La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°197)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°197)
Puis Monsieur le Marquis vient me chercher tout en souriant à la belle Domina, lui faisant un signe poli de la main, un signe empli de grâce et voulant dire de bien vouloir le suivre. Alors mon Maître m'entraîne à l'étage suivit donc de la Maîtresse. Nous montons ainsi les larges escaliers tous capitonnés de velours rouges. Bien entendu, je suis la seule à les monter à 4 pattes et en dernière position. Le Maître et la Maîtresse étant, comme il se doit, majestueusement devant. Une fois à l’étage, nous traversons une moitié du long et luxueux couloir aux lustres de cristal immenses et le Noble ouvre une double-porte lourde en chêne massif où tous les trois nous nous engouffrons rapidement. Nous sommes dans une pièce sombre. A peine entrée, mon Maître me relève de son bras puissant et me pousse plus encore à l'intérieur, la chambre est aménagée de façon assez inhabituelle contrastant avec les nombreuses pièces luxueusement meublées. En effet, la moitié de la pièce est occupée par quatre simples matelas recouvert de draps à même le sol. A l'opposé des coussins forment une sorte de divan qui occupe tout un pan de mur. Les murs sont tendus de larges tissus brun-rouge, une grosse commode supporte des brûle-parfums qui dégagent une odeur d'encens, de jasmin et d'ilang-Ilang. Le parfum qui flotte dans la pièce est lourd et entêtant. La lumière tamisée provenant de deux halogènes réglés au plus bas est très faible.
Monsieur le Marquis d’Evans ouvre un tiroir de la commode et en sort des bracelets de cuir qu'il fixe à mes poignets et mes chevilles. Il me force à m'agenouiller et relie ensemble les quatre bracelets à l'aide d'un solide mousqueton d’acier. Puis il fixe à mes tétons des pinces reliées par une chaînette d’or. Il y a deux hommes en puissante érection et deux femmes gémissant très excitée et qui sont tous allongés nus, jambes écartées sur les quatre matelas et sur chacun d’eux, une autre personne chevauchant ou suçant. A genoux devant eux, je peux voir des bouches qui s'embrassent, d’autres qui sucent des bites ou des chattes. Des mains entremêlées caressent des corps. Des bites qui s'enfoncent dans des sexes ou des culs ou encore dans des bouches. Des gémissements, des cris, des râles jaillissent de cet enchevêtrement de corps qui s'ébattent dans cette scène orgiaque. L'odeur de l'amour et de la sueur arrive à couvrir celle de l'encens. Je suis très excitée à l'extrême devant cette scène, ma mouille ruisselle sur mes cuisses, mes tétons durcis sont martyrisés par les pinces. J'aimerais me caresser mais je ne peux le faire, J'essaie de serrer mes cuisses mais cela contribue seulement à augmenter mon excitation sans me soulager. J'ai envie de me faire pénétrer, j'ai envie d'une queue. Cette frustration est plus douloureuse que n'importe quel sévices...
Un bout d'un long moment, les chauds ébats ralentissent. Ils sont maintenant allongés tous les huit et ne se font plus que des caresses furtives. La Domina s'approche d’un des hommes et excitée lui présente sa chatte largement ouverte. L’homme encore en érection, se lève du matelas délaissant sa compagne pour venir baiser la belle Maîtresse debout par derrière en lui posant ses puissantes mains sur les hanches de la belle Domina. Celle-ci se cambre en avant, écarte les jambes et produit de longs vas et viens avec son bassin afin de faire pénétrer ce phallus le plus profond en elle, elle gémit, et après une longue saillie à grands coups de reins puissants, la belle jouit dans des cris non retenus, le mâle apollon se lâche alors en de longs râles et de puissants jets de sperme. Il se retire et la Domina me regarde droit dans les yeux, s’approche de moi d’un air pervers puis elle me présente son sexe couvert de sperme, de mouille mélangés.
- Nettoies moi avec ta langue, petite putain.
Je m'applique alors agenouillée à la lécher, à fouiller sa fente gluant de ma langue pour en extirper tous le contenu. Chaque fois que ma langue touche son petit bouton dardé, elle pousse un petit cri et les contractions de son ventre libèrent le contenu de sa chatte que je prends soin d'avaler. .Une fois le nettoyage effectué, elle me prend par les cheveux m’approche des matelas pour me lancer autoritairement :
- Tu vas faire pareil à ces quatre couples, nettoie-les tous, les chattes comme les bites et avale tout, chienne !
