La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1688) - histoire érotique

Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1687) –
- … Et ce bâtard sera là pour bien voir sa salope de femme se faire baiser par de vrais hommes virils...

Les trois se mettent alors à se moquer et moi, je suis complètement brisé, anéanti mais plus que cela je suis complètement troublé de sentir ma nouille dure et tendue comme jamais.

- Regarde comme il bande, ce bâtard, tu vois c'est leur nature, ils ont besoin d'être traité ainsi toute ces salopes.
- On parle de baiser sa femme et ça le fait bander, ce chien… enchérit Maxime.
- Vraiment, je n'aurais jamais pensé qu'il était comme ça !, rajoute Mireille.
- Et pourtant, chère Mireille, tu as devant toi un vrai spécimen de soumis-esclave, lui répond le Noble.
- Ceci dit, ce bâtard n’aurait jamais pensé que nous sommes des Dominants, rajoute Maxime avec un sourire pervers à mon égard en précisant : - Celui-là, il va devenir une véritable putain pour Dominants…
Ils rient tous les trois pendant que mon directeur appuie sur ma nuque afin d'imposer son rythme. Un esclave sifflé par Le Maitre vient leur servir une coupe de champagne et pendant qu'ils boivent tout en discutant, moi je suce à genoux, et je trouve naturellement que c'est ma place. Je m'applique à bien sucer, tout à coup sa main me bloque contre son pubis, en gorge profonde et je manque de m’étouffer quand j'entends un cri bestial...

- Aaaah … Ouiiiiii la putain, hummmmm, c’est boooon …. Avale, sale puteeeee. J’ingurgite plusieurs giclées de sperme chaud et gluant sous le regard de son épouse et du Maitre. Voilà, c'est bien, bonne salope. Nettoie ma queue maintenant et redonne-moi de la vigueur afin de prendre enfin cette jeune chienne là-bas, ma préférée….

Je suce, aspire, lèche, pompe à nouveau quand le Maitre me claque le cul avec un grand fouet.

- En levrette, salope !

Je me place aussitôt en levrette et reprend mon directeur en bouche. Le Maitre sort alors Son noble Sexe, Son divin Joyau et me l’enfonce d’un seul coup sec et puissant, sans aussi préambule, profondément dans le cul, jusqu'à la garde. Je souhaite crier tellement j'ai mal, mais la grosse bite dans ma bouche m'empêche un hurlement alors ce sont juste des cris étouffés qui réussissent à s’exprimer... Et me voilà devant Mireille, pris des deux trous. La queue de mon directeur me défonce la bouche et la noble Verge du Maitre me pilonne le cul. C’est devenu bestial, je ne suis qu'un pantin désarticulé qu’on utilise, je ne suis que deux trous à remplir, à se soulager dedans, à se vider les couilles. L'un me tient la tête et me défonce ma cavité buccale quand le Châtelain me démonte le cul sous mes gémissements toujours aussi étouffés.

- Regarde comme cette putain bande. Ces salopes ont besoin de ça pour être épanouis !

Pendant plus de 30 minutes, je suis utilisé, abusé, enculé, baisé par la bouche, insulté, humilié et j’en bande terriblement... Jusqu'à ce que tous les deux, pratiquement ensemble poussent des longs râles jouissifs et se vident dans ma bouche et mon cul. Ils m'ont ruiné, dévasté. Je tombe à terre en sueur. Du sperme coule de mon cul et entre la commissure de mes lèvres.

- Nettoie, salope !

Je me remets rapidement à genoux et nettoie le Maitre et ensuite Maxime, mon directeur, avec ma bouche et ma langue baladeuse et agile. Pendant ce temps, Mireille son épouse, soulève sa robe en cuir noir tout en écartant ses cuisses et laisse apparaitre un sexe luisant de mouille et épilé parfaitement. Je comprends alors que ce que je viens de vivre l’ait fortement excitée. Le Maitre se rajuste et me prend par le collier.

- Maintenant, tu fais tout ce qu'on t’exige, attention pas ce qu’on demande car des Dominants ne demandent jamais, Ils exigent ! Est-ce clair, la pute ?… Répond, je t’y autorise…- Oui Maitre, Vous les Dominants exigent et moi l’esclave j’obéis...

Mireille m’exige alors aussitôt :
- Aller, viens me lécher mon minou trempé, Matthieu.

Quelle honte de l'entendre me commander par mon prénom ! Je lèche sa chatte toute poisseuse. Elle plaque ma tête contre sa chatte et se frotte contre ma gueule de soumis.

