La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1673) -
Chapitre 50 : Habité par la baise -
Ainsi, un quart d’heure après cet échange, Antoine et moi, étions mis dans une cage et embarqués dans une camionnette, vers une destination inconnue !… L’espace était plus que restreint dans cette cage aux barreaux d’acier. A peine si nous pouvions bouger. Et comme par hasard, Antoine et moi, avions été installés, attachés, couchés tête-bêche dans cette geôle étroite, comme des bêtes de somme. Pure coïncidence sans doute, (ou volonté délibérée ?) que d’avoir la nouille d’Antoine à proximité de ma bouche, de sentir le souffle chaud de ce dernier sur mon cul largement pilonné et défoncé quelques minutes plutôt. J’étais rassasié de sexe… et pourtant d’avoir sous les yeux, cette nouille énorme, de sentir ce souffle brulant sur mon trou et cette langue qui, de temps à autre, caressait mon périnée et mon entrée, me rendait convulsif et agité. Ce trajet me paraissait long, très long même… Mon corps nu s’ankylosait, je ne parvenais plus à réfléchir, j’écoutais simplement la pluie tombée sur la carrosserie de ce véhicule utilitaire dans lequel j’étais, nous étions prisonniers et menés comme du bétail. Je m’inquiétais aussi du moment où, Antoine serait de nouveau en rut. Sans doute que ça n’allait pas tarder… Ses soupirs et gémissements étaient de plus en plus rapprochés, sa langue devenait plus active, sa nouille gonflait… Il essayait, tant bien que mal, de frotter son chibre, d’écraser ses couilles contre ma bouche que je gardais fermée en espérant qu’il puisse contenir ses viriles ardeurs et ses désirs quelques temps encore. Non, je ne souhaitais plus de sexe… plus pour l’instant, j’en étais juste repu !... Au bout d’un certain temps, le véhicule s’arrêtait… J’entendais des voix, celles de ces deux femmes, Brigitte et Chantal… mais aussi, celles de deux hommes… Etrange ! Deux hommes ? Je ne comprenais pas… Seul le dénommé Franck avait pris place dans le véhicule.

- Au revoir, à demain !, entendais-je distinctement…
Et le véhicule redémarrait, alors que la nouille d’Antoine pressait mes lèvres et s’engouffrait au fond de ma gorge sans prévenir.

- Suce-moi, chienne, je n’en peux plus !, m’ordonnait-il en chuchotant et gémissant exhibant une énorme nouille tendue à l’extrême au gland violacé, gorgé de sang, à la hampe saillante et très veinée…
Antoine ne me laissait pas le choix, il violait ma bouche, prenait possession de mon orifice buccal, sans s’inquiéter de savoir si j’étais ou non consentant… Je voyais bien qu’il n’était plus lui-même, ni dans ses propos, ni dans ses actes. Il était totalement possédé, tourmenté, habité par la baise, possédé par un rut excessif, spontané et subit, causé par le traitement qu’on lui faisait subir… Je ne le reconnaissais pas, lui auparavant si aimant, si caressant, si doux et tendre ! Qu’avaient-ils fait de lui, qu’allaient-ils faire de moi ? Je hoquetais, bavais, pleurais et m’étouffais sur ce pieux brulant, bouche écartelée, il me défonçait ne pensant qu’à son propre plaisir… Le véhicule venait de s’arrêter une nouvelle fois, les portières avant claquaient, peu après celles de l’arrière de la camionnette s’ouvraient ! J’étais détaché et extirpé de cette cage, tenu par les couilles par un homme massif et imposant, jusqu’ici jamais vu. Je me retrouvais très vite à genoux, dans l’humidité, sur un chemin de terre, face à Madame Brigitte, les burnes toujours écrasées entre les doigts comme une pâte à modeler par cet homme. Tout, dans cet instant, paraissait impossible, comme tiré d’un rêve. J’avais le sentiment d’être absorbé par un immense vortex d’émotions noires, de larmes et d’auto-apitoiement. Une spirale d’autodestruction dans laquelle je me laissais emporter pour échapper à la douleur. Il y avait un silence pesant, pendant lequel je sentais le regard de Madame Brigitte de Monsieur Franck se poser sur mon corps vaincu. Madame Brigitte me fixait sans ciller pendant quelques secondes encore, avant de sourire.

- Tu vas être bien sage, salope, n’est-ce pas ?

Tout en parlant, elle avait levé son pied gauche et posé sa semelle boueuse de sa chaussure bien à plat sur ma poitrine. Elle appuyait de tout son poids.

- Tu vas faire exactement tout ce que je t’ordonne, la chienne !

