La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°198)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°198)
Histoire écrite par esclaveCyrilliaMDE (suite de l’épisode N°190)
Thé pour deux -
Le petit déjeuner terminé, il était temps de se mettre au travail et tout démarrait sur les chapeaux de roues. La Comtesse, m'ordonna de m'asseoir devant le miroir alors qu’elle et sa servante se pressaient autour de moi pour passer sur moi divers maquillages qui, comme par magie, effaçaient mes traits encore masculins pour faire ressortir la féminité qui semblaient sommeiller en moi. Mais simplement me révéler n'était pas assez pour la Comtesse anglaise. Après le premier essai, elle se posta devant moi pour dire :
- No, not like this. Lets try again
Recommencer ? Je ne comprenais pas mais je n'avais pas mon mot à dire, j'étais une poupée entre les mains de deux enfants qui voulaient exercer leur art. On me montait le menton, on m'ordonnait de fermer les yeux, de les garder ouvert, eyeliner, mascara, fond de teint, j'avais eu l'occasion d'en utiliser, pour plaire à mon Maître, mais là je prenais vraiment une leçon et tentait d'être aussi attentive que possible. Trois tentatives plus tard, je voyais les talents de la Domina être de plus en plus fin. Elle semblait me sublimer sans pour autant que le maquillage soit trop visible. Elle voulait plus que cela soit une manière de gommer les imperfections de ma masculinité pour finalement m'offrir un visage que l'on reconnaîtrait tout en laissant le doute sur mon sexe. Ce sexe qui, à mesure que je m'admirais, ne cessait d'être compressé dans ma contrainte. Finalement mon visage fut enfin parfait, au point de moi-même douter de la personne que je voyais … ou plutôt de ne plus douter du fait que j'étais bien soumise, Sa soumise. Ma transformation n'en était pas finie pour autant. J'avais l'impression de me retrouver dans ces films américains où les héroïnes se retrouvent à essayer tout un tas de coiffures pour tomber sur la bonne. Et chaque portion de corps était tout aussi délicate. Cheveux, sous vêtements, soutien gorge, bas, bottines, corset, robe, accessoires. Je ne suis alors demandée combien de valises la Comtesse avait elle amené au château. Mais peu importait car je découvrais alors un étrange plaisir, d'être un jouet, non sexuel. Un défi, une œuvre que l'on voulait parfaite esthétiquement. Je me suis même surprise à ne penser à rien l'espace d'un instant, à me contempler guidée par mes deux habilleuses, à la manière d'un spectateur, l'esprit vide, l'esprit d'un objet.
- Well well, I think we've got it
Les mots de la Comtesse anglaise me firent revenir à la réalité pour voir, les deux femmes de reculer pour se placer derrière moi, comme deux présentatrices dévoilant leur art. Leurs robes étaient alors telles des rideaux d'une scène dont j'étais le spectateur à travers de miroir. Je restais coi pendant quelques instants. Une taille devenue fine et une poitrine simulée qui faisaient tellement vraies. Une robe longue victorienne d'un bleu sombre en soie, aux fines dentelles noires, légèrement échancrée au niveau de mon cou et ouverte pour montrer mon collier. Des manches serrées sur mes bras, se terminant, là aussi par des dentelles noires. De mes jambes, on ne voyait que mes bottines à talons noires. Mes cheveux étaient alors réunis dans un chignon dont deux mèches encerclaient mon visage, lui même lisse, homogène sur lequel mon regard est légèrement souligné de noir, mes joues et mes lèvres rougies.
- Je suis sûr que Lord d'Evans appréciera. Mais nous n'avons pas fini. Elizabeth ?
D'un regard, la servante fixa ma laisse pour la donner à sa Maîtresse avant d'aller ouvrir la lourde porte de la chambre. Notre trio avança alors dans le luxueux château. La Comtesse, habillée avec goût, n'avait pas pour autant oublié sa badine car nous ne nous baladions pas. Un livre sur la tête, j'étais en train de m'entraîner à marcher telle une lady. Elle me corrigeait sévèrement mais ne cessait cependant de me donner des indications pour rendre ma transformation de plus en plus naturelle. Ma voix, elle-même, fut la source d'une attention particulière lorsque la douleur me mordait, faisant ressortir des grognements trop masculins. Les heures passaient à une vitesse phénoménale et les leçons défilaient tout aussi rapidement. Un vrai travail de mémoire était en jeu pour être prêt quand enfin 17h sonna à la grande horloge. Tout aussi sûrement que les tintements de l'horloge Second Empire de la chambre, Monsieur le Marquis d’Evans toqua à la porte. Elizabeth alla lui ouvrir après lui avoir fait une légère mais humble révérence. A la table, la Comtesse se leva pour accueillir son hôte, dévoilant une robe carmin digne des plus riches héritières du XIXe Siècle. La lumière de la pièce faisait alors apparaître les broderies aux reflets dorés.
