La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°205)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°205)
La Marquise Aurore d'Evans (suite) -
Les invités s’approchèrent des balançoires pour former un cercle tout autour. Tandis que cyrillia léchait avidement Maîtresse Caroline, émeline sentit une main lui caresser les épaules. Elle n’osait pas se retourner mais constatait qu’il s’agissait d’une main masculine un peu poilue sur le dessus. Elle se laissait caresser. La main anonyme s’aventura sur ses seins et commençait à triturer un téton pour passer ensuite au deuxième. Puis malaxant les seins d’émeline, cette main devenait de plus en plus vicieuse pour descendre dans le bas-ventre de la soumise déjà empalée sur le phallus de la balançoire. Des doigts masturbèrent son clito déjà bien excité et c’est avec frénésie que cette main voulait visiblement faire jouir la chienne. Mais émeline savait qu’elle ne pouvait pas avoir d’orgasme sans l’autorisation de son Vénéré Maître et donc elle se retenait à ne pas éclater en jouissance alors que les savants doigts lui procuraient de plus en plus de montées de spasmes.
La scène pour le cercle des notables était des plus excitantes, un esclave encagé et assis empalé du cul qui léchait une Domina et une esclave assise empalée aussi qui se retenait comme elle pouvait pour ne pas jouir… Alors des queues se montrèrent par des pantalons qui se baissèrent chez plusieurs Maîtres excités. Des chattes aussi par des Maîtresses toutes aussi émoustillées. Une orgie improvisée aidée aussi par l’excès de champagne commençait à même la pelouse en plein air. Des esclaves furent happés brusquement pour servir de vide-couilles. On baisait des esclaves-chiennes ainsi en levrette, en position du missionnaire, à plusieurs, des femelles suçaient, tout en se faisant sodomiser. Des esclaves mâles aussi étaient à la même enseigne, baisés comme des chiens de rue. Quand tout d’un coup, un Maître s’exclama auprès de Monsieur le Marquis qui était resté avec Aurore, un peu en retrait :
- Hé Edouard … tu nous avais bien dit que ta femme … ho pardon !… que la Madame la Marquise Aurore d’Evans restait une soumise plus que jamais, une fois mariée !!! … Et ben démontre-nous le … Quand je la vois à tes côtés en retrait … je me dis que sa place est plutôt à être soumise ici sur cette pelouse avec nous …
- Tu as mal compris, mon cher Léon, je n’ai pas dit qu’elle restait une soumise, j’ai dit qu’elle restait Ma soumise, nuance !!!
- OK …OK Edouard …Alors montre qu’elle est Ta soumise, au lieu qu’elle reste plantée là à tes côtés à ne rien faire …
- Mais ton propos vient juste de devancer ce que j’allais entreprendre, mon cher Léon … Regarde bien ce que j’allais faire …
Et d’un geste, Il claqua des doigts. Aurore compris de suite ce qu’exigeait son mari de Maître. Elle quitta sa robe pour se mettre nue et à genoux devant Lui. Suite à un autre claquement de doigts en sa direction, une esclave restée derrière le buffet car elle n’avait pas été appelée par les orgiaques s’approcha pour récupérer et emmener la belle robe de mariée afin que celle-ci ne soit pas abîmée. Puis le Noble se retourna et claqua de nouveau les doigts en direction cette fois de Walter qui jusque là attendait patiemment cet appel de son patron. Car cela avait été prévu depuis longtemps dans la tête du Marquis que l’apéro devait forcément finir de la sorte en orgie et qu’Il devrait montrer aux yeux de tous que Sa belle et merveilleuse Aurore restait avant tout Sa soumise, c’était une question d’Honneur. Walter alors s’approcha avec un volumineux pilori en bois. Aidé par le châtelain, il enferma les deux bras, et la tête d’Aurore dans le pilori pour être promenée, exhibée ainsi dans le parc comme jadis les prisonniers. En effet Monsieur le Marquis empoignant la laisse-chaîne de Sa soumise déambula fièrement sur le gazon. Derrière Lui, Sa soumise qui ne pouvait que suivre emprisonnée ainsi. Une estrade avait été installée pour la venue dans l’après-midi de l’orchestre afin d’animer le repas et la soirée de la noce. Le Marquis monta les 5 marches pour accéder à ce podium afin que tout le monde puisse bien voir ce qu’Il allait faire de Sa soumise. Il fit positionner Aurore de dos afin que son cul fût bien en face des convives qui assis dans l’herbe pour la plupart avait délaissé les esclaves pour regarder leur prestigieux Hôte car ils étaient tous curieux, encore une fois, de voir ce qu’allait faire le châtelain avec sa femme soumise.
