La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1680)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1680)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1679) –
Je change jour après jour, tombant de plus en plus dans la déchéance, dans la dépravation la plus totale… Monsieur Walter me prend durement par le collier et m'emmène aux cuisines, sans même me dire un seul mot.
- Marie, j'ai dû forcer ce sale chien à finir sa gamelle car ‘monsieur’ n'aimait pas son repas !
- Quoi ? …Sale cabot, mais c'est quoi ça ? On le nourrit et il fait en plus le difficile ? Il doit obéir, obéir… obéir !
La cuisinière a un regard noir, me prend par le collier et me tire fortement en disant à Monsieur Walter
- Il ne reste que six jours pour qu'il soit complètement obéissant. Et croit-moi, tu me connais, je vais lui montrer ce soir, à cette vermine, comment on apprend l'obéissance absolue au Château !
Monsieur Walter voyant Madame Marie très énervée se met à rire et me lance avec ascendance
- Tu vas passer un sale quart d'heure, le chien, Madame Marie en a maté de plus coriaces que toi.
Le Majordome rit encore et s'en va en tirant derrière lui alexsoumis qui reste toujours aussi silencieux, tête baissée.
J'essaie de suivre le rythme de Madame Marie et j'entre dans une pièce. Elle me prend les poignets et les attachent à une espèce de haute poulie ancrée à une épaisse poutre. Elle met ensuite en marche un système de palan qui me lève jusqu'à ce que mes pieds ne touchent plus le sol, le bout de mes orteils effleurant à peine le plancher. Je suis donc pendu comme un saucisson, tremblant de peur car je vois bien qu'elle est très irritée... Déjà naturellement, cette femme est méchante, sadique et perverse, mais là si on rajoute son énervement, je devine que je vais subir durement son courroux…
- Espèce de sale putain, tu dois obéir et rien d'autre. Obéir… On te donne une pâtée pour chien, tu la bouffes, sale clébard et sans rechigner, que ce soit clair. Obéir est maintenant ta vie…. Pra ailleurs, ce soir tu vas faire un pas de plus vers cet état de complète obéissance, d’abnégation pure, de servilité absolue. Monsieur Le Marquis nous a donné sept jours pour te mater, il en reste six. Tu dois obéir, met toi bien ça dans ta petite cervelle de sale bâtard !
La cuisinière prend alors un long martinet… et ce que je craignais, arrive. Elle commence à me frapper le dos et le cul. Mais elle est déchaînée, elle me zèbre les fesses de coups violents, me cinglant sans aucune modération. La brûlure des lanières est quasiment insupportable, alors je crie, j’hurle mais rien n'y fait. Je supplie alors que paradoxalement je me mets à bander fort …
- J’obéirai. … Je vous en supplie … J’obéirai…- Eh, la putain, tu t’adresses à qui, là ?, espèce le clébard idiot, me répond-elle avec un ton énervé- J’obéirai, Madame Marie. … Je vous en supplie … J’obéirai, Madame Marie …
La cuisinière pose le martinet, prends une espèce de baguette qui, je l’apprendrai plus tard s'appelle une badine, et là c’est horrible, une autre douleur horrible car elle me frappe sur mes fesses déjà meurtries et donc à la peau extrêmement sensible.... De fait, j’hurle de nouveau, je crie de douleur, je pleure comme un gosse en suppliant d’arrêter… Cinquante coups, cinquante coups sur ma peau fortement rougies, bleuies même et qui est complètement explosée ! Je suis anéanti par cette folle journée où j’étais tout simplement moi-même. Anéanti, mais heureux, oui heureux de vivre ce que je suis. J'ai sucé, j'ai été enculé, j'ai été nettoyé à la pisse, je pue le foutre, je suis plein de sperme séché et maintenant brisé par la violente douleur que m’inflige Madame Marie. Et pourtant je n’ai jamais été autant excité depuis que je vis tout cela, excité mentalement et physiquement, ma nouille est raide comme un I dressé pratiquement du matin au soir… Comprimé fortement dans sa cage ou à l’air libre, mes fortes érections sont figurantes… Quand elle s’arrête enfin, je pleure et je ne suis qu’une loque complètement brisée, je ne ressemble plus à rien, je n’ai plus aucune dignité et ça me rend tellement heureux de vivre cet état d’esclave, de chien… de n’être plus qu’un objet malléable qui doit apprendre à obéir à tout et qui, je le sais y arrivera très vite. Car j’en ai fortement besoin afin de m’épanouir dans ma servilité naturelle, dans ce qui fait ce que je suis, ce pourquoi je suis là…
- Tu dois obéir … obéir … obeirrrrr !, me rabâche encore et encore la Cuisinière avec force… Tu sers et tu vie uniquement pour obéir. Est-ce clair, sale petite merde ?