- Lord D'Evans, dit la Comtesse alors qu'elle faisait une révérence distinguée.
- Comtesse … vous êtes encore la plus belle en ce monde… répondit le Noble dans une galanterie exacerbée
Complétant son propos et avec une étiquette parfaite, le Maître des lieux salua son invitée (et hôtesse pour l'occasion) d'un baise main délicat. On aurait cru à une scène tirée d'un film historique. Le Marquis, habillé d'un costume bleu Prusse, brodé de lys aux manches et au col, la Comtesse dans sa robe merveilleuse, la servante, la lumière chaleureuse de la pièce, le feu de cheminée et, pour ajoutée à la beauté de l'instant, la neige tombant finement devant la fenêtre, tout était parfait, telle une scène romantique au somptueux décor digne d’un film de Sissi avec la belle Romy Schneider. Après que ses lèvres n'aient effleuré les mains de la Maîtresse, Il continua :
- Je vois avec joie que vous appréciez la robe que je vous ai offert l'an dernier.
- Vos cadeaux, Milord, sont toujours des plus appréciés, tout comme votre goût pour les bonnes choses. Le thé est en train de finir d'infuser, installez vous, je vous prie
Acceptant l'invitation, le Marquis d’Evans s'installa sur la deuxième chaise de la petite table, installé près de la fenêtre. Les deux nobles sangs se mirent alors à discuter de tout et de rien alors que les tasses étaient installées par Elizabeth et que je patientais, dans une autre pièce, concentrée dans la tache que l'on m'avait affublée. 3 minutes plus tard, je retirais le thé Earl Grey de l'eau que j'avais chauffée à 90° et refermait la théière. Je la plaçais sur le plateau et le prenais en main avant d'entrer dans la pièce où la discussion se stoppa net. Les deux regards se posant sur moi, me figèrent un instant, mais je n'étais pas là pour faire la statue, j'étais là pour les servir. C'est cette mission qui guida mon premier pas vers la petite table, les mains prises par un plateau contenant de petites pâtisseries, le thé mais aussi du sucre et du lait. Entre mon corset très serré et la présence de ces deux divines entités, j'avoue que j'avais le souffle court. Mon cœur battait fort et j'eus l'impression de paniquer mais je restais digne, mes yeux se baissaient naturellement mais aussi pour me réfugier dans mon travail. J'étais habituée aux talons depuis quelques jours, ce qui me rendit la tache relativement plus facile. Relativement parce que je n'étais pas habituée à porter des robes aussi longues.
- C'est donc là mon cadeau ? Dis le Marquis qui avait totalement détourné son attention de moi.
- Indeed Milord, comment trouvez-vous votre esclaveCyrilia ?
J'étais en train de servir mais, curieuse et impatiente, j'attendais l'avis de mon Vénéré Maître sur ma nouvelle présentation. Volontairement, Il laissa planer le silence, alors que j'étais en train de faire couler le thé dans la tasse. Mais mon attention détournée par mon oreille attentive aux mots du Marquis, mots qui décidément ne venaient pas, je fis un écart et quelques gouttes du liquide ambré tombèrent dans la soucoupe de la Comtesse. Celle-ci me réprimanda sans crier gare.
- What lazy sissy ! Bad girl finish this and bend over the bed !
- Yes Mistress Deirdre, sorry Mistress Deirdre
Ses mots claquèrent comme un fouet. Je suis rouge de honte, je sais aussi que me confondre en excuses plus que de raison allait l'irriter encore plus. Déjà que j'avais fauté, je me rendais compte que mon Maître n'allait pas forcément atténuer ma punition.
- Je n'ose penser que c'est votre éducation qui ait provoqué cet égarement, Comtesse. Si vous permettez, je souhaiterai que vous doubliez la punition, une fois pour vous et une fois pour moi.