Et c’est agenouillée que les huit personnes viennent à tour de rôle se faire nettoyer le sexe. Les spermes et les mouilles se mélangeant dans ma bouche. Des bite ramollies et gluantes s’engouffrent dans ma bouche, des chattes trempées passent sous ma langue et je m’efforce de m’appliquer du mieux possible.
Cela fait, Monsieur le Marquis manœuvre une sorte de treuil électrique pour faire descendre du plafond une solide corde à laquelle Il attache mes poignets. Pendant ce temps, la Maîtresse fixe mes chevilles à une barre de force très longue qui écarte mes jambes au maximum. Elle fixe ensuite la barre au même crochet que mes poignets et manœuvre la commande du treuil. Je me retrouve suspendue comme un gibier ballant, les jambes écartées, la tête pendante. La chaînette reliant mes tétons est fixée elle aussi au crochet. Elle tire mes seins vers le haut, mes tétons me font mal. Mon Maître se place entre mes jambes et me pénètre d'un seul coup. Je pousse alors un râle de plaisir, cette pénétration tant désirée arrive et me comble. Il me baise à grands coups de reins, jouant sur le mouvement de balancier qu'il m'imprime pour me pénétrer un peu plus profond à chaque fois. Chaude comme je suis, je jouis rapidement en poussant un long cri rauque de bête. Comme Il a eu des éjaculations avant, son endurance est grande et Il continue de me fourrer sans s'arrêter, ce qui me provoque un second orgasme avant qu'il ne se vide dans ma chatte en les râles de mâle en rut.
Quand Il se retire, une fois qu’Il ait retrouvé son souffle, Monsieur le Marquis aperçois un des hommes étalons resté sur un des matelas, en forte érection. A l’évidence cette scène de baise ayant bien excité cet homme. Alors claquant des doigts, le Marquis l’appelle et lui dit perversement :
- Encule-la, cette Darla doit être utilisée par tous les trous ce soir …
Celui-ci, obéissant se lève d’un bond et prend sa place et me sodomise brutalement, sans me lubrifier. Je hurle ma douleur de sentir son gros sexe raide dilater mon petit trou. Mais la douleur s'estompe vite, couverte par le plaisir de la sodomie. Durant ce temps la Domina masse mes seins tendus, elle joue avec la chaînette pour les étirer encore plus. La bite de l’étalon s'enfonce dans mes entrailles, car prenant l'exemple de Monsieur le Marquis, il joue du mouvement de balancier pour m'enculer très profond. Cet homme est aussi endurant que Monsieur le Marquis et j'ai un troisième orgasme puis un quatrième quand il explose dans mon cul en envoyant de grands coups de reins d’une virilité incroyable.
Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que je vois la Domina prendre un plug monstrueux. Elle l'enfonce dans mon cul dilaté et lubrifié par le sperme de l’homme étalon. Malgré cela, la pénétration de l'objet me tire un cri de douleur. Puis la Maîtresse place un vibro-masseur dans mon sexe et le met en marche. Nouvel orgasme puissant quasiment instantané, je crie, je gémis. Le vibro ronronne toujours, ses vibrations permanentes créent une boule de feu dans mon ventre, elles se répercutent sur le plug qui dilate mon cul. Je jouis en permanence, tout le corps agité de spasmes incontrôlables. Je suis à demi inconsciente, je ne suis plus qu'un sexe et qu'un cul, tout le reste de mon corps est comme anesthésié. Les femmes restées sur les matelas se lèvent et posent leur chatte sur ma bouche. Je trouve la force et un peu de lucidité pour les lécher, fourrant ma langue au plus profond possible pendant qu'elles se branlent le clitoris. Elles jouissent toutes couvrant mon visage de leur mouille. Puis vient le tour des hommes étalons, je n'ai plus que quelques rares instants de lucidité, de temps en temps. quand les hommes me fourrent leur queue au fond de ma gorge, quand leur membre m'asphyxie, quand leur jus se repend dans ma bouche.
