La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°208)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°208)
La Marquise Aurore d'Evans (suite de l'épisode N°205) -
Afin de bien montrer à tous qu’Aurore était avant tout une soumise, Sa soumise, Monsieur le Marquis d’Evans tenait absolument que Sa nouvelle épouse passe la journée de son mariage en tant que soumise. Et c’est ainsi qu’elle se retrouva à 4 pattes sur la pelouse et sous la table au tout début du banquet. Les longues tables, aux nappes d’un magnifique tissu brodé de fleurs de Lys d’un blanc impeccable, avaient été disposées en ‘’U’’ face au mur de la porte d’entrée du château. Seule la cour, ses fontaines, ses statues antiques et ses massifs floraux séparaient les convives, du perron de la vieille demeure. La cinquantaine d’invités étaient donc passés à table et il avait été attribué pour chacun d’eux un esclave positionné sous les tables pour s’occuper de leur sexe. C’est ainsi que chaque notable, sitôt attablé constatait que des mains entreprenantes déboutonnaient leur braguette pour les hommes et que d’autres mains toutes aussi baladeuses dégrafaient les robes pour les Dominas. Puis des langues expertes suçaient toutes les bites et toutes les chattes ainsi sous la table. Tout avait été prévu pour cela. Entre chaque convive attablé, on avait laissé un certain espace afin que chaque notable puisse écarter les jambes sans être gêné par son voisin ou sa voisine. Pour que chaque esclave puisse se servir de sa langue sans être gêné par l’esclave agenouillé à ses côtés surtout pour ceux qui se trouvaient près des tréteaux supportant les longs plateaux de tables.
C’est donc tout naturellement que la Marquise Aurore d’Evans suçait, sous cette table, avidement le sexe de son divin Marquis. A sa droite Cyrillia qui suçait Maîtresse Caroline attablée aux côtés du châtelain. A sa gauche émeline qui suçait Maître Léon. Au dessus d’eux, on entendait ci et là des râles de plaisirs, des gémissements, des cris de femmes en pleine jouissance, on éjaculait dans une bouche, on ‘’orgasmait’’ dans une autre, tout en buvant l’ultime coupe de champagne avant de commencer le festin des Maîtres. Une fois que l’esclave avait rempli sa mission de faire jouir le sexe qui lui était attribué, il avait pour ordre de sortir de dessous la table et de se mettre docilement agenouillé aux pieds du Maître ou de la Maîtresse ayant joui en lui (ou elle) et de rester ainsi sans bouger. Il devait simplement présenter sa laisse reliée à son cou, tout en baissant la tête. C’est ainsi que débuta le banquet. Chaque Notable avait attaché l’extrémité de la laisse à sa chaise et ainsi avait un chien ou une chienne à ses côtés.
La Marquise Aurore d’Evans se trouvait donc à sa place, agenouillée sur la pelouse à côté de son Maître qu’elle chérissait tant. Celui-ci claqua des doigts et le service du premier plat commença. Une dizaine d’esclaves femelles totalement nues assuraient le service. Des gros melons au porto dans des assiettes savamment garnies de divers mets avec entre autre saumon fumé et fois gras composaient l’entrée du repas. Puis on entendit une musique d’ambiance démarrer, en effet l’orchestre installé depuis peu, jouait une douce musique de chambre, du Johann Sebastian Bach. Cet orchestre était composé uniquement d’esclaves qui jouaient complètement nu sur l’estrade. 8 esclaves encagés au total et qui jouaient violon, clavecin, flûte, etc … C’était assez insolite de voir un orchestre aux membres dénudés mais chez Monsieur le Marquis d’Evans, plus rien n’était étonnant. Ce que le novice de notre monde de la D/s risquait de trouver choquant ou incroyable était une normalité, une banalité évidente au château du Marquis.
On buvait, on festoyait, l’ambiance était très joyeuse. On mangeait de bon appétit et lorsque on étaient passé au plat de viande, un canard fermier labellisé à l’orange à la sauce exquise, on n’hésitait pas à lancer sur la pelouse, après avoir dévorer cette succulente viande, quelques os de canard pour que l’esclave en laisse puisse aller chercher cet os et le déguster à même la pelouse à 4 pattes tel un véritable chien. Chaque laisse avait été prévue assez longue pour cela. C’est à ce moment là que Monsieur le Marquis s’exclama !
- Mes amis, Mes amis … En ce milieu de repas, j’ai une petite surprise pour vous, mais sachez que je vous en réserve une très grosse (NDLA : ce sera le sujet du prochain épisode) pour tout à l’heure après le repas et avant l’orgie de la soirée ! … Walter, va chercher ce qui est prévu !
- Oui, Monsieur le Marquis, tout de suite… répondit le majordome qui attendait depuis le début du repas en retrait après avoir déjeuné vite fait en cuisine.
