La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1670)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1670)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1669) -
Chapitre 48 bis : Des retrouvailles surprenantes -
Mon envie d’aller plus loin, de frapper encore plus fort dans le cul de mon congénère, de cogner mes hanches contre son cul se faisait sentir ma grosse nouille durcie et inquisitrice … Je me déchainais tel un chien au combat, sans me soucier des gémissements de celui que je défonçais, sans me préoccuper du contexte, sans me tracasser du regard de cette perverse cuisinière qui pourtant nous regardait et nous imposait à copuler bestialement avec un sourire vicieux au bord de ses lèvres. L’atmosphère étouffante de la pièce, avec ces odeurs de sueur, de culs, de bites, ne faisait qu’augmenter mon excitation, malgré l’humiliation vécue. Je baisais, je comblais ce cul maintenant totalement dilaté, parce qu’il m’était simplement impossible de faire autrement, parce que je devais obéir, parce qu’il me fallait jouir et expédier mon foutre au fond de ce trou brulant. Je m’apprêtais à me libérer en lui, mais avant même que je puisse conclure, je sentis, un coup de cravache me claquer les couilles, me mettant hors d’usage. La douleur était telle qu’instinctivement je faisais un mouvement de repli et ainsi ma nouille s’échappait de ce cul, je m’effondrais au sol en gémissant effroyablement.
- Va salope, va te vider dans sa bouche de pute, espèce de chien !, m’ordonnait Madame Marie.
Cette sadique femme m’attrapait par les cheveux, me forçait à me relever. Je criai de douleur lorsque je sentais la tension sur mes racines. Je lâchais un ultime gémissement lorsque la bouche d’esclave Katia avalait ma nouille semi molle. Je fermais les yeux, savourant la pression de ces lèvres autour de mon gland ruisselant, ma hampe se redressait immédiatement, furieusement… Lorsque je rouvrais les paupières, j’apercevais juliensoumis qui avait pris place dans cet antre que j’avais soigneusement et méthodiquement dilaté. Lui aussi se déchainait et bourrait le cul servile de notre congénère, à chacun de ces coups de butoirs, esclave Katia, s’empalait la bouche un peu plus profondément sur ma nouille raidie jusqu’à ce que celle-ci aille cogner sa glotte. Je nous contemplais dans cette débauche obscène, les uns sur les autres, j’écoutais nos gémissements de chiennes en chaleur à chaque fois que la cravache de Madame Marie tombait sur nos peaux pour nous motiver plus encore. Je respirais, m’excitais de plus en plus, comme une matière chimique et instinctive, jusqu’à ce que mon esprit foute le camp. Il ne restait que l’être, celui qui est, qui agit et obéit, cet être là au bord de l’extase, cet être devenu salope et chienne, sans défense seulement emporté par l’océan de sensations qui me parcourait le corps. Je tremblais de tous mes membres, m’enfonçais encore et encore dans cette cavité buccale chaude et humide, comme assommé par un plaisir hors norme. Je me laissais sucer, mon gland frottait contre l’arrière gorge d’esclave Katia. Il manquait de s’étouffer, mais je le sentais prêt à avaler tout ce qui allait venir. Alors, emporté par la baise, prenant sa bouche pour un vagin chaud, humide et accueillant, je grognais, soupirais, ma prostate explosait et libérait mon foutre épais et abondant, aspergeant cette bouche soumise en un flot continu. J’étais, nous étions, tous trois défaits…
Nos nouilles de nouveau encagées, nous avancions à quatre pattes, côte à côte, péniblement derrière Monsieur Walter, tirant sur nos laisses respectives. Je savais où nous allions atterrir, lorsque nous dûmes descendre cet escalier étroit en colimaçon. Ce lieu était sombre avec une chaleur étouffante et moite. Ici ou là, de temps à autre, nous entendions un bruit de chaines, des gémissements ou des lamentations alors que nous parcourions ce long couloir distribuant la dizaine de cachots se trouvant de part et d’autre de ce passage étroit. Le Majordome ouvrait l’un d’eux, y faisait entrer esclave Katia et l’enfermait, puis il déverrouillait la cellule juste en face, celle que j’avais quitté avant d’aller rejoindre ce sombre trio, quelques heures plus tôt. Dans ce lieu puant la testostérone, je me retrouvais de nouveau prisonnier dans celle-ci avec juliensoumis à mes côtés, tous deux attachés par une longue chaine métallique. Lui et moi, sitôt la porte refermée, nous nous couchions à même le sol, l’un contre l’autre, nos corps recroquevillés en position fœtale, mon dos en appui contre son abdomen. Juliensoumis posait son bras sur mon corps, sa main caressante venait prendre appui sur mon ventre. Ce bras m’enveloppant, cette main chaude posée sur mon ventre me réconfortaient.
