La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°199)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°199)
(Suite de l'épisode 197) -
La soirée s’est terminée dans le lit de mon Maître qui m’a offert une véritable nuit d’Amour et de câlins. Le lendemain à mon grand étonnement, je me réveille non pas dans la couche de Monsieur le Marquis mais dans une pièce que je connais pas et attachée sur une sorte de table, oui ligotée sur cette table, ne sachant à quelle sauce je vais être mangée. Après avoir été baisée par tous mes orifices et dans une nuit quasi orgiaque et fougueuse, je me suis assoupie à Ses côtés et voilà que je me réveille entravée, dans une position inédite pour moi, à moitié nue. Mais le plus surprenant, c’est cette femme qui m’observe, l’air sévère, juste en face de moi. Je reconnais la Domina de la veille. A ses côtés mon Maître me regarde également en me souriant.
Je suis à plat ventre quand je me réveille de ce sommeil que j’aurais voulu plus long dans le creux de la poitrine de mon Maître. Une ou deux cordes font le tour de mon corps. Il me semble que je suis dans une cuisine, mais ce n’est pas la grande où officie Marie. Je crois que je repose sur un plan de travail disposé en îlot au centre de la pièce. Mon cou me fait mal. Ma tête est relevée par les cordages qui tirent sur mes épaules et rejoignent mes chevilles. Je suis obligée de plier les genoux, qui pendent de part et d’autres du plan de travail, et de lever les pieds. Mon cul ferme remonte d’une façon extrêmement obscène. Pour finir, mes bras sont liés dans mon dos. Je me sens impuissante, à la merci de ce couple de Dominants formé pour l’occasion et qui se trouve face à moi. Ils n’ont même pas pris la peine de me bâillonner. Mon Maître me connaissant a du estimer que cela n’était pas nécessaire.
J’émerge peu à peu de ce sommeil qui s’évacue doucement. La femme s’approche de moi avec une paire de ciseaux. J’ai un peu peur. Je la sens près de mon cul. Je comprends qu’elle entaille mon petit slip, celui-ci a du être remis sur moi durant mon sommeil car dans le lit de mon Maître, j’étais nue comme le jour de ma naissance. Ca y est, je suis fesses nues. La Domina exhibe son trophée juste sous mes yeux et retourne derrière moi. Je ne suis pas très rassurée car je la sais perverse depuis qu’elle m’a utilisé la veille au soir. Je sens ses doigts qui glissent sur mon cul, s’insinuent dans ma raie. Elle écarte un peu les globes de mes fesses, pousse son index dans ma fente, débusque mon oeillet et fait tourner la pulpe de son doigt sur le pourtour de mon trou. J’ai honte, je gigote comme pour refouler ses caresses impudiques. Je ne peux rien faire, ligotée comme je le suis.
Le Marquis d’Evans reste à bonne distance de nous et se contente de nous observer les bras croisés et la tête relevée. Je sens son regard dominateur qui pèse sur mon corps. Le doigt de la Domina se fait plus pressant. Elle en met deux maintenant et, à mon corps défendant, je remarque qu’elle m’émoustille. Je suis excitée quand je sens les premières gouttes de ma mouille affleurer à l’orée de ma chatte. Je me transforme en fontaine lorsque la belle femme remplace ses doigts par sa langue. Des deux mains, elle m’écarte encore plus la raie et je perçois son haleine sur mon trou, puis le contact froid de quelque chose de métallique, une sorte de petite boule. Je comprends rapidement que cette Domina a la langue équipée d’un piercing qu’elle fait tourner sur mon anus et qu’elle approche de plus en plus souvent de ma chatte. Mon Maître s’avance alors vers moi et tire sur les cordes pour me faire relever encore un peu plus la croupe. La femme me mange littéralement tout le sillon, de l’anus jusqu’au sommet de la vulve. Je me surprends à gémir quand elle effleure de son piercing le petit gland de mon clito dressé et qu’elle le happe avec ses lèvres. Malheureusement, elle me quitte déjà, me laissant un peu sur ma faim…
Elle revient vite mais cette fois-ci, ce n’est plus sa langue que je sens sur moi. C’est plus mécanique, ça manque de chaleur. Elle m’enfonce un objet oblong dans les fesses. Je pense que c’est un gode. La Domina le fait aller et venir quelques fois dans mon fondement. C’est la première fois que je me fais enculer par ‘’une main’’ de femme et à ma grande surprise, mon cul absorbe sans broncher le calibre de l’engin, qui doit être raisonnable. Je suis surprise quand je sens l’objet qui se met à vibrer en émettant un bruit discret. Je ressens une sorte de choc électrique au plus profond de mon ventre. Comme pour ajouter à mon trouble, la Maîtresse me masse la chatte en douceur d’abord pour ensuite accélérer sa masturbation en moi. Une fois de plus, j’ai honte de couler sur sa main. Je ne peux plus retenir mes gémissements et mes fesses commencent à rouler de droite à gauche pour accompagner le mouvement du vibromasseur qui disparaît entièrement dans mes entrailles et les caresses de la femme. Je ronronne, je miaule presque de plaisir. Ca dure un bon moment. Pas assez longtemps à mon goût. Je sens que ma dompteuse tire sur quelque chose et mon anus expulse l’objet qui vient de me faire tant de bien. La mouille de ma chatte coule sur mes cuisses et je me sens sale l’espace d’un instant.