Je restai immobile sur le sol boueux, attendant simplement la suite. Monsieur Franck s’approchait, il se tenait à présent juste au-dessus de moi, m’observant d’en haut, les lèvres entrouvertes, le regard un peu fou, me dominant complètement. A son tour, il levait la jambe et posait sa semelle sur mon épaule, sans trop presser, juste pour me montrer qu’il était là, au-dessus de moi et que j’étais au-dessus. Puis il défaisait, lentement, très lentement la braguette de son pantalon et prenait en main son sexe lourd, un sexe brun et épais parcouru par une veine très visible. Monsieur Franck se branlait au-dessus de mon visage, me fixant sans sourciller. Après quelques allers-retours de sa main sur son sexe, il se penchait en avant, pinçait les lèvres, et un filet de salive dégoulinait depuis sa bouche jusqu’à la mienne. Son crachat tomba sur mes propres lèvres comme une gifle, avant de couler sur mon visage.

- Ouvre ta gueule de chienne !, espèce de salope, m’ordonnait-il.

J’obéissais et laissais sa salive couler à l’intérieur de moi, rejoindre ma langue et descendre dans ma gorge. Elle avait un goût de tabac, un goût d’humiliation et de déchéances, qui répandait dans mon corps des frissons glacés de honte et d’extase. Monsieur Franck, celui qui laissait croire qu’il était le gendre idéal, crachait une nouvelle fois et cette fois-ci son mollard tombait directement sur ma langue, avant que je l’avale.

- Ouvre plus grand, la chienne, lèche-toi les lèvres !

Je fermai les paupières tant mon corps servile frissonnait, tant ma peau était brûlante malgré la boue et l’humidité ambiante, brûlante d’un plaisir honteux. Je savourais cette humiliation, en effet, et d’ailleurs cette humiliation allait crescendo… Un coup de pied sur mon épaule de cet homme trapu me faisait m’écrouler au sol. Je me retrouvais alors allongé sur le dos, dans cette herbe détrempée par la pluie qui venait de cesser. Je poussais un cri, surpris par le froid, alors qu’à côté de moi, Madame Brigitte observait la scène avec un regard calme et professionnel. Elle s’approchait de moi lentement, avec un sourire hautain, tout en défaisant la fermeture de son pantalon tailleur, avant de l’abaisser jusqu’à ses pieds. Elle ne portait aucun sous-vêtement, son sexe était rasé lisse et luisant. Je le voyais là, juste au-dessus de mon visage. Cette perverse femme passait alors lentement, très lentement un doigt le long de ses lèvres intimes, y récoltant la sève, avant de se pencher vers moi et de poser ce doigt sur ma bouche, tout en me fixant droit dans les yeux. Je comprenais ce qu’elle attendait de moi. Alors, presque instinctivement, j’ouvrais les lèvres et suçais son fluide, laissant son regard me pénétrer, laissant sa mouille couler dans ma gorge. Peu après, elle s’accroupissait au-dessus de mon visage. Sa chatte humide était juste à quelques centimètres de mes lèvres… Je voyais son ouverture, ses lèvres intimes luisantes, son clitoris bandé. Elle se baissait encore jusqu’à effleurer ma bouche, alors instinctivement, je tirais la langue pour gouter ce sexe imposé à ma cavité buccale. Mais une violente gifle sur mes couilles me stoppait net.

- Non, tu n’es qu’une chienne en devenir… et en qualité de future chienne toujours en chaleur, tu n’as droit qu’aux bites…
Pourquoi alors s’était-elle positionnée ainsi… Si ce n’était pas pour lui lécher sa vulve dégoulinante de cyprine. J’obtenais très rapidement une réponse ! Madame Brigitte positionnait deux de ses doigts autour de ses lèvres, les pressait pour bien les écarter : Puis son urine tiède tombait en un long jet sur ma langue et dans ma bouche, coulant jusqu’au fond de ma gorge. J’ouvrais grand la bouche… L’humiliation avait un goût amer et fort, quelque chose de bouleversant qui me remuait les tripes. J’étais en transe, ne voyant mon passé et mon avenir comme deux parts d’une même logique, une trajectoire menant impitoyablement vers la plus totale des soumissions, vers l’humiliation, la résignation et l’addiction à la dépravation extrême... Peu après je retrouvais ma place près d’Antoine. J’étais de nouveau attaché, comme au départ, par cet homme trapu. Ce qui changeait, c’était qu’il me mettait le sexe bandé au zénith de mon congénère directement en bouche.

- Biberonne salope, tu n’es que bon à ça !, me lançait-il avant de refermer les portes de ce véhicule utilitaire.