A cet instant j’avais besoin de ça, d’un peu de tendresse, d’un peu de douceur. Je laissais cette main me cajoler, ces doigts glisser sur mon abdomen et remonter sur mes tétons encore terriblement douloureux suite aux tortures exercées sur eux par Madame Karaine quelques moments plus tôt. Le soupirail deux mètres au-dessus de nous ne laissait entrer qu’une faible lumière. Mes yeux avaient bien du mal à s’habituer à cette semi-obscurité. Pourtant, au bout d’un certain temps, il me semblait voir, tout près de mon visage un pied nu… Ce ne pouvait être celui de juliensoumis, compte tenu de notre position… Alors à qui appartenait-il ? Je me redressais quelque peu, pour distinguer contre le mur extérieur, l’ombre d’un corps, celui d’un autre esclave mâle, assis au fond de ce lieu exigu, les jambes repliées, la tête et ses bras posés sur ses genoux. Je ne bougeais pas, somnolais presque en restant ainsi lové entre les bras de juliensoumis… Mais soudainement ce pied à proximité de ma tête se posait sur mon visage. Alors sans comprendre, je me mettais à le lécher, comme ça, instinctivement, spontanément, machinalement, comme s’il était normal pour moi désormais de passer ma langue à chaque fois qu’une paire de pieds se trouvait devant ma bouche. Je réagissais pourtant lorsqu’une main douce et réconfortante, me caressait le crâne. Je levais les yeux, ma gorge se nouait, mon cœur frappait dans ma poitrine…
- Antoine !, chuchotais-je- Oui c’est moi Alex, je suis content de te retrouver, me répondait-il presque sèchement en ôtant son pied.
Je me redressais, tournais la tête vers lui et lui lançait un sourire en le dévisageant. Son sourire répondait au mien. Je le regardais, avide alors que la tension de nos corps s’installait, alors que le silence était devenu obstiné et pesant, alors que nos deux corps n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. S’ils ne se touchaient pas encore, l’attraction réciproque qu’ils exerçaient s’imposait maintenant comme une évidence. Encouragé par mon regard, dont je ne pouvais plus cacher la concupiscence, Antoine approchait son visage du mien. Le temps suspendait son cours, et tous deux, restions figés, sans que ni l’un, ni l’autre ne se préoccupe de juliensoumis enfermé ici avec nous. Pendant de longues secondes, nous restions pétrifiés alors qu’une infime distance séparait nos deux bouches. Il n'y avait maintenant plus de doutes, elles allaient se rejoindre. Et le monde basculait… Le contact entre nos bouches m’envoyait une décharge électrique dans tout le corps. Je chavirais alors qu’Antoine laissait ses lèvres sur les miennes pendant quelques secondes sans esquisser le moindre mouvement. Puis soudainement, il ouvrait sa bouche et me forçait à ouvrir la mienne. Il y enfonçait sa langue et fouillait dans tous les recoins de ma cavité buccale. Sans ménagement, il se laissait brusquement aller à son instinct physique. Il me prenait la tête dans ses deux mains et m’écrasait contre lui, poussant de plus en plus loin son baiser. Puis soudainement, Antoine s’arrêtait, se levait, me laissant là à genoux devant lui, me laissant sous sa nouille en liberté, longue et épaisse, avec son gland rouge écarlate couronnant une hampe puissante traversée par une veine imposante que je voyais battre. Ses couilles semblaient emprisonnées dans la peau de ses bourses tendues par l’érection de sa nouille. Il prenait ma tête entre ses mains et la poussait sur son sexe pour me le faire avaler. Il n’y avait plus de préliminaire... mais une action débridée et guidée par le seul désir de l’un à l’autre...
- Suce ton mâle !, me dictait-il presque autoritairement.
