa chatte et sucer son mari.
- Mets-toi à genoux, salope, je vais chercher mon mari.
- Ah te voilà le chien, Sache que Monsieur Le Marquis a la bonté de te prêter un véhicule pour rentrer chez toi. Suis-moi, salope.
A quatre pattes, je le suis et me voilà dans la cour arrière de terre et donc non goudronnée. Mes genoux dans la boue, mes mains toutes sales. Il me montre une voiture…. Je tombe de haut ! Une vieille 4L des années 60. Blanche, sans sièges arrière. Il manque un phare. La peinture a pratiquement disparu et tout est rouillé.
- Monsieur Le Marquis est généreux. Tu le remercieras à ton retour, le chien. En attendant, rentre bâtard, tu vas nous remercier de notre accueil et gentillesse.
J'imagine déjà ce qu'il m'attend. A peine rentré dans leur salon, sa femme est assise sur le canapé, jambes écartées et j'aperçois sa chatte qui ne m'a pas l’air propre du tout.
- Va lécher, salope et applique-toi !
Je me dirige vers elle et ma langue commence à lécher cette moule puante, j'en ai la nausée, mais je lèche car au fond de moi je sais que c'est ma nature. Ma langue pénètre entre ses lèvres intimes très développées et va lécher les parois de son vagin déjà humide, sous ses gémissements, je titille son clitoris aussi. Son mari, debout, a sorti sa verge de son pantalon et se branle en me regardant.
- Va y salope, c'est bon hein ?
Au bout de 15 minutes environ, la mégère bloque ma tête contre sa chatte et en jouissant, elle éclabousse mon visage de sa mouille abondante.
- A moi, maintenant, vas-y le chien, suce et applique-toi !
Alors je suce cette grosse bite odorante, pas très propre. Je pompe cette queue, je lèche comme la pute que je deviens.
- Lèche mes couilles, aussi !
J’obéis tel un esclave, finalement c'est ce que je suis. Il me défonce la bouche et au bout de cinq minutes à me labourer ma cavité buccale, il se vide au fond de ma gorge dans des râles d’un mâle en rut avec des flots saccadés de semence venant s’éjecter au fond de ma gorge. Combien j'ai avalé de sperme depuis 2 jours ? Aucune idée mais une immense quantité, ça c'est sûr. Je lui nettoie la bite sur son exigence.
- Tu reviens ici, lundi à 5h45. Et chaque minute de retard sera sanctionnée par 10 coups de fouet par le Maître en personne qui sera informé de l’heure exacte de ta venue. Aller, maintenant, dégage le chien
Je monte dans cette voiture délabrée, sûr qu’elle ne passerait pas au contrôle technique ! Alors je me dis ‘’Et si je trouve les flics ? Bah !, c’est le Châtelain qui paierait l’amende, après tout ! ... Une odeur infecte s’en dégage. Le siège avant est tout tâché, des papiers, du bois, des feuilles traînent sur le sol.., des poils de chiens en grand nombres, bref c’est tout simplement une poubelle ambulante qui devait servir aux chasseurs ou garde-chasse du Château ! Quel changement... Je repense à ma luxueuse BMW. Je démarre et file en direction de chez moi... J'arrive enfin chez moi, pas de flics sur la route ! Ouf .... Enfin dans ma villa, je ne sais plus ce qui m'appartient ! Je vois que mon épouse n'est pas encore rentrée. Vite, je pose cette foutue bagnole sur un parking à 100 mètres de là, il n’est pas question que j'entre dans ma maison avec cette poubelle puante, si les voisins me voyaient avec ! Je rentre et je file directement sous la douche ! Ohhhh quel bonheur, enfin de l’eau chaude ! Je laisse couler l'eau salvatrice encore et encore sur mon visage que j’ai longtemps savonné pour enlever l’odeur d’urine et mon corps de sperme. Je me frotte au savon, je me lave les cheveux et je reste plusieurs minutes comme ça sous cette eau bienfaisante. Je sors ensuite et me brosse les dents. J'avais tellement besoin d'une haleine fraîche ! Je regarde mon corps à la glace....
