La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1667)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1667)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1666) –
Ma nature servile m’a anéanti et je sais au fond de moi que le Maitre a pris possession du chien que je suis... La nuit est déjà avancée et je vais voir mon épouse, elle s’est endormie complètement nue sur le lit. Comme elle est belle, je scrute ses courbes, son cul arrondi et j'ai envie, oui envie de sentir ma femme me caresser le sexe comme elle sait si bien le faire car elle m'a toujours refusé la fellation, elle trouve cela sale. J'ai envie de lui faire l'amour et me vider dans son ventre comme je le fais depuis notre mariage. Mais en la regardant, tout à coup ma servilité naturelle me montre une autre image... Je m'imagine ma femme à genoux devant Le Maitre. Il la tient par les cheveux et il lui dit :
- Va y sale pute, montre à ta vermine de mari comment une putain suce la bite. Cette vermine c'est moi à genoux juste à côté et attaché. Et je la vois suçant la grosse queue du Maitre. Elle lui lèche les couilles et passe sa langue sur son gland et bave sur sa hampe. Je secoue la tête... Non arrête de penser à cela, jamais ça n'arrivera, c'est ta femme... Et à nouveau ça recommence... Je l’imagine cette fois en levrette et Il va s'enfoncer dans son cul, pourtant ma femme n'a jamais acceptée la sodomie et là je vois le Maitre lui défoncer l’anus, la sodomiser sans vergogne …
- Aller, salope, couine comme la sale putain que tu es...
Et j'imagine le Noble enculant ma femme sous mon regard de soumis... Elle crie sous les coups de boutoirs du Maitre. Il se vide dans le cul de ma femme et Il m’exige
- Va y nettoie, salope !…
… Nooooon stoppppp !, ça n'arrivera jamais, mon épouse est trop bcbg !
Je sors de la chambre, je m'assois sur mon fauteuil, je suis tout excité, je ne pense qu'à cela.... Comment vais-je lui dire, comment lui apprendre ce que je suis réellement !? C’est comme cela que je m'endors enfin vers 4h du matin, gagné par la fatigue... Le soleil me réveille, il est 9h. Je suis vraiment fatigué et je pense que demain je dois repartir au Château. Ce n’est pas possible, je ne pourrai pas ! Mon épouse me rejoint à la cuisine et nous buvons le café ensemble. Elle s'approche et cherche à me caresser. Je repense au Paroles du Maitre.
- Non chérie, stp, je suis fatigué.
- Mais qu’est-ce qui t'arrive ? Tu n'es plus le même depuis ton retour. Tu ne m'as même pas appelé pendant ces 2 jours. Dis-moi ce qui ne va pas !
Je n'ose pas lui dire, je ne peux pas lui dire... Je n’ai pas le courage... J’ai toujours agi envers d'elle comme un viril macho, j'ai toujours joué le flambeur, celui qui domine tout, j’ai souvent rabaissé les femmes devant elle. Alors comment lui dire que je suis en réalité un véritable soumis, une sale putain et que je suce des bites et que j'ai besoin de cela !? Comment lui dire que ma véritable nature est tout le contraire de ce que je lui ai affiché depuis des décennies, depuis notre mariage, que je suis en réalité tout le contraire d’un machiste ! Mais plutôt une lopette... Tout à coup, je pense à mon téléphone... Ou est-il, est ce qu'ils me l'ont rendu... Je vais à la salle de bain et je le retrouve dans la poche de mon pantalon. Je l'allume et je trouve plusieurs messages dont un qui vient d'un numéro que je ne connais pas :
« Le Maitre te veut lundi à 6h30 au Château, sale bâtard. Soit bien à l'heure et emmène avec toi tous tes papiers, rib, cni, sécurité social…N'oublie pas de dire à ta salope de femme, ce que tu es réellement. A demain, espèce de bâtard. Le Maitre ! »
Le soir arrive très vite et je n'ai toujours rien dit à ma femme. Elle me rejoint au salon, on boit un verre ensemble et je me lance tout tremblant...
- Heu… Chérie…J’ai… j’ai quelque chose … à te dire.
- Je t'écoute, dis-moi ce qui ne va pas, je vois bien que depuis ton retour, tu es différent.
J’hésite, j'ai du mal, Je n’ose pas et...
- Heu… Non rien … Je plaisante, tout va bien et j’avale mon verre de whisky.
