La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°194)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°194)
(Suite de l'épisode précédent) -
Dès le début de l’après-midi qui suivit cette torride nuit, et comme l’avait exigé
Monsieur le Marquis d’Evans, Darla se mit à la disposition de Marie la Cuisinière pour
le service de table. Nue comme au premier jour, elle devait servir chaque jour et dès
ce premier soir les plats avec seulement son collier d’appartenance à son vénéré
Maître.
En ce début de soirée, alors que Darla s’affairait nue en cuisine à préparer une
Foret-Noire en dessert (ce qui était d’ailleurs sa spécialité pâtissière) Marie lui
lança sur un ton sec :
- Laisse ton dessert un moment et va dans le hall d’entrée, Monsieur le Marquis t’y
attend.
Tout se passa très vite dans la tête de Darla, le simple fait que son Maître ait envie
de la voir en cette fin d’après-midi, l’excitait déjà. Et c’est dans cet état fébrile
qu’elle se hâta à quitter la cuisine pour le grand hall d’entrée… Monsieur le Marquis
d’Evans était là, devant l’immense double porte massive fermée. Il était debout bras
croisés et imposait Sa domination par Sa position, Son regard, Son charisme. Elle leva
doucement les yeux vers les siens. Il planta son regard bleu au fond de son âme. Ce
que Darla pouvait y lire lui coupait le souffle. L’intensité de cette conversation
silencieuse la troublait fortement et elle sentit son bas ventre s’humidifier encore
plus intensément. Darla avait reculé jusqu’à heurter le mur de côté derrière elle. Son
souffle était court. L’humidité entre ses cuisses pouvait difficilement être ignorée.
Le Marquis la fixait toujours de ses yeux intenses. Le lien qui unissait leurs regards
vibrait d’un chaud désir presque palpable. Elle baissa les yeux signe de sa
soumission.
Ses genoux fléchirent aussi, c’était le signal qu’il attendait. En deux enjambées le
Noble fut sur elle, Il la plaqua contre le mur à l’aide de son corps musclé qu’elle
devinait sous Sa chemise. Il plaqua sa bouche contre la sienne, leurs langues se
dévorèrent, intimant à leur corps de faire de même. Darla, telle une femelle en
chaleur, gémissait, ondulait. Le Marquis la maintenait de tout son poids contre la
paroi murale. Il remonta la main le long de sa cuisse et atteignit la fesse ronde,
changea d’idée, redescendit jusque sous le genou, l’agrippa brutalement et la plaqua
contre sa hanche. La jambe de la soumise ainsi relevée ouvrait l’accès de son
entrecuisse qui frottait délicieusement contre le tissu rêche du pantalon du
châtelain. Ses plaintes soupirées suppliaient qu’on la libère de ce désir
insoutenable. Elle faisait aller son bassin contre les jambes hostiles qui lui
refusaient d’abord un plaisir trop facile.
Le Marquis laissa aller le genou, puis Il la retourna d’un seul coup rapide contre le
mur. Une main entre ses omoplates écrasait sa poitrine contre la tapisserie murale.