J’étais surpris, vraiment surpris par le comportement d’Antoine, lui si doux, si affectueux habituellement, là, il était différent, il y avait quelque chose de plus fruste chez lui, de plus directif, il y avait de la rudesse dans ses mouvements et dans son comportement, avec une manifestation certaine dans sa nature bestiale. J’avais maintenant sa nouille dans la bouche, mon menton collé à ses couilles, j’avalais son membre, membre à l’odeur de pisse et de transpiration, peut-être même de sperme… Sa nouille s’aventurait de plus en plus loin au fond de ma bouche. Son épaisseur, sa longueur m’impressionnaient, je me sentais réellement possédé par ce sexe aux dimensions extraordinaires. A l’évidence, on avait longuement travaillé son organe génital à s’ériger de manière quasiment démesurée. Antoine rythmait le mouvement, en tenant fermement ma nuque de ses deux mains et en poussant à intervalles réguliers ma tête contre son bas-ventre humide, chargé d’odeurs érotiques. Il râlait et ahanait à chacune de ses avancées. Quant à moi, je respirais à peine, laissant couler hors de ma bouche toute la salive que ma gorge pouvait contenir et que je ne pouvais avaler. Ma bave coulait à flots le long de mon menton, avant de tomber sur mes genoux et sur le sol.
- Oh oui… oh ma putain, que c’est bon… vas-y prends moi tout entier !, me disait-il…
Je ne savais pas ce qu’ils avaient fait à Antoine… Sa nouille bandée en un extrême volume, son sexe épais et long, de belle taille, hors du commun, chaud et dur m’écartait les lèvres, obstruait totalement ma bouche… Il essayait de s’enfoncer davantage encore, me bloquant la respiration, me donnant des nausées. Mon futur époux me pilonnait la gorge pour que mes lèvres viennent s’enrouler à la racine de sa nouille…
- Toi, au lieu de nous regarder baiser, prépare le cul de ma femelle, bouffe-lui sa petite chatte !, lançait Antoine à l’attention de juliensoumis sur un ton très directif…
Ce ton justement, me laissait à penser qu’il y avait quelque chose qui avait changé chez Antoine, son regard n’était plus le même, j’y trouvais de la dureté. Ça façon de s’exprimer était différente… Je n’étais plus son futur conjoint mais sa femelle… Ses pulsions sauvages me laissaient sans voix ! Il fallait coûte que coûte qu’il jouisse… Il me faisait maintenant lécher ses couilles, elles aussi devenues assez impressionnantes par leur volume et qui dégageaient de bonnes odeurs boisées. Je passais ma langue contre ces bourses gonflées, tièdes et salées, je les léchais et les caressais tant que je pouvais, y répandant ma salive affamée comme la preuve d’un amour imposé, alors que juliensoumis déflorait ma rondelle ! Je voyais ces couilles comme celles d’un taureau, à les voir se balancer sous leur poids toutes en grosseur. Puis je glissais la pointe de ma langue jusqu’à la base de sa nouille raidie. A l’instant de sentir le contact de sa peau, de nouvelles explosions de chaleur se répandant dans mon torse, et une ligne claire, dorée, venait s’épanouir dans mon esprit, parcourant le corps d’Antoine, m’indiquant oui, c’est par là, voilà la bonne direction à suivre !
J’appliquais à la lettre les recommandations de mon instinct de femelle en chaleur et je parcourais le tracé doré du bout de la langue, léchant cette nouille sombre, refermant mes lèvres autour de son gland, y goutant les prémices de liquide, avant de l’englober toute entière, de la sucer comme un spectre, comme un repas délicieux, la sucer pour lui donner mon amour, et recevoir en retour toute l’acceptation de ma nature d’être servile et aimant, d’être rampant et amoureux. La main d’Antoine épousait ma nuque et m’enfonçait plus encore son sexe. Je manquais de m’étouffer, mais j’étais prêt à tant d’efforts pour lui. Alors j’ouvrais la bouche, toujours plus profond, toujours plus amoureux et je baisais, je suçais, j’avalais tout ce qui venait.