- Tu es vraiment bizarre, chéri, vraiment bizarre depuis que tu es allé dans ce Château ! Je ne sais pas ce qui s'est passé mais je sens qu'il y a quelque chose ! Tu me trompes, c’est ça ? Il y a une femme dans ta vie !
- Mais non, pas du tout ! Qu’est-ce que tu vas imaginer !… Tout va bien, ne t’inquiète pas… Mais je vais devoir partir durant 1 mois complet …- Pourquoi, tu ne rentreras pas pendant 1 mois ?
- Oui c’est pour le boulot ! Tu peux même demander à Maxime, mon directeur, qui te le confirmera- Tu peux rentrer au moins le week-end…, je ne comprends pas !
- Je serais très pris, y'a beaucoup de boulot à faire mais t'inquiète pas.
- Je veux que tu m'appelles tous les soirs.
- Écoute, dans cet endroit on ne peut pas utiliser le téléphone, tout le réseau du secteur est en maintenance, c'est comme cela pour tout le monde, mais je demanderai au Marquis qu'il me prête le sien... (Aïe ! Je sais plus quoi inventer pour m'en sortir !).
- Je ne vais pas te voir pendant 1 mois, alors vient te coucher avec moi.
Ma femme s'approche de moi et met ses mains autour de mon coup. Je sens sa poitrine tout contre moi et je suis tout près de la caresser, mais cette nature servile qui maintenant contrôle totalement mon être me rappelle que Le Maitre me l'a interdit... Alors je la repousse doucement et je la vois partir silencieuse vers la cuisine visiblement vexée de mon comportement… Mais que faire ? Une force irrésistible me pousse à obéir et je sens même le besoin profond d'être asservi comme cela… Toute la journée, je n'arrête pas de penser et de boire, les trois quart du temps affalé dans mon fauteuil… j’ai même très peu mangé. Ma femme se met à croire que je suis en pleine dépression tellement je ne suis pas joli à voir avachi dans mon fauteuil à ressasser tout ça depuis le matin jusqu’au soir qui arrive de nouveau… Il est donc maintenant 23h et je ne sais toujours pas quoi faire. Ce n'est pas possible, tu as été frappé, insulté, humilié, traité comme une merde, bizuté, on t’a pissé dessus, dans la bouche et tu vas y retourner !? Et une autre voix me dit... Oui tu as besoin de cela, tu es né pour cela et tu ne seras heureux que comme cela... Je repense au Maitre, je me revois à genoux en train de Le sucer et je me mets à bander dans ma cage ! Je bois encore deux verres et ma décision est prise... Je dois y aller, je sens tout mon corps réclamer cette soumission. Je m'endors sur le fauteuil. Ma vie ne m'appartient plus dorénavant.
Il est 4h du matin, mon alarme à mon portable sonne. Je l’éteins et je me dis, non n'y vas pas, reste ici, va rejoindre ta femme au lit, mais je sens la cage, je sens aussi mon corps et mon esprit prisonniers de ma nature servile qui me domine de plus en plus. Je ne peux plus résister, je me prépare. Je ne sais pas ce qui m’attend. J'ai même peur mais en même temps je bande et je suis tout excité. Je prends une bonne douche, je me lave les dents encore et encore. Je me parfume, je m'habille, déjeune copieusement, l’appétit est revenu, c’est bon signe que je suis motivé à y retourner ! Et enfin dans le grand silence, je vais embrasser ma femme qui dort profondément. Non, je ne lui ai rien dit, je n'ai pas pu lui avouer ce que je suis devenu… Je sors dans la rue, je marche une centaine de mètres et je retrouve cette voiture-poubelle. Et là, je repense à tout ce que j'ai vécu et je commence à trembler mais aussi à sentir mon ventre me brûler de désirs. Ça y est je pars, je regarde une dernière fois ma villa... Est-ce que je la reverrais ? Je ne sais plus quoi penser… 5h30, après une route quasi déserte à cette heure, je suis sur le point d'arriver chez Monsieur Marcel au village qui est si proche du Château. Et là surprise ! Au milieu de la place du village déserte également, à cette heure si matinale, je vois la fourgonnette des gendarmes. Deux flics sur le rond-point de la place me font signe de m’arrêter, zut !, j’étais presque arrivé, juste à 100 mètres de chez Monsieur Marcel… Et avec cette voiture pourrie, cette 4L délabrée, je vais avoir droit au PV ! C’est clair ! Un des deux gendarmes s’avance, me fait un signe du képi, et me dit (alors que l’autre va à l’entrée du rond-point pour sécuriser les lieux…) :
- Gendarmerie nationale, arrêtez le moteur, les papiers du véhicule et le contrôle technique, s’il vous plait…
Les papiers ? Aïe ! Ou sont les papiers ! Je n’en sais rien ! Alors affolé, je fouille dans la boite à gant à moitié cassée… Y’a rien, à part des vieux magazines de chasse … Je regarde mieux que ça ! Et ouf ! Je les trouve, entre deux ‘Chasseurs Français’ tous cornés, dans un petit étui de portefeuilles… Je m’empresse de donner le tout au gendarme sans vérifier ce qu’il y a dedans… Avant que le flic ouvre l’étui des papiers, il me dit clairement :
- Papiers en règles ou pas, votre véhicule a déjà plusieurs infractions visibles, les feux cassés, le pare-chocs avant prêt à tomber, etc…
Ensuite, il ouvre l’étui, regarde la carte grise et là, à ma grande surprise, il devient tout blême, presque tremblant comme s’il avait vu un fantôme !