Son corps revint s’écraser contre le sien. Il empoigna ses mains, d’un mouvement
circulaire les fit s’élever au-dessus de sa tête. Le Marquis maintenait ainsi les
poignets prisonniers contre le mur au-dessus de Darla. Le visage du Maître se perdait
à l’intérieur du cou de la belle, Ses dents mordillaient sans ménagement le lobe de
l’oreille droite de Darla. De sa main libre, Il explora, fouilla l’entrejambe trempé
pour se retirer aussitôt. Il lui montra sa mouille luisante sur Ses doigts qu’Il
enfonça aussitôt au fond de la bouche de Darla
Les lèvres du Marquis s’écrasaient contre la nuque, il lâcha enfin ses poignets
douloureux. Ses mains larges lui empoignèrent la taille qu’elles maintenaient toujours
fermement contre le mur. Sa bouche commença à descendre lentement contre la colonne
vertébrale. D’un pied quasi impatient, il écarta ses jambes. Sa langue caressait
chaque vertèbre. Elle était au supplice et suppliait maintenant sans retenue. Il lécha
ses fesses, lentement, puis, enfin, sa bouche se colla sur la région humide, l’avala
presque en entier, s’abreuva de son jus épais. Le Marquis l’embrassait sauvagement,
mordait, léchait, fouillait. Darla gémissait de plaisir, elle voulait qu’Il l’empale,
la remplisse, fort, fougueusement, sauvagement bestialement …
Le Noble s’était relevé, tirant sur son collier pour la voir de face, la soumise se
retourna vers Lui, Il la souleva par les hanches comme si elle avait été une poupée de
chiffon, la coucha sur la petite table marquetée du hall. D’une main, elle tenta de
retirer les objets qui s’enfonçaient douloureusement dans son dos. Avant qu’elle en
ait pris conscience, le Marquis d’Evans s’était débarrassé de son pantalon. Darla
n’eut que le temps de retirer son bras pour agripper la table qu’Il s’enfonça dans un
grognement au plus profond de son ventre. Elle poussa un soupir d’aise, jouissif, la
plénitude que dégageait son visage était d’un merveilleux éclat.
Darla pouvait sentir le Vit de son Maître en elle par chaque pore de sa peau. Il était
imposant, l’emplissait complètement. Elle pouvait le sentir glisser contre ses parois
vaginales, les forcer allègrement à s’ouvrir à lui. La soumise contractait ses muscles
pour le sentir encore plus, pour l’emprisonner en elle. Elle le voulait au plus
profond, sauvagement, sans ménagement. Et Il lui donnait ce grand plaisir qu’Il avait
daigné lui accorder. À grands coups de bassin, le Noble labourait maintenant son corps
et son corps en redemandait. Ses mains empoignaient ses seins férocement. Elle criait
son plaisir par des sons qu’elle ne reconnaissait pas. Mais peu importe, Son Maître la
prenait ainsi et Darla ne demandait qu’une seule chose, savourer ce moment de bonheur
intense, savourer les multiples sensations de plaisirs qui montaient en elle.
Le Marquis la releva, lui empoigna les fesses, toujours son pieu de chair enfoncé en
elle. Darla s’agrippa à sa nuque pour ne pas le perdre d’un centimètre. Elle faisait
aller son bassin contre le membre toujours d’acier qui arrachait à son ventre des
contractions qu’elle ne contrôlait pas. Dans son excitation poussée à l’extrême, elle
entreprit de lui retirer sa chemise et, empoigna ses omoplates.
Il la transporta ainsi accouplés dans la cuisine, traversant le hall, passant le
couloir. Marie surprise de l’arrivée de ce couple copulant aisément, se retira
prestement par une porte dérobée, laissant son patron à sa libido virile de mâle
dominateur. Le Noble plaqua presque brutalement le dos de Darla contre un des immenses
frigidaires, s’enfonçant au plus profond d’elle, écrasant sa poitrine à la sienne.
Puis, alors que la soumise était si près d’atteindre l’explosion libératrice, Il se
retira, la laissa retomber sur le carrelage doucement en la retenant. Elle gémit de
rage sans un mot, d’un coït qu’ Il avait cruellement interrompu. Il n’eut cure de ses
réactions, la retourna et l’obligea à se plier en deux en poussant sa nuque contre la
grande table en chêne massive. Ses seins, son visage étaient plaqués contre la surface
dure et froide. Son bassin se tendait dans une supplication sauvage. Le Marquis se
refusait, la faisait languir en la maintenant d’une main dans cette position
inconfortable. Darla pouvait le sentir la détailler, s’enorgueillir de son impatience.
Au lieu de répondre à ses suppliques, Le châtelain lui écarta les fesses. Sa nuque
était libérée de son entrave mais elle n’osait pas bouger, intriguée par l’attention
qu’Il portait à son anneau postérieur et froncé. Elle sentit une langue s’y aventurer,
en détailler les contours puis s’enfoncer en elle. Darla gémit, surprise par les
sensations que lui faisait découvrir cette inquisitrice qui la pénétrait. Quand sa
respiration s’accéléra et que ses gémissements s’intensifièrent, ce fut un doigt
humide qui força l’entrée interdite. Il allait et venait, allait et venait… Elle se
sentait s’ouvrir, son cul en demandait plus.