D’un petit coup de badine, Il fit écarter les jambes d’Aurore et la fit pencher en avant. Les bras écartés et la tête suivaient le mouvement étant emprisonnés dans le carcan du pilori. Son cul ainsi restait bien exposé aux yeux de tous. Le Marquis commença par lui masturber la chatte bien offerte. Aurore mouillait abondamment de la situation. Elle se sentait vraiment à la merci de son Maître, elle se sentait à sa place. Puis il enfila un doigt puis deux dans le cul et commença un va et vient afin de dilater son anus. Au bout de longues minutes alors qu’Aurore laissait échapper des gémissements de plaisirs, Il claqua des doigts pour que Walter lui apporte une bouteille de champagne non ouverte et un gel-lubrifiant. Le haut de la bouteille fut entièrement lubrifié et après avoir bien écarté le cul de la chienne, il enfila le goulot d’un coup pour la sodomiser ainsi. Bien préparée par la masturbation anale de son Maître et avec la lubrification de la bouteille, le goulot s’enfonça tel un plug sans trop de difficulté. Au bout de plusieurs vas et viens la bouteille procura un orgasme anal incroyable à Aurore qui se mit à crier sa jouissance, tandis que de Son autre main, Il lui branlait son clito. La scène excitait aussi beaucoup le Noble alors au bout d’un moment, le Marquis enleva la bouteille pour vite baisser son pantalon pour sortir de son caleçon un énorme sexe dressé afin de sodomiser Sa belle d’un seul coup à la hussarde, sans ménagement. Surprise Aurore laissa échapper un cri puissant qu’on aurait pu croire de douleur mais c’était plus un cri de surprise. Elle sentit son Maître la posséder, lui défoncer son fondement, prendre pleinement possession de Son corps, prendre possession de Sa propriété, de Sa chose. Il la baisait à grands coups de reins et des ‘han’ puissants sortaient de sa bouche Il voulait aussi monter à Ses invités qui était le Maître, Il voulait montrer Sa virilité donné à cette femelle devenue Sa soumise mais aussi Sa femme, Sa Marquise. Tandis qu’Il besognait Sa chienne à grands coups de bite aux yeux de tous, de Ses mains Il ouvrit la bouteille de champagne, bu un coup au goulot puis déversa le liquide sur le corps d’Aurore au moment où Il se mit à éjaculer dans son cul dans ses entrailles, dans son fondement. La belle souillée, baisée, sodomisée plia des genoux pour se retrouver agenouillée, elle haletait avec une forte respiration mais elle se sentait tellement chienne, tellement heureuse à ce moment là, que des larmes de joie coulaient sur ses joues. Le Marquis resta un long moment en elle en coït, quand on l’entendit dire d’une voix forte à l’assemblée :
- Voila Léon, comment Je prends possession de Ma femme soumise, en la baisant comme il se doit, en bonne chienne. J’ai baisé son cul car je me réserve sa chatte pour Notre nuit de noce … Maintenant Que la fête continue …
(A suivre …)
Les invités s’approchèrent des balançoires pour former un cercle tout autour. Tandis que cyrillia léchait avidement Maîtresse Caroline, émeline sentit une main lui caresser les épaules. Elle n’osait pas se retourner mais constatait qu’il s’agissait d’une main masculine un peu poilue sur le dessus. Elle se laissait caresser. La main anonyme s’aventura sur ses seins et commençait à triturer un téton pour passer ensuite au deuxième. Puis malaxant les seins d’émeline, cette main devenait de plus en plus vicieuse pour descendre dans le bas-ventre de la soumise déjà empalée sur le phallus de la balançoire. Des doigts masturbèrent son clito déjà bien excité et c’est avec frénésie que cette main voulait visiblement faire jouir la chienne. Mais émeline savait qu’elle ne pouvait pas avoir d’orgasme sans l’autorisation de son Vénéré Maître et donc elle se retenait à ne pas éclater en jouissance alors que les savants doigts lui procuraient de plus en plus de montées de spasmes.