Alors, amarré à cette nouille épaisse longue et dure, ancrée en moi, des souvenirs me claquaient au visage… Il me paraissait lointain le temps où j’étais étudiant, où j’étais un fils de bonne famille, où j’entretenais des relations amicales et sociales avec amis et famille, où mes conditions de vie étaient construites autour de la bienséance, des convenances et les bonnes manières… Désormais je n’étais plus qu’un vide-couilles, qu’un chiotte, qu’une salope surchauffée par des désirs voire des besoins puissants et incompressibles d’avilissement, de dégradation totale et de débauche… Nous roulions encore longtemps… très longtemps puisqu’à deux reprises, j’avais bénéficié des faveurs d’Antoine. Oui par deux fois, il m’avait envoyé sa sauce, il m’avait donné cette lave brulante au gout salé après m’avoir défoncé copieusement, usant de ma bouche comme un vagin chaud, humide, accueillant comme un vulgaire jouet, un simple trou pour se soulager ses couilles devenues énormes par la taille. Mon corps nu en sueur tout entier se tordait de crampes de bonheur, je me laissais emporter vers l’avant, vers ce monde pervers et obscène en me promettant de ne jamais faire machine arrière… Cette fois-ci, Antoine et moi, nous étions débarqués du véhicule. Nous nous retrouvions devant une demeure ancienne de type longère. Nous étions tous deux à quatre pattes dans cette cour fermée et gravillonnée… Madame Brigitte fixait les ordres autoritairement :
- Emmène le mâle, conduit-le vers Marianne et dis-lui de lui donner sa dose d’excitants et de stimulants… Nous allons avoir besoin de sa nouille dans peu de temps !, disait-elle à Franck- Pitié Madame… Je vous en supplie Madame !, osait répliquer Antoine.
- Pardon ?... Ai-je bien entendu, le chien ? Que dis-tu précisément ?

Antoine ne répondait plus, courbait l’échine, entrait la tête dans ses épaules… Cette sorcière de bonne femme reprit :
- Ah, j’avais cru que tu avais osé parler, disait-elle à Antoine … Franck, tu diras à Marianne qu’il faut lui administrer double dose aujourd’hui, sans oublier les électrodes sur ses couilles…
Antoine pleurait… manifestement, il n’en pouvait plus… Il semblait dévasté, son corps ravagé, il n’était plus maitre de sa forte libido poussée à l’exagération à en devenir une véritable bombe sexuelle, à faire de lui un reproducteur poussé à saillir sans modération, à un viril étalon poussé à copuler en longueur de journée. Oui, le corps ravagé et dévasté par l’abattement et ce trop-plein de sexe. Cette satanée femme évidemment s’en apercevait…
- Souhaites-tu décevoir Monsieur le Marquis, Lui qui fait tant pour toi ? Souhaites-tu qu’Il te répudie, qu’Il t’abandonne, qu’Il te laisse choir ? Souhaites-tu donc ne plus être à Ses pieds, sous Son joug ?, ne plus faire partie de Son impressionnant Cheptel ?.
- Oh noooooooon Madame, non pas ça, je vous en supplie, ce serait la chose la plus terrible qui pourrait m’arriver, Madame Brigitte, répondait Antoine affolé.
- Alors laisse-toi conduire là où nous voulons t’emmener, là où le Maitre exige que tu ailles.

Je revoyais soudainement Antoine se ressaisir, un regain de fierté le ramenait à la vie, certes une vie de soumis, d’esclave asservi, une vie dissolue mais choisie, une vie souhaitée que pour rien au monde il ne souhaitait interrompre. Je le voyais filer maintenant presque fièrement, tordant même du cul pour exhiber sa fierté d’appartenir.

- Quant à cette chienne, conduit là près de Maxence, pour une visite médicale complète, ordonnait encore Brigitte à cet homme trapu dont j’ignorai encore le prénom.

Puis cette fois-ci s’adressant à moi :
- Là où tu viens d’arriver, me murmurait-elle en me fixant dans les yeux, tu seras traité comme une véritable chienne. Je te dis ça au sens propre du terme : Tu vas vivre nu et à quatre pattes à longueur de journée, tu porteras un collier, une chaine, tout ton temps ici sera dédié à ton esclavage sexuel, à la dépravation et à l’humiliation. Ici, nous allons effacer ta personnalité pour la remplacer par une autre plus lamentable, plus soumise, un cœur animé par le seul désir de souffrir et d’être humilié. Nous allons progressivement te rendre accroc à des traitements puissants qui te maintiendront dans un état d’excitation quasi constant, tu seras donc constamment en chaleur avec ce besoin de te faire prendre à tout moment. En quelques jours à peine, tu vas devenir une truie, rien d’autre qu’une truie, un esclave soumis aux Exigences sexuelles de tous ceux qui te baiseront. Voilà la vie qui t’attend, la chienne de pute…
(A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674)
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