Après s’être assuré de ma docilité, Le Marquis d’Evans s’approche et me détache. Il est entièrement nu et donc Il a du se déshabiller tandis que la Domina s’occupait de mes deux trous. Et je peux voir Son sexe dressé au bas de son ventre. Sa main est posée dessus et j’aime à penser qu’Il se branle pendant que sa convive me soumet. Il me fait comprendre que, même libérée de mes liens, je suis dans l’impossibilité de lui refuser mes orifices, d’ailleurs Il le sait, je n’en ai aucune envie. Il me fait alors allonger sur le dos, à même le carrelage du plan de travail. J’obéis, consciente d’être à la merci de couple pervers mais si délicieux de s’occuper de moi.
Allongée sur le dos, je dois exposer la fente de ma chatte, les jambes repliées sur le ventre, les bras passés sous mes genoux. Entre mes cuisses, je peux voir la femme qui s’avance, ses nichons pointés, une sorte de batte de base-ball à la main. L’engin est bizarre. Il se termine un peu particulièrement, par un gros gland taillé dans le bois, suivi de deux petits renflements. Subitement, je prends peur. Mon Maître me tient fermement par les épaules mieux pour que je sente Sa présence rassurante que pour m’immobiliser. J’ai peur parce que je suis persuadée que la Domina va tenter de m’enfiler son gros mandrin dans mes fesses. Je ne suis qu’à moitié soulagée quand je comprends qu’elle en veut en fait à ma chatte.
Le gros nœud qui surmonte la batte vient appuyer sur la fente de ma vulve. Il écarte peu à peu les lèvres de mon sexe trempé. La femme le fait tourner, le vrille, le secoue légèrement de droite et de gauche, comme pour m’assouplir ma chatte trempée. Mes lèvres s’écartent, je sens le bout qui pénètre en moi, au risque de me déchirer. Le voilà qui se loge doucement, très doucement dans ma grotte. Ce n’est pas fini. Il n’est pas encore au fond. La vicieuse pousse encore, élargit le passage en de petits vas et viens qui m’excitent énormément. C’est au tour du premier renflement de m’ouvrir. Le second suit de près. Cette fois-ci, je suis pleine, bien remplie par ce phallus factice. C’est alors que la Domina commence à le faire aller et venir moins lentement, et ne me laissant pas une seconde de répit. Une fois de plus, je sens le désir monter dans mon ventre.
La Maîtresse s’avance encore un peu plus vers moi. Elle se met à m’ouvrir le cul avec ses doigts. Elle me dilate la rondelle. Mon anus palpitant se souvient encore du passage récent du vibro et se montre docile, souple. Bientôt, la Domina fait disparaître trois doigts dans mon conduit anal, puis quatre, cinq ! Mon Maître me triture les seins d’une main. Je me sens ouverte par celle de la fille. Je comprends alors qu’elle me fiste le cul.