La scène pour le cercle des notables était des plus excitantes, un esclave encagé et assis empalé du cul qui léchait une Domina et une esclave assise empalée aussi qui se retenait comme elle pouvait pour ne pas jouir… Alors des queues se montrèrent par des pantalons qui se baissèrent chez plusieurs Maîtres excités. Des chattes aussi par des Maîtresses toutes aussi émoustillées. Une orgie improvisée aidée aussi par l’excès de champagne commençait à même la pelouse en plein air. Des esclaves furent happés brusquement pour servir de vide-couilles. On baisait des esclaves-chiennes ainsi en levrette, en position du missionnaire, à plusieurs, des femelles suçaient, tout en se faisant sodomiser. Des esclaves mâles aussi étaient à la même enseigne, baisés comme des chiens de rue. Quand tout d’un coup, un Maître s’exclama auprès de Monsieur le Marquis qui était resté avec Aurore, un peu en retrait :
- Hé Edouard … tu nous avais bien dit que ta femme … ho pardon !… que la Madame la Marquise Aurore d’Evans restait une soumise plus que jamais, une fois mariée !!! … Et ben démontre-nous le … Quand je la vois à tes côtés en retrait … je me dis que sa place est plutôt à être soumise ici sur cette pelouse avec nous …
- Tu as mal compris, mon cher Léon, je n’ai pas dit qu’elle restait une soumise, j’ai dit qu’elle restait Ma soumise, nuance !!!
- OK …OK Edouard …Alors montre qu’elle est Ta soumise, au lieu qu’elle reste plantée là à tes côtés à ne rien faire …
- Mais ton propos vient juste de devancer ce que j’allais entreprendre, mon cher Léon … Regarde bien ce que j’allais faire …
Et d’un geste, Il claqua des doigts. Aurore compris de suite ce qu’exigeait son mari de Maître. Elle quitta sa robe pour se mettre nue et à genoux devant Lui. Suite à un autre claquement de doigts en sa direction, une esclave restée derrière le buffet car elle n’avait pas été appelée par les orgiaques s’approcha pour récupérer et emmener la belle robe de mariée afin que celle-ci ne soit pas abîmée. Puis le Noble se retourna et claqua de nouveau les doigts en direction cette fois de Walter qui jusque là attendait patiemment cet appel de son patron. Car cela avait été prévu depuis longtemps dans la tête du Marquis que l’apéro devait forcément finir de la sorte en orgie et qu’Il devrait montrer aux yeux de tous que Sa belle et merveilleuse Aurore restait avant tout Sa soumise, c’était une question d’Honneur. Walter alors s’approcha avec un volumineux pilori en bois. Aidé par le châtelain, il enferma les deux bras, et la tête d’Aurore dans le pilori pour être promenée, exhibée ainsi dans le parc comme jadis les prisonniers. En effet Monsieur le Marquis empoignant la laisse-chaîne de Sa soumise déambula fièrement sur le gazon. Derrière Lui, Sa soumise qui ne pouvait que suivre emprisonnée ainsi. Une estrade avait été installée pour la venue dans l’après-midi de l’orchestre afin d’animer le repas et la soirée de la noce. Le Marquis monta les 5 marches pour accéder à ce podium afin que tout le monde puisse bien voir ce qu’Il allait faire de Sa soumise. Il fit positionner Aurore de dos afin que son cul fût bien en face des convives qui assis dans l’herbe pour la plupart avait délaissé les esclaves pour regarder leur prestigieux Hôte car ils étaient tous curieux, encore une fois, de voir ce qu’allait faire le châtelain avec sa femme soumise.