- Le Propriétaire du véhicule est Mon… Monsieur le Marquis … Ah …je vois … Heu … Eh bien, allez-y filez …Tout va bien… Excusez-moi de vous avoir arrêté …
Je n’en reviens pas, à la simple lecture du Propriétaire du véhicule, il exprime un visage très impressionné, pas de peur, mais de … soumission ! Et le geste que fait le gendarme confirme cela. En effet, le flic met sa main à son cou, et ouvre très discrètement (vis à vis de son collègue posté plus loin) le col de son polo bleu et me montre très furtivement un collier que visiblement il porte en permanence. Un furtif clin d’œil accompagne son geste qui me fait donc comprendre qu’il est, lui aussi, un soumis du Maître d’où sa réaction à la lecture de la carte grise… J’en suis surpris mais je n’en demande pas plus pour vite filer … Je me gare devant le grand portail de Monsieur Marcel. J'arrête la voiture. Je suis un peu en avance. J'envoie un message enregistré à ma femme.
- Chérie, on se voit dans un mois. Je vais beaucoup bosser, mais je pense toujours à toi. Ne t'inquiète pas, tout va bien. J'essaierai de t'appeler. Je t'embrasse.
Je suis là les mains sur le volant... J'y vais ou pas.... Je vais retrouver cette condition d'esclave de sous merde.... J’ai envie de m'enfuir mais une puissance inimaginable me pousse à sortir et à 5h45 à frapper à la porte de ce couple pervers. Toc toc toc... J'attends plus de 10 minutes, une lumière s'allume et j'entends la clé tourner dans la serrure. C'est sa femme qui ouvre.
- Va y, entre le chien et dépêche-toi.
La mégère me fait entrer dans la cuisine.
- Mon mari va arriver, s'il te voit comme ça tu vas prendre cher, croit moi !
Je la regarde avec un air interrogateur.
- T’es un chien, fou toi à poil, petite putain !
- Là, ici ?
Je n’ai pas vu arriver son mari, ni la gifle qu'il m'envoie. Sclakkkkkkk… Je tombe à terre ! Il m'a détruit la joue !
- On t'a dit à poil, espèce de salope, alors à poil ! Le matin il ne faut pas me gonfler moi !, maugrée Marcel
Rapidement, je me déshabille et pose mes vêtements sur une chaise. J'enlève mon slip et je me sens un peu honteux d'être nu devant ce vieux couple de vicieux. Je reçois une autre gifle, toute aussi cinglante.
- A quatre pattes, sale clébard !
Et me revoilà à ma place. Sa femme prend mes vêtements, les jettent dans un vieux sac. Mon slip est mis à la poubelle et Monsieur Marcel essaie mes chaussures en cuir, achetées à un grand prix...
- Voilà Mais c’est qu’elles me vont super bien ! Merci salope du cadeau, je suis touché, rajoute-t-il avec une ironie mal placée.
Je n'ose rien dire, que puis-je dire ? Sa femme me donne un sac avec dedans mes papiers et mon téléphone en me disant que je dois remettre ce sac à Monsieur Le Marquis.
- On part dans 10 minutes, c'est moi qui t’emmène au Château.
Monsieur Marcel sort sa bite, je m'y attendais... Je sens une odeur d'urine, il vient certainement de pisser en se levant.