Le Marquis d’Evans se retira, présenta son membre toujours durement tendu, l’effleura
contre la fente humide de son con mais ne s’y enfonça pas. Continua vers l’antre
sombre dilaté par son doigt inquisiteur. La mouille de la belle qui recouvrait encore
le gland déculotté le fit glisser vers l’intérieur de l’anneau serré qui s’ouvrit pour
se refermer aussitôt autour du Vit épais et dur. Darla cria. Le Noble attendit
quelques secondes puis empoigna ses épaules et poussa. La douleur fut vive lorsque Ses
couilles heurtèrent ses fesses offertes. Mais le plaisir était plus fort. Alors, le
Marquis entama un va-et-vient prudent et bientôt Darla allait au-devant, poussait les
hanches pour qu’Il s’enfonce plus loin, plus fort.
Il accéléra le rythme. Elle pressa une main entre ses cuisses trempées, là où se
dressait le petit organe gorgé de plaisir. On pouvait y sentir les battements de son
sang. Darla criait sans retenue, grognait, en redemandait. Et le Marquis lui donnait,
plus loin, plus sauvagement. Il l’a prenait comme une bête. Elle se sentait animale,
n’était plus que ce corps rabroué qu’elle voulait enfoncé, défoncé, rempli. La douleur
avait fait place à un plaisir abyssal, si intense que Darla croyait défaillir. Se
mains empoignaient frénétiquement les côtés de la table, elle bredouillait des mots
inaudibles, lui disait non, lui disait oui, lui suppliait d’arrêter, lui suppliait de
continuer encore et encore ….
Puis Darla crut que le monde s’arrêtait. Tous les muscles de son corps se tendirent à
l’extrême alors qu’un éclair explosait à l’intérieur de ses yeux. En une longue
plainte indéfinissable, son corps meurtri fut secoué de spasmes plus violents les uns
que les autres. Elle ne respirait plus. Le plaisir épileptique sembla durer des
heures. L’orgasme fut fulgurant, puissant, inouï d’intensité …
Le Marquis regardait sa soumise qu’il aimait tant et s’enfonçait en elle, toujours
plus loin, toujours plus fort. Il voulait lui faire encore la faire jouir, la prendre
sans fin jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Oui, c’est cela, Il voulait la faire jouir
encore d’un plaisir dont elle ne soupçonnait même pas l’intensité. Il voulait lui
faire perdre la tête, la baiser vulgairement, sauvagement. La Noble la tirait par la
taille et la propulsait contre son ventre de plus en plus fort. Du fond de son bassin,
les convulsions enserrant son membre fébrile eurent bientôt raison de son plaisir.
Dans un cri exutoire, le Marquis empoigna ses épaules et se vida par à-coups puissants
à l’intérieur de ses entrailles. Les longs jets de sperme s’épandaient dans le cul de
Darla sous des râles puissants du Maître.
Darla se laissa fondre sur cette table, à demi-consciente de ce violent orgasme si
intense. Elle réalisa qu’elle sanglotait de plaisir. Le Marquis retira sa bite
gluante, puis Il lui caressa les cheveux jusqu’à ce que l’intensité se soit atténuée.
Il la prit alors dans ses bras, l’embrassa si tendrement de mille baisers d’Amour. Il
monta ainsi les immense escaliers et la transporta jusqu’à Sa chambre et la déposa
délicatement sur le luxueux lit. Puis il se coucha à ses côtés. Le Marquis attendrit
caressait sa peau doucement, embrassait son front fiévreux. Darla leva les yeux vers
lui, esquissa un sourire de bien-être. Ils n’avaient prononcé aucune parole et tout
avait été dit. Darla sombra dans un profond sommeil et comme la veille au soir, elle
était heureuse au creux de la poitrine de son Maître ….