- Oui … Ma…Madame, je … je sers à obéir et …j’o … j’obéirai sans discuter.
C'est en pleurant que je lui réponds. Madame Marie monte s’asseoir alors sur une confortable et haute chaise rembourrée et écarte ses largement cuisses face à mon visage. Cette chaise surélevée fait penser au siège utilisé par les arbitres de tennis, ce qui lui permet de placer son entrecuisse au niveau de mon visage car je suis toujours suspendu à la poulie
- Vient me lécher, salope !
Sans perdre une seconde, malgré la douleur extrêmement violente que je ressens, je plonge mon visage entre ses cuisses. Et c’est en sueur que je lèche sa chatte humide en m’appliquant du mieux que je peux. Ma langue titille son clitoris et je pénètre ensuite mon appendice buccal entre les lèvres intimes de cette chatte odorante, avec ma langue que je souhaite la plus baladeuse possible. Je constate encore une fois que malgré ma terrible douleur, je bande encore plus fort et que je ressens un bienfait inexplicable. Je m’applique à la tâche encore de longues minutes …Elle finit par plaquer ma tête contre sa chatte et m’étouffe presque quand elle se met à jouir en lâchant plusieurs jets de cyprines que j'avale sans hésiter, j’en ai aussi le visage trempé. Puis la Cuisinière me repousse la tête en la tirant en arrière par mes cheveux, et m’exige en criant :
- Ouvre ta gueule, bâtard !
Puis Madame Marie s’avachit un peu plus dans son haut siège et voilà qu'elle me pisse dessus, elle me douche le visage de son urine qui coule le long de mon corps nu et suspendu. Son jet d’urine prend la forme ovalisé d’un arc-en-ciel pour finir en éclaboussures sur ma face de chien, sur et dans ma bouche qui ne peut pas tout avaler, vue l’abondance de sa pisse… Je ne suis vraiment plus rien, plus un homme et pourtant, j'avale du mieux que je peux cette urine avec excitation, ma nature servile se délecte de ce que ma vie d'homme aurait absolument rejeté ! Ensuite, Madame Marie descend de son haut siège, fait descendre le palan et me détache de la poulie pour m’ordonner :
- Nettoie salope ! Et je veux un plancher nickel.
Je me mets alors à quatre pattes et tel un bon chien, je lèche la pisse par terre jusqu’à dernière goutte. C’est long car la flaque est importante. Madame Marie s’impatientant, attrape mes cheveux et appuie sur mon crâne pour me mettre le nez dans la flaque…
- Ne traine pas, le chien… sinon je te frappe encore plus fort ton cul déjà bien bleui et douloureux…
Je prends peur car sadique comme elle est, Madame Marie serait bien capable de frapper encore une fois mes fesses trop sensibles par leur état enflammé. Alors je m’active du plus vite possible, mettant carrément la bouche dans la flaque et aspirant l’urine afin d’être plus rapide pour enfin finir en léchant ce qui reste… C’est infect à avaler, mais je me presse de finir quand j’entends :
- Maintenant, viens me nettoyer la chatte.
Je reste seulement de longues secondes immobiles, le temps de me remettre de ce breuvage immonde. Mais juste quelques secondes suffisent pour me faire réprimander. Alors elle relève mon visage, me regarde durement et me dit :
- Encore une désobéissance, … une hésitation,... un manquement et c'est Monsieur me Marquis, Lui-même, qui te corrigera et crois-moi, ce que tu viens de subir n'est rien à côté de ce que Monsieur Le Marquis t’infligera, bâtard !
