La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1686)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1686)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode précédent N°1685) -
Quand le grand jour de l’ouverture du tournoi de Domination/soumission arriva …
NDLA: Pour des raisons de facilité de compréhension et de narration, seules les finales vont être racontées.
Pour l’épreuve N°1 :La corde. Les finalistes étaient 5 soumis du Comte François de Namur (équipe rouge) et 5 du Duc du Vivarais (équipe bleue). Les règles étaient simples, les vainqueurs seraient ceux qui tirant sur la corde la faisait entièrement passer de leur côté, si l’un ou l’autre venait à perdre son olisbos anal (plug) la partie serait terminée pour lui et son équipe se verrait privée d’une paire de bras. Comme annoncé, les 10 soumis finalistes eurent des pinces mordantes aux tétons et un olisbos anal. Le jour de la finale, la lutte fut rude car c’était là, les meilleurs et les plus forts. Rien n’était certain, car quand une équipe prenait de l’avance, l’autre redoublant d’effort reprenait l’avantage. Soudain, le premier soumis bleu, une véritable masse de muscles devant peser dans les 120 kgs voulu s’aider en levant une jambe pour appuyer de son pied sur la poutre centrale et son olisbos anal tomba. Les bleus désormais n’étaient plus que 4 contre 5 rouge et au bout d’une lutte longue et pénible, l’équipe rouge finit par remporter la partie. Le Comte de Namur fut déclaré vainqueur pour l’épreuve de la corde.
Pour l’épreuve N°2 :L’abstinence. Il ne restait pour la finale que 10 soumis et 7 soumises dont Marion qui depuis sa punition d’interdiction de jouissance pendant un mois était devenue experte dans l’art de se retenir. Les candidats se trouvèrent dans une sorte d’arène-fosse, là où se passaient d’habitude les joutes et tournois de chevaliers, entourée de gradins pour les spectateurs. Pour l’occasion, les autres soumises et soumis autorisés par le Maître auquel ils appartenaient ou n’ayant pas d’autres occupations pouvaient assister au spectacle, et soutenir leurs sœurs et frères participants à l’épreuve. Ce fut une véritable orgie, il était impossible de distinguer qui était avec qui dans cet amas de corps nus copulant à outrance, sans aucune modération, on forniquait à tout va. Après un certain temps, il ne restait que Marion, Louise et Morgane et 4 soumis dont 3 d’une autre Seigneurie, celle d’Anjou. Marion fit jouir son frère de soumission par une fellation dont elle avait le secret et donc il fut éliminé. Louise baisée par deux orifices à la fois, finit par craquer dans un explosif orgasme. Morgane se faisait lécher par un soumis tandis que les deux autres utilisaient Marion, l’un lui titillait er mordillait ses tétons dressés, l’autre lui baisait la chatte avec un doigt dans son cul déjà bien dilaté, puis deux, puis trois, tout en cadençant ses va-et-vient profonds… Même très excitée, elle arriva à tenir bon quand celui dans sa chatte jouit abondamment avant que l’autre ne suive dans des râles intenses. Morgane jouit, elle aussi, sous les coups de langues agiles du soumis visiblement expert à l’utilisation de son appendice buccale.
Finalement, il ne resta que Marion et un certain Hubert, grand et visiblement très viril. A côté, Marion se sentait minuscule et, de fait, on aurait dit David contre Goliath. Mais comme pour eux, la taille et la force ne firent pas tout. Il se saisit de Marion comme d’une plume et la plaqua au sol l’empêchant sous son poids le moindre mouvement, elle se croyait perdue, d’un seul coup de reins puissants, il plongea au fond de son intimité son membre tendu à l’extrême et d’une longueur hors normes. Marion était sur le point de lâcher prise et laisser exploser son orgasme, car cet homme même s’il était quelque peu violent lui procurait un maximum de plaisir. Elle croisa un instant le regard encourageant du Maître qui lui redonna instantanément du courage mais pour combien de temps à tenir sans jouir. Il faillait qu’elle se dégage de ce colosse, autrement c’était la faut assurée et la perte de cette finale. Le soumis qui la besognait à grands coups de boutoirs digne d’un étalon décida de la mettre en levrette et là, elle eut une idée osée mais c’était là, sa seule chance : Hubert la prenait par derrière allant de sa chatte à son cul et de son cul à sa chatte sentant que lui aussi luttait à ne pas éjaculer, elle hurla comme si elle jouissait mais il n’en était rien, cela se voyait sur son visage. Mais le soumis derrière elle, ne vit pas son visage et crut effectivement avoir réussi et se retirant, il lui jouit sur son cul et dans le creux des reins au bas du dos, dans le but de l’humilier encore plus avant de se rendre compte qu’il s’était fait avoir. Marion avait gagné et grâce à elle, le Seigneur d’Evans était déclaré le vainqueur de cette épreuve.