Dès le début de l’après-midi qui suivit cette torride nuit, et comme l’avait exigé
Monsieur le Marquis d’Evans, Darla se mit à la disposition de Marie la Cuisinière pour
le service de table. Nue comme au premier jour, elle devait servir chaque jour et dès
ce premier soir les plats avec seulement son collier d’appartenance à son vénéré
Maître.
En ce début de soirée, alors que Darla s’affairait nue en cuisine à préparer une
Foret-Noire en dessert (ce qui était d’ailleurs sa spécialité pâtissière) Marie lui
lança sur un ton sec :
- Laisse ton dessert un moment et va dans le hall d’entrée, Monsieur le Marquis t’y
attend.
Tout se passa très vite dans la tête de Darla, le simple fait que son Maître ait envie
de la voir en cette fin d’après-midi, l’excitait déjà. Et c’est dans cet état fébrile
qu’elle se hâta à quitter la cuisine pour le grand hall d’entrée… Monsieur le Marquis
d’Evans était là, devant l’immense double porte massive fermée. Il était debout bras
croisés et imposait Sa domination par Sa position, Son regard, Son charisme. Elle leva
doucement les yeux vers les siens. Il planta son regard bleu au fond de son âme. Ce
que Darla pouvait y lire lui coupait le souffle. L’intensité de cette conversation
silencieuse la troublait fortement et elle sentit son bas ventre s’humidifier encore
plus intensément. Darla avait reculé jusqu’à heurter le mur de côté derrière elle. Son
souffle était court. L’humidité entre ses cuisses pouvait difficilement être ignorée.
Le Marquis la fixait toujours de ses yeux intenses. Le lien qui unissait leurs regards
vibrait d’un chaud désir presque palpable. Elle baissa les yeux signe de sa
soumission.
Ses genoux fléchirent aussi, c’était le signal qu’il attendait. En deux enjambées le
Noble fut sur elle, Il la plaqua contre le mur à l’aide de son corps musclé qu’elle
devinait sous Sa chemise. Il plaqua sa bouche contre la sienne, leurs langues se
dévorèrent, intimant à leur corps de faire de même. Darla, telle une femelle en
chaleur, gémissait, ondulait. Le Marquis la maintenait de tout son poids contre la
paroi murale. Il remonta la main le long de sa cuisse et atteignit la fesse ronde,
changea d’idée, redescendit jusque sous le genou, l’agrippa brutalement et la plaqua
contre sa hanche. La jambe de la soumise ainsi relevée ouvrait l’accès de son
entrecuisse qui frottait délicieusement contre le tissu rêche du pantalon du
châtelain. Ses plaintes soupirées suppliaient qu’on la libère de ce désir
insoutenable. Elle faisait aller son bassin contre les jambes hostiles qui lui
refusaient d’abord un plaisir trop facile.
Le Marquis laissa aller le genou, puis Il la retourna d’un seul coup rapide contre le
mur. Une main entre ses omoplates écrasait sa poitrine contre la tapisserie murale.
