La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1684)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1684) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1684)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1665) -
… ce bucheron du village qui sera sévèrement sanctionné car tous les habitants du village inféodés devaient obéissance à leur Seigneur, en respectant toutes les règles établies, comme dans toutes les seigneuries de l’époque...

- Comment ce satané Grégoire a dit à Ma soumise qu’elle était à lui et en plus il a failli Me l’abimer. Il va le regretter, croyez-Moi.

Ensuite le Seigneur d’Evans s’enquit des nouvelles de Marie qui reprenait des couleurs aux cuisines où Angélique essayait de la faire manger. Voyant le Maître arriver, elle se jeta à Ses pieds, en pleurant.

- Oh, Maitre, je ne sais pas ce qui s’est passé. Ça a été si vite que je ne sais pas ce que j’ai fait de mal.
- Marie, Ma belle, ce qui est arrivé n’est en aucun cas de ta faute. Comme j’ai bien fait de te faire surveiller par Messire Léon.

Marie demanda la parole en joignant les mains. Le Maître l’autorisa à parler.

- Maître, comment va Aloi ? C’est lui qui s’est interposé, il a pris le coup à ma place.
- Je ne vais pas te mentir, sa blessure est assez sérieuse. Mais Chloris est sûre de pouvoir sauver son œil. Il faut attendre pour connaitre les éventuelles séquelles.

Angélique osa demander ce que tout le monde se demandait.

- Et pour Grégoire? Que prévoyez-Vous ?
- Celui-là qu’il reste au Cachot, jusqu’à ce que je décide de son sort…
Le soir venu, ce fut exceptionnellement Marion qui passa la soirée et la nuit avec Messire Léon. Marion se trouvait donc dans les appartements de ce dernier qui s’entretenait avec le Seigneur d’Evans à quelques mètres d’elle.

- Bien je vais vous laisser, Marion je compte sur toi, il ne te reste que deux jours à tenir sans jouir, lui rappelait le Maître - Oui Maitre, je ne Vous décevrai pas.

Le Seigneur d’Evans allait sortir, quand Messire Léon lui demanda :
- Seigneur, voudriez-Vous rester un moment, j’ai scrupule à Vous priver de Votre favorite, cette nuit.
- Tu ne M’en prives pas, c’est Ma volonté. Ceci dit pourquoi ne pas passer un moment avec vous deux ! Après tout, il est encore tôt.

Le Seigneur d’Evans s’assit sur une haute chaise ressemblant plus à un trône.

- Marion va donc faire chauffer un peu d’eau sur le feu et tu trouveras des herbes à infusion dans ce placard. Tu peux en faire une pour toi, mais tu la boiras après.

Quand l’eau fut chaude, elle la versa dans des coupes en métal qui servaient en guise de tasses et apporta l’infusion bien chaude au Maître et à Messire Léon. A ce moment-là, le Seigneur d’Evans claqua des doigts signifiant ainsi à Marion de venir entre Ses jambes lui faire une de ses fellations dont elle avait le secret. Une fois le Joyau du Maître libéré, elle se mit au travail avec amour, délicatesse et dévotion en déposant sur le gland violacé une multitude de petits bisous humides, baisers qui descendaient ensuite sur toute la hampe déjà en semi-érection. Messire Léon, quant à lui, se mit derrière Marion et entreprit de la doigter constatant ainsi sa forte humidité, humidité qui ne la quittait plus depuis quelques jours, n’ayant pas eu droit à l’orgasme. Marion continuait de lécher la hampe du Maître sur toute sa hauteur afin de bien l’humidifier avant de réellement le prendre totalement en bouche. Marion faisait des va-et-vient, passant sa langue sur toute la hampe, sentant chaque veine et s’attardant sur le gland gorgé de sang. Soudain ce fut Messire Léon fort excité qui pénétra sa chatte tellement trempée qu’il y entra comme dans du beurre. Cela continua un bon moment. Marion restait attentive aux gémissements et plaisirs de l’un et de l’autre.