- It would be my pleasure, Milord
Je terminais donc de servir le thé dans la tasse de Monsieur le Marquis avant de poser la théière. D'un pas lent mais sûr, je me dirigeais vers le lit. Elizabeth se plaça derrière moi, droite, tenant dans ses mains un paddle en bois vernis. J'eus le temps de bien voir l'instrument avant de me pencher, jambes écartées et droites, les mains posées sur le lit, quasiment penchée en angle droit. La Comtesse se lève, ses talons résonnent dans la pièce, m'indiquant qu'elle se rapproche de moi avant de remonter la robe que je porte. Je sens les jupons remonter et caresser mes jambes gainées de nylons. Des jarretières en dentelles apparaissent alors, de même que des jarretelles reliées aux bas par des nœuds de couleur azur. Ma peau nue apparaît mais pour bien peu de place en réalité. Sur mes fesses une culotte rose ornée de froufrou recouvre mon fessier. Je rougis imaginant le regard intrigué de mon Maître. La main de la Comtesse caresse doucement mes fesses avant de faire descendre ma petite culotte sans pour autant la retirer. Ma croupe dévoilée, je sens les ongles de la Maîtresse faire une marque griffure avant que le premier coup ne s'abatte dessus. La surprise manque de me faire produire un grognement masculin, ce qui m'aurait valu une sévère réprimande. Je sers les dents et me crispe avant de soupirer ma voix devenue plus aiguë sous ma volonté. Dix coups de paddle, dix coups que je compte en muant ma voix au possible, dix coups fermes qui s'abattent sur mon fessier qui chauffe et rougit. Plus tôt dans la journée, j'avais expérimenté la même punition et j'imaginais déjà les belles marques offertes à Monsieur le Marquis qui disparaissaient sous le tissu de mes jupons blancs et la robe noir et bleu. Je me relevais alors que la Comtesse était déjà retournée à sa place pour me mettre à l'endroit où je serais à la disposition des deux Propriétaires de mon corps
- Je suis surpris, Comtesse. Je ne me souvenais pas que cette petite chienne eut le droit de porter des culottes, aussi … féminines soient elles, signala le Marquis
De les entendre parler de moi comme si je n'étais pas là était assez humiliant. J'étais honteuse de porter mes dessous, même si, j'avoue, leur touchée sur ma peau nue était fort agréable. J'étais honteuse de ce confort.
- Je trouvais son ‘’clito’’ bien trop voyant, rétorqua la Comtesse avec assurance. Ensuite parce que this little bitch is mine. Et puis il y a un autre avantage à porter ce genre de dessous
Suite à la remarque, l'hôtesse me fait signe d'approcher et de relever ma robe. J'étais face à mon Maître, mes yeux fixaient ses chaussures de cuir, je souhaitais de tout mon cœur voir son visage pour voir ses réactions tout en n'osant pas Le regarder, par peur de Lui manquer de respect. Mes mains, rabattent doucement ma jupe alors que la Maîtresse se met derrière moi et commence à poser ses mains sur mes cuisses pour ensuite effleurer ma peau, remontant sur mon sexe devenu douloureux. Ma respiration est comprimée, mes lèvres s'entrouvrent légèrement, alors qu'une de ses mains se remonte pour se poser sur mon cou. Ses doigts délicats, guident mon corps devenu marionnette. Elle n'avait nul besoin de forcer alors qu'elle me remontait le menton. Si elle me touchait, c'était dans un but précis et sa main sur ma cuisse, caressait ma peau avec de plus en plus de vice pour passer sur le tissu de mes dessous. Ma respiration tentait de forcer le carcan de mon corset me faisant d'autant plus ressentir l'emprise qu'elle avait sur moi.
- Regardez comment cette petite chienne à l'air prude. Alors qu'à l'intérieur, she's in heat. Esthétiquement on ne voit presque pas son ‘’clito’’, mais ça ne m'empêche pas de le toucher
La main perverse de la Maîtresse se mit à me prodiguer des caresses, la plupart atténuée par la cage de chasteté, ce qui ne m'empêchait pas de les sentir. Sans les voir, je les imaginais avec mes autres sens. J'imaginais tout, ce qui me faisait encore plus d'effet. Le regard perçant de mon Maître intéressé par mon corps en particulier. Ce corps était réceptif, emprisonné, littéralement, mais réceptif. Mes jambes étaient piégées dans des bas, mon torse par le corset, mon sexe par la cage, mes bras par cette robe et mes pieds par mes bottines. C'est alors que les paroles de la Comtesse devinrent plus suaves, presque chuchotées à mon oreille pour mieux m'exciter :
- Et puis j'adore voir leur réaction quand on joue avec leur petite culotte. She look so shy, like a little girl
J'étais écarlate d'excitation, je suis plus que jamais objet alors que les doigts fins me font tourner pour me pencher sur la table, au dessus de la théière encore légèrement fumante. Je posais mes mains sur la table alors qu'une légère pression sur ma nuque me fit comprendre que je devais me baisser encore un peu. C'est donc sur mes coudes que je devais patienter. Je sentais une fois encore ma croupe se dévoiler. Monsieur le Marquis se leva de sa chaise, invité par l'hôtesse qui Lui proposa de regarder de plus près. Mon Maître posa une main sur mon postérieur. Ma respiration devint plus forte alors qu'Il s'amusait simplement dans le toucher de la matière. Il semblait m'étudier, comme un artiste étudiant l'oeuvre d'une consoeur. Je tentais de rester de marbre mais la position est délicieuse. Délice puni encore plus par mon instrument de chasteté.