Antoine s’asseyait et me faisait grimper sur ses cuisses. Je me juchais, affamé, en sueur, avant d’envelopper son cou entre mes bras, et lorsque ses deux mains se posaient sur mes hanches, lorsque je voyais ses deux yeux bleus et son sourire qui me faisait face, je n’y tenais plus, et telle une femelle en chaleur, je l’embrassais comme un fou. Je posais la paume de ma main contre sa joue, mes doigts contre sa tempe, léchais ses lèvres pures, faisais pénétrer ma langue dans sa bouche, et la sienne me répondait, ses bras se contractaient délicieusement autour de mon dos, sa nouille dure se tendait toujours plus sous mes fesses. Antoine me repoussait, crachait sur sa hampe, avant de s’attaquer de nouveau à ma bouche et de m’embrasser plus profondément. Je sentais sa nouille énorme qui écartait mes fesses qui se dirigeait vers mon antre. Ses mains comprimaient mes hanches, il attendait de moi que je me cambre et m’enfonce sur son sexe, puis de me soulever et de me rabattre, de me soulever et de me rabattre lentement, encore et encore pour bien sentir son pieu qui me défonçait, s’enfonçait de plus en plus profondément dans mon ventre et dans mon âme, ce délice chaud et rugueux qui m’écartait le cul, le fendant en deux. Défoncé par cette nouille dure et dressée, je gémissais alors que lui, emporter par la baise, grognait, soupirait, soufflait comme une tempête. Ses yeux de prédateur, grands ouverts dévoraient tout ce qui se trouvait en moi d’émotion. Aussi, pour son dernier coup de reins, il saisissait mes épaules entre ses mains, et m’enfonçait aussi fort que possible sur son sexe, qui jouissait toute sa folie brûlante au creux de mon ventre... Sitôt après qu’il eut joui, Antoine attrapait mon visage de ses deux mains. Des larmes coulaient de ses yeux… il pleurait et balbutiait quelques mots que je parvenais difficilement à comprendre…
- Excus… excuse-moi … Ale… Alex… je ne sais pas… je ne sais pas ce qu’ils font de moi… les hormones, de la testostérone … les aphrodisiaques qu’ils me…. qu’ils me donnent…. tous les jours… font de moi…. Une bête de sexe…. Je ne pense plus qu’à baiser Alex, je n’arrête pas bander, toute la journée…
(A suivre…)
Chapitre 48 bis : Des retrouvailles surprenantes -
Mon envie d’aller plus loin, de frapper encore plus fort dans le cul de mon congénère, de cogner mes hanches contre son cul se faisait sentir ma grosse nouille durcie et inquisitrice … Je me déchainais tel un chien au combat, sans me soucier des gémissements de celui que je défonçais, sans me préoccuper du contexte, sans me tracasser du regard de cette perverse cuisinière qui pourtant nous regardait et nous imposait à copuler bestialement avec un sourire vicieux au bord de ses lèvres. L’atmosphère étouffante de la pièce, avec ces odeurs de sueur, de culs, de bites, ne faisait qu’augmenter mon excitation, malgré l’humiliation vécue. Je baisais, je comblais ce cul maintenant totalement dilaté, parce qu’il m’était simplement impossible de faire autrement, parce que je devais obéir, parce qu’il me fallait jouir et expédier mon foutre au fond de ce trou brulant. Je m’apprêtais à me libérer en lui, mais avant même que je puisse conclure, je sentis, un coup de cravache me claquer les couilles, me mettant hors d’usage. La douleur était telle qu’instinctivement je faisais un mouvement de repli et ainsi ma nouille s’échappait de ce cul, je m’effondrais au sol en gémissant effroyablement.
- Va salope, va te vider dans sa bouche de pute, espèce de chien !, m’ordonnait Madame Marie.