Je vois encore les zébrures du fouet, les coups de cravaches reçus par le Maitre et les coups de Madame Marie, mon dos et mes fesses sont bleuis. Je mets vite sur moi un confortable peignoir car je ne souhaite pas que ma femme voit ça et en plus il y a cette satanée cage de chasteté... Comment vais-je faire ? Bien évidemment je n’ai pas la clé du cadenas ! Je vais au salon et je me sers un bon verre de whisky... Oh purée comme ça fait du bien, je m'en sers un deuxième et un troisième avec de la glace ! Je m'assois dans mon fauteuil préféré et je ferme les yeux, je retrouve mon confort de petit bourgeois…. Je suis bien… Mais qu'est ce qui m'a pris de retourner là-bas ! Je n'irai plus, non je n'irai plus, ce n’est pas possible. Me priver de tout mon confort, de mon bien-être matériel, Mon chez moi bien feutré où il ne manque rien ! Non je ne peux pas y retourner !... Mon épouse rentre en fin d'après-midi. Je m’étais assoupi dans mon fauteuil.
- Bonjour chéri, ah enfin, t'es rentré ?
- Oui et très content, j'avais du boulot là-bas et pas facile (si elle savait !).
Je la serre dans mes bras et l'embrasse, je suis sur le point de caresser ses seins mais les paroles du Maitre résonnent à mes oreilles... 'Tu ne la toucheras plus car elle M'appartient'... Je retire mes mains comme si le Maitre était là à me regarder. Mais qu'est ce qui m'arrive ?
- En tout cas ce Monsieur le Marquis est vraiment un homme délicieux, regarde ce qu'il m'a fait apporter.
Je vois un magnifique bouquet de fleurs énorme digne que ceux qu’on offrirait à une grande star ! Et un parfum de marque extrêmement réputée dans le monde entier, d’un très grand prix, le haut de gamme de la parfumerie.
- Il m'a aussi laissé ce mot dans lequel Il me dit qu'Il serait heureux de m'inviter à une de Ses réceptions dans quelques mois. C'est vraiment quelqu'un de bien, de très courtois et d'une grande classe, un véritable gentleman !
Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi dire. Vers 23h, ma femme passe devant moi en sous-vêtements et me dit :
- Tu viens chéri, ça fait deux jours que je t'attends !
De mon côté, j'ai tellement envie de jouir, tellement envieeee… mais je ne peux pas, je suis encagé et le Maitre a bien dit que je ne devais pas me toucher. Ma nature servile me rappelle que je dois obéir.
- Excuse-moi, chérie, mais je suis trop fatigué ce soir, je vais rester un peu dans mon fauteuil.
- Tant pis pour toi, et elle part se coucher.
Moi, je suis terriblement excité, j'ai vraiment besoin de me soulager, j’essaie de toucher mon sexe, impossible ! Une demi-heure après, je vérifie que ma femme s'est bien endormie et j'essaie de secouer tout l’ensemble de la cage mais rien n'y fait, impossible de me masturber. J'en deviens fou, j'ai besoin de me vider les couilles, de jouir... Alors, je ne sais pas ce qui me prend mais je me mets à quatre pattes et je m’enfonce deux doigts dans mon cul qui est resté assez souple et s’ouvre très aisément. Je m’encule et ça me donne un certain plaisir malgré la douleur de mon anus. Je ne suis vraiment plus moi-même, je suis là à gémir en me défonçant le cul avec deux doigts. Je ressens ce bien-être, cette place qui est la mienne à être traité comme une putain. Je sens que mon cul réclame de la bite, c'est complètement fou. Deux doigts, ce n’est pas suffisant, alors je trouve une bouteille de coca et j'enfonce le goulot au fond de mon cul et je m'imagine que le Maitre me défonce, m’encule… Et là, je sens ma bite durcir et se tendre dans la cage. Je gémis comme une véritable salope et sans me toucher. Au bout de dix minutes, je suis pris par un raz-de-marée, un véritable orgasme, sans me toucher la nouille, je jouis comme une vulgaire putain, j’éjacule, mon sperme coule au travers de la cage de ma nouille douloureuse car trop comprimée. Je suis pris de spasmes quand je m’encule encore plus fort. Je tombe ensuite à terre et complètement anéanti. Que suis-je devenu ? J'ai besoin de sucer, de me faire enculer, je repense aux coups, aux insultes, aux multiples humiliations vécues et j'en bande. Mon ventre et mon esprit me crient ‘‘encoreeee encoreeee’’. Je passe la nuit à ne penser qu'à cela. Ma nature servile m’a anéanti et je sais au fond de moi que le Maitre a pris possession du chien que je suis...
(A suivre …)
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