- Lèche mieux que ça, salopeeeee, j’ai dit !

Mireille est toute excitée et elle se lâche complètement. Elle ne tarde pas à prendre une respiration plus accélérée, son bassin se met à faire des mouvements de copulation, elle plaque sa pain derrière ma nuque quand assez rapidement, plusieurs jets de cyprine jaillissent sur ma bouche et sur mon visage. Elle me frappe la tête en jouissant et m'insulte de tous les noms des plus humiliants. La femme de mon directeur me repousse et m’ordonne de lui nettoyer le sexe, ce que je fais, comme la bonne lope que je suis. Ensuite Mireille lâche ma nuque et me tend ensuite son verre que je remplis de champagne puis elle me laisse, là, à genoux les mains dans le dos et tête baissée. Quelques minutes plus tard, un Dominant approche et salue Mireille.

- Ah bonsoir cher Markus, ça me fait plaisir de vous voir.
- Bonsoir chère Mireille, vous êtes toute en beauté ce soir. Puis-je vous emprunter cette salope pour me soulager ?
- Mais oui, mon cher Markus, cela va de soi ! Allez-y, il est à vous et videz-vous sans modération, cette petite putain est là pour ça !

Me prenant alors par la laisse, ce Markus me tire derrière lui.

- Suis-moi, saloperie, je vais m'occuper de toi, espèce de sale bâtard.

Le Dominant me tire jusque dans les toilettes. Là il pose ma tête sur la cuvette et me force à ouvrir la bouche. Je pensais devoir le sucer mais je réalise qu'il va me pisser dessus.

- Ouvre la gueule, salope.

Markus commence à pisser sur ma tête et vise ma bouche en m’exigeant avec autorité dans le ton, de ne rien perdre. Cet homme est brutal et je m'en apercevrai encore plus dans quelques semaines... J'avale sa pisse, et ça dure car avec tout ce qu'il a bu... Il m’urine dans la bouche plusieurs minutes avant de s'arrêter. Je plonge de plus en plus dans la débauche, la dépravation la plus perverse. Il me force à nettoyer le sol et la cuvette avec ma langue, tout en restant à quatre pattes. Puis, je nettoie Markus et il me donne une double gifle et je dois le sucer jusqu'à ce qu'il se vide sur ma bouche abusée. Je suis tartiné de pisse et de sperme gluant. J'essaie de passer ma main pour enlever un peu de sperme. Il entre alors dans une terrible colère.

- Tu oses mépriser mon noble foutre ?, sale petite merde !

Markus enlève alors sa ceinture et commence à me battre le dos et le cul. Plus de 50 coups. J’hurle, je supplie, j'implore mais rien n'y fait. Mon dos est zébré de marques rouges qui rapidement virent au bleu. Il me sort ensuite des toilettes et je retrouve la grande salle. Tous les Dominants s'activent à prendre des plaisirs des plus orgiaques et nous sommes là pour les satisfaire… La nuit est avancée, j'ai été enculé une bonne dizaine de fois, j'ai sucé environ une vingtaine de 20 bites et lécher de nombreuses chattes. Je suis couvert de sperme et je continue à bander. J'ai tellement envie de le branler mais le Maitre me l'a interdit. Plusieurs Femmes Dominas m'ont enculé avec des godes ceintures. Mon cul est complètement ouvert, béant et dilaté comme jamais il l’a été. Plusieurs soumises sont prises en double et j'aperçois mon directeur en train d’enculer cette jeune soumise pendant qu’un autre Dominant la baise de la chatte et qu’elle suce une autre queue, pendant qu'elle en branle deux autres, c’est-à-dire que cinq hommes l’utilisent à la fois dans un véritable gang bang. La belle gémit comme une chienne, d'ailleurs tous les soumis gémissent ou pas, selon qu’on leur ait exigé le silence le plus complet, mais on est tous à notre place de dominés. Je vois le Maitre assis buvant un grand verre de cognac pendant que deux esclaves femelles le sucent. J'ai tout à coup l'envie d'être à leur place…Une des esclaves femelle lèche Ses nobles couilles pendant que l’autre descend sa bouche sur Sa verge. Je bave d’entendre le Maître jouir, éjaculer abondamment et de voir Son Sperme s’étaler sur le visage de Ses deux soumises-chiennes femelles qui sortent leurs langues pour avaler le divin nectar. Elles le font en gémissant de plaisirs. Je deviens même jaloux de les voir…J’aimerai être à leur place ! Je plonge de plus en plus dans cette luxure et j’en bande encore plus fort !…
(A suivre …)