La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°192)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°192)
Baisée dans la Bibliothèque ... et ailleurs ...
23 heures venaient de sonner à l’impressionnante horloge en chêne massif verni du
grand couloir capitonné de velours lorsque Marie frappa et entra dans la chambre de
Monsieur le Marquis d’Evans. Comme tous les soirs, elle lui apportait sa tisane ce qui
lui facilitait la digestion, disait-il. Il régnait toujours en Maître sur son immense
domaine et cela toujours avec la même autorité.
Entrée à son service il y a déjà bien longtemps, Marie la fidèle cuisinière du Noble
avait alors tout juste 18 ans à l’époque de son embauche. Elle était passée du stade
de simple servante, à ses débuts, à celui de gouvernante-cuisinière autoritaire et
sadique telle qu’on la connaît de nos jours. Fille d'un des jardiniers qui
travaillaient sur la vaste propriété, placée au château très jeune, ce fut Monsieur le
Marquis qui la dépucela le jour de ses 18 ans dans la grange du château. Elle était
devenue par la suite très vite son aimante attitrée. A l'époque, la vie était plutôt
rude et entrer au service du Maître était une forme de promotion sociale. Ce qui lui
avait permis d'échapper de travailler à l’usine. Malgré son âge avancé, le Marquis
d’Evans toujours bel homme était encore vigoureux et ne crachait pas sur la gaudriole
! Et puis à quarante-deux ans maintenant, Marie était fort belle mais les années ayant
passées, elle découvrit ses attirances lesbiennes avec son amie Rose. Mais elle garda
toujours une fidélité, une admiration sans faille pour son patron; .Il est vrai qu'en
arrivant au château le jour de sa majorité, elle avait découvert un univers nouveau,
un tout autre mode de vie que chez elle. Un monde de perversité, de plaisirs, de
débauches et Marie ne compte plus les innombrables orgies organisées au château.
Depuis elle est une employée parfaite au service du Marquis et au fil des années une
véritable complicité s’est tissée entre eux.
Bel homme, Monsieur le Marquis d’Evans mordait aux plaisirs de la vie à pleines dents
et toutes Ses femelles étaient flattées de se faire saillir par Lui. Ses nombreuses
conquêtes lui donnaient dans la région une réputation sulfureuse mais que Lui-même
assumait pleinement et sans complexe. Aussi lorsque, Marie, une gamine de dix-huit
ans, avait été engagée à l’époque comme bonne au château, elle avait considéré cela
comme une aubaine. Et Lui, Il avait sous la main une jeune femelle, mignonne tout
plein et obéissante par surcroît. Lorsqu'il l'avait déflorée, elle avait considéré
cela comme naturel. C'était semble-t-il dans l'ordre des choses. Il était plus âgé
qu'elle mais ça ne comptait pas…
Déposant la tisane, sur la table de chevet, Marie regarda le Marquis d’Evans qui
attablé à son meuble-secrétaire style Louis XV était en train d’écrire de sa plus
belle plume.
- Ah Marie, Merci… J’ai invité pour ce soir une dame se prénommant Chris. Cela fait
déjà longtemps que j’entretiens avec elle une relation via internet des plus
virtuelles mais aussi très excitante tant la belle est motivée dans sa soumission.
Elle ne devrait pas tarder, j’ai déjà envoyé Walter la récupérer à la gare du village
au train de 22h30.
- C’est ce que je venais annoncer à Monsieur le Marquis, Walter est arrivé, il n’y a
pas deux minutes et à laisser Votre nouvelle acquisition dans Votre grande
Bibliothèque Privé. Elle vous y attend … Mais buvez Votre tisane, avant d’aller
l’accueillir je ne voudrais pas que Vous trouviez mon infusion refroidie à Votre
retour.
- Marie, tu es pour moi, une véritable mère… Tu as raison cette infusion a une odeur
si agréable que je saurais l’éclipser. Je la savoure et je descends voir un peu
comment se comporte cette Chris …
Le Marquis entra en silence par une petite porte latérale et dérobée dans Sa
Bibliothèque. Bien cachée des regards cette porte placée entre deux étagères emplie de
livres était haute jusqu’au plafond. Il s’immobilisa sans être vu. D’où il était
placé, il avait une vue d’ensemble sur les vastes étagères de manuscrits qui avaient
traversés les siècles et qui étaient venus s’accumuler ici par tous les aïeux du
Noble, par tous les différents Marquis d’Evans qui se sont succédés au fil des siècles
dans cette demeure ancestrale.