- J'avoue que j'éprouve un étrange sentiment face à ce spectacle, Comtesse, avoua-t-Il. J'ai l'impression d'être devant un cadeau de Noël qui ne demande qu'à être ouvert
Et ce cadeau de Noël demandait bien à être ouvert, plus que sa main, je voulais Lui être aussi agréable que possible. En silence, je souhaitais recevoir l'insigne honneur de Le satisfaire. Les secondes semblaient se rallonger alors que j'étais rongée par l'envie de Le servir. Cette main qui passait sur mes fesses sans pour autant les libérer de ce tissu. Il jouait avec moi, j'étais Sa poupée, j'étais le cadeau que la Comtesse Lui faisait. J'étais une toile blanche qu'elle avait peinte pour Son plus grand plaisir. Mais c'est alors que je sentais Sa main passer sous ma culotte pour me caresser les fesses. Je lâche un soupir de soulagement à peine audible, mais je sais qu'Il l'a senti.
- Oh mais cette petite putain est toute souple ici, fait-Il remarquer.
- Une petite préparation histoire que this bitch soit prête à vous accueillir, Milord.
- Voyons cela.
- Elizabeth ? fit la Comtesse tout en claquant des doigts à l’attention de la servante
Alors que la main continuait de me toucher, j'entendais les pas de la servante se rapprocher pour finalement arriver derrière moi. J'entendis alors un bruit de succion. Comment cela était il possible ? Sucer mon Maître ? Moi qui était prête à me damner pour avoir le droit de déposer mes lèvres sur Son noble Vît ? La jalousie commença à me ronger avant que les doigts de mon Maître ne viennent s'intéresser à mes deux bourses joufflues. Ses doigts me parcouraient la croupe, me faisant presque oublier l'envie de L'avoir dans ma bouche. Mais cela ne dura pas longtemps quand la culotte fut alors retirée et déjà Sa verge tendue grâce à la fellation de la servante se présentait et le gland de mon Maître venait se frotter contre mon anus... mon vagin, comme voulait que je l'appelle la Comtesse. Je me cambrai alors que la tige turgescente de Monsieur le Marquis me pénétrait et que les coups de boutoir me secouaient de plaisir. Ses mains s'accrochèrent fermement à mes hanches, m'emprisonnant, me faisant sienne. Quelques instants plus tard, je voyais la chatte d’Elizabeth pointer devant moi. Elle était de l'autre côté de la table, en train de se faire goder par sa Maîtresse. Mes joues étaient empourprées d'excitation. Je voyais le sexe devant, une poupée à plaisir, je levais alors les yeux vers la représentante de la perfide Albion en lui demandant, suppliant, gémissant.
- Mistress Deirdre, Can I ?
Comprenant, elle relevait légèrement sa poupée pour que je puisse lui donner du plaisir avec ma bouche. Je sentis la verge de mon Maître tressauter alors qu'Il commenta
- Et bien, on dirait que cette Salope en demande.
- C'est vous qui avez aiguisé son appétit, Milord. Comme celui de tout vos esclaves »
Dans ma lubricité, j'honorai le nom de mon Maître, j'étais sur un nuage alors que je fermais les yeux profitant de toutes ces sensations. La douleur de ma cage n'était plus rien face au bonheur d'être prise sans retenue dans des magnifiques atours. Le bonheur de n'être qu'un objet, Son objet. Et quand Sa semence se répandit dans mes entrailles, Il resta ainsi, à faire de petit mouvement alors que je sentais la semence de la servante dans ma bouche se déverser dans un râle de plaisir.
- Do not swallow, keep it in your dirty mouth, m'ordonna la Comtesse
J'obéissais me retenant d'avaler le précieux jus de ma consoeur. Je sentais son goût sur ma langue qui ne me donnait qu'une envie, avaler par gourmandise. Elizabeth, pantelante, alla chercher deux tasses de thé dans un service avant de me présenter l'une d'entre elle pour y cracher le liquide. La seconde tasse disparut de ma vue et ne revint qu'après la libération de mon sexe et sa traite avec habileté, comme récompense. Alors que je me relevais, moi aussi légèrement titubante d'avoir été utilisée et d'avoir jouis, on nous autorisa à aller dans la cuisine pour prendre le thé à notre tour dans nos tasses. Comme simple indication, mon Maître eut un sourire de la Comtesse avant qu'elle ne Lui dise.
- They take their tea with milk
Des rires ponctuèrent mon réconfort, ma tasse chaude entre les mains. Elizabeth, elle me déposa un léger baiser sur mes lèvres avant de me glisser un « Thank you ». Chacune un sourire de satisfaction sur les lèvres burent notre breuvage revigorant. Ce n'était qu'une étape pour moi, pour ma soumission, je le savais, mais en cet instant, je sentais la béatitude d'avoir fait de son mieux et d'avoir été appréciée.