Je ne sais pas combien de temps cette longue et incroyable orgie a duré car j'ai repris conscience sur les matelas, libérée de mes liens, recouverte d'une couverture, je ne sais combien de temps après. Je comprends que je me suis évanoui dans le plaisir, dans la fatigue mais surtout dans les jouissances totales. Mon Maître est là et me regarde refaire surface avec un petit sourire tendre. Il me tend la main et m'aide à me relever.
- Va prendre une douche, me dit il gentiment.
Il me conduit alors à une des salles de bain de l’étage où des vêtements sont posés sur une chaise. J'ai du mal à marcher, mes membres sont ankylosés et mon cul me fait mal. L'eau chaude me fait du bien et je m'y attarde un peu. Puis je me sèche, m'habille et descend au rez-de-chaussée comme mon Maître me l’a ordonné. …
Monsieur le Marquis d’Evans ouvre un tiroir de la commode et en sort des bracelets de cuir qu'il fixe à mes poignets et mes chevilles. Il me force à m'agenouiller et relie ensemble les quatre bracelets à l'aide d'un solide mousqueton d’acier. Puis il fixe à mes tétons des pinces reliées par une chaînette d’or. Il y a deux hommes en puissante érection et deux femmes gémissant très excitée et qui sont tous allongés nus, jambes écartées sur les quatre matelas et sur chacun d’eux, une autre personne chevauchant ou suçant. A genoux devant eux, je peux voir des bouches qui s'embrassent, d’autres qui sucent des bites ou des chattes. Des mains entremêlées caressent des corps. Des bites qui s'enfoncent dans des sexes ou des culs ou encore dans des bouches. Des gémissements, des cris, des râles jaillissent de cet enchevêtrement de corps qui s'ébattent dans cette scène orgiaque. L'odeur de l'amour et de la sueur arrive à couvrir celle de l'encens. Je suis très excitée à l'extrême devant cette scène, ma mouille ruisselle sur mes cuisses, mes tétons durcis sont martyrisés par les pinces. J'aimerais me caresser mais je ne peux le faire, J'essaie de serrer mes cuisses mais cela contribue seulement à augmenter mon excitation sans me soulager. J'ai envie de me faire pénétrer, j'ai envie d'une queue. Cette frustration est plus douloureuse que n'importe quel sévices...
Un bout d'un long moment, les chauds ébats ralentissent. Ils sont maintenant allongés tous les huit et ne se font plus que des caresses furtives. La Domina s'approche d’un des hommes et excitée lui présente sa chatte largement ouverte. L’homme encore en érection, se lève du matelas délaissant sa compagne pour venir baiser la belle Maîtresse debout par derrière en lui posant ses puissantes mains sur les hanches de la belle Domina. Celle-ci se cambre en avant, écarte les jambes et produit de longs vas et viens avec son bassin afin de faire pénétrer ce phallus le plus profond en elle, elle gémit, et après une longue saillie à grands coups de reins puissants, la belle jouit dans des cris non retenus, le mâle apollon se lâche alors en de longs râles et de puissants jets de sperme. Il se retire et la Domina me regarde droit dans les yeux, s’approche de moi d’un air pervers puis elle me présente son sexe couvert de sperme, de mouille mélangés.
- Nettoies moi avec ta langue, petite putain.
Je m'applique alors agenouillée à la lécher, à fouiller sa fente gluant de ma langue pour en extirper tous le contenu. Chaque fois que ma langue touche son petit bouton dardé, elle pousse un petit cri et les contractions de son ventre libèrent le contenu de sa chatte que je prends soin d'avaler. .Une fois le nettoyage effectué, elle me prend par les cheveux m’approche des matelas pour me lancer autoritairement :
- Tu vas faire pareil à ces quatre couples, nettoie-les tous, les chattes comme les bites et avale tout, chienne !
Et c’est agenouillée que les huit personnes viennent à tour de rôle se faire nettoyer le sexe. Les spermes et les mouilles se mélangeant dans ma bouche. Des bite ramollies et gluantes s’engouffrent dans ma bouche, des chattes trempées passent sous ma langue et je m’efforce de m’appliquer du mieux possible.