Pour l’épreuve N°3 :Les olisbos : Il y aurait deux finales : Une finale femelles et une finale mâles car physiquement parlant, les mâles ayant plus de force. Cela étant, les deux finalistes mâles et femelles devraient s’affronter par la suite lors de la finale des deux finales. Et pour cela, il était néanmoins prévu que la femelle soit suspendue 5 minutes après le mâle. Les derniers finalistes furent une soumise nommée Anne de la Seigneurie de Bâle et un soumis nommé Elian qui venait de la Seigneurie de Gascogne, et de ce fait, ils ne se connaissaient pas. La femelle pouvait également choisir entre un olisbos anal ou vaginal et par souci d’équité par rapport à son adversaire, elle choisit l’anal et demanda aussi à ne pas bénéficier des 5 minutes octroyées car elle estimait qu’une soumise digne de ce titre n’avait pas de traitement de faveur. Et qu’elle était tout aussi capable qu’un mâle à remporter la victoire pour son Seigneur. Quelques jours plus tard, le Maître, le Seigneur de Bâle, qui la soumettait lui dit :
- Tu refuses les 5 minutes ? Alors je suis d’accord mais je te préviens si tu perds, tu seras très sévèrement sanctionnée car tu m’auras déshonoré en refusant ce qui a été décidé pour les femelles et par équité.
- Maître, Vous me connaissez depuis bien des années. Vous savez que je peux supporter d’avoir le cul encombré même plusieurs heures.
- C’est vrai, mais tu seras suspendue dans le vide et je ne t’ai pas entrainé à supporter la douleur que tu ressentiras dans les bras et les épaules.
- Vous, peut-être pas, mais…
soumise Anne ne put continuer son explication car les finalistes étaient appelés au centre de la cour du Château. On leur expliqua une dernière fois les règles (à garder le plus longtemps possible l’olisbos sans le faire tomber étant suspendu (e) dans le vide). Le perdant serait celui ou celle qui ferait tomber son olisbos ou mettrai fin à l’épreuve en cas de trop fortes douleurs. On mit en place les olisbos et par un savant mécanisme de poulies et cordes suspendues, ils furent eux-mêmes suspendus au-dessus du sol. Anne était résistante, ce qu’elle n’avait pas eu le temps de dire était que sans olisbos évidemment, petite, elle jouait souvent à ce jeu avec ses jeunes frères et sœurs et qu’elle gagnait toujours à ce jeu-là. Mais ils n’étaient que des enfants et aujourd’hui son adversaire était un adulte dans la force de l’âge. Après plusieurs longues minutes, tous deux seraient les dents, essayaient de souffler et se détendre tout en gardant les fesses serrées, contractées. Anne résistait et n’était pas une personne à abandonner si facilement la partie. Pour contrer la douleur, elle fermait les yeux et pensait au Maître à qui elle appartenait. Après environ 1 heure, le soumis Elian s’exclama de douleurs tout en criant à tue-tête :
- Aïe ! Aïe ! Aïe !.. Stooooop, j’abandonne, ça fait trop mal… elle a gagné !
Vaincu, il expulsa volontairement son olisbos. Ils furent détachés et conduits dans une pièce aménagée en une infirmerie pour qu’ils puissent se reposer. Anne malgré de fortes douleurs s’en tira bien. Quant à Elian, lui, avait des membres déboités et devrait rester immobilisé le temps de consolider les membres, une fois remis en place... Le Seigneur de Bâle fût très fier de sa soumise Anne et il le lui fit savoir en lui octroyant sa couche durant 1 mois entier ; en guise de récompense.