(à suivre ...)
Thé pour deux -
Le petit déjeuner terminé, il était temps de se mettre au travail et tout démarrait sur les chapeaux de roues. La Comtesse, m'ordonna de m'asseoir devant le miroir alors qu’elle et sa servante se pressaient autour de moi pour passer sur moi divers maquillages qui, comme par magie, effaçaient mes traits encore masculins pour faire ressortir la féminité qui semblaient sommeiller en moi. Mais simplement me révéler n'était pas assez pour la Comtesse anglaise. Après le premier essai, elle se posta devant moi pour dire :
- No, not like this. Lets try again
Recommencer ? Je ne comprenais pas mais je n'avais pas mon mot à dire, j'étais une poupée entre les mains de deux enfants qui voulaient exercer leur art. On me montait le menton, on m'ordonnait de fermer les yeux, de les garder ouvert, eyeliner, mascara, fond de teint, j'avais eu l'occasion d'en utiliser, pour plaire à mon Maître, mais là je prenais vraiment une leçon et tentait d'être aussi attentive que possible. Trois tentatives plus tard, je voyais les talents de la Domina être de plus en plus fin. Elle semblait me sublimer sans pour autant que le maquillage soit trop visible. Elle voulait plus que cela soit une manière de gommer les imperfections de ma masculinité pour finalement m'offrir un visage que l'on reconnaîtrait tout en laissant le doute sur mon sexe. Ce sexe qui, à mesure que je m'admirais, ne cessait d'être compressé dans ma contrainte. Finalement mon visage fut enfin parfait, au point de moi-même douter de la personne que je voyais … ou plutôt de ne plus douter du fait que j'étais bien soumise, Sa soumise. Ma transformation n'en était pas finie pour autant. J'avais l'impression de me retrouver dans ces films américains où les héroïnes se retrouvent à essayer tout un tas de coiffures pour tomber sur la bonne. Et chaque portion de corps était tout aussi délicate. Cheveux, sous vêtements, soutien gorge, bas, bottines, corset, robe, accessoires. Je ne suis alors demandée combien de valises la Comtesse avait elle amené au château. Mais peu importait car je découvrais alors un étrange plaisir, d'être un jouet, non sexuel. Un défi, une œuvre que l'on voulait parfaite esthétiquement. Je me suis même surprise à ne penser à rien l'espace d'un instant, à me contempler guidée par mes deux habilleuses, à la manière d'un spectateur, l'esprit vide, l'esprit d'un objet.
- Well well, I think we've got it
Les mots de la Comtesse anglaise me firent revenir à la réalité pour voir, les deux femmes de reculer pour se placer derrière moi, comme deux présentatrices dévoilant leur art. Leurs robes étaient alors telles des rideaux d'une scène dont j'étais le spectateur à travers de miroir. Je restais coi pendant quelques instants. Une taille devenue fine et une poitrine simulée qui faisaient tellement vraies. Une robe longue victorienne d'un bleu sombre en soie, aux fines dentelles noires, légèrement échancrée au niveau de mon cou et ouverte pour montrer mon collier. Des manches serrées sur mes bras, se terminant, là aussi par des dentelles noires. De mes jambes, on ne voyait que mes bottines à talons noires. Mes cheveux étaient alors réunis dans un chignon dont deux mèches encerclaient mon visage, lui même lisse, homogène sur lequel mon regard est légèrement souligné de noir, mes joues et mes lèvres rougies.
- Je suis sûr que Lord d'Evans appréciera. Mais nous n'avons pas fini. Elizabeth ?
D'un regard, la servante fixa ma laisse pour la donner à sa Maîtresse avant d'aller ouvrir la lourde porte de la chambre. Notre trio avança alors dans le luxueux château. La Comtesse, habillée avec goût, n'avait pas pour autant oublié sa badine car nous ne nous baladions pas. Un livre sur la tête, j'étais en train de m'entraîner à marcher telle une lady. Elle me corrigeait sévèrement mais ne cessait cependant de me donner des indications pour rendre ma transformation de plus en plus naturelle. Ma voix, elle-même, fut la source d'une attention particulière lorsque la douleur me mordait, faisant ressortir des grognements trop masculins. Les heures passaient à une vitesse phénoménale et les leçons défilaient tout aussi rapidement. Un vrai travail de mémoire était en jeu pour être prêt quand enfin 17h sonna à la grande horloge. Tout aussi sûrement que les tintements de l'horloge Second Empire de la chambre, Monsieur le Marquis d’Evans toqua à la porte. Elizabeth alla lui ouvrir après lui avoir fait une légère mais humble révérence. A la table, la Comtesse se leva pour accueillir son hôte, dévoilant une robe carmin digne des plus riches héritières du XIXe Siècle. La lumière de la pièce faisait alors apparaître les broderies aux reflets dorés.