- Aller, ça a du te manquer pendant ces deux jours. Suce, la pute !
Et servilement, je tends la langue, le lèche et le suce. Il me prend la tête et m’impose le rythme. Le vicelard me baise la bouche en gémissant. Cinq minutes et il bloque ma tête contre son pubis, j'arrive plus à respirer. Il lâche plusieurs giclées de sperme gluant et chaud au fond de ma gorge, tout en râlant de plaisirs.
- Avale bien le bon jus, salope, et nettoie ma queue.
J’obéis, je nettoie cette queue et Monsieur Marcel me fait encore lécher ses couilles avant de m'envoyer un gros mollard dans la bouche.
- Aller, on y va, suis-moi, le chien et pas un mot.
On sort dans la cour... Il est 6h15 au clocher de l’église du village, je suis à poil, je suis gelé...
- Monte
Je grimpe dans une fourgonnette à bestiaux et me voilà parti en direction de ma nouvelle vie. Environ 6h20... Le Château est là, magnifique, sous la lumière du jour qui pointe à l'horizon. La fourgonnette s'arrête à l'entrée du Domaine, devant les grilles du vaste portail, au bord de la Départementale.
- Descend salope et continue à pied… Tu connais le chemin.
A peine suis-je descendu, que Monsieur Marcel est déjà réparti et je me retrouve à l'entrée de cette immense propriété, complètement nu comme le jour de ma naissance, alors que le jour se lève. Je me mets rapidement à marcher en direction du Château, j’ai trop froid. Quelques minutes de marche qui m'ont parues une éternité mais qui m’ont réchauffé un peu. Je vois la porte dérobée sur le côté, j'entre doucement, je regarde encore ce ciel magnifique, je ne sais pas ce qui m’attend. J'entre, je descends quelques marches, je traverse ce sombre couloir et j'arrive devant le cachot... Il est ouvert. Comme hypnotisé j'entre, je pose le sac devant la porte et je tire la porte… Claccc … Ça y’est je sens comme un soulagement, je sens que je ne pouvais pas faire autrement et c'est apeuré mais terriblement excité et satisfait que je me couche sur la paille. Qu’est ce qui m'attend ! ? …
(A suivre …)
Ma nature servile m’a anéanti et je sais au fond de moi que le Maitre a pris possession du chien que je suis... La nuit est déjà avancée et je vais voir mon épouse, elle s’est endormie complètement nue sur le lit. Comme elle est belle, je scrute ses courbes, son cul arrondi et j'ai envie, oui envie de sentir ma femme me caresser le sexe comme elle sait si bien le faire car elle m'a toujours refusé la fellation, elle trouve cela sale. J'ai envie de lui faire l'amour et me vider dans son ventre comme je le fais depuis notre mariage. Mais en la regardant, tout à coup ma servilité naturelle me montre une autre image... Je m'imagine ma femme à genoux devant Le Maitre. Il la tient par les cheveux et il lui dit :
- Va y sale pute, montre à ta vermine de mari comment une putain suce la bite. Cette vermine c'est moi à genoux juste à côté et attaché. Et je la vois suçant la grosse queue du Maitre. Elle lui lèche les couilles et passe sa langue sur son gland et bave sur sa hampe. Je secoue la tête... Non arrête de penser à cela, jamais ça n'arrivera, c'est ta femme... Et à nouveau ça recommence... Je l’imagine cette fois en levrette et Il va s'enfoncer dans son cul, pourtant ma femme n'a jamais acceptée la sodomie et là je vois le Maitre lui défoncer l’anus, la sodomiser sans vergogne …
- Aller, salope, couine comme la sale putain que tu es...
Et j'imagine le Noble enculant ma femme sous mon regard de soumis... Elle crie sous les coups de boutoirs du Maitre. Il se vide dans le cul de ma femme et Il m’exige
- Va y nettoie, salope !…
… Nooooon stoppppp !, ça n'arrivera jamais, mon épouse est trop bcbg !
Je sors de la chambre, je m'assois sur mon fauteuil, je suis tout excité, je ne pense qu'à cela.... Comment vais-je lui dire, comment lui apprendre ce que je suis réellement !? C’est comme cela que je m'endors enfin vers 4h du matin, gagné par la fatigue... Le soleil me réveille, il est 9h. Je suis vraiment fatigué et je pense que demain je dois repartir au Château. Ce n’est pas possible, je ne pourrai pas ! Mon épouse me rejoint à la cuisine et nous buvons le café ensemble. Elle s'approche et cherche à me caresser. Je repense au Paroles du Maitre.