La cuisinière me tire de nouveau par le collier et je passe ainsi sous la douche commune et sous le jet froid afin d'être nettoyé de la journée. Ensuite une gamelle est posée devant moi... Encore cette dégueulasse pâtée pour chien. Par peur et parce que j'ai faim, je me jette sur cette infâme bouillie et je mange tout jusqu'à laisser la gamelle complètement propre. Je réalise que depuis que je suis là, je suis nourri à la pâtée pour chien, au sperme et à la pisse. Je vais rapidement perdre du poids, si ça continue... Je suis ensuite jeté dans mon Cachot. Je n'ai plus du tout la notion du temps, je suis brisé, anéanti, je suis un être inférieur et je frotte ma cage contre le sol car malgré tout ce que j'ai vécu aujourd'hui, j'ai une envie terrible de me branler. Finalement, je m'endors dans un état de bien-être malgré ma terrible douleur au fessier. Ma nature servile a pris depuis longtemps le pouvoir et je ne sais plus ce que c'est qu'être un homme... Tout cela est tellement loin !... Je suis réveillé par les clés qui ouvrent ma cellule et après être conduit dehors pour faire mes besoins, je suis conduit à nouveau à la bâtisse Du Maitre pour la journée où je vais travailler et subir, subir et encore subir. La même journée que la veille. Je suis ramené le soir par Monsieur Walter et comme la veille je suis collant de sperme et de pisse car j’ai été utilisé, usé et abusé maintes fois. Mais je ne suis pas douché de suite. Monsieur Walter me fait entrer dans la grande salle de réception et là beaucoup des esclaves sont réunis. Comme eux, je me mets à genoux sans que mes fesses ne touchent mes talons, buste droit, mains dans le dos et tête baissée dans un très long silence, total, pesant et dans une impressionnante immobilité de chaque esclave, femelle comme mâle… Monsieur le Marquis entre au bout de 10 minutes et là comme un seul homme, dans un mouvement d’ensemble telle une parfaite chorégraphie, on se met tous en position prosterné, le cul relevé, les reins cambrés, les mains bien en avant, de manière prosternée. Le Maitre nous regarde, contemplant Son harem d'esclaves femelles et mâles.
- A genoux, tête baissée !
Nous revoilà tous à genoux. Puis le Châtelain enchaîne Son propos en parlant de Lui à la troisième personne du singulier :
- Comme on vous l'a dit, demain soir le Maitre organise une réception. Plusieurs amis mais surtout des êtres Supérieurs du Cercle du Maître, seront ici pour passer une agréable soirée. Une partie d'entre vous sera là pour servir les invités afin qu'ils ne manquent de rien. Une autre partie sera là pour subir et donner entière et pleine satisfaction aux Dominas et Dominants. Le Maître n'acceptera aucun refus, aucune discussion... Vous subirez ! Vous existez pour cela ! Le Maître a donné les directives claires à Monsieur Walter et Madame Marie. Cette soirée sera réussie et il vaut mieux pour vous. Faîtes honneur au Maître…
Puis avant de repartir, le Maitre vient caresser la tête d'une très belle et jeune esclave femelle aux tétons annelés et à l’épais collier de métal qui orne son cou.
- Toi, Ma belle salope, tu seras bien utilisée, demain. Tu l’as largement méritée en m’étant d’une parfaite obéissance…
Puis s'approchant de moi
- Toi le bâtard, tu seras très surpris, mais je te préviens, soit très obéissant !
Le Maitre me donne un coup de cravache sur le cul qui me jette à terre et me rappelle ma vive douleur.
Dès que Le Maitre est parti, on entend Madame Marie, élever la voix :
- Bande de sales vermines, maintenant vous allez bien écouter, je ne me répéterai pas. Vous n'êtes que des putes et vous allez déguster. Ceux qui seront désignés pour servir les Dominants me suivront et les autres resteront ici, avec Monsieur Walter.