- Lord D'Evans, dit la Comtesse alors qu'elle faisait une révérence distinguée.
- Comtesse … vous êtes encore la plus belle en ce monde… répondit le Noble dans une galanterie exacerbée
Complétant son propos et avec une étiquette parfaite, le Maître des lieux salua son invitée (et hôtesse pour l'occasion) d'un baise main délicat. On aurait cru à une scène tirée d'un film historique. Le Marquis, habillé d'un costume bleu Prusse, brodé de lys aux manches et au col, la Comtesse dans sa robe merveilleuse, la servante, la lumière chaleureuse de la pièce, le feu de cheminée et, pour ajoutée à la beauté de l'instant, la neige tombant finement devant la fenêtre, tout était parfait, telle une scène romantique au somptueux décor digne d’un film de Sissi avec la belle Romy Schneider. Après que ses lèvres n'aient effleuré les mains de la Maîtresse, Il continua :
- Je vois avec joie que vous appréciez la robe que je vous ai offert l'an dernier.
- Vos cadeaux, Milord, sont toujours des plus appréciés, tout comme votre goût pour les bonnes choses. Le thé est en train de finir d'infuser, installez vous, je vous prie
Acceptant l'invitation, le Marquis d’Evans s'installa sur la deuxième chaise de la petite table, installé près de la fenêtre. Les deux nobles sangs se mirent alors à discuter de tout et de rien alors que les tasses étaient installées par Elizabeth et que je patientais, dans une autre pièce, concentrée dans la tache que l'on m'avait affublée. 3 minutes plus tard, je retirais le thé Earl Grey de l'eau que j'avais chauffée à 90° et refermait la théière. Je la plaçais sur le plateau et le prenais en main avant d'entrer dans la pièce où la discussion se stoppa net. Les deux regards se posant sur moi, me figèrent un instant, mais je n'étais pas là pour faire la statue, j'étais là pour les servir. C'est cette mission qui guida mon premier pas vers la petite table, les mains prises par un plateau contenant de petites pâtisseries, le thé mais aussi du sucre et du lait. Entre mon corset très serré et la présence de ces deux divines entités, j'avoue que j'avais le souffle court. Mon cœur battait fort et j'eus l'impression de paniquer mais je restais digne, mes yeux se baissaient naturellement mais aussi pour me réfugier dans mon travail. J'étais habituée aux talons depuis quelques jours, ce qui me rendit la tache relativement plus facile. Relativement parce que je n'étais pas habituée à porter des robes aussi longues.
- C'est donc là mon cadeau ? Dis le Marquis qui avait totalement détourné son attention de moi.
- Indeed Milord, comment trouvez-vous votre esclaveCyrilia ?
J'étais en train de servir mais, curieuse et impatiente, j'attendais l'avis de mon Vénéré Maître sur ma nouvelle présentation. Volontairement, Il laissa planer le silence, alors que j'étais en train de faire couler le thé dans la tasse. Mais mon attention détournée par mon oreille attentive aux mots du Marquis, mots qui décidément ne venaient pas, je fis un écart et quelques gouttes du liquide ambré tombèrent dans la soucoupe de la Comtesse. Celle-ci me réprimanda sans crier gare.
- What lazy sissy ! Bad girl finish this and bend over the bed !
- Yes Mistress Deirdre, sorry Mistress Deirdre
Ses mots claquèrent comme un fouet. Je suis rouge de honte, je sais aussi que me confondre en excuses plus que de raison allait l'irriter encore plus. Déjà que j'avais fauté, je me rendais compte que mon Maître n'allait pas forcément atténuer ma punition.
- Je n'ose penser que c'est votre éducation qui ait provoqué cet égarement, Comtesse. Si vous permettez, je souhaiterai que vous doubliez la punition, une fois pour vous et une fois pour moi.