Il n’entendit aucun bruit, et tournant la tête à droite puis à gauche, il ne vit rien
.. personne … Mais où donc était cette Chris ? Quand tout d’un coup, il aperçu dans
un angle mort à sa droite, une paire de belles jambes, aux bas noirs, perchée sur un
escabeau. Occupée à lire les titres sur les tranches des livres sur des rayonnages
hauts placés de la Bibliothèque, Chris n’avait pas pu tenir à juste attendre sans rien
faire devant cette caverne d’Ali Baba de trésors littéraires. Passionnée de culture,
elle avait vite eu fait d’attraper un escabeau pour se délecter d’ouvrages qu’elle
aurait tant voulu posséder. Le Marquis d’Evans s’approcha alors tout doucement. Chris
absorbée à découvrir des titres d’œuvres du XIII ème siècle n’entendit pas venir le
Maître des lieux.
Alors, Il lui saisit une cheville et lui passa doucement la main sous la jupe noir,
remontant le long de ses jambes. Elle avait poussé un petit cri de surprise tout en
ayant faillir lâcher un exemplaire rare d’un Cantique des Créatures de Saint François
d'Assise, écrit dans le dialecte italien de l'Ombrie autour de 1220, quand elle avait
senti une main s'insinuer sous sa culotte. Quand elle vit qui était le propriétaire de
cette main plus que baladeuse, elle se sentit rassurée et se laissa faire sans dire un
seul mot. Elle lui sourit même appréciant cette entrée en la matière. Quoi de plus
excitant d’avoir enfin en face d’elle celui qu’elle était venu rejoindre et, de plus,
dans Sa Bibliothèque et, de plus est, sur un escabeau ! D’un signe du doigt sur la
bouche, Il lui avait intimé l'ordre de se taire faisant comprendre qu’elle devait se
laisser faire sans broncher. Chris n’avait d’ailleurs aucune envie de se rebeller,
bien au contraire, elle appréciait déjà les doigts vicieux du Marquis lui fouiller sa
chatte qui ne tarda pas à s’humidifier d’avantage ....
Tout s'était passé très vite, sans fioritures. Soulevée et descendue de son perchoir
par les bras musclés du Noble, plaquée contre l’étagère, les fesses reposant sur un
petit rebord dépassant de l’étagère, assise ainsi le dos contre les livres, Chris
écarta instinctivement les jambes. Il avait déjà troussé sa jupe et baissé sa culotte.
L’embrassant de mille et fougueux baisers dans son cou et sur sa bouche si chaude les
deux langues s’entremêlaient. Il lui tenait les bras écartés en l’air et plaqués eux
aussi contre les parois séparant les livres. Puis il avait sorti sa queue sans plus de
préambule tant la passion, la fougue de s’accoupler était intense et, lui soulevant
une jambe d’un petit coup de Sa hanche, il s'était enfoncé en elle sans ménagements.
Et c’est si excitée, qu’elle sentit Ses coups de butoir. La volumineuse bite labourait
son ventre. Soudain, au bout de quelques minutes le sperme avait jailli en elle, en de
longs jets épais et dans des râles de plaisir que le Marquis laissa s’échapper. Elle
jouissait en même temps en ne pouvant pas retenir ses cris qui résonnèrent dans toute
la pièce, elle sentait son souffle court dans son cou. Puis Il s'était dégagé,
satisfait
- « Tu es une bonne chienne … Rhabille-toi et agenouille-toi»
Elle s'était tant bien que mal rajustée et ne savait comment essuyer le liquide qui
s'échappait de son vagin et coulait le long de ses cuisses et lui collait ses bas
noirs contre s peau. Puis agenouillée elle le regardait du coin de l'oeil, Lui était
aller s’asseoir à son bureau de la Bibliothèque. Relevant le regard sur elle, Il fixa
ses yeux de son regard dominateur et Chris ne pu s’empêcher de baisser les yeux devant
Lui. Il prit la parole sur un ton froid mais tellement envoûtant pour Chris :
- Saches qu’ici, j’userai et abuserai de toi, suivant Mon humeur, quelque soit le lieu
ou l'heure. Toujours des étreintes à la sauvette ou plus longues selon mon bon vouloir
mais où seul Mon plaisir importera. Tu es ma nouvelle chienne et j’attends faire de
toi ce que bon me semblera. Est-ce clair ? Maintenant choisit : Soit tu me dis ‘’Oui
Maître, je serai ce que Vous voulez que je sois » soit tu quittes ce château tout de
suite et tu n’entendras plus jamais parler du Marquis d’Evans. Je n’ai qu’à sonner
Walter qui peut te ramener de suite à la gare pour le train de 00H15 …
- Heu … Je … voui … oui Maître, je serai ce que Vous voulez que je sois
- Alors tu viens de sceller ton destin … Je vais appeler ma fidèle Marie, la
cuisinière, elle te donnera tout ce qu’il faut pour que tu sois bien logée et bien
nourrie. Tu porteras des habits de soubrette mais tu devras te déshabiller à mon
simple claquement de doigt et cela partout dans le château dans n’importe quelle
circonstance et même s’il y a du monde autour de toi. Et tu porteras aussi à ton cou
un collier à mes armoiries, ainsi qu’une laisse. Je t’affecte au service de Marie.