Son corps revint s’écraser contre le sien. Il empoigna ses mains, d’un mouvement
circulaire les fit s’élever au-dessus de sa tête. Le Marquis maintenait ainsi les
poignets prisonniers contre le mur au-dessus de Darla. Le visage du Maître se perdait
à l’intérieur du cou de la belle, Ses dents mordillaient sans ménagement le lobe de
l’oreille droite de Darla. De sa main libre, Il explora, fouilla l’entrejambe trempé
pour se retirer aussitôt. Il lui montra sa mouille luisante sur Ses doigts qu’Il
enfonça aussitôt au fond de la bouche de Darla
Les lèvres du Marquis s’écrasaient contre la nuque, il lâcha enfin ses poignets
douloureux. Ses mains larges lui empoignèrent la taille qu’elles maintenaient toujours
fermement contre le mur. Sa bouche commença à descendre lentement contre la colonne
vertébrale. D’un pied quasi impatient, il écarta ses jambes. Sa langue caressait
chaque vertèbre. Elle était au supplice et suppliait maintenant sans retenue. Il lécha
ses fesses, lentement, puis, enfin, sa bouche se colla sur la région humide, l’avala
presque en entier, s’abreuva de son jus épais. Le Marquis l’embrassait sauvagement,
mordait, léchait, fouillait. Darla gémissait de plaisir, elle voulait qu’Il l’empale,
la remplisse, fort, fougueusement, sauvagement bestialement …
Le Noble s’était relevé, tirant sur son collier pour la voir de face, la soumise se
retourna vers Lui, Il la souleva par les hanches comme si elle avait été une poupée de
chiffon, la coucha sur la petite table marquetée du hall. D’une main, elle tenta de
retirer les objets qui s’enfonçaient douloureusement dans son dos. Avant qu’elle en
ait pris conscience, le Marquis d’Evans s’était débarrassé de son pantalon. Darla
n’eut que le temps de retirer son bras pour agripper la table qu’Il s’enfonça dans un
grognement au plus profond de son ventre. Elle poussa un soupir d’aise, jouissif, la
plénitude que dégageait son visage était d’un merveilleux éclat.
Darla pouvait sentir le Vit de son Maître en elle par chaque pore de sa peau. Il était
imposant, l’emplissait complètement. Elle pouvait le sentir glisser contre ses parois
vaginales, les forcer allègrement à s’ouvrir à lui. La soumise contractait ses muscles
pour le sentir encore plus, pour l’emprisonner en elle. Elle le voulait au plus
profond, sauvagement, sans ménagement. Et Il lui donnait ce grand plaisir qu’Il avait
daigné lui accorder. À grands coups de bassin, le Noble labourait maintenant son corps
et son corps en redemandait. Ses mains empoignaient ses seins férocement. Elle criait
son plaisir par des sons qu’elle ne reconnaissait pas. Mais peu importe, Son Maître la
prenait ainsi et Darla ne demandait qu’une seule chose, savourer ce moment de bonheur
intense, savourer les multiples sensations de plaisirs qui montaient en elle.
Le Marquis la releva, lui empoigna les fesses, toujours son pieu de chair enfoncé en
elle. Darla s’agrippa à sa nuque pour ne pas le perdre d’un centimètre. Elle faisait
aller son bassin contre le membre toujours d’acier qui arrachait à son ventre des
contractions qu’elle ne contrôlait pas. Dans son excitation poussée à l’extrême, elle
entreprit de lui retirer sa chemise et, empoigna ses omoplates.
Il la transporta ainsi accouplés dans la cuisine, traversant le hall, passant le
couloir. Marie surprise de l’arrivée de ce couple copulant aisément, se retira
prestement par une porte dérobée, laissant son patron à sa libido virile de mâle
dominateur. Le Noble plaqua presque brutalement le dos de Darla contre un des immenses
frigidaires, s’enfonçant au plus profond d’elle, écrasant sa poitrine à la sienne.
Puis, alors que la soumise était si près d’atteindre l’explosion libératrice, Il se
retira, la laissa retomber sur le carrelage doucement en la retenant. Elle gémit de
rage sans un mot, d’un coït qu’ Il avait cruellement interrompu. Il n’eut cure de ses
réactions, la retourna et l’obligea à se plier en deux en poussant sa nuque contre la
grande table en chêne massive. Ses seins, son visage étaient plaqués contre la surface
dure et froide. Son bassin se tendait dans une supplication sauvage. Le Marquis se
refusait, la faisait languir en la maintenant d’une main dans cette position
inconfortable. Darla pouvait le sentir la détailler, s’enorgueillir de son impatience.
Au lieu de répondre à ses suppliques, Le châtelain lui écarta les fesses. Sa nuque
était libérée de son entrave mais elle n’osait pas bouger, intriguée par l’attention
qu’Il portait à son anneau postérieur et froncé. Elle sentit une langue s’y aventurer,
en détailler les contours puis s’enfoncer en elle. Darla gémit, surprise par les
sensations que lui faisait découvrir cette inquisitrice qui la pénétrait. Quand sa
respiration s’accéléra et que ses gémissements s’intensifièrent, ce fut un doigt
humide qui força l’entrée interdite. Il allait et venait, allait et venait… Elle se
sentait s’ouvrir, son cul en demandait plus.