- Non chérie, stp, je suis fatigué.
- Mais qu’est-ce qui t'arrive ? Tu n'es plus le même depuis ton retour. Tu ne m'as même pas appelé pendant ces 2 jours. Dis-moi ce qui ne va pas !
Je n'ose pas lui dire, je ne peux pas lui dire... Je n’ai pas le courage... J’ai toujours agi envers d'elle comme un viril macho, j'ai toujours joué le flambeur, celui qui domine tout, j’ai souvent rabaissé les femmes devant elle. Alors comment lui dire que je suis en réalité un véritable soumis, une sale putain et que je suce des bites et que j'ai besoin de cela !? Comment lui dire que ma véritable nature est tout le contraire de ce que je lui ai affiché depuis des décennies, depuis notre mariage, que je suis en réalité tout le contraire d’un machiste ! Mais plutôt une lopette... Tout à coup, je pense à mon téléphone... Ou est-il, est ce qu'ils me l'ont rendu... Je vais à la salle de bain et je le retrouve dans la poche de mon pantalon. Je l'allume et je trouve plusieurs messages dont un qui vient d'un numéro que je ne connais pas :
« Le Maitre te veut lundi à 6h30 au Château, sale bâtard. Soit bien à l'heure et emmène avec toi tous tes papiers, rib, cni, sécurité social…N'oublie pas de dire à ta salope de femme, ce que tu es réellement. A demain, espèce de bâtard. Le Maitre ! »
Le soir arrive très vite et je n'ai toujours rien dit à ma femme. Elle me rejoint au salon, on boit un verre ensemble et je me lance tout tremblant...
- Heu… Chérie…J’ai… j’ai quelque chose … à te dire.
- Je t'écoute, dis-moi ce qui ne va pas, je vois bien que depuis ton retour, tu es différent.
J’hésite, j'ai du mal, Je n’ose pas et...
- Heu… Non rien … Je plaisante, tout va bien et j’avale mon verre de whisky.
- Tu es vraiment bizarre, chéri, vraiment bizarre depuis que tu es allé dans ce Château ! Je ne sais pas ce qui s'est passé mais je sens qu'il y a quelque chose ! Tu me trompes, c’est ça ? Il y a une femme dans ta vie !
- Mais non, pas du tout ! Qu’est-ce que tu vas imaginer !… Tout va bien, ne t’inquiète pas… Mais je vais devoir partir durant 1 mois complet …- Pourquoi, tu ne rentreras pas pendant 1 mois ?
- Oui c’est pour le boulot ! Tu peux même demander à Maxime, mon directeur, qui te le confirmera- Tu peux rentrer au moins le week-end…, je ne comprends pas !
- Je serais très pris, y'a beaucoup de boulot à faire mais t'inquiète pas.
- Je veux que tu m'appelles tous les soirs.
- Écoute, dans cet endroit on ne peut pas utiliser le téléphone, tout le réseau du secteur est en maintenance, c'est comme cela pour tout le monde, mais je demanderai au Marquis qu'il me prête le sien... (Aïe ! Je sais plus quoi inventer pour m'en sortir !).
- Je ne vais pas te voir pendant 1 mois, alors vient te coucher avec moi.
Ma femme s'approche de moi et met ses mains autour de mon coup. Je sens sa poitrine tout contre moi et je suis tout près de la caresser, mais cette nature servile qui maintenant contrôle totalement mon être me rappelle que Le Maitre me l'a interdit... Alors je la repousse doucement et je la vois partir silencieuse vers la cuisine visiblement vexée de mon comportement… Mais que faire ? Une force irrésistible me pousse à obéir et je sens même le besoin profond d'être asservi comme cela… Toute la journée, je n'arrête pas de penser et de boire, les trois quart du temps affalé dans mon fauteuil… j’ai même très peu mangé. Ma femme se met à croire que je suis en pleine dépression tellement je ne suis pas joli à voir avachi dans mon fauteuil à ressasser tout ça depuis le matin jusqu’au soir qui arrive de nouveau… Il est donc maintenant 23h et je ne sais toujours pas quoi faire. Ce n'est pas possible, tu as été frappé, insulté, humilié, traité comme une merde, bizuté, on t’a pissé dessus, dans la bouche et tu vas y retourner !? Et une autre voix me dit... Oui tu as besoin de cela, tu es né pour cela et tu ne seras heureux que comme cela... Je repense au Maitre, je me revois à genoux en train de Le sucer et je me mets à bander dans ma cage ! Je bois encore deux verres et ma décision est prise... Je dois y aller, je sens tout mon corps réclamer cette soumission. Je m'endors sur le fauteuil. Ma vie ne m'appartient plus dorénavant.