Ainsi tu l’épauleras aux cuisines et tu feras les taches quotidiennes, servir à table
et m’apporter désormais mon infusion chaque soir si je te sonne. Est-ce clair ?
- Oui … Maître … Merci Maître de m’accepter à votre service, rajouté Chris qui comme
hypnotisée savait à l’instant qu’elle avait obtenu enfin ce qu’elle attendait depuis
si longtemps, être une soumise à part entière.
Le lendemain matin Chris suivait à la lettre les consignes autoritaires de Marie qui
ne l’a ménageait pas mais qui restait tout de même correcte avec elle. Et n'est que le
soir, que Monsieur le Marquis l'avait fait monter dans sa chambre. Il devait être onze
heures du soir et il avait sonné à l'office pour réclamer son infusion. Il était déjà
couché. Chris monta et elle venait à peine de poser la tasse sur la table de chevet et
alors qu'elle allait se retirer, qu’Il l'a saisi par le bras et lui avait exigé de se
déshabiller d’un claquement sec de doigts. Intimidée, elle s'était exécutée. En petite
culotte et soutien-gorge, elle attendait.
- Enlève tout, je veux te voir nue !
C'était un ordre. Elle dégrafa alors son soutien-gorge et lorsqu'elle se pencha pour
faire glisser sa culotte, il put contempler à loisir sa poitrine. Deux jolis petits
seins, impertinents, bien ronds avec les petits bouts roses qui pointaient fièrement
au centre des aréoles plus claires. Le reste était tout aussi charmant. Le bassin
large, des cuisses pleines, des mollets bien formés, bref une fille solide et en bonne
santé.
- Tourne-toi et penche-toi que je voie ton cul de chienne !
Elle pivota et il put contempler à loisir la chute de ses reins. Des fesses amples
comme il les aimait !
- Approche ! Viens près de moi dans le lit ! Mon Dieu que tout ça est beau !
Elle ne savait que dire, alors elle monta sur le lit, se glissa sous le drap et
s'allongea à son côté, figée mais aussi excitée de la situation.
- Détends-toi ! N'aie pas peur ! Je veux juste te faire du bien ! Tu vas voir comme
c'est bon !
Joignant le geste à la parole, il commença à la caresser tendrement. Il se pencha sur
elle et l'embrassa. Sa langue mouillait ses lèvres qu'il força lentement à
s'entrouvrir à la recherche de la sienne tandis que sa main glissait le long de son
échine descendant sur ses fesses. Elle frissonna. Rassurée, elle s'abandonnait. Elle
vint se blottir contre lui et sentit contre son ventre battre la verge tendue de son
Maître. Instinctivement elle souleva sa jambe pour accentuer le contact sur sa motte.
Il avait rejeté le drap et elle le vit pour la première fois entièrement nu, en
érection. C'était réellement un bel homme. Il souriait et semblait moins sévère que
d'habitude. Elle était fascinée par sa queue, noueuse qu'une grosse veine parcourait
sur toute la longueur. Le gland entièrement décalotté était énorme, rouge violacé.
Enhardie, elle saisit la bite dans sa main. Elle était chaude, dure et souple à la
fois.
- Oui caresse-moi ! Regarde, tu me fais bander, petite cochonne !
Elle la sentait vibrer sous ses doigts.
- Oui, branle-moi, plus vite ! Fait bien coulisser tes doigts sur la peau ! Tu aimes,
belle petite chienne ?
- Oui Maître ! Ce qu"elle est dure !
Au bout de quelques minutes, Il la fit s'étendre sur le dos et lui écarta les jambes.
Elle sentit d'abord son souffle chaud sur le bas de son ventre puis le contact de sa
langue sur sa fente qu'Il ouvrait délicatement avec ses doigts. Au fur et à mesure que
la langue la léchait, elle sentait monter en elle de nouvelles sensations. Une chaleur
insoupçonnée envahissait son ventre qu'elle tendait sous la caresse. Elle souleva sans
résistance son cul quand il glissa une main sous ses fesses qu'il malaxait. Un doigt
dans sa chatte il la branlait tandis que sa langue suçait son petit bouton. Un vrai
délice. Elle n'avait que rarement ressenti quelque chose d'aussi agréable. Elle crut
quelle allait défaillir. Il se redressa et vint s'accroupir sur elle, la tête toujours
enfouie entre ses cuisses. Elle avait maintenant la verge et les couilles énormes qui
pendaient au-dessus de son visage. C'est tout naturellement qu'elle ouvrit la bouche
pour l'accueillir. Il usait de sa bouche comme de son sexe, entrait et sortait de plus
en plus profondément. Quand il s'enfonça au fond de sa gorge, elle faillit étouffer.