Je suis désigné avec d'autres pour servir à table pendant la soirée. Je suis donc Madame Marie jusqu'à une grande pièce et là, à genoux, mains dans le dos, j'écoute avec mes compagnons de soumissions, les ordres de la Cuisinière.
- Vous serez deux serviteurs par table. Les membres présents du Cercle des Supérieurs ne doivent jamais manquer de rien. Vous serez debout, chacun d'un côté de la table. Dès qu'un verre est vide, vous le remplissez. Dès qu'un Supérieur veut un plat, vous le servez… Si par hasard, une ou Supérieur prenait envie de vous utiliser, vous vous laissez faire et vous obéissez à toute exigence. Tout au long de la soirée, vous restez proches des Supérieurs que vous aurez servis à table et vous serez toujours disponible pour remplir leur café, champagne ou autre. Vous devez les servir, ce sont vos supérieurs, des êtres supérieurs et Dominants. Vous leur devez une obéissance absolue et une soumission totale. Si vous êtes utilisez, vous subissez sans broncher. S'il réclame un cigare vous courrez en cherchez un, Toujours prêt à obéir. Quand un Dominant ira aux toilettes, l'un des deux le suivra et s'il exige de le nettoyer, vous vous exécuterez, sans aucune hésitation. Vous n'êtes rien d'autres que des esclaves au service des Supérieurs. Les chiens, vos cages seront enlevées pour la soirée mais si l'un d'entre vous et surpris en train de se toucher la nouille, il sera battu, lourdement corrigé devant tout le monde. Si Monsieur le Marquis le décide, peut-être que vous pourrez vider vos sales couilles de vermine.
Après ses consignes, je suis conduit de nouveau dans mon cachot. Je pense que je vais être nu et servir des personnes vêtues, que je vais être leur esclave... Cela me fait bander comme jamais. Je sens maintenant un profond bien-être m’envahir. Et posant ma tête à même le sol, je me dis que c'est là ma place. Je m'endors avec une terrible envie de me branler et de vider mes couilles, mais cette cage de chasteté me rappelle à chaque instant ce que je suis…
(A suivre …)
Je change jour après jour, tombant de plus en plus dans la déchéance, dans la dépravation la plus totale… Monsieur Walter me prend durement par le collier et m'emmène aux cuisines, sans même me dire un seul mot.
- Marie, j'ai dû forcer ce sale chien à finir sa gamelle car ‘monsieur’ n'aimait pas son repas !
- Quoi ? …Sale cabot, mais c'est quoi ça ? On le nourrit et il fait en plus le difficile ? Il doit obéir, obéir… obéir !
La cuisinière a un regard noir, me prend par le collier et me tire fortement en disant à Monsieur Walter
- Il ne reste que six jours pour qu'il soit complètement obéissant. Et croit-moi, tu me connais, je vais lui montrer ce soir, à cette vermine, comment on apprend l'obéissance absolue au Château !
Monsieur Walter voyant Madame Marie très énervée se met à rire et me lance avec ascendance
- Tu vas passer un sale quart d'heure, le chien, Madame Marie en a maté de plus coriaces que toi.
Le Majordome rit encore et s'en va en tirant derrière lui alexsoumis qui reste toujours aussi silencieux, tête baissée.
J'essaie de suivre le rythme de Madame Marie et j'entre dans une pièce. Elle me prend les poignets et les attachent à une espèce de haute poulie ancrée à une épaisse poutre. Elle met ensuite en marche un système de palan qui me lève jusqu'à ce que mes pieds ne touchent plus le sol, le bout de mes orteils effleurant à peine le plancher. Je suis donc pendu comme un saucisson, tremblant de peur car je vois bien qu'elle est très irritée... Déjà naturellement, cette femme est méchante, sadique et perverse, mais là si on rajoute son énervement, je devine que je vais subir durement son courroux…
- Espèce de sale putain, tu dois obéir et rien d'autre. Obéir… On te donne une pâtée pour chien, tu la bouffes, sale clébard et sans rechigner, que ce soit clair. Obéir est maintenant ta vie…. Pra ailleurs, ce soir tu vas faire un pas de plus vers cet état de complète obéissance, d’abnégation pure, de servilité absolue. Monsieur Le Marquis nous a donné sept jours pour te mater, il en reste six. Tu dois obéir, met toi bien ça dans ta petite cervelle de sale bâtard !