Cela fait, Monsieur le Marquis manœuvre une sorte de treuil électrique pour faire descendre du plafond une solide corde à laquelle Il attache mes poignets. Pendant ce temps, la Maîtresse fixe mes chevilles à une barre de force très longue qui écarte mes jambes au maximum. Elle fixe ensuite la barre au même crochet que mes poignets et manœuvre la commande du treuil. Je me retrouve suspendue comme un gibier ballant, les jambes écartées, la tête pendante. La chaînette reliant mes tétons est fixée elle aussi au crochet. Elle tire mes seins vers le haut, mes tétons me font mal. Mon Maître se place entre mes jambes et me pénètre d'un seul coup. Je pousse alors un râle de plaisir, cette pénétration tant désirée arrive et me comble. Il me baise à grands coups de reins, jouant sur le mouvement de balancier qu'il m'imprime pour me pénétrer un peu plus profond à chaque fois. Chaude comme je suis, je jouis rapidement en poussant un long cri rauque de bête. Comme Il a eu des éjaculations avant, son endurance est grande et Il continue de me fourrer sans s'arrêter, ce qui me provoque un second orgasme avant qu'il ne se vide dans ma chatte en les râles de mâle en rut.
Quand Il se retire, une fois qu’Il ait retrouvé son souffle, Monsieur le Marquis aperçois un des hommes étalons resté sur un des matelas, en forte érection. A l’évidence cette scène de baise ayant bien excité cet homme. Alors claquant des doigts, le Marquis l’appelle et lui dit perversement :
- Encule-la, cette Darla doit être utilisée par tous les trous ce soir …
Celui-ci, obéissant se lève d’un bond et prend sa place et me sodomise brutalement, sans me lubrifier. Je hurle ma douleur de sentir son gros sexe raide dilater mon petit trou. Mais la douleur s'estompe vite, couverte par le plaisir de la sodomie. Durant ce temps la Domina masse mes seins tendus, elle joue avec la chaînette pour les étirer encore plus. La bite de l’étalon s'enfonce dans mes entrailles, car prenant l'exemple de Monsieur le Marquis, il joue du mouvement de balancier pour m'enculer très profond. Cet homme est aussi endurant que Monsieur le Marquis et j'ai un troisième orgasme puis un quatrième quand il explose dans mon cul en envoyant de grands coups de reins d’une virilité incroyable.
Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que je vois la Domina prendre un plug monstrueux. Elle l'enfonce dans mon cul dilaté et lubrifié par le sperme de l’homme étalon. Malgré cela, la pénétration de l'objet me tire un cri de douleur. Puis la Maîtresse place un vibro-masseur dans mon sexe et le met en marche. Nouvel orgasme puissant quasiment instantané, je crie, je gémis. Le vibro ronronne toujours, ses vibrations permanentes créent une boule de feu dans mon ventre, elles se répercutent sur le plug qui dilate mon cul. Je jouis en permanence, tout le corps agité de spasmes incontrôlables. Je suis à demi inconsciente, je ne suis plus qu'un sexe et qu'un cul, tout le reste de mon corps est comme anesthésié. Les femmes restées sur les matelas se lèvent et posent leur chatte sur ma bouche. Je trouve la force et un peu de lucidité pour les lécher, fourrant ma langue au plus profond possible pendant qu'elles se branlent le clitoris. Elles jouissent toutes couvrant mon visage de leur mouille. Puis vient le tour des hommes étalons, je n'ai plus que quelques rares instants de lucidité, de temps en temps. quand les hommes me fourrent leur queue au fond de ma gorge, quand leur membre m'asphyxie, quand leur jus se repend dans ma bouche.
Je ne sais pas combien de temps cette longue et incroyable orgie a duré car j'ai repris conscience sur les matelas, libérée de mes liens, recouverte d'une couverture, je ne sais combien de temps après. Je comprends que je me suis évanoui dans le plaisir, dans la fatigue mais surtout dans les jouissances totales. Mon Maître est là et me regarde refaire surface avec un petit sourire tendre. Il me tend la main et m'aide à me relever.
- Va prendre une douche, me dit il gentiment.
Il me conduit alors à une des salles de bain de l’étage où des vêtements sont posés sur une chaise. J'ai du mal à marcher, mes membres sont ankylosés et mon cul me fait mal. L'eau chaude me fait du bien et je m'y attarde un peu. Puis je me sèche, m'habille et descend au rez-de-chaussée comme mon Maître me l’a ordonné. …
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