- Oui, suce, serre la fort entre tes lèvres ! Tu sens comme elle vibre ?
Elle émit un grognement qu'il prit pour un acquiescement à la façon dont elle resserra
ses cuisses.
- Mais tu vas m'étouffer, diablesse ! Attends, tu vas voir comme je vais te branler !
Tu sens mon doigt dans ta foufoune ?
- Oui Maître… c'est trop bon … n'arrêtez pas, s’Il vous plait !
Elle s'ouvrait pour lui faciliter l'accès. Ce n'était plus un mais deux doigts qui
s'enfonçaient dans sa chatte, qui la fouillaient. La langue avait délaissé le bouton
pour descendre plus bas dans la raie toute mouillée pour s'attarder sur son petit
trou. Jamais elle n'avait imaginé une chose pareille et pourtant si douce : Se faire
lécher le cul. La salive dégoulinait mélangée à ses propres secrétions. Elle fondait !
Elle gémit quand elle sentit un doigt forcer sa rondelle pour la dilater. Ça brûlait
un peu ! Mais les coups de la langue pointée qui forçaient son anus apaisèrent très
vite la douleur. Elle savait qu'il l'entraînait sur un bien doux chemin et se laissait
faire, docile et attentive.
- Dis-moi, c'est bon ça ? Tu sens ma langue qui entre dans ton petit cul ?
- Oui, encore ! Encore !
Il lui bouffait le cul depuis un moment quand soudain elle sentit monter du fond de
son ventre et de ses reins un plaisir nouveau, violent qui l'envahissait partout. Elle
ne se contrôlait plus et se sentait partir. L'orgasme la submergea, elle jouissait !
Elle serrait convulsivement ses cuisses puis se relâcha, étourdie. Elle aurait voulu
que cela ne finisse jamais !
- Alors, petite chienne, on a joui à ce que je vois ! Putain ce que tu mouilles, tu es
trempée !
Il l'avait prise dans ses bras et la serrait contre lui, fier de l'avoir menée au
plaisir. Reconnaissante elle se pelotonnait contre sa poitrine, ronronnait comme une
chatte. Puis la folle nuit avait continué.
- A ton tour de me faire jouir, petite salope ! Regarde dans quel état tu m'as mis !
Ma bite va éclater !
Il avait d'abord voulu jouir dans sa bouche. Il était tellement excité que cela avait
été très rapide. Elle avait cru suffoquer lorsqu'il avait déchargé au fond de sa
gorge. Le sperme lui avait soudain rempli la bouche et il lui avait maintenu la tête
jusqu'à ce quelle avalât. Momentanément apaisés, ils étaient restés dans les bras l'un
de l'autre. Il lui avait murmuré des mots tendres au creux de l'oreille, disant
qu'elle était belle et que son corps le rendait fou. Puis ils s'étaient assoupis,
repus.
Plus tard dans la nuit, alors qu'il reprenait vigueur, il l'avait réveillée et ils
avaient fait l'amour. Elle sur lui d'abord. Empalée sur sa bite, c'est elle qui
imposait la cadence selon l’ordre de son Maître tandis qu'il lui pétrissait les seins
et les fesses. Ils voyaient monter le plaisir de l'autre dans leurs regards qui se
croisaient. Quand il sentit qu'il allait exploser, il la serra très fort contre lui,
écrasant ses seins contre sa poitrine et lui enfonça un doigt au fond du cul comme
s'il avait craint qu'elle ne s'échappât. L'orgasme avait été intense. Ils avaient joui
simultanément. Pleine du jus de ses couilles, chaud et onctueux, qui lui tapissait le
vagin, elle avait gardé au fond de son ventre la bite encore dure de son amant. Elle
était sur un nuage ! Chris n'avait jamais pu oublier cette première nuit d'amour. Lui
non plus car depuis ce jour là, leur relation avait changé, s'était approfondie, les
sentiments étaient existants désormais entre eux deux. Sa façon à lui de l'aimer. Elle
lui était devenue très vite indispensable ! Chaque journée, elle espérait que son
Maître l’a fasse sonner, pour Lui monter son infusion … Et très souvent elle fût
appelée à la ‘’tâche’’.