La cuisinière prend alors un long martinet… et ce que je craignais, arrive. Elle commence à me frapper le dos et le cul. Mais elle est déchaînée, elle me zèbre les fesses de coups violents, me cinglant sans aucune modération. La brûlure des lanières est quasiment insupportable, alors je crie, j’hurle mais rien n'y fait. Je supplie alors que paradoxalement je me mets à bander fort …
- J’obéirai. … Je vous en supplie … J’obéirai…- Eh, la putain, tu t’adresses à qui, là ?, espèce le clébard idiot, me répond-elle avec un ton énervé- J’obéirai, Madame Marie. … Je vous en supplie … J’obéirai, Madame Marie …
La cuisinière pose le martinet, prends une espèce de baguette qui, je l’apprendrai plus tard s'appelle une badine, et là c’est horrible, une autre douleur horrible car elle me frappe sur mes fesses déjà meurtries et donc à la peau extrêmement sensible.... De fait, j’hurle de nouveau, je crie de douleur, je pleure comme un gosse en suppliant d’arrêter… Cinquante coups, cinquante coups sur ma peau fortement rougies, bleuies même et qui est complètement explosée ! Je suis anéanti par cette folle journée où j’étais tout simplement moi-même. Anéanti, mais heureux, oui heureux de vivre ce que je suis. J'ai sucé, j'ai été enculé, j'ai été nettoyé à la pisse, je pue le foutre, je suis plein de sperme séché et maintenant brisé par la violente douleur que m’inflige Madame Marie. Et pourtant je n’ai jamais été autant excité depuis que je vis tout cela, excité mentalement et physiquement, ma nouille est raide comme un I dressé pratiquement du matin au soir… Comprimé fortement dans sa cage ou à l’air libre, mes fortes érections sont figurantes… Quand elle s’arrête enfin, je pleure et je ne suis qu’une loque complètement brisée, je ne ressemble plus à rien, je n’ai plus aucune dignité et ça me rend tellement heureux de vivre cet état d’esclave, de chien… de n’être plus qu’un objet malléable qui doit apprendre à obéir à tout et qui, je le sais y arrivera très vite. Car j’en ai fortement besoin afin de m’épanouir dans ma servilité naturelle, dans ce qui fait ce que je suis, ce pourquoi je suis là…
- Tu dois obéir … obéir … obeirrrrr !, me rabâche encore et encore la Cuisinière avec force… Tu sers et tu vie uniquement pour obéir. Est-ce clair, sale petite merde ?
- Oui … Ma…Madame, je … je sers à obéir et …j’o … j’obéirai sans discuter.
C'est en pleurant que je lui réponds. Madame Marie monte s’asseoir alors sur une confortable et haute chaise rembourrée et écarte ses largement cuisses face à mon visage. Cette chaise surélevée fait penser au siège utilisé par les arbitres de tennis, ce qui lui permet de placer son entrecuisse au niveau de mon visage car je suis toujours suspendu à la poulie
- Vient me lécher, salope !
Sans perdre une seconde, malgré la douleur extrêmement violente que je ressens, je plonge mon visage entre ses cuisses. Et c’est en sueur que je lèche sa chatte humide en m’appliquant du mieux que je peux. Ma langue titille son clitoris et je pénètre ensuite mon appendice buccal entre les lèvres intimes de cette chatte odorante, avec ma langue que je souhaite la plus baladeuse possible. Je constate encore une fois que malgré ma terrible douleur, je bande encore plus fort et que je ressens un bienfait inexplicable. Je m’applique à la tâche encore de longues minutes …Elle finit par plaquer ma tête contre sa chatte et m’étouffe presque quand elle se met à jouir en lâchant plusieurs jets de cyprines que j'avale sans hésiter, j’en ai aussi le visage trempé. Puis la Cuisinière me repousse la tête en la tirant en arrière par mes cheveux, et m’exige en criant :
- Ouvre ta gueule, bâtard !
