La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1691)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1691) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1691)
Alexsoumis au Château, devenu esclav’alex - (hors-série écrit par MDE) –
Chapitre hors-série : Le distributeur automatique -
Alors que j’étais dans ma cellule où seul un haut soupirail m’apportait un peu de lumière… Alors que j’avais une longue chaîne aux maillons épais reliant mon collier au cou à un anneau scellé au mur, tel un chien en niche… Alors que j’étais tout de même bien au frais entre les épaisses pierres murales en ce temps caniculaire, j’entendis qu’on conversait dans le couloir. Tel un bon chien, je pointais mes oreilles attentives pour reconnaitre la voix de Madame Marie et de Monsieur Walter, ce dernier lui disait d’une voix forte :
- Oui, Marie, en effet, il est arrivé ce matin. Les livreurs l’on déjà installé au fond du large couloir principal, juste à côté de la porte du bureau de Monsieur le Marquis- Trop bien ! Et il sera opérationnel quand ?
- Eh bien, il nous reste plus qu’à l’équiper, à le faire essayer et après il restera en service en permanence… On aura juste à changer les marchandises toutes les 2 heures… Mais un planning a déjà été effectué par Monsieur le Marquis afin qu’il soit alimenté et reste en service chaque jour…- OK, Walter. Donc si j’ai bien compris, là, nous on s’occupe de l’équiper, de l’alimenter !
- Oui Marie, mais c’est juste pour aujourd’hui car c’est le premier jour, un peu comme une inauguration. Après Monsieur le Marquis a prévu toute une logistique quotidienne pour faire ce que nous allons faire maintenant…- Et tu m’as bien dit que les utilisateurs serait aussi bien des Dominas que des Dominants ?
- Exact, il a été prévu pour être utilisable par les deux sexes !
- Alors, voyons voir, là j’ai la liste des quatre premiers esclaves que Monsieur le Marquis a décidé d’utiliser pour la première utilisation…
Je ne comprenais absolument rien du tout. De qui ou de quoi, parlaient-ils ? ‘‘il est arrivé ce matin’’ Qui ?... ‘‘il nous reste plus qu’à l’équiper’’ Quoi ?... ‘‘il a été prévu pour être utilisable par les deux sexes’’ Qu’est-ce donc ?... ‘‘pour sa première utilisation’’ Utilisation de quoi ?… Ma curiosité allait-elle être étanchée quand la porte de mon cachot s’ouvrit ?... Pas encore, car il me fallut attendre d’être mené en quadrupédie par Madame Marie et Monsieur Walter jusqu’au fond du large couloir principal… Trois de mes congénères me précédaient et évoluaient à mon instar à quatre pattes. Nous étions visiblement deux femelles et deux mâles… Et il me fut aisé de comprendre que nous étions donc les quatre esclaves de la liste établie par le Maitre. Je compris enfin de quoi parlaient la Cuisinière et le Majordome quand je vis en face de moi, placé contre le haut mur du fond du couloir un haut, large et immense distributeur. A tout point semblable dans son design à un distributeur de boissons ou de confiseries. A la différence près, et pas des moindres, que derrière la haute et large vitrine du distributeur, il y avait seulement quatre compartiments vides séparés par des cloisons peintes de couleurs vives. Ces compartiments étaient tellement grands qu’un homme couché ou agenouillé plié en deux, aurait pu entrer dans chacun d’entre eux. Je ne pensais pas si bien dire quand Monsieur Walter exigea à une des deux femelles esclaves, en ouvrant la grande porte vitrée qui faisait guise de vitrine :
- Toi, la chienne, installe-toi dans ce compartiment sur ce plateau rembourré de mousse synthétique afin de ménager tes genoux, et met-toi en position de levrette, le cul face à l’extérieur.