- It would be my pleasure, Milord
Je terminais donc de servir le thé dans la tasse de Monsieur le Marquis avant de poser la théière. D'un pas lent mais sûr, je me dirigeais vers le lit. Elizabeth se plaça derrière moi, droite, tenant dans ses mains un paddle en bois vernis. J'eus le temps de bien voir l'instrument avant de me pencher, jambes écartées et droites, les mains posées sur le lit, quasiment penchée en angle droit. La Comtesse se lève, ses talons résonnent dans la pièce, m'indiquant qu'elle se rapproche de moi avant de remonter la robe que je porte. Je sens les jupons remonter et caresser mes jambes gainées de nylons. Des jarretières en dentelles apparaissent alors, de même que des jarretelles reliées aux bas par des nœuds de couleur azur. Ma peau nue apparaît mais pour bien peu de place en réalité. Sur mes fesses une culotte rose ornée de froufrou recouvre mon fessier. Je rougis imaginant le regard intrigué de mon Maître. La main de la Comtesse caresse doucement mes fesses avant de faire descendre ma petite culotte sans pour autant la retirer. Ma croupe dévoilée, je sens les ongles de la Maîtresse faire une marque griffure avant que le premier coup ne s'abatte dessus. La surprise manque de me faire produire un grognement masculin, ce qui m'aurait valu une sévère réprimande. Je sers les dents et me crispe avant de soupirer ma voix devenue plus aiguë sous ma volonté. Dix coups de paddle, dix coups que je compte en muant ma voix au possible, dix coups fermes qui s'abattent sur mon fessier qui chauffe et rougit. Plus tôt dans la journée, j'avais expérimenté la même punition et j'imaginais déjà les belles marques offertes à Monsieur le Marquis qui disparaissaient sous le tissu de mes jupons blancs et la robe noir et bleu. Je me relevais alors que la Comtesse était déjà retournée à sa place pour me mettre à l'endroit où je serais à la disposition des deux Propriétaires de mon corps
- Je suis surpris, Comtesse. Je ne me souvenais pas que cette petite chienne eut le droit de porter des culottes, aussi … féminines soient elles, signala le Marquis
De les entendre parler de moi comme si je n'étais pas là était assez humiliant. J'étais honteuse de porter mes dessous, même si, j'avoue, leur touchée sur ma peau nue était fort agréable. J'étais honteuse de ce confort.
- Je trouvais son ‘’clito’’ bien trop voyant, rétorqua la Comtesse avec assurance. Ensuite parce que this little bitch is mine. Et puis il y a un autre avantage à porter ce genre de dessous
Suite à la remarque, l'hôtesse me fait signe d'approcher et de relever ma robe. J'étais face à mon Maître, mes yeux fixaient ses chaussures de cuir, je souhaitais de tout mon cœur voir son visage pour voir ses réactions tout en n'osant pas Le regarder, par peur de Lui manquer de respect. Mes mains, rabattent doucement ma jupe alors que la Maîtresse se met derrière moi et commence à poser ses mains sur mes cuisses pour ensuite effleurer ma peau, remontant sur mon sexe devenu douloureux. Ma respiration est comprimée, mes lèvres s'entrouvrent légèrement, alors qu'une de ses mains se remonte pour se poser sur mon cou. Ses doigts délicats, guident mon corps devenu marionnette. Elle n'avait nul besoin de forcer alors qu'elle me remontait le menton. Si elle me touchait, c'était dans un but précis et sa main sur ma cuisse, caressait ma peau avec de plus en plus de vice pour passer sur le tissu de mes dessous. Ma respiration tentait de forcer le carcan de mon corset me faisant d'autant plus ressentir l'emprise qu'elle avait sur moi.
- Regardez comment cette petite chienne à l'air prude. Alors qu'à l'intérieur, she's in heat. Esthétiquement on ne voit presque pas son ‘’clito’’, mais ça ne m'empêche pas de le toucher
La main perverse de la Maîtresse se mit à me prodiguer des caresses, la plupart atténuée par la cage de chasteté, ce qui ne m'empêchait pas de les sentir. Sans les voir, je les imaginais avec mes autres sens. J'imaginais tout, ce qui me faisait encore plus d'effet. Le regard perçant de mon Maître intéressé par mon corps en particulier. Ce corps était réceptif, emprisonné, littéralement, mais réceptif. Mes jambes étaient piégées dans des bas, mon torse par le corset, mon sexe par la cage, mes bras par cette robe et mes pieds par mes bottines. C'est alors que les paroles de la Comtesse devinrent plus suaves, presque chuchotées à mon oreille pour mieux m'exciter :
- Et puis j'adore voir leur réaction quand on joue avec leur petite culotte. She look so shy, like a little girl
J'étais écarlate d'excitation, je suis plus que jamais objet alors que les doigts fins me font tourner pour me pencher sur la table, au dessus de la théière encore légèrement fumante. Je posais mes mains sur la table alors qu'une légère pression sur ma nuque me fit comprendre que je devais me baisser encore un peu. C'est donc sur mes coudes que je devais patienter. Je sentais une fois encore ma croupe se dévoiler. Monsieur le Marquis se leva de sa chaise, invité par l'hôtesse qui Lui proposa de regarder de plus près. Mon Maître posa une main sur mon postérieur. Ma respiration devint plus forte alors qu'Il s'amusait simplement dans le toucher de la matière. Il semblait m'étudier, comme un artiste étudiant l'oeuvre d'une consoeur. Je tentais de rester de marbre mais la position est délicieuse. Délice puni encore plus par mon instrument de chasteté.