Et ce soir là, encore une fois elle avait envie de Lui . La chaleur au creux de son
ventre trahissait son impatience ! « Je suis vraiment sa chienne » pensa-t-elle, un
sourire gourmand au coin des lèvres. Aussi ne se fit-elle pas prier lorsque, d'un
geste de la main, Il lui demanda de le rejoindre dans le lit suite à Son claquement de
doigts ! …
23 heures venaient de sonner à l’impressionnante horloge en chêne massif verni du
grand couloir capitonné de velours lorsque Marie frappa et entra dans la chambre de
Monsieur le Marquis d’Evans. Comme tous les soirs, elle lui apportait sa tisane ce qui
lui facilitait la digestion, disait-il. Il régnait toujours en Maître sur son immense
domaine et cela toujours avec la même autorité.
Entrée à son service il y a déjà bien longtemps, Marie la fidèle cuisinière du Noble
avait alors tout juste 18 ans à l’époque de son embauche. Elle était passée du stade
de simple servante, à ses débuts, à celui de gouvernante-cuisinière autoritaire et
sadique telle qu’on la connaît de nos jours. Fille d'un des jardiniers qui
travaillaient sur la vaste propriété, placée au château très jeune, ce fut Monsieur le
Marquis qui la dépucela le jour de ses 18 ans dans la grange du château. Elle était
devenue par la suite très vite son aimante attitrée. A l'époque, la vie était plutôt
rude et entrer au service du Maître était une forme de promotion sociale. Ce qui lui
avait permis d'échapper de travailler à l’usine. Malgré son âge avancé, le Marquis
d’Evans toujours bel homme était encore vigoureux et ne crachait pas sur la gaudriole
! Et puis à quarante-deux ans maintenant, Marie était fort belle mais les années ayant
passées, elle découvrit ses attirances lesbiennes avec son amie Rose. Mais elle garda
toujours une fidélité, une admiration sans faille pour son patron; .Il est vrai qu'en
arrivant au château le jour de sa majorité, elle avait découvert un univers nouveau,
un tout autre mode de vie que chez elle. Un monde de perversité, de plaisirs, de
débauches et Marie ne compte plus les innombrables orgies organisées au château.
Depuis elle est une employée parfaite au service du Marquis et au fil des années une
véritable complicité s’est tissée entre eux.
Bel homme, Monsieur le Marquis d’Evans mordait aux plaisirs de la vie à pleines dents
et toutes Ses femelles étaient flattées de se faire saillir par Lui. Ses nombreuses
conquêtes lui donnaient dans la région une réputation sulfureuse mais que Lui-même
assumait pleinement et sans complexe. Aussi lorsque, Marie, une gamine de dix-huit
ans, avait été engagée à l’époque comme bonne au château, elle avait considéré cela
comme une aubaine. Et Lui, Il avait sous la main une jeune femelle, mignonne tout
plein et obéissante par surcroît. Lorsqu'il l'avait déflorée, elle avait considéré
cela comme naturel. C'était semble-t-il dans l'ordre des choses. Il était plus âgé
qu'elle mais ça ne comptait pas…
Déposant la tisane, sur la table de chevet, Marie regarda le Marquis d’Evans qui
attablé à son meuble-secrétaire style Louis XV était en train d’écrire de sa plus
belle plume.
- Ah Marie, Merci… J’ai invité pour ce soir une dame se prénommant Chris. Cela fait
déjà longtemps que j’entretiens avec elle une relation via internet des plus
virtuelles mais aussi très excitante tant la belle est motivée dans sa soumission.
Elle ne devrait pas tarder, j’ai déjà envoyé Walter la récupérer à la gare du village
au train de 22h30.
- C’est ce que je venais annoncer à Monsieur le Marquis, Walter est arrivé, il n’y a
pas deux minutes et à laisser Votre nouvelle acquisition dans Votre grande
Bibliothèque Privé. Elle vous y attend … Mais buvez Votre tisane, avant d’aller
l’accueillir je ne voudrais pas que Vous trouviez mon infusion refroidie à Votre
retour.
- Marie, tu es pour moi, une véritable mère… Tu as raison cette infusion a une odeur
si agréable que je saurais l’éclipser. Je la savoure et je descends voir un peu
comment se comporte cette Chris …
Le Marquis entra en silence par une petite porte latérale et dérobée dans Sa
Bibliothèque. Bien cachée des regards cette porte placée entre deux étagères emplie de
livres était haute jusqu’au plafond. Il s’immobilisa sans être vu. D’où il était
placé, il avait une vue d’ensemble sur les vastes étagères de manuscrits qui avaient
traversés les siècles et qui étaient venus s’accumuler ici par tous les aïeux du
Noble, par tous les différents Marquis d’Evans qui se sont succédés au fil des siècles
dans cette demeure ancestrale.