La femelle s’exécuta et l’espace qui lui était alloué était exigu car on aurait cru qu’il avait été prévu pour sa taille car elle entrait au centimètre près dans ledit compartiment. Concernant le compartiment voisin positionné à la même hauteur et tout aussi exigu, le Majordome exigea à moi-même la même position. J‘avoue m’être senti un simple objet exhibé une fois placé en levrette, le cul bien en vue. Puis Monsieur Walter exigea à la femelle et au mâle restant de ce mettre pour chacun dans les deux autres compartiments placés de chaque côté des deux déjà occupés, mais en position couchée sur le dos, sexe et cul bien exhibés, face extérieur du compartiment les jambes étant maintenues relevées par des étriers prévus à cet effet. Une fois tous installé, Madame Marie referma la haute porte vitrée qui nous enferma tous les quatre derrière la vitrine du distributeur automatique. Monsieur Walter appuya sur un bouton et les plateaux des quatre compartiments se levait pour se positionné uniformément à hauteur de la taille d’un homme debout. Devant mes yeux, la paroi n’était pas aveugle, il y avait un écran-vidéo qui s’alluma alors et me permettait de voir l’extérieur du distributeur. Plusieurs caméras judicieusement placées me permirent d’apprendre beaucoup de choses. Tout d’abord la camera orientée sur le ‘menu’ affiché à droite de la vitrine. A l’instar d’un menu numérique proposant tel ou tel café d’un distributeur classique de boissons chaudes, il était marqué ceci :
1 - Cul de mâle vaginalisé en levrette, insérer 5 pièces de 2 euros et appuyer sur 1.
2 - Cul ou chatte de femelle en levrette, insérer 5 pièces de 2 euros et appuyer sur 2.
3 – Cul de mâle vaginalisé en missionnaire, insérer 5 pièces de 2 euros et appuyer sur 3.
4 – Cul ou chatte de femelle en missionnaire, insérer 5 pièces de 2 euros et appuyer sur 4.

Ainsi je servais de simple produit de consommation, telle une banale confiserie d’un classique distributeur ! Et selon ce que j’avais entendu dans le couloir alors que j’étais encore dans ma cellule, j’étais là pour 2 heures à servir de marchandise. Une pancarte bien visible était placée juste au-dessous des tarifs ‘‘Ce distributeur n’a rien de mercantile, mais juste pour votre plaisir. L’argent récolté sera destiné à contribué à nourrir les esclaves utilisés dans ce distributeur automatique de culs et chattes’’ … Une autre caméra offrait un large plan permettant de bien voir qui était placé devant le distributeur, ainsi je voyais très bien la Cuisinière et le Majordome en train d’admirer les 4 compartiments du distributeur automatique. Après avoir fait quelques réglages et vérifications, Madame Marie et Monsieur Walter s’éloignèrent sans rien dire. Le silence ne dura pas car à peine 5 minutes après, que mes congénères et moi-même étions seuls, je vis sur l’écran via la caméra certainement placée dans un angle du haut du couloir, un homme grand en costume cravate arriver. Je ne l’avais encore jamais vu. Il s’arrêta devant le distributeur et regarda le menu et avait l’air d’hésiter sur quel cul ou chatte, il allait choisir...

Puis, une fois son choix fait, il sortit son portefeuille et inséra 10 euros en pièces et appuya sur le numéro 2. Et je vis très nettement sur mon écran que ce que je prenais pour une seule et unique vitrine de la grande porte, était en réalité composée de 4 petites vitrines, une pour chaque compartiment, savamment discrètes pour se confondre en trompe œil en une seule vitre uniformément à la porte. Et donc seule la petite vitrine du compartiment numéro 2 s’ouvrit et le plateau où se trouvait la femelle en levrette se mit à reculer automatiquement du côté extérieur d’une trentaine de centimètre pour s’immobiliser juste devant la taille de l’homme. Ce dernier, ouvrit alors sa braguette et commença à mater le cul de la belle en se branlant d’une main et en caressant le fessier de l’esclave femelle de l’autre main. Sans tarder il fut en érection. Et après avoir introduit son pouce dans le cul de la belle, il alla sans vergogne planter sa grosse verge dressé dans l’anus de la femelle par seul un coup sec, net, puissant et profond. L’esclave ne put s’empêcher d’hurler de cette pénétration douloureuse, subite dans son cul non dilaté… Elle eut comme réponse, une fessée cinglante et cette phrase teintée d’humour du sodomite :
- Tient, un distributeur sonore !