Il est 4h du matin, mon alarme à mon portable sonne. Je l’éteins et je me dis, non n'y vas pas, reste ici, va rejoindre ta femme au lit, mais je sens la cage, je sens aussi mon corps et mon esprit prisonniers de ma nature servile qui me domine de plus en plus. Je ne peux plus résister, je me prépare. Je ne sais pas ce qui m’attend. J'ai même peur mais en même temps je bande et je suis tout excité. Je prends une bonne douche, je me lave les dents encore et encore. Je me parfume, je m'habille, déjeune copieusement, l’appétit est revenu, c’est bon signe que je suis motivé à y retourner ! Et enfin dans le grand silence, je vais embrasser ma femme qui dort profondément. Non, je ne lui ai rien dit, je n'ai pas pu lui avouer ce que je suis devenu… Je sors dans la rue, je marche une centaine de mètres et je retrouve cette voiture-poubelle. Et là, je repense à tout ce que j'ai vécu et je commence à trembler mais aussi à sentir mon ventre me brûler de désirs. Ça y est je pars, je regarde une dernière fois ma villa... Est-ce que je la reverrais ? Je ne sais plus quoi penser… 5h30, après une route quasi déserte à cette heure, je suis sur le point d'arriver chez Monsieur Marcel au village qui est si proche du Château. Et là surprise ! Au milieu de la place du village déserte également, à cette heure si matinale, je vois la fourgonnette des gendarmes. Deux flics sur le rond-point de la place me font signe de m’arrêter, zut !, j’étais presque arrivé, juste à 100 mètres de chez Monsieur Marcel… Et avec cette voiture pourrie, cette 4L délabrée, je vais avoir droit au PV ! C’est clair ! Un des deux gendarmes s’avance, me fait un signe du képi, et me dit (alors que l’autre va à l’entrée du rond-point pour sécuriser les lieux…) :
- Gendarmerie nationale, arrêtez le moteur, les papiers du véhicule et le contrôle technique, s’il vous plait…
Les papiers ? Aïe ! Ou sont les papiers ! Je n’en sais rien ! Alors affolé, je fouille dans la boite à gant à moitié cassée… Y’a rien, à part des vieux magazines de chasse … Je regarde mieux que ça ! Et ouf ! Je les trouve, entre deux ‘Chasseurs Français’ tous cornés, dans un petit étui de portefeuilles… Je m’empresse de donner le tout au gendarme sans vérifier ce qu’il y a dedans… Avant que le flic ouvre l’étui des papiers, il me dit clairement :
- Papiers en règles ou pas, votre véhicule a déjà plusieurs infractions visibles, les feux cassés, le pare-chocs avant prêt à tomber, etc…
Ensuite, il ouvre l’étui, regarde la carte grise et là, à ma grande surprise, il devient tout blême, presque tremblant comme s’il avait vu un fantôme !
- Le Propriétaire du véhicule est Mon… Monsieur le Marquis … Ah …je vois … Heu … Eh bien, allez-y filez …Tout va bien… Excusez-moi de vous avoir arrêté …
Je n’en reviens pas, à la simple lecture du Propriétaire du véhicule, il exprime un visage très impressionné, pas de peur, mais de … soumission ! Et le geste que fait le gendarme confirme cela. En effet, le flic met sa main à son cou, et ouvre très discrètement (vis à vis de son collègue posté plus loin) le col de son polo bleu et me montre très furtivement un collier que visiblement il porte en permanence. Un furtif clin d’œil accompagne son geste qui me fait donc comprendre qu’il est, lui aussi, un soumis du Maître d’où sa réaction à la lecture de la carte grise… J’en suis surpris mais je n’en demande pas plus pour vite filer … Je me gare devant le grand portail de Monsieur Marcel. J'arrête la voiture. Je suis un peu en avance. J'envoie un message enregistré à ma femme.