Il n’entendit aucun bruit, et tournant la tête à droite puis à gauche, il ne vit rien
.. personne … Mais où donc était cette Chris ? Quand tout d’un coup, il aperçu dans
un angle mort à sa droite, une paire de belles jambes, aux bas noirs, perchée sur un
escabeau. Occupée à lire les titres sur les tranches des livres sur des rayonnages
hauts placés de la Bibliothèque, Chris n’avait pas pu tenir à juste attendre sans rien
faire devant cette caverne d’Ali Baba de trésors littéraires. Passionnée de culture,
elle avait vite eu fait d’attraper un escabeau pour se délecter d’ouvrages qu’elle
aurait tant voulu posséder. Le Marquis d’Evans s’approcha alors tout doucement. Chris
absorbée à découvrir des titres d’œuvres du XIII ème siècle n’entendit pas venir le
Maître des lieux.
Alors, Il lui saisit une cheville et lui passa doucement la main sous la jupe noir,
remontant le long de ses jambes. Elle avait poussé un petit cri de surprise tout en
ayant faillir lâcher un exemplaire rare d’un Cantique des Créatures de Saint François
d'Assise, écrit dans le dialecte italien de l'Ombrie autour de 1220, quand elle avait
senti une main s'insinuer sous sa culotte. Quand elle vit qui était le propriétaire de
cette main plus que baladeuse, elle se sentit rassurée et se laissa faire sans dire un
seul mot. Elle lui sourit même appréciant cette entrée en la matière. Quoi de plus
excitant d’avoir enfin en face d’elle celui qu’elle était venu rejoindre et, de plus,
dans Sa Bibliothèque et, de plus est, sur un escabeau ! D’un signe du doigt sur la
bouche, Il lui avait intimé l'ordre de se taire faisant comprendre qu’elle devait se
laisser faire sans broncher. Chris n’avait d’ailleurs aucune envie de se rebeller,
bien au contraire, elle appréciait déjà les doigts vicieux du Marquis lui fouiller sa
chatte qui ne tarda pas à s’humidifier d’avantage ....
Tout s'était passé très vite, sans fioritures. Soulevée et descendue de son perchoir
par les bras musclés du Noble, plaquée contre l’étagère, les fesses reposant sur un
petit rebord dépassant de l’étagère, assise ainsi le dos contre les livres, Chris
écarta instinctivement les jambes. Il avait déjà troussé sa jupe et baissé sa culotte.
L’embrassant de mille et fougueux baisers dans son cou et sur sa bouche si chaude les
deux langues s’entremêlaient. Il lui tenait les bras écartés en l’air et plaqués eux
aussi contre les parois séparant les livres. Puis il avait sorti sa queue sans plus de
préambule tant la passion, la fougue de s’accoupler était intense et, lui soulevant
une jambe d’un petit coup de Sa hanche, il s'était enfoncé en elle sans ménagements.
Et c’est si excitée, qu’elle sentit Ses coups de butoir. La volumineuse bite labourait
son ventre. Soudain, au bout de quelques minutes le sperme avait jailli en elle, en de
longs jets épais et dans des râles de plaisir que le Marquis laissa s’échapper. Elle
jouissait en même temps en ne pouvant pas retenir ses cris qui résonnèrent dans toute
la pièce, elle sentait son souffle court dans son cou. Puis Il s'était dégagé,
satisfait
- « Tu es une bonne chienne … Rhabille-toi et agenouille-toi»
Elle s'était tant bien que mal rajustée et ne savait comment essuyer le liquide qui
s'échappait de son vagin et coulait le long de ses cuisses et lui collait ses bas
noirs contre s peau. Puis agenouillée elle le regardait du coin de l'oeil, Lui était
aller s’asseoir à son bureau de la Bibliothèque. Relevant le regard sur elle, Il fixa
ses yeux de son regard dominateur et Chris ne pu s’empêcher de baisser les yeux devant
Lui. Il prit la parole sur un ton froid mais tellement envoûtant pour Chris :
- Saches qu’ici, j’userai et abuserai de toi, suivant Mon humeur, quelque soit le lieu
ou l'heure. Toujours des étreintes à la sauvette ou plus longues selon mon bon vouloir
mais où seul Mon plaisir importera. Tu es ma nouvelle chienne et j’attends faire de
toi ce que bon me semblera. Est-ce clair ? Maintenant choisit : Soit tu me dis ‘’Oui
Maître, je serai ce que Vous voulez que je sois » soit tu quittes ce château tout de
suite et tu n’entendras plus jamais parler du Marquis d’Evans. Je n’ai qu’à sonner
Walter qui peut te ramener de suite à la gare pour le train de 00H15 …
- Heu … Je … voui … oui Maître, je serai ce que Vous voulez que je sois
- Alors tu viens de sceller ton destin … Je vais appeler ma fidèle Marie, la
cuisinière, elle te donnera tout ce qu’il faut pour que tu sois bien logée et bien
nourrie. Tu porteras des habits de soubrette mais tu devras te déshabiller à mon
simple claquement de doigt et cela partout dans le château dans n’importe quelle
circonstance et même s’il y a du monde autour de toi. Et tu porteras aussi à ton cou
un collier à mes armoiries, ainsi qu’une laisse. Je t’affecte au service de Marie.