Maintenant le Marquis profite du moment pour me présenter sa grosse queue devant ma bouche et je le suce avec force tant je suis excitée. Je suis ainsi remplie par mes trois orifices. Au bout d’un moment mon Maître décharge sa semence dans ma bouche au même moment où un puissant orgasme me saisit. La Domina retire alors sa batte de ma chatte et sa main de mes fesses. Mais je suis si excitée que j’en redemande encore alors, mes doigts rejoignent immédiatement ma chatte béante et trempée de ma mouille. Je me branle sans penser au spectacle honteux que j’offre à mon Maître et à sa collaboratrice. Je me fourre dans la chatte ma main entière tant je suis dilatée, comme si je voulais m’éclater le ventre tellement j’ai envie de jouir. Je suis en train de devenir une vraie chienne, une petite soumise assoiffée de domination …
La soirée s’est terminée dans le lit de mon Maître qui m’a offert une véritable nuit d’Amour et de câlins. Le lendemain à mon grand étonnement, je me réveille non pas dans la couche de Monsieur le Marquis mais dans une pièce que je connais pas et attachée sur une sorte de table, oui ligotée sur cette table, ne sachant à quelle sauce je vais être mangée. Après avoir été baisée par tous mes orifices et dans une nuit quasi orgiaque et fougueuse, je me suis assoupie à Ses côtés et voilà que je me réveille entravée, dans une position inédite pour moi, à moitié nue. Mais le plus surprenant, c’est cette femme qui m’observe, l’air sévère, juste en face de moi. Je reconnais la Domina de la veille. A ses côtés mon Maître me regarde également en me souriant.
Je suis à plat ventre quand je me réveille de ce sommeil que j’aurais voulu plus long dans le creux de la poitrine de mon Maître. Une ou deux cordes font le tour de mon corps. Il me semble que je suis dans une cuisine, mais ce n’est pas la grande où officie Marie. Je crois que je repose sur un plan de travail disposé en îlot au centre de la pièce. Mon cou me fait mal. Ma tête est relevée par les cordages qui tirent sur mes épaules et rejoignent mes chevilles. Je suis obligée de plier les genoux, qui pendent de part et d’autres du plan de travail, et de lever les pieds. Mon cul ferme remonte d’une façon extrêmement obscène. Pour finir, mes bras sont liés dans mon dos. Je me sens impuissante, à la merci de ce couple de Dominants formé pour l’occasion et qui se trouve face à moi. Ils n’ont même pas pris la peine de me bâillonner. Mon Maître me connaissant a du estimer que cela n’était pas nécessaire.
J’émerge peu à peu de ce sommeil qui s’évacue doucement. La femme s’approche de moi avec une paire de ciseaux. J’ai un peu peur. Je la sens près de mon cul. Je comprends qu’elle entaille mon petit slip, celui-ci a du être remis sur moi durant mon sommeil car dans le lit de mon Maître, j’étais nue comme le jour de ma naissance. Ca y est, je suis fesses nues. La Domina exhibe son trophée juste sous mes yeux et retourne derrière moi. Je ne suis pas très rassurée car je la sais perverse depuis qu’elle m’a utilisé la veille au soir. Je sens ses doigts qui glissent sur mon cul, s’insinuent dans ma raie. Elle écarte un peu les globes de mes fesses, pousse son index dans ma fente, débusque mon oeillet et fait tourner la pulpe de son doigt sur le pourtour de mon trou. J’ai honte, je gigote comme pour refouler ses caresses impudiques. Je ne peux rien faire, ligotée comme je le suis.
Le Marquis d’Evans reste à bonne distance de nous et se contente de nous observer les bras croisés et la tête relevée. Je sens son regard dominateur qui pèse sur mon corps. Le doigt de la Domina se fait plus pressant. Elle en met deux maintenant et, à mon corps défendant, je remarque qu’elle m’émoustille. Je suis excitée quand je sens les premières gouttes de ma mouille affleurer à l’orée de ma chatte. Je me transforme en fontaine lorsque la belle femme remplace ses doigts par sa langue. Des deux mains, elle m’écarte encore plus la raie et je perçois son haleine sur mon trou, puis le contact froid de quelque chose de métallique, une sorte de petite boule. Je comprends rapidement que cette Domina a la langue équipée d’un piercing qu’elle fait tourner sur mon anus et qu’elle approche de plus en plus souvent de ma chatte. Mon Maître s’avance alors vers moi et tire sur les cordes pour me faire relever encore un peu plus la croupe. La femme me mange littéralement tout le sillon, de l’anus jusqu’au sommet de la vulve. Je me surprends à gémir quand elle effleure de son piercing le petit gland de mon clito dressé et qu’elle le happe avec ses lèvres. Malheureusement, elle me quitte déjà, me laissant un peu sur ma faim…
Elle revient vite mais cette fois-ci, ce n’est plus sa langue que je sens sur moi. C’est plus mécanique, ça manque de chaleur. Elle m’enfonce un objet oblong dans les fesses. Je pense que c’est un gode. La Domina le fait aller et venir quelques fois dans mon fondement. C’est la première fois que je me fais enculer par ‘’une main’’ de femme et à ma grande surprise, mon cul absorbe sans broncher le calibre de l’engin, qui doit être raisonnable. Je suis surprise quand je sens l’objet qui se met à vibrer en émettant un bruit discret. Je ressens une sorte de choc électrique au plus profond de mon ventre. Comme pour ajouter à mon trouble, la Maîtresse me masse la chatte en douceur d’abord pour ensuite accélérer sa masturbation en moi. Une fois de plus, j’ai honte de couler sur sa main. Je ne peux plus retenir mes gémissements et mes fesses commencent à rouler de droite à gauche pour accompagner le mouvement du vibromasseur qui disparaît entièrement dans mes entrailles et les caresses de la femme. Je ronronne, je miaule presque de plaisir. Ca dure un bon moment. Pas assez longtemps à mon goût. Je sens que ma dompteuse tire sur quelque chose et mon anus expulse l’objet qui vient de me faire tant de bien. La mouille de ma chatte coule sur mes cuisses et je me sens sale l’espace d’un instant.