Cette sadique femme m’attrapait par les cheveux, me forçait à me relever. Je criai de douleur lorsque je sentais la tension sur mes racines. Je lâchais un ultime gémissement lorsque la bouche d’esclave Katia avalait ma nouille semi molle. Je fermais les yeux, savourant la pression de ces lèvres autour de mon gland ruisselant, ma hampe se redressait immédiatement, furieusement… Lorsque je rouvrais les paupières, j’apercevais juliensoumis qui avait pris place dans cet antre que j’avais soigneusement et méthodiquement dilaté. Lui aussi se déchainait et bourrait le cul servile de notre congénère, à chacun de ces coups de butoirs, esclave Katia, s’empalait la bouche un peu plus profondément sur ma nouille raidie jusqu’à ce que celle-ci aille cogner sa glotte. Je nous contemplais dans cette débauche obscène, les uns sur les autres, j’écoutais nos gémissements de chiennes en chaleur à chaque fois que la cravache de Madame Marie tombait sur nos peaux pour nous motiver plus encore. Je respirais, m’excitais de plus en plus, comme une matière chimique et instinctive, jusqu’à ce que mon esprit foute le camp. Il ne restait que l’être, celui qui est, qui agit et obéit, cet être là au bord de l’extase, cet être devenu salope et chienne, sans défense seulement emporté par l’océan de sensations qui me parcourait le corps. Je tremblais de tous mes membres, m’enfonçais encore et encore dans cette cavité buccale chaude et humide, comme assommé par un plaisir hors norme. Je me laissais sucer, mon gland frottait contre l’arrière gorge d’esclave Katia. Il manquait de s’étouffer, mais je le sentais prêt à avaler tout ce qui allait venir. Alors, emporté par la baise, prenant sa bouche pour un vagin chaud, humide et accueillant, je grognais, soupirais, ma prostate explosait et libérait mon foutre épais et abondant, aspergeant cette bouche soumise en un flot continu. J’étais, nous étions, tous trois défaits…
Nos nouilles de nouveau encagées, nous avancions à quatre pattes, côte à côte, péniblement derrière Monsieur Walter, tirant sur nos laisses respectives. Je savais où nous allions atterrir, lorsque nous dûmes descendre cet escalier étroit en colimaçon. Ce lieu était sombre avec une chaleur étouffante et moite. Ici ou là, de temps à autre, nous entendions un bruit de chaines, des gémissements ou des lamentations alors que nous parcourions ce long couloir distribuant la dizaine de cachots se trouvant de part et d’autre de ce passage étroit. Le Majordome ouvrait l’un d’eux, y faisait entrer esclave Katia et l’enfermait, puis il déverrouillait la cellule juste en face, celle que j’avais quitté avant d’aller rejoindre ce sombre trio, quelques heures plus tôt. Dans ce lieu puant la testostérone, je me retrouvais de nouveau prisonnier dans celle-ci avec juliensoumis à mes côtés, tous deux attachés par une longue chaine métallique. Lui et moi, sitôt la porte refermée, nous nous couchions à même le sol, l’un contre l’autre, nos corps recroquevillés en position fœtale, mon dos en appui contre son abdomen. Juliensoumis posait son bras sur mon corps, sa main caressante venait prendre appui sur mon ventre. Ce bras m’enveloppant, cette main chaude posée sur mon ventre me réconfortaient.
A cet instant j’avais besoin de ça, d’un peu de tendresse, d’un peu de douceur. Je laissais cette main me cajoler, ces doigts glisser sur mon abdomen et remonter sur mes tétons encore terriblement douloureux suite aux tortures exercées sur eux par Madame Karaine quelques moments plus tôt. Le soupirail deux mètres au-dessus de nous ne laissait entrer qu’une faible lumière. Mes yeux avaient bien du mal à s’habituer à cette semi-obscurité. Pourtant, au bout d’un certain temps, il me semblait voir, tout près de mon visage un pied nu… Ce ne pouvait être celui de juliensoumis, compte tenu de notre position… Alors à qui appartenait-il ? Je me redressais quelque peu, pour distinguer contre le mur extérieur, l’ombre d’un corps, celui d’un autre esclave mâle, assis au fond de ce lieu exigu, les jambes repliées, la tête et ses bras posés sur ses genoux. Je ne bougeais pas, somnolais presque en restant ainsi lové entre les bras de juliensoumis… Mais soudainement ce pied à proximité de ma tête se posait sur mon visage. Alors sans comprendre, je me mettais à le lécher, comme ça, instinctivement, spontanément, machinalement, comme s’il était normal pour moi désormais de passer ma langue à chaque fois qu’une paire de pieds se trouvait devant ma bouche. Je réagissais pourtant lorsqu’une main douce et réconfortante, me caressait le crâne. Je levais les yeux, ma gorge se nouait, mon cœur frappait dans ma poitrine…
- Antoine !, chuchotais-je- Oui c’est moi Alex, je suis content de te retrouver, me répondait-il presque sèchement en ôtant son pied.