Ainsi tu l’épauleras aux cuisines et tu feras les taches quotidiennes, servir à table
et m’apporter désormais mon infusion chaque soir si je te sonne. Est-ce clair ?
- Oui … Maître … Merci Maître de m’accepter à votre service, rajouté Chris qui comme
hypnotisée savait à l’instant qu’elle avait obtenu enfin ce qu’elle attendait depuis
si longtemps, être une soumise à part entière.
Le lendemain matin Chris suivait à la lettre les consignes autoritaires de Marie qui
ne l’a ménageait pas mais qui restait tout de même correcte avec elle. Et n'est que le
soir, que Monsieur le Marquis l'avait fait monter dans sa chambre. Il devait être onze
heures du soir et il avait sonné à l'office pour réclamer son infusion. Il était déjà
couché. Chris monta et elle venait à peine de poser la tasse sur la table de chevet et
alors qu'elle allait se retirer, qu’Il l'a saisi par le bras et lui avait exigé de se
déshabiller d’un claquement sec de doigts. Intimidée, elle s'était exécutée. En petite
culotte et soutien-gorge, elle attendait.
- Enlève tout, je veux te voir nue !
C'était un ordre. Elle dégrafa alors son soutien-gorge et lorsqu'elle se pencha pour
faire glisser sa culotte, il put contempler à loisir sa poitrine. Deux jolis petits
seins, impertinents, bien ronds avec les petits bouts roses qui pointaient fièrement
au centre des aréoles plus claires. Le reste était tout aussi charmant. Le bassin
large, des cuisses pleines, des mollets bien formés, bref une fille solide et en bonne
santé.
- Tourne-toi et penche-toi que je voie ton cul de chienne !
Elle pivota et il put contempler à loisir la chute de ses reins. Des fesses amples
comme il les aimait !
- Approche ! Viens près de moi dans le lit ! Mon Dieu que tout ça est beau !
Elle ne savait que dire, alors elle monta sur le lit, se glissa sous le drap et
s'allongea à son côté, figée mais aussi excitée de la situation.
- Détends-toi ! N'aie pas peur ! Je veux juste te faire du bien ! Tu vas voir comme
c'est bon !
Joignant le geste à la parole, il commença à la caresser tendrement. Il se pencha sur
elle et l'embrassa. Sa langue mouillait ses lèvres qu'il força lentement à
s'entrouvrir à la recherche de la sienne tandis que sa main glissait le long de son
échine descendant sur ses fesses. Elle frissonna. Rassurée, elle s'abandonnait. Elle
vint se blottir contre lui et sentit contre son ventre battre la verge tendue de son
Maître. Instinctivement elle souleva sa jambe pour accentuer le contact sur sa motte.
Il avait rejeté le drap et elle le vit pour la première fois entièrement nu, en
érection. C'était réellement un bel homme. Il souriait et semblait moins sévère que
d'habitude. Elle était fascinée par sa queue, noueuse qu'une grosse veine parcourait
sur toute la longueur. Le gland entièrement décalotté était énorme, rouge violacé.
Enhardie, elle saisit la bite dans sa main. Elle était chaude, dure et souple à la
fois.
- Oui caresse-moi ! Regarde, tu me fais bander, petite cochonne !
Elle la sentait vibrer sous ses doigts.
- Oui, branle-moi, plus vite ! Fait bien coulisser tes doigts sur la peau ! Tu aimes,
belle petite chienne ?
- Oui Maître ! Ce qu"elle est dure !
Au bout de quelques minutes, Il la fit s'étendre sur le dos et lui écarta les jambes.
Elle sentit d'abord son souffle chaud sur le bas de son ventre puis le contact de sa
langue sur sa fente qu'Il ouvrait délicatement avec ses doigts. Au fur et à mesure que
la langue la léchait, elle sentait monter en elle de nouvelles sensations. Une chaleur
insoupçonnée envahissait son ventre qu'elle tendait sous la caresse. Elle souleva sans
résistance son cul quand il glissa une main sous ses fesses qu'il malaxait. Un doigt
dans sa chatte il la branlait tandis que sa langue suçait son petit bouton. Un vrai
délice. Elle n'avait que rarement ressenti quelque chose d'aussi agréable. Elle crut
quelle allait défaillir. Il se redressa et vint s'accroupir sur elle, la tête toujours
enfouie entre ses cuisses. Elle avait maintenant la verge et les couilles énormes qui
pendaient au-dessus de son visage. C'est tout naturellement qu'elle ouvrit la bouche
pour l'accueillir. Il usait de sa bouche comme de son sexe, entrait et sortait de plus
en plus profondément. Quand il s'enfonça au fond de sa gorge, elle faillit étouffer.