Puis Madame Marie s’avachit un peu plus dans son haut siège et voilà qu'elle me pisse dessus, elle me douche le visage de son urine qui coule le long de mon corps nu et suspendu. Son jet d’urine prend la forme ovalisé d’un arc-en-ciel pour finir en éclaboussures sur ma face de chien, sur et dans ma bouche qui ne peut pas tout avaler, vue l’abondance de sa pisse… Je ne suis vraiment plus rien, plus un homme et pourtant, j'avale du mieux que je peux cette urine avec excitation, ma nature servile se délecte de ce que ma vie d'homme aurait absolument rejeté ! Ensuite, Madame Marie descend de son haut siège, fait descendre le palan et me détache de la poulie pour m’ordonner :
- Nettoie salope ! Et je veux un plancher nickel.
Je me mets alors à quatre pattes et tel un bon chien, je lèche la pisse par terre jusqu’à dernière goutte. C’est long car la flaque est importante. Madame Marie s’impatientant, attrape mes cheveux et appuie sur mon crâne pour me mettre le nez dans la flaque…
- Ne traine pas, le chien… sinon je te frappe encore plus fort ton cul déjà bien bleui et douloureux…
Je prends peur car sadique comme elle est, Madame Marie serait bien capable de frapper encore une fois mes fesses trop sensibles par leur état enflammé. Alors je m’active du plus vite possible, mettant carrément la bouche dans la flaque et aspirant l’urine afin d’être plus rapide pour enfin finir en léchant ce qui reste… C’est infect à avaler, mais je me presse de finir quand j’entends :
- Maintenant, viens me nettoyer la chatte.
Je reste seulement de longues secondes immobiles, le temps de me remettre de ce breuvage immonde. Mais juste quelques secondes suffisent pour me faire réprimander. Alors elle relève mon visage, me regarde durement et me dit :
- Encore une désobéissance, … une hésitation,... un manquement et c'est Monsieur me Marquis, Lui-même, qui te corrigera et crois-moi, ce que tu viens de subir n'est rien à côté de ce que Monsieur Le Marquis t’infligera, bâtard !
La cuisinière me tire de nouveau par le collier et je passe ainsi sous la douche commune et sous le jet froid afin d'être nettoyé de la journée. Ensuite une gamelle est posée devant moi... Encore cette dégueulasse pâtée pour chien. Par peur et parce que j'ai faim, je me jette sur cette infâme bouillie et je mange tout jusqu'à laisser la gamelle complètement propre. Je réalise que depuis que je suis là, je suis nourri à la pâtée pour chien, au sperme et à la pisse. Je vais rapidement perdre du poids, si ça continue... Je suis ensuite jeté dans mon Cachot. Je n'ai plus du tout la notion du temps, je suis brisé, anéanti, je suis un être inférieur et je frotte ma cage contre le sol car malgré tout ce que j'ai vécu aujourd'hui, j'ai une envie terrible de me branler. Finalement, je m'endors dans un état de bien-être malgré ma terrible douleur au fessier. Ma nature servile a pris depuis longtemps le pouvoir et je ne sais plus ce que c'est qu'être un homme... Tout cela est tellement loin !... Je suis réveillé par les clés qui ouvrent ma cellule et après être conduit dehors pour faire mes besoins, je suis conduit à nouveau à la bâtisse Du Maitre pour la journée où je vais travailler et subir, subir et encore subir. La même journée que la veille. Je suis ramené le soir par Monsieur Walter et comme la veille je suis collant de sperme et de pisse car j’ai été utilisé, usé et abusé maintes fois. Mais je ne suis pas douché de suite. Monsieur Walter me fait entrer dans la grande salle de réception et là beaucoup des esclaves sont réunis. Comme eux, je me mets à genoux sans que mes fesses ne touchent mes talons, buste droit, mains dans le dos et tête baissée dans un très long silence, total, pesant et dans une impressionnante immobilité de chaque esclave, femelle comme mâle… Monsieur le Marquis entre au bout de 10 minutes et là comme un seul homme, dans un mouvement d’ensemble telle une parfaite chorégraphie, on se met tous en position prosterné, le cul relevé, les reins cambrés, les mains bien en avant, de manière prosternée. Le Maitre nous regarde, contemplant Son harem d'esclaves femelles et mâles.