- J'avoue que j'éprouve un étrange sentiment face à ce spectacle, Comtesse, avoua-t-Il. J'ai l'impression d'être devant un cadeau de Noël qui ne demande qu'à être ouvert
Et ce cadeau de Noël demandait bien à être ouvert, plus que sa main, je voulais Lui être aussi agréable que possible. En silence, je souhaitais recevoir l'insigne honneur de Le satisfaire. Les secondes semblaient se rallonger alors que j'étais rongée par l'envie de Le servir. Cette main qui passait sur mes fesses sans pour autant les libérer de ce tissu. Il jouait avec moi, j'étais Sa poupée, j'étais le cadeau que la Comtesse Lui faisait. J'étais une toile blanche qu'elle avait peinte pour Son plus grand plaisir. Mais c'est alors que je sentais Sa main passer sous ma culotte pour me caresser les fesses. Je lâche un soupir de soulagement à peine audible, mais je sais qu'Il l'a senti.
- Oh mais cette petite putain est toute souple ici, fait-Il remarquer.
- Une petite préparation histoire que this bitch soit prête à vous accueillir, Milord.
- Voyons cela.
- Elizabeth ? fit la Comtesse tout en claquant des doigts à l’attention de la servante
Alors que la main continuait de me toucher, j'entendais les pas de la servante se rapprocher pour finalement arriver derrière moi. J'entendis alors un bruit de succion. Comment cela était il possible ? Sucer mon Maître ? Moi qui était prête à me damner pour avoir le droit de déposer mes lèvres sur Son noble Vît ? La jalousie commença à me ronger avant que les doigts de mon Maître ne viennent s'intéresser à mes deux bourses joufflues. Ses doigts me parcouraient la croupe, me faisant presque oublier l'envie de L'avoir dans ma bouche. Mais cela ne dura pas longtemps quand la culotte fut alors retirée et déjà Sa verge tendue grâce à la fellation de la servante se présentait et le gland de mon Maître venait se frotter contre mon anus... mon vagin, comme voulait que je l'appelle la Comtesse. Je me cambrai alors que la tige turgescente de Monsieur le Marquis me pénétrait et que les coups de boutoir me secouaient de plaisir. Ses mains s'accrochèrent fermement à mes hanches, m'emprisonnant, me faisant sienne. Quelques instants plus tard, je voyais la chatte d’Elizabeth pointer devant moi. Elle était de l'autre côté de la table, en train de se faire goder par sa Maîtresse. Mes joues étaient empourprées d'excitation. Je voyais le sexe devant, une poupée à plaisir, je levais alors les yeux vers la représentante de la perfide Albion en lui demandant, suppliant, gémissant.
- Mistress Deirdre, Can I ?
Comprenant, elle relevait légèrement sa poupée pour que je puisse lui donner du plaisir avec ma bouche. Je sentis la verge de mon Maître tressauter alors qu'Il commenta
- Et bien, on dirait que cette Salope en demande.
- C'est vous qui avez aiguisé son appétit, Milord. Comme celui de tout vos esclaves »
Dans ma lubricité, j'honorai le nom de mon Maître, j'étais sur un nuage alors que je fermais les yeux profitant de toutes ces sensations. La douleur de ma cage n'était plus rien face au bonheur d'être prise sans retenue dans des magnifiques atours. Le bonheur de n'être qu'un objet, Son objet. Et quand Sa semence se répandit dans mes entrailles, Il resta ainsi, à faire de petit mouvement alors que je sentais la semence de la servante dans ma bouche se déverser dans un râle de plaisir.
- Do not swallow, keep it in your dirty mouth, m'ordonna la Comtesse
J'obéissais me retenant d'avaler le précieux jus de ma consoeur. Je sentais son goût sur ma langue qui ne me donnait qu'une envie, avaler par gourmandise. Elizabeth, pantelante, alla chercher deux tasses de thé dans un service avant de me présenter l'une d'entre elle pour y cracher le liquide. La seconde tasse disparut de ma vue et ne revint qu'après la libération de mon sexe et sa traite avec habileté, comme récompense. Alors que je me relevais, moi aussi légèrement titubante d'avoir été utilisée et d'avoir jouis, on nous autorisa à aller dans la cuisine pour prendre le thé à notre tour dans nos tasses. Comme simple indication, mon Maître eut un sourire de la Comtesse avant qu'elle ne Lui dise.
- They take their tea with milk
Des rires ponctuèrent mon réconfort, ma tasse chaude entre les mains. Elizabeth, elle me déposa un léger baiser sur mes lèvres avant de me glisser un « Thank you ». Chacune un sourire de satisfaction sur les lèvres burent notre breuvage revigorant. Ce n'était qu'une étape pour moi, pour ma soumission, je le savais, mais en cet instant, je sentais la béatitude d'avoir fait de son mieux et d'avoir été appréciée.
(à suivre ...)
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