Pour l’épreuve N°4 :L’endurance – Pour rappel : Etre attachés (ées) par les poignets et sur la pointe des pieds avec poids aux tétons et aux lèvres vaginales, ou à la base des couilles pour les mâles, tout en étant fouettés (ées) au martinet. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné. Pour cette finale, il y avait 3 finalistes et ce fut trois femelles ! Toutes trois étaient déjà qualifiées et l’épreuve qu’elles allaient maintenant subir servait uniquement à attribuer les points à savoir 15 pour la première, 10 pour la seconde et 5 pour la troisième. Ces points seraient ajoutés à ceux déjà récoltés par les membres gagnants appartenant à la même Seigneurie. Les finalistes étaient donc Louise pour le Grand-Duché de Beaujeu-Saint Hymer, Mathilde pour le Comté d’Annecy et enfin Marie pour le Duché d’Aquitaine. Les trois femelles furent donc attachées par les poignets sur la pointe des pieds et les différents poids furent placés. Chacune avait droit à un moment avec le Maître respectif à qui elles appartenaient qui lui ne serait que spectateur et surveillant afin de ne pas favoriser l’une ou l’autre, ce serait un Dominant tiré au sort pour manier le martinet. Antonin fût désigné pour Marie, un certain Eloi pour Louise et Louis, un ami de longue date du Seigneur d’Evans et d’Antonin, pour Mathilde. Le Seigneur d’Evans disait à Louise avant de la quitter.
-Je sais que tu supportes très bien le martinet mais je ne connais pas bien cet Eloi, qui a été désigné pour toi, il se peut qu’il soit sadique alors si c’est le cas fais de ton mieux à ne pas jouir dans tous les cas et quoi qu’il advienne je suis fier de toi.
- Merci Maître je Vous promets de faire de mon mieux pour Vous faire remporter ce tournois D/s.
Ensuite les Dominants s’avancèrent martinet à la main affichant un regard neutre et ils commencèrent dans une synchronisation parfaite. Les trois soumises étaient comme anesthésiées. On aurait presque dit qu’elles ne sentaient rien mais plus le temps passait et les coups pleuvaient, elles supportaient de plus en plus difficilement de ne pas jouir. Mathilde dont l’ami du Seigneur d’Evans s’occupait fut la première à craquer et par un cri de douleur mélangé à des cris d’un orgasme violent mit fin à l’épreuve pour elle. Louis la détacha pour l’emmener à l’infirmerie pour soigner les stries qui marquaient son corps. Et ça faisait donc 5 points pour le Comté d’Annecy. Entre Louise et Marie, elles étaient toutes deux sur le point de craquer mais résistait avec une détermination hors du commun. Soudain dans le dos de Marie fouettée par Antonin apparu une petite goutte de sang. Antonin stoppa net ses coups et Eloi aussi se demandant ce qui se passait pour qu’il stoppe aussi soudainement…
(A suivre …)
Quand le grand jour de l’ouverture du tournoi de Domination/soumission arriva …
NDLA: Pour des raisons de facilité de compréhension et de narration, seules les finales vont être racontées.
Pour l’épreuve N°1 :La corde. Les finalistes étaient 5 soumis du Comte François de Namur (équipe rouge) et 5 du Duc du Vivarais (équipe bleue). Les règles étaient simples, les vainqueurs seraient ceux qui tirant sur la corde la faisait entièrement passer de leur côté, si l’un ou l’autre venait à perdre son olisbos anal (plug) la partie serait terminée pour lui et son équipe se verrait privée d’une paire de bras. Comme annoncé, les 10 soumis finalistes eurent des pinces mordantes aux tétons et un olisbos anal. Le jour de la finale, la lutte fut rude car c’était là, les meilleurs et les plus forts. Rien n’était certain, car quand une équipe prenait de l’avance, l’autre redoublant d’effort reprenait l’avantage. Soudain, le premier soumis bleu, une véritable masse de muscles devant peser dans les 120 kgs voulu s’aider en levant une jambe pour appuyer de son pied sur la poutre centrale et son olisbos anal tomba. Les bleus désormais n’étaient plus que 4 contre 5 rouge et au bout d’une lutte longue et pénible, l’équipe rouge finit par remporter la partie. Le Comte de Namur fut déclaré vainqueur pour l’épreuve de la corde.