- Chérie, on se voit dans un mois. Je vais beaucoup bosser, mais je pense toujours à toi. Ne t'inquiète pas, tout va bien. J'essaierai de t'appeler. Je t'embrasse.
Je suis là les mains sur le volant... J'y vais ou pas.... Je vais retrouver cette condition d'esclave de sous merde.... J’ai envie de m'enfuir mais une puissance inimaginable me pousse à sortir et à 5h45 à frapper à la porte de ce couple pervers. Toc toc toc... J'attends plus de 10 minutes, une lumière s'allume et j'entends la clé tourner dans la serrure. C'est sa femme qui ouvre.
- Va y, entre le chien et dépêche-toi.
La mégère me fait entrer dans la cuisine.
- Mon mari va arriver, s'il te voit comme ça tu vas prendre cher, croit moi !
Je la regarde avec un air interrogateur.
- T’es un chien, fou toi à poil, petite putain !
- Là, ici ?
Je n’ai pas vu arriver son mari, ni la gifle qu'il m'envoie. Sclakkkkkkk… Je tombe à terre ! Il m'a détruit la joue !
- On t'a dit à poil, espèce de salope, alors à poil ! Le matin il ne faut pas me gonfler moi !, maugrée Marcel
Rapidement, je me déshabille et pose mes vêtements sur une chaise. J'enlève mon slip et je me sens un peu honteux d'être nu devant ce vieux couple de vicieux. Je reçois une autre gifle, toute aussi cinglante.
- A quatre pattes, sale clébard !
Et me revoilà à ma place. Sa femme prend mes vêtements, les jettent dans un vieux sac. Mon slip est mis à la poubelle et Monsieur Marcel essaie mes chaussures en cuir, achetées à un grand prix...
- Voilà Mais c’est qu’elles me vont super bien ! Merci salope du cadeau, je suis touché, rajoute-t-il avec une ironie mal placée.
Je n'ose rien dire, que puis-je dire ? Sa femme me donne un sac avec dedans mes papiers et mon téléphone en me disant que je dois remettre ce sac à Monsieur Le Marquis.
- On part dans 10 minutes, c'est moi qui t’emmène au Château.
Monsieur Marcel sort sa bite, je m'y attendais... Je sens une odeur d'urine, il vient certainement de pisser en se levant.
- Aller, ça a du te manquer pendant ces deux jours. Suce, la pute !
Et servilement, je tends la langue, le lèche et le suce. Il me prend la tête et m’impose le rythme. Le vicelard me baise la bouche en gémissant. Cinq minutes et il bloque ma tête contre son pubis, j'arrive plus à respirer. Il lâche plusieurs giclées de sperme gluant et chaud au fond de ma gorge, tout en râlant de plaisirs.
- Avale bien le bon jus, salope, et nettoie ma queue.
J’obéis, je nettoie cette queue et Monsieur Marcel me fait encore lécher ses couilles avant de m'envoyer un gros mollard dans la bouche.
- Aller, on y va, suis-moi, le chien et pas un mot.
On sort dans la cour... Il est 6h15 au clocher de l’église du village, je suis à poil, je suis gelé...
- Monte
Je grimpe dans une fourgonnette à bestiaux et me voilà parti en direction de ma nouvelle vie. Environ 6h20... Le Château est là, magnifique, sous la lumière du jour qui pointe à l'horizon. La fourgonnette s'arrête à l'entrée du Domaine, devant les grilles du vaste portail, au bord de la Départementale.
- Descend salope et continue à pied… Tu connais le chemin.
A peine suis-je descendu, que Monsieur Marcel est déjà réparti et je me retrouve à l'entrée de cette immense propriété, complètement nu comme le jour de ma naissance, alors que le jour se lève. Je me mets rapidement à marcher en direction du Château, j’ai trop froid. Quelques minutes de marche qui m'ont parues une éternité mais qui m’ont réchauffé un peu. Je vois la porte dérobée sur le côté, j'entre doucement, je regarde encore ce ciel magnifique, je ne sais pas ce qui m’attend. J'entre, je descends quelques marches, je traverse ce sombre couloir et j'arrive devant le cachot... Il est ouvert. Comme hypnotisé j'entre, je pose le sac devant la porte et je tire la porte… Claccc … Ça y’est je sens comme un soulagement, je sens que je ne pouvais pas faire autrement et c'est apeuré mais terriblement excité et satisfait que je me couche sur la paille. Qu’est ce qui m'attend ! ? …
(A suivre …)
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