Je me redressais, tournais la tête vers lui et lui lançait un sourire en le dévisageant. Son sourire répondait au mien. Je le regardais, avide alors que la tension de nos corps s’installait, alors que le silence était devenu obstiné et pesant, alors que nos deux corps n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. S’ils ne se touchaient pas encore, l’attraction réciproque qu’ils exerçaient s’imposait maintenant comme une évidence. Encouragé par mon regard, dont je ne pouvais plus cacher la concupiscence, Antoine approchait son visage du mien. Le temps suspendait son cours, et tous deux, restions figés, sans que ni l’un, ni l’autre ne se préoccupe de juliensoumis enfermé ici avec nous. Pendant de longues secondes, nous restions pétrifiés alors qu’une infime distance séparait nos deux bouches. Il n'y avait maintenant plus de doutes, elles allaient se rejoindre. Et le monde basculait… Le contact entre nos bouches m’envoyait une décharge électrique dans tout le corps. Je chavirais alors qu’Antoine laissait ses lèvres sur les miennes pendant quelques secondes sans esquisser le moindre mouvement. Puis soudainement, il ouvrait sa bouche et me forçait à ouvrir la mienne. Il y enfonçait sa langue et fouillait dans tous les recoins de ma cavité buccale. Sans ménagement, il se laissait brusquement aller à son instinct physique. Il me prenait la tête dans ses deux mains et m’écrasait contre lui, poussant de plus en plus loin son baiser. Puis soudainement, Antoine s’arrêtait, se levait, me laissant là à genoux devant lui, me laissant sous sa nouille en liberté, longue et épaisse, avec son gland rouge écarlate couronnant une hampe puissante traversée par une veine imposante que je voyais battre. Ses couilles semblaient emprisonnées dans la peau de ses bourses tendues par l’érection de sa nouille. Il prenait ma tête entre ses mains et la poussait sur son sexe pour me le faire avaler. Il n’y avait plus de préliminaire... mais une action débridée et guidée par le seul désir de l’un à l’autre...
- Suce ton mâle !, me dictait-il presque autoritairement.
J’étais surpris, vraiment surpris par le comportement d’Antoine, lui si doux, si affectueux habituellement, là, il était différent, il y avait quelque chose de plus fruste chez lui, de plus directif, il y avait de la rudesse dans ses mouvements et dans son comportement, avec une manifestation certaine dans sa nature bestiale. J’avais maintenant sa nouille dans la bouche, mon menton collé à ses couilles, j’avalais son membre, membre à l’odeur de pisse et de transpiration, peut-être même de sperme… Sa nouille s’aventurait de plus en plus loin au fond de ma bouche. Son épaisseur, sa longueur m’impressionnaient, je me sentais réellement possédé par ce sexe aux dimensions extraordinaires. A l’évidence, on avait longuement travaillé son organe génital à s’ériger de manière quasiment démesurée. Antoine rythmait le mouvement, en tenant fermement ma nuque de ses deux mains et en poussant à intervalles réguliers ma tête contre son bas-ventre humide, chargé d’odeurs érotiques. Il râlait et ahanait à chacune de ses avancées. Quant à moi, je respirais à peine, laissant couler hors de ma bouche toute la salive que ma gorge pouvait contenir et que je ne pouvais avaler. Ma bave coulait à flots le long de mon menton, avant de tomber sur mes genoux et sur le sol.