Après s’être assuré de ma docilité, Le Marquis d’Evans s’approche et me détache. Il est entièrement nu et donc Il a du se déshabiller tandis que la Domina s’occupait de mes deux trous. Et je peux voir Son sexe dressé au bas de son ventre. Sa main est posée dessus et j’aime à penser qu’Il se branle pendant que sa convive me soumet. Il me fait comprendre que, même libérée de mes liens, je suis dans l’impossibilité de lui refuser mes orifices, d’ailleurs Il le sait, je n’en ai aucune envie. Il me fait alors allonger sur le dos, à même le carrelage du plan de travail. J’obéis, consciente d’être à la merci de couple pervers mais si délicieux de s’occuper de moi.
Allongée sur le dos, je dois exposer la fente de ma chatte, les jambes repliées sur le ventre, les bras passés sous mes genoux. Entre mes cuisses, je peux voir la femme qui s’avance, ses nichons pointés, une sorte de batte de base-ball à la main. L’engin est bizarre. Il se termine un peu particulièrement, par un gros gland taillé dans le bois, suivi de deux petits renflements. Subitement, je prends peur. Mon Maître me tient fermement par les épaules mieux pour que je sente Sa présence rassurante que pour m’immobiliser. J’ai peur parce que je suis persuadée que la Domina va tenter de m’enfiler son gros mandrin dans mes fesses. Je ne suis qu’à moitié soulagée quand je comprends qu’elle en veut en fait à ma chatte.
Le gros nœud qui surmonte la batte vient appuyer sur la fente de ma vulve. Il écarte peu à peu les lèvres de mon sexe trempé. La femme le fait tourner, le vrille, le secoue légèrement de droite et de gauche, comme pour m’assouplir ma chatte trempée. Mes lèvres s’écartent, je sens le bout qui pénètre en moi, au risque de me déchirer. Le voilà qui se loge doucement, très doucement dans ma grotte. Ce n’est pas fini. Il n’est pas encore au fond. La vicieuse pousse encore, élargit le passage en de petits vas et viens qui m’excitent énormément. C’est au tour du premier renflement de m’ouvrir. Le second suit de près. Cette fois-ci, je suis pleine, bien remplie par ce phallus factice. C’est alors que la Domina commence à le faire aller et venir moins lentement, et ne me laissant pas une seconde de répit. Une fois de plus, je sens le désir monter dans mon ventre.
La Maîtresse s’avance encore un peu plus vers moi. Elle se met à m’ouvrir le cul avec ses doigts. Elle me dilate la rondelle. Mon anus palpitant se souvient encore du passage récent du vibro et se montre docile, souple. Bientôt, la Domina fait disparaître trois doigts dans mon conduit anal, puis quatre, cinq ! Mon Maître me triture les seins d’une main. Je me sens ouverte par celle de la fille. Je comprends alors qu’elle me fiste le cul.
Maintenant le Marquis profite du moment pour me présenter sa grosse queue devant ma bouche et je le suce avec force tant je suis excitée. Je suis ainsi remplie par mes trois orifices. Au bout d’un moment mon Maître décharge sa semence dans ma bouche au même moment où un puissant orgasme me saisit. La Domina retire alors sa batte de ma chatte et sa main de mes fesses. Mais je suis si excitée que j’en redemande encore alors, mes doigts rejoignent immédiatement ma chatte béante et trempée de ma mouille. Je me branle sans penser au spectacle honteux que j’offre à mon Maître et à sa collaboratrice. Je me fourre dans la chatte ma main entière tant je suis dilatée, comme si je voulais m’éclater le ventre tellement j’ai envie de jouir. Je suis en train de devenir une vraie chienne, une petite soumise assoiffée de domination …
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