Quand Messire Léon augmenta la cadence de ses coups de reins profonds, elle fit de même avec son bassin afin d’accentuer la copulation à la rendre plus charnelle encore. Et presque en même temps, le Maître saisit la tête de Sa soumise et Messire Léon lui agrippa fermement les hanches, chacun imposant son propre rythme. A ce moment-là Marion n’était rien d’autre qu’une marionnette prise en sandwich comme deux simples trous à bourrer, mais elle aimait se sentir ainsi impuissante entre les mains du Maître ou de toutes autres personnes à qui Il la confiait. Après quelques minutes où Marion dû déployer toute sa force de caractère et de dévotion pour ne pas craquer à jouir, les deux Dominants éjaculèrent quasiment en même temps dans un concert de longs et bruyants râles orgasmiques. Marion avala le tout avec délectation et un plaisir évident car étant privée de toute jouissance, recevoir la noble Semence du Maître était en ce moment son plaisir et un réel bonheur de Lui procurer l’éjaculation. Ensuite elle nettoya le Maître et Messire Léon très méticuleusement avec sa langue baladeuse à ne laisser aucune trace de sperme mélangée à ses sécrétions vaginales. Le Maître termina Son infusion et quitta la pièce. Messire Léon dit à Marion d’aller se reposer devant le feu de la cheminée et qu’il la rejoindrait bientôt. Quand ils furent tous les deux sur le moelleux tapis devant le vif feu, Marion ne put s’empêcher de sourire.

- Pourquoi ce sourire ?, interrogea Messire Léon.
- Oh, je repensais juste au temps où j’étais toute jeune soumise et au nombre de fois où je me suis retrouvée dans cette pièce car vous vous occupiez en grande partie de mon éducation.
- Oui en effet, nous avons passé beaucoup de jours et de nuits ensemble à cette époque.
- Puis-je m’exprimer librement ?
- Oui, je t’y autorise.
- Eh bien, à cette époque, j’avoue que j’avais un petit faible pour vous.

Et sur un ton faussement choqué.

- Donc aujourd’hui, tu ne me trouves plus attirant.
- Non Messire, ce n’est pas ça, c’est juste que les temps et les choses ont changé et évolué. Vous avez épousé Lucie, je suis devenue la favorite du Maître. J’avais à peine 19 ans à l’époque. Je vous trouve toujours séduisant mais mon amour est pour le Maître et le sera pour toujours.
- Ne t’inquiète pas je te comprends parfaitement, mais en attendant cette nuit est à nous et je compte bien en profiter.
- Oui Messire, cette nuit je suis toute à vous car c’est la Volonté du Maître.

Messire Léon savait très bien qu’après cette petite partie de jambes en l’air entre le Maître, lui-même et Marion où elle avec déjà dû lutter contre l’orgasme, qu’il voulait lui laisser un moment de répit. Il lui embrassa le visage, les yeux, le nez et déposa une trainée de bisous du lobe de son oreille, tout le long de sa mâchoire jusqu'à embrasser ses lèvres légèrement entre ouvertes. Marion fermait les yeux savourant ce moment de douceur. Un moment plus tard, Messire Léon la fit se mettre à quatre pattes et lui mit son collier et sa laisse et l’emmena à sa suite à l’extérieur à la fraicheur de la nuit. Arrivés auprès d’un gros arbre, il lui exigea :
- Pisses, la chienne, c’est le moment, pisses donc !

Marion se mit en position pour uriner comme une chienne animale. Puis, ils reprirent leur chemin et Messire Léon l’emmena dans une petite maison, comme il en avait beaucoup à cette époque dans le parc et les bois environnants. Il lui expliqua quand il était enfant que cette maisonnette appartenait à ses parents. Il poursuivit, lui disant que cette maison n’était plus habité mais toujours entretenue car très bientôt il allait peut-être y revenir.

- Bien sûr, elle a besoin de quelques travaux, mais rien de très conséquent.