- A genoux, tête baissée !
Nous revoilà tous à genoux. Puis le Châtelain enchaîne Son propos en parlant de Lui à la troisième personne du singulier :
- Comme on vous l'a dit, demain soir le Maitre organise une réception. Plusieurs amis mais surtout des êtres Supérieurs du Cercle du Maître, seront ici pour passer une agréable soirée. Une partie d'entre vous sera là pour servir les invités afin qu'ils ne manquent de rien. Une autre partie sera là pour subir et donner entière et pleine satisfaction aux Dominas et Dominants. Le Maître n'acceptera aucun refus, aucune discussion... Vous subirez ! Vous existez pour cela ! Le Maître a donné les directives claires à Monsieur Walter et Madame Marie. Cette soirée sera réussie et il vaut mieux pour vous. Faîtes honneur au Maître…
Puis avant de repartir, le Maitre vient caresser la tête d'une très belle et jeune esclave femelle aux tétons annelés et à l’épais collier de métal qui orne son cou.
- Toi, Ma belle salope, tu seras bien utilisée, demain. Tu l’as largement méritée en m’étant d’une parfaite obéissance…
Puis s'approchant de moi
- Toi le bâtard, tu seras très surpris, mais je te préviens, soit très obéissant !
Le Maitre me donne un coup de cravache sur le cul qui me jette à terre et me rappelle ma vive douleur.
Dès que Le Maitre est parti, on entend Madame Marie, élever la voix :
- Bande de sales vermines, maintenant vous allez bien écouter, je ne me répéterai pas. Vous n'êtes que des putes et vous allez déguster. Ceux qui seront désignés pour servir les Dominants me suivront et les autres resteront ici, avec Monsieur Walter.
Je suis désigné avec d'autres pour servir à table pendant la soirée. Je suis donc Madame Marie jusqu'à une grande pièce et là, à genoux, mains dans le dos, j'écoute avec mes compagnons de soumissions, les ordres de la Cuisinière.
- Vous serez deux serviteurs par table. Les membres présents du Cercle des Supérieurs ne doivent jamais manquer de rien. Vous serez debout, chacun d'un côté de la table. Dès qu'un verre est vide, vous le remplissez. Dès qu'un Supérieur veut un plat, vous le servez… Si par hasard, une ou Supérieur prenait envie de vous utiliser, vous vous laissez faire et vous obéissez à toute exigence. Tout au long de la soirée, vous restez proches des Supérieurs que vous aurez servis à table et vous serez toujours disponible pour remplir leur café, champagne ou autre. Vous devez les servir, ce sont vos supérieurs, des êtres supérieurs et Dominants. Vous leur devez une obéissance absolue et une soumission totale. Si vous êtes utilisez, vous subissez sans broncher. S'il réclame un cigare vous courrez en cherchez un, Toujours prêt à obéir. Quand un Dominant ira aux toilettes, l'un des deux le suivra et s'il exige de le nettoyer, vous vous exécuterez, sans aucune hésitation. Vous n'êtes rien d'autres que des esclaves au service des Supérieurs. Les chiens, vos cages seront enlevées pour la soirée mais si l'un d'entre vous et surpris en train de se toucher la nouille, il sera battu, lourdement corrigé devant tout le monde. Si Monsieur le Marquis le décide, peut-être que vous pourrez vider vos sales couilles de vermine.
Après ses consignes, je suis conduit de nouveau dans mon cachot. Je pense que je vais être nu et servir des personnes vêtues, que je vais être leur esclave... Cela me fait bander comme jamais. Je sens maintenant un profond bien-être m’envahir. Et posant ma tête à même le sol, je me dis que c'est là ma place. Je m'endors avec une terrible envie de me branler et de vider mes couilles, mais cette cage de chasteté me rappelle à chaque instant ce que je suis…
(A suivre …)
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