Ensuite, il écarta les deux lobes fessiers et se retira doucement pour sans attendre se replanter au fond des entrailles de la femelle subissant cette saillie sauvage… Puis, au bout de quelques allers et retours qualifiés de modérés, il se mit subitement à besogner le cul exposé à son sexe pénétrant et c’est avec de grands coups de reins puissants qu’il accentua sa sodomie devenant de plus en plus bestiale… Le Dominant poussait des véritables ‘han’ de bucheron qui furent étouffés par des longs râles jouissifs au moment où l’homme éjacula abondamment au plus profond de ce cul de femelle en levrette... Le temps qu’il reprenne ses esprits, il ne bougeait pas en ce coït anal immobile par son pieu de chair qui débandait très doucement… Une fois qu’il décula, l’homme reboutonna sa braguette et partit comme si rien n’était. Un capteur enclencha alors la fermeture automatique de la petite vitrine une fois que le plateau rentra entièrement dans le compartiment. Je voyais clairement sur mon écran, le sperme dégoulinant du cul de cette femelle… Il n’y avait pas 15 minutes passées, que cette fois, ce fut une femme qui passait devant le distributeur, elle était grande, élancée et habillée en femme d’affaire dans un parfait tailleur de couleur vert d’eau. Elle regardait attentivement à son tour le menu détaillé. C’est avec un sourire pervers qu’elle n’appuya pas tout de suite sur un des boutons du menu.

Mais elle appuya d’abord sur un autre bouton que je n’avais pas remarqué et qui était placé juste au-dessus du niveau des compartiments. Une espèce de petite porte ressemblant à celle d’un petit coffre-fort mural s’ouvrit alors et visiblement gratuitement, sans y avoir inséré une quelconque somme d’argent, la Domina en sortit un très impressionnant gode-ceinture, qu’elle s’activa à positionner à sa taille. Ce sexe factice était hors norme, il devait faire le diamètre de l’extrémité d’une batte de baseball. Ensuite sur l’écran, je vis qu’elle introduisait quelques pièces puis appuyait sur le numéro un. Et je sentis de suite, la petite vitrine derrière moi s’ouvrir et le plateau sous mon cops se mouvoir pour reculer d’une trentaine de centimètres. Et me voilà donc le cul à l’extérieur de ce compartiment, ne pouvant pas trop me bouger par l’étroitesse de ce dernier. Puis je sentis des mains me peloter allègrement le cul, me le malaxer, le caresser, le fesser, le presser entre ses doigts à pleine paume. Je compris tout de suite que j’allais subir une magistrale saillie mais je me demandais si mon anus allait pouvoir avaler ce disproportionné diamètre du gode-ceinture… La femme ne m’encula pas tout de suite, enfin, je veux dire pas avec ce volumineux sexe factice qui se dressait entre ses jambes. Elle sortit d’abord de son sac à main un plug anal à boules progressives, c’est-à-dire composé d’une première boule pas trop grosse, une deuxième plus grosse et ainsi de suite pour les quatre boules au total qui composaient ce sexe-toy, et dont chacune des boules étaient séparées d’un ou deux centimètres…
La Domina commençait alors à m’introduire la première boule assez petite et qui dilata ma corolle flétrie… Puis dans une poussée sans concession, je sentis passer la deuxième boule, plus grosse, alors que la première s’enfonçait plus profondément en mes entrailles. Quand la troisième d’un diamètre plus conséquent entra dans mon anus, je la sentis passer, alors que la Domina poussait toujours plus fort. La quatrième passant dans mon cul me fit échapper un cri, à la fois de plaisir et de douleur… Je restais ainsi plugué des quatre boules plus d’un quart d’heure A afin de bien dilater mes parois anales. Pendant ce quart d’heure, la femme m’attrapa les couilles et s’amusait avec, à les distendre, les malaxer, les presser de Ses doigts gantées. Une quinzaine de minutes plus tard, donc, elle décida de me retirer ce plug à boules sans grande précaution et sans attendre, elle m’encula, doucement tout de même, de son énorme gode-ceinture. J’avais beau avoir l’anus dilaté que je sentis douloureusement passer ce sexe factice et je fis un effort surhumain pour ne pas crier à m’en mordre les lèvres… Une fois, cet engin bien planté dans mon fondement, elle me claqua le cul et commença ses coups de reins qui d’abord doucement devinrent rapides cadencés et rythmés, jusqu’à qu’elle décidait de se retirer et de me laisser ainsi le cul largement ouvert par cette phénoménale dilation, mon compartiment se referma derrière elle et je me retrouvais en levrette en vitrine, prêt à resservir…
(A suivre…)

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