D’un petit coup de badine, Il fit écarter les jambes d’Aurore et la fit pencher en avant. Les bras écartés et la tête suivaient le mouvement étant emprisonnés dans le carcan du pilori. Son cul ainsi restait bien exposé aux yeux de tous. Le Marquis commença par lui masturber la chatte bien offerte. Aurore mouillait abondamment de la situation. Elle se sentait vraiment à la merci de son Maître, elle se sentait à sa place. Puis il enfila un doigt puis deux dans le cul et commença un va et vient afin de dilater son anus. Au bout de longues minutes alors qu’Aurore laissait échapper des gémissements de plaisirs, Il claqua des doigts pour que Walter lui apporte une bouteille de champagne non ouverte et un gel-lubrifiant. Le haut de la bouteille fut entièrement lubrifié et après avoir bien écarté le cul de la chienne, il enfila le goulot d’un coup pour la sodomiser ainsi. Bien préparée par la masturbation anale de son Maître et avec la lubrification de la bouteille, le goulot s’enfonça tel un plug sans trop de difficulté. Au bout de plusieurs vas et viens la bouteille procura un orgasme anal incroyable à Aurore qui se mit à crier sa jouissance, tandis que de Son autre main, Il lui branlait son clito. La scène excitait aussi beaucoup le Noble alors au bout d’un moment, le Marquis enleva la bouteille pour vite baisser son pantalon pour sortir de son caleçon un énorme sexe dressé afin de sodomiser Sa belle d’un seul coup à la hussarde, sans ménagement. Surprise Aurore laissa échapper un cri puissant qu’on aurait pu croire de douleur mais c’était plus un cri de surprise. Elle sentit son Maître la posséder, lui défoncer son fondement, prendre pleinement possession de Son corps, prendre possession de Sa propriété, de Sa chose. Il la baisait à grands coups de reins et des ‘han’ puissants sortaient de sa bouche Il voulait aussi monter à Ses invités qui était le Maître, Il voulait montrer Sa virilité donné à cette femelle devenue Sa soumise mais aussi Sa femme, Sa Marquise. Tandis qu’Il besognait Sa chienne à grands coups de bite aux yeux de tous, de Ses mains Il ouvrit la bouteille de champagne, bu un coup au goulot puis déversa le liquide sur le corps d’Aurore au moment où Il se mit à éjaculer dans son cul dans ses entrailles, dans son fondement. La belle souillée, baisée, sodomisée plia des genoux pour se retrouver agenouillée, elle haletait avec une forte respiration mais elle se sentait tellement chienne, tellement heureuse à ce moment là, que des larmes de joie coulaient sur ses joues. Le Marquis resta un long moment en elle en coït, quand on l’entendit dire d’une voix forte à l’assemblée :
- Voila Léon, comment Je prends possession de Ma femme soumise, en la baisant comme il se doit, en bonne chienne. J’ai baisé son cul car je me réserve sa chatte pour Notre nuit de noce … Maintenant Que la fête continue …
(A suivre …)
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire excitante qui me pousse à me soumettre, à devenir l'objet d'un maître. Que faire ?
Belle histoire comme d'habitude. J'étais excité en la découvrant ce matin. Rien à dire, c'est tellement bien écrit et décrit que je m'imagine vivre ça. L'envie de me soumettre est de plus en plus grandissante. Je veux vivre une telle aventure. Je me livrer aux envies d'un Maître, me sentir objet...
Vos histoires me hantent Maître
Vos histoires me hantent Maître
Excellent! Bon scénario. Une chienne soumise le reste, même mariée.