Messire Léon la fit entrer, il avait prévu de l’emmener ici car il y avait un bon feu dans l’âtre et des chandelles neuves éclairant la pièce où ils se trouvaient. Messire Léon allongea Marion sur le dos et sur la longue et massive table de la cuisine et commença à la caresser sur tout son corps nue et offert. Ensuite, il décida de lui bander les yeux et d’attacher ses poignets au-dessus de sa tête et de les fixer à une épaisse barre de fer tendue sur toute la largeur de la pièce entre deux poutres. Puis il lui ordonna d’écarter largement les jambes au maximum mais pour le moment elle pouvait les laisser étendues.

Messire Léon lui caressa tout le haut du corps, les bras, le visage, le cou, le ventre et ses seins qu’il prit en main en se souvenant qu’à l’époque ils les trouvaient parfaitement proportionnés juste à la taille de ses mains et constata, en les massant, que cela n’avait pas changé. Les tétons très réceptifs de Marion ne tardèrent pas à réagir en durcissant et en pointant fièrement voir avec insolence vers le haut. C’est à ce moment-là que Messire Léon en pris un dans sa bouche le suçant, tétant, titillant de sa langue et mordillant entre ses dents tandis qu’il jouait avec l’autre, pinçant entres son pouce et son index, le tordant puis le caressait doucement avant de recommencer. Il joua ainsi un moment avant d’échanger ses mains et sa bouche. Marion se sentait si bien, certes inondée de plaisir, trempée à l’extrême mais contenant assez facilement, pour le moment, l’orgasme qui montait doucement en elle. La fatigue aidant, elle somnolait presque car étant dans le noir complet avec ses yeux bandés, bien au chaud devant le feu, en partie, et les mains de Messire Léon la délassait agréablement bien. Lui, en revanche n’avait pas du tout sommeil. Revoir Marion, ici, dans sa maison natale, l’avait ramené des années en arrière et il se sentait redevenu un jeune homme, qu’il était toujours resté dans sa tête, plein d’envies et d’imagination et toujours avec une forte libido et belle virilité. Soudain Marion fut tirée de sa somnolence par une chose humide qui pénétrait sa chatte, coulante de cyprine, c’était la langue de Messire Léon.

- Exceptionnellement, aujourd’hui c’est moi qui va nettoyer ta chatte de salope en chaleur, tu coules comme une rivière, une délicieuse rivière, belle chienne en chaleur…
Marion se permit de répondre :
- Hummm… Ouiiiiiiiii… ! C’est vous, Messire, qui me mettez dans un état pareil… Ouiiiiiiiii… !

Messire Léon avait d’abord voulu la pénétrer directement mais finalement il changea d’avis. La chatte de Marion était tellement trempée, dégoulinante d’une abondante cyprine qu’il savait qu’il la baiserait d’un simple et profond coup de boutoir. Mais il voulait la faire languir, l’entendre gémir et surtout l’entendre le supplier de la prendre. C’est ainsi que sans la pénétrer qu’il frotta son gros gland sur sa fente aux lèvres intimes fortement gonflées. Il était plein d’envie exprimée par sa forte érection d’une verge tendue à l’extrême. Mais il se retint de la pénétrer, alors frottant toujours cette fente trempée sans trop appuyer, il s’assura qu’elle le sente bien quand même afin de l’exciter encore plus, même si cela n’était pas nécessaire, vu l’état de jouissance. L’effet qu’il espérait obtenir ne se fit pas attendre longtemps, Marion gémissait, essayait en levant son bassin de le sentir plus fort en elle, d’encourager la copulation, de provoquer la pénétration, mais c’était peine perdue. Messire Léon l’empêchait de bouger et la pauvre Marion ne pouvait que se tortiller et gémir d’excitation exacerbée. Mais elle savait qu’il attendait qu’elle le supplie de se faire prendre. Et comme elle n’en pouvait plus de cette délicieuse mais insoutenable torture, elle céda dans la supplication :
- Pitié Messire, prenez-moi, baisez-moi fort… Je vous en supplie, par pitié, s’il vous plait, possédez-moi de votre grosse verge...

(A suivre …)

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