Le Marquis d’Evans se retira, présenta son membre toujours durement tendu, l’effleura
contre la fente humide de son con mais ne s’y enfonça pas. Continua vers l’antre
sombre dilaté par son doigt inquisiteur. La mouille de la belle qui recouvrait encore
le gland déculotté le fit glisser vers l’intérieur de l’anneau serré qui s’ouvrit pour
se refermer aussitôt autour du Vit épais et dur. Darla cria. Le Noble attendit
quelques secondes puis empoigna ses épaules et poussa. La douleur fut vive lorsque Ses
couilles heurtèrent ses fesses offertes. Mais le plaisir était plus fort. Alors, le
Marquis entama un va-et-vient prudent et bientôt Darla allait au-devant, poussait les
hanches pour qu’Il s’enfonce plus loin, plus fort.
Il accéléra le rythme. Elle pressa une main entre ses cuisses trempées, là où se
dressait le petit organe gorgé de plaisir. On pouvait y sentir les battements de son
sang. Darla criait sans retenue, grognait, en redemandait. Et le Marquis lui donnait,
plus loin, plus sauvagement. Il l’a prenait comme une bête. Elle se sentait animale,
n’était plus que ce corps rabroué qu’elle voulait enfoncé, défoncé, rempli. La douleur
avait fait place à un plaisir abyssal, si intense que Darla croyait défaillir. Se
mains empoignaient frénétiquement les côtés de la table, elle bredouillait des mots
inaudibles, lui disait non, lui disait oui, lui suppliait d’arrêter, lui suppliait de
continuer encore et encore ….
Puis Darla crut que le monde s’arrêtait. Tous les muscles de son corps se tendirent à
l’extrême alors qu’un éclair explosait à l’intérieur de ses yeux. En une longue
plainte indéfinissable, son corps meurtri fut secoué de spasmes plus violents les uns
que les autres. Elle ne respirait plus. Le plaisir épileptique sembla durer des
heures. L’orgasme fut fulgurant, puissant, inouï d’intensité …
Le Marquis regardait sa soumise qu’il aimait tant et s’enfonçait en elle, toujours
plus loin, toujours plus fort. Il voulait lui faire encore la faire jouir, la prendre
sans fin jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Oui, c’est cela, Il voulait la faire jouir
encore d’un plaisir dont elle ne soupçonnait même pas l’intensité. Il voulait lui
faire perdre la tête, la baiser vulgairement, sauvagement. La Noble la tirait par la
taille et la propulsait contre son ventre de plus en plus fort. Du fond de son bassin,
les convulsions enserrant son membre fébrile eurent bientôt raison de son plaisir.
Dans un cri exutoire, le Marquis empoigna ses épaules et se vida par à-coups puissants
à l’intérieur de ses entrailles. Les longs jets de sperme s’épandaient dans le cul de
Darla sous des râles puissants du Maître.
Darla se laissa fondre sur cette table, à demi-consciente de ce violent orgasme si
intense. Elle réalisa qu’elle sanglotait de plaisir. Le Marquis retira sa bite
gluante, puis Il lui caressa les cheveux jusqu’à ce que l’intensité se soit atténuée.
Il la prit alors dans ses bras, l’embrassa si tendrement de mille baisers d’Amour. Il
monta ainsi les immense escaliers et la transporta jusqu’à Sa chambre et la déposa
délicatement sur le luxueux lit. Puis il se coucha à ses côtés. Le Marquis attendrit
caressait sa peau doucement, embrassait son front fiévreux. Darla leva les yeux vers
lui, esquissa un sourire de bien-être. Ils n’avaient prononcé aucune parole et tout
avait été dit. Darla sombra dans un profond sommeil et comme la veille au soir, elle
était heureuse au creux de la poitrine de son Maître ….
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