Pour l’épreuve N°2 :L’abstinence. Il ne restait pour la finale que 10 soumis et 7 soumises dont Marion qui depuis sa punition d’interdiction de jouissance pendant un mois était devenue experte dans l’art de se retenir. Les candidats se trouvèrent dans une sorte d’arène-fosse, là où se passaient d’habitude les joutes et tournois de chevaliers, entourée de gradins pour les spectateurs. Pour l’occasion, les autres soumises et soumis autorisés par le Maître auquel ils appartenaient ou n’ayant pas d’autres occupations pouvaient assister au spectacle, et soutenir leurs sœurs et frères participants à l’épreuve. Ce fut une véritable orgie, il était impossible de distinguer qui était avec qui dans cet amas de corps nus copulant à outrance, sans aucune modération, on forniquait à tout va. Après un certain temps, il ne restait que Marion, Louise et Morgane et 4 soumis dont 3 d’une autre Seigneurie, celle d’Anjou. Marion fit jouir son frère de soumission par une fellation dont elle avait le secret et donc il fut éliminé. Louise baisée par deux orifices à la fois, finit par craquer dans un explosif orgasme. Morgane se faisait lécher par un soumis tandis que les deux autres utilisaient Marion, l’un lui titillait er mordillait ses tétons dressés, l’autre lui baisait la chatte avec un doigt dans son cul déjà bien dilaté, puis deux, puis trois, tout en cadençant ses va-et-vient profonds… Même très excitée, elle arriva à tenir bon quand celui dans sa chatte jouit abondamment avant que l’autre ne suive dans des râles intenses. Morgane jouit, elle aussi, sous les coups de langues agiles du soumis visiblement expert à l’utilisation de son appendice buccale.
Finalement, il ne resta que Marion et un certain Hubert, grand et visiblement très viril. A côté, Marion se sentait minuscule et, de fait, on aurait dit David contre Goliath. Mais comme pour eux, la taille et la force ne firent pas tout. Il se saisit de Marion comme d’une plume et la plaqua au sol l’empêchant sous son poids le moindre mouvement, elle se croyait perdue, d’un seul coup de reins puissants, il plongea au fond de son intimité son membre tendu à l’extrême et d’une longueur hors normes. Marion était sur le point de lâcher prise et laisser exploser son orgasme, car cet homme même s’il était quelque peu violent lui procurait un maximum de plaisir. Elle croisa un instant le regard encourageant du Maître qui lui redonna instantanément du courage mais pour combien de temps à tenir sans jouir. Il faillait qu’elle se dégage de ce colosse, autrement c’était la faut assurée et la perte de cette finale. Le soumis qui la besognait à grands coups de boutoirs digne d’un étalon décida de la mettre en levrette et là, elle eut une idée osée mais c’était là, sa seule chance : Hubert la prenait par derrière allant de sa chatte à son cul et de son cul à sa chatte sentant que lui aussi luttait à ne pas éjaculer, elle hurla comme si elle jouissait mais il n’en était rien, cela se voyait sur son visage. Mais le soumis derrière elle, ne vit pas son visage et crut effectivement avoir réussi et se retirant, il lui jouit sur son cul et dans le creux des reins au bas du dos, dans le but de l’humilier encore plus avant de se rendre compte qu’il s’était fait avoir. Marion avait gagné et grâce à elle, le Seigneur d’Evans était déclaré le vainqueur de cette épreuve.
Pour l’épreuve N°3 :Les olisbos : Il y aurait deux finales : Une finale femelles et une finale mâles car physiquement parlant, les mâles ayant plus de force. Cela étant, les deux finalistes mâles et femelles devraient s’affronter par la suite lors de la finale des deux finales. Et pour cela, il était néanmoins prévu que la femelle soit suspendue 5 minutes après le mâle. Les derniers finalistes furent une soumise nommée Anne de la Seigneurie de Bâle et un soumis nommé Elian qui venait de la Seigneurie de Gascogne, et de ce fait, ils ne se connaissaient pas. La femelle pouvait également choisir entre un olisbos anal ou vaginal et par souci d’équité par rapport à son adversaire, elle choisit l’anal et demanda aussi à ne pas bénéficier des 5 minutes octroyées car elle estimait qu’une soumise digne de ce titre n’avait pas de traitement de faveur. Et qu’elle était tout aussi capable qu’un mâle à remporter la victoire pour son Seigneur. Quelques jours plus tard, le Maître, le Seigneur de Bâle, qui la soumettait lui dit :
- Tu refuses les 5 minutes ? Alors je suis d’accord mais je te préviens si tu perds, tu seras très sévèrement sanctionnée car tu m’auras déshonoré en refusant ce qui a été décidé pour les femelles et par équité.
- Maître, Vous me connaissez depuis bien des années. Vous savez que je peux supporter d’avoir le cul encombré même plusieurs heures.
- C’est vrai, mais tu seras suspendue dans le vide et je ne t’ai pas entrainé à supporter la douleur que tu ressentiras dans les bras et les épaules.