- Oh oui… oh ma putain, que c’est bon… vas-y prends moi tout entier !, me disait-il…
Je ne savais pas ce qu’ils avaient fait à Antoine… Sa nouille bandée en un extrême volume, son sexe épais et long, de belle taille, hors du commun, chaud et dur m’écartait les lèvres, obstruait totalement ma bouche… Il essayait de s’enfoncer davantage encore, me bloquant la respiration, me donnant des nausées. Mon futur époux me pilonnait la gorge pour que mes lèvres viennent s’enrouler à la racine de sa nouille…
- Toi, au lieu de nous regarder baiser, prépare le cul de ma femelle, bouffe-lui sa petite chatte !, lançait Antoine à l’attention de juliensoumis sur un ton très directif…
Ce ton justement, me laissait à penser qu’il y avait quelque chose qui avait changé chez Antoine, son regard n’était plus le même, j’y trouvais de la dureté. Ça façon de s’exprimer était différente… Je n’étais plus son futur conjoint mais sa femelle… Ses pulsions sauvages me laissaient sans voix ! Il fallait coûte que coûte qu’il jouisse… Il me faisait maintenant lécher ses couilles, elles aussi devenues assez impressionnantes par leur volume et qui dégageaient de bonnes odeurs boisées. Je passais ma langue contre ces bourses gonflées, tièdes et salées, je les léchais et les caressais tant que je pouvais, y répandant ma salive affamée comme la preuve d’un amour imposé, alors que juliensoumis déflorait ma rondelle ! Je voyais ces couilles comme celles d’un taureau, à les voir se balancer sous leur poids toutes en grosseur. Puis je glissais la pointe de ma langue jusqu’à la base de sa nouille raidie. A l’instant de sentir le contact de sa peau, de nouvelles explosions de chaleur se répandant dans mon torse, et une ligne claire, dorée, venait s’épanouir dans mon esprit, parcourant le corps d’Antoine, m’indiquant oui, c’est par là, voilà la bonne direction à suivre !
J’appliquais à la lettre les recommandations de mon instinct de femelle en chaleur et je parcourais le tracé doré du bout de la langue, léchant cette nouille sombre, refermant mes lèvres autour de son gland, y goutant les prémices de liquide, avant de l’englober toute entière, de la sucer comme un spectre, comme un repas délicieux, la sucer pour lui donner mon amour, et recevoir en retour toute l’acceptation de ma nature d’être servile et aimant, d’être rampant et amoureux. La main d’Antoine épousait ma nuque et m’enfonçait plus encore son sexe. Je manquais de m’étouffer, mais j’étais prêt à tant d’efforts pour lui. Alors j’ouvrais la bouche, toujours plus profond, toujours plus amoureux et je baisais, je suçais, j’avalais tout ce qui venait.
Antoine s’asseyait et me faisait grimper sur ses cuisses. Je me juchais, affamé, en sueur, avant d’envelopper son cou entre mes bras, et lorsque ses deux mains se posaient sur mes hanches, lorsque je voyais ses deux yeux bleus et son sourire qui me faisait face, je n’y tenais plus, et telle une femelle en chaleur, je l’embrassais comme un fou. Je posais la paume de ma main contre sa joue, mes doigts contre sa tempe, léchais ses lèvres pures, faisais pénétrer ma langue dans sa bouche, et la sienne me répondait, ses bras se contractaient délicieusement autour de mon dos, sa nouille dure se tendait toujours plus sous mes fesses. Antoine me repoussait, crachait sur sa hampe, avant de s’attaquer de nouveau à ma bouche et de m’embrasser plus profondément. Je sentais sa nouille énorme qui écartait mes fesses qui se dirigeait vers mon antre. Ses mains comprimaient mes hanches, il attendait de moi que je me cambre et m’enfonce sur son sexe, puis de me soulever et de me rabattre, de me soulever et de me rabattre lentement, encore et encore pour bien sentir son pieu qui me défonçait, s’enfonçait de plus en plus profondément dans mon ventre et dans mon âme, ce délice chaud et rugueux qui m’écartait le cul, le fendant en deux. Défoncé par cette nouille dure et dressée, je gémissais alors que lui, emporter par la baise, grognait, soupirait, soufflait comme une tempête. Ses yeux de prédateur, grands ouverts dévoraient tout ce qui se trouvait en moi d’émotion. Aussi, pour son dernier coup de reins, il saisissait mes épaules entre ses mains, et m’enfonçait aussi fort que possible sur son sexe, qui jouissait toute sa folie brûlante au creux de mon ventre... Sitôt après qu’il eut joui, Antoine attrapait mon visage de ses deux mains. Des larmes coulaient de ses yeux… il pleurait et balbutiait quelques mots que je parvenais difficilement à comprendre…
- Excus… excuse-moi … Ale… Alex… je ne sais pas… je ne sais pas ce qu’ils font de moi… les hormones, de la testostérone … les aphrodisiaques qu’ils me…. qu’ils me donnent…. tous les jours… font de moi…. Une bête de sexe…. Je ne pense plus qu’à baiser Alex, je n’arrête pas bander, toute la journée…
(A suivre…)
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