- Oui, suce, serre la fort entre tes lèvres ! Tu sens comme elle vibre ?
Elle émit un grognement qu'il prit pour un acquiescement à la façon dont elle resserra
ses cuisses.
- Mais tu vas m'étouffer, diablesse ! Attends, tu vas voir comme je vais te branler !
Tu sens mon doigt dans ta foufoune ?
- Oui Maître… c'est trop bon … n'arrêtez pas, s’Il vous plait !
Elle s'ouvrait pour lui faciliter l'accès. Ce n'était plus un mais deux doigts qui
s'enfonçaient dans sa chatte, qui la fouillaient. La langue avait délaissé le bouton
pour descendre plus bas dans la raie toute mouillée pour s'attarder sur son petit
trou. Jamais elle n'avait imaginé une chose pareille et pourtant si douce : Se faire
lécher le cul. La salive dégoulinait mélangée à ses propres secrétions. Elle fondait !
Elle gémit quand elle sentit un doigt forcer sa rondelle pour la dilater. Ça brûlait
un peu ! Mais les coups de la langue pointée qui forçaient son anus apaisèrent très
vite la douleur. Elle savait qu'il l'entraînait sur un bien doux chemin et se laissait
faire, docile et attentive.
- Dis-moi, c'est bon ça ? Tu sens ma langue qui entre dans ton petit cul ?
- Oui, encore ! Encore !
Il lui bouffait le cul depuis un moment quand soudain elle sentit monter du fond de
son ventre et de ses reins un plaisir nouveau, violent qui l'envahissait partout. Elle
ne se contrôlait plus et se sentait partir. L'orgasme la submergea, elle jouissait !
Elle serrait convulsivement ses cuisses puis se relâcha, étourdie. Elle aurait voulu
que cela ne finisse jamais !
- Alors, petite chienne, on a joui à ce que je vois ! Putain ce que tu mouilles, tu es
trempée !
Il l'avait prise dans ses bras et la serrait contre lui, fier de l'avoir menée au
plaisir. Reconnaissante elle se pelotonnait contre sa poitrine, ronronnait comme une
chatte. Puis la folle nuit avait continué.
- A ton tour de me faire jouir, petite salope ! Regarde dans quel état tu m'as mis !
Ma bite va éclater !
Il avait d'abord voulu jouir dans sa bouche. Il était tellement excité que cela avait
été très rapide. Elle avait cru suffoquer lorsqu'il avait déchargé au fond de sa
gorge. Le sperme lui avait soudain rempli la bouche et il lui avait maintenu la tête
jusqu'à ce quelle avalât. Momentanément apaisés, ils étaient restés dans les bras l'un
de l'autre. Il lui avait murmuré des mots tendres au creux de l'oreille, disant
qu'elle était belle et que son corps le rendait fou. Puis ils s'étaient assoupis,
repus.
Plus tard dans la nuit, alors qu'il reprenait vigueur, il l'avait réveillée et ils
avaient fait l'amour. Elle sur lui d'abord. Empalée sur sa bite, c'est elle qui
imposait la cadence selon l’ordre de son Maître tandis qu'il lui pétrissait les seins
et les fesses. Ils voyaient monter le plaisir de l'autre dans leurs regards qui se
croisaient. Quand il sentit qu'il allait exploser, il la serra très fort contre lui,
écrasant ses seins contre sa poitrine et lui enfonça un doigt au fond du cul comme
s'il avait craint qu'elle ne s'échappât. L'orgasme avait été intense. Ils avaient joui
simultanément. Pleine du jus de ses couilles, chaud et onctueux, qui lui tapissait le
vagin, elle avait gardé au fond de son ventre la bite encore dure de son amant. Elle
était sur un nuage ! Chris n'avait jamais pu oublier cette première nuit d'amour. Lui
non plus car depuis ce jour là, leur relation avait changé, s'était approfondie, les
sentiments étaient existants désormais entre eux deux. Sa façon à lui de l'aimer. Elle
lui était devenue très vite indispensable ! Chaque journée, elle espérait que son
Maître l’a fasse sonner, pour Lui monter son infusion … Et très souvent elle fût
appelée à la ‘’tâche’’.
Et ce soir là, encore une fois elle avait envie de Lui . La chaleur au creux de son
ventre trahissait son impatience ! « Je suis vraiment sa chienne » pensa-t-elle, un
sourire gourmand au coin des lèvres. Aussi ne se fit-elle pas prier lorsque, d'un
geste de la main, Il lui demanda de le rejoindre dans le lit suite à Son claquement de
doigts ! …
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