- Vous, peut-être pas, mais…
soumise Anne ne put continuer son explication car les finalistes étaient appelés au centre de la cour du Château. On leur expliqua une dernière fois les règles (à garder le plus longtemps possible l’olisbos sans le faire tomber étant suspendu (e) dans le vide). Le perdant serait celui ou celle qui ferait tomber son olisbos ou mettrai fin à l’épreuve en cas de trop fortes douleurs. On mit en place les olisbos et par un savant mécanisme de poulies et cordes suspendues, ils furent eux-mêmes suspendus au-dessus du sol. Anne était résistante, ce qu’elle n’avait pas eu le temps de dire était que sans olisbos évidemment, petite, elle jouait souvent à ce jeu avec ses jeunes frères et sœurs et qu’elle gagnait toujours à ce jeu-là. Mais ils n’étaient que des enfants et aujourd’hui son adversaire était un adulte dans la force de l’âge. Après plusieurs longues minutes, tous deux seraient les dents, essayaient de souffler et se détendre tout en gardant les fesses serrées, contractées. Anne résistait et n’était pas une personne à abandonner si facilement la partie. Pour contrer la douleur, elle fermait les yeux et pensait au Maître à qui elle appartenait. Après environ 1 heure, le soumis Elian s’exclama de douleurs tout en criant à tue-tête :
- Aïe ! Aïe ! Aïe !.. Stooooop, j’abandonne, ça fait trop mal… elle a gagné !
Vaincu, il expulsa volontairement son olisbos. Ils furent détachés et conduits dans une pièce aménagée en une infirmerie pour qu’ils puissent se reposer. Anne malgré de fortes douleurs s’en tira bien. Quant à Elian, lui, avait des membres déboités et devrait rester immobilisé le temps de consolider les membres, une fois remis en place... Le Seigneur de Bâle fût très fier de sa soumise Anne et il le lui fit savoir en lui octroyant sa couche durant 1 mois entier ; en guise de récompense.
Pour l’épreuve N°4 :L’endurance – Pour rappel : Etre attachés (ées) par les poignets et sur la pointe des pieds avec poids aux tétons et aux lèvres vaginales, ou à la base des couilles pour les mâles, tout en étant fouettés (ées) au martinet. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné. Pour cette finale, il y avait 3 finalistes et ce fut trois femelles ! Toutes trois étaient déjà qualifiées et l’épreuve qu’elles allaient maintenant subir servait uniquement à attribuer les points à savoir 15 pour la première, 10 pour la seconde et 5 pour la troisième. Ces points seraient ajoutés à ceux déjà récoltés par les membres gagnants appartenant à la même Seigneurie. Les finalistes étaient donc Louise pour le Grand-Duché de Beaujeu-Saint Hymer, Mathilde pour le Comté d’Annecy et enfin Marie pour le Duché d’Aquitaine. Les trois femelles furent donc attachées par les poignets sur la pointe des pieds et les différents poids furent placés. Chacune avait droit à un moment avec le Maître respectif à qui elles appartenaient qui lui ne serait que spectateur et surveillant afin de ne pas favoriser l’une ou l’autre, ce serait un Dominant tiré au sort pour manier le martinet. Antonin fût désigné pour Marie, un certain Eloi pour Louise et Louis, un ami de longue date du Seigneur d’Evans et d’Antonin, pour Mathilde. Le Seigneur d’Evans disait à Louise avant de la quitter.
-Je sais que tu supportes très bien le martinet mais je ne connais pas bien cet Eloi, qui a été désigné pour toi, il se peut qu’il soit sadique alors si c’est le cas fais de ton mieux à ne pas jouir dans tous les cas et quoi qu’il advienne je suis fier de toi.
- Merci Maître je Vous promets de faire de mon mieux pour Vous faire remporter ce tournois D/s.
Ensuite les Dominants s’avancèrent martinet à la main affichant un regard neutre et ils commencèrent dans une synchronisation parfaite. Les trois soumises étaient comme anesthésiées. On aurait presque dit qu’elles ne sentaient rien mais plus le temps passait et les coups pleuvaient, elles supportaient de plus en plus difficilement de ne pas jouir. Mathilde dont l’ami du Seigneur d’Evans s’occupait fut la première à craquer et par un cri de douleur mélangé à des cris d’un orgasme violent mit fin à l’épreuve pour elle. Louis la détacha pour l’emmener à l’infirmerie pour soigner les stries qui marquaient son corps. Et ça faisait donc 5 points pour le Comté d’Annecy. Entre Louise et Marie, elles étaient toutes deux sur le point de craquer mais résistait avec une détermination hors du commun. Soudain dans le dos de Marie fouettée par Antonin apparu une petite goutte de sang. Antonin stoppa net ses coups et Eloi aussi se demandant ce qui se passait pour qu’il stoppe aussi soudainement…
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