Il tourna les talons et revint 10 minutes après avec une esclave également dénudée tenue en laisse. Elle était très belle, aux cheveux bruns et longs ondulés. Des yeux absolument magnifiques, un corps de déesse. Elle avait des chaînes autour du cou, à ses poignets et à ses chevilles. Elle évoluait ainsi très doucement. Walter et la jeune et très belle femme stoppèrent à 1 mètre du châtelain, celui-ci reprit la parole :
- Je vous présente ‘’Scarlett’’. C’est mon cadeau de mariage de mon vieil ami Adbel Bensalha, Maître de la D/s à Istanbul. Il ne peut pas être des nôtres aujourd’hui mais Il a tenu à m’offrir un beau cadeau d’amitié. Scarlett est arrivée hier soir, elle s’est présentée à la grille et est arrivée avec le chauffeur personnel d’Abdel et avec une missive m’informant de la raison de sa venue. Je vais téléphoner à mon ami tout à l’heure pour le remercier chaleureusement de son sublime cadeau. Dans sa lettre, Il m’informe que Scarlett a été difficile à dresser, elle était rebelle, sauvageonne, et n’hésitait pas à répondre. Mais maintenant c’est dressée et en bonne soumise qu’elle me parvient. Il compte aussi sur mon savoir-faire pour en faire une soumise parfaite. Walter va l’attacher solidement à l’ombre contre le tronc de ce marronnier de façon à ce que ses seins et sa chatte nous soient bien exposés. Vous pourrez pour ceux qui le veulent durant la fin du repas et après aussi, aller lui titiller ses tétons de chienne ou lui branler sa chatte, la doigter, bref user et abuser d’elle, selon vos humeurs !!!! Je vous offre pour la journée mon cadeau de mariage !!! …
(A suivre …)
Afin de bien montrer à tous qu’Aurore était avant tout une soumise, Sa soumise, Monsieur le Marquis d’Evans tenait absolument que Sa nouvelle épouse passe la journée de son mariage en tant que soumise. Et c’est ainsi qu’elle se retrouva à 4 pattes sur la pelouse et sous la table au tout début du banquet. Les longues tables, aux nappes d’un magnifique tissu brodé de fleurs de Lys d’un blanc impeccable, avaient été disposées en ‘’U’’ face au mur de la porte d’entrée du château. Seule la cour, ses fontaines, ses statues antiques et ses massifs floraux séparaient les convives, du perron de la vieille demeure. La cinquantaine d’invités étaient donc passés à table et il avait été attribué pour chacun d’eux un esclave positionné sous les tables pour s’occuper de leur sexe. C’est ainsi que chaque notable, sitôt attablé constatait que des mains entreprenantes déboutonnaient leur braguette pour les hommes et que d’autres mains toutes aussi baladeuses dégrafaient les robes pour les Dominas. Puis des langues expertes suçaient toutes les bites et toutes les chattes ainsi sous la table. Tout avait été prévu pour cela. Entre chaque convive attablé, on avait laissé un certain espace afin que chaque notable puisse écarter les jambes sans être gêné par son voisin ou sa voisine. Pour que chaque esclave puisse se servir de sa langue sans être gêné par l’esclave agenouillé à ses côtés surtout pour ceux qui se trouvaient près des tréteaux supportant les longs plateaux de tables.
C’est donc tout naturellement que la Marquise Aurore d’Evans suçait, sous cette table, avidement le sexe de son divin Marquis. A sa droite Cyrillia qui suçait Maîtresse Caroline attablée aux côtés du châtelain. A sa gauche émeline qui suçait Maître Léon. Au dessus d’eux, on entendait ci et là des râles de plaisirs, des gémissements, des cris de femmes en pleine jouissance, on éjaculait dans une bouche, on ‘’orgasmait’’ dans une autre, tout en buvant l’ultime coupe de champagne avant de commencer le festin des Maîtres. Une fois que l’esclave avait rempli sa mission de faire jouir le sexe qui lui était attribué, il avait pour ordre de sortir de dessous la table et de se mettre docilement agenouillé aux pieds du Maître ou de la Maîtresse ayant joui en lui (ou elle) et de rester ainsi sans bouger. Il devait simplement présenter sa laisse reliée à son cou, tout en baissant la tête. C’est ainsi que débuta le banquet. Chaque Notable avait attaché l’extrémité de la laisse à sa chaise et ainsi avait un chien ou une chienne à ses côtés.
La Marquise Aurore d’Evans se trouvait donc à sa place, agenouillée sur la pelouse à côté de son Maître qu’elle chérissait tant. Celui-ci claqua des doigts et le service du premier plat commença. Une dizaine d’esclaves femelles totalement nues assuraient le service. Des gros melons au porto dans des assiettes savamment garnies de divers mets avec entre autre saumon fumé et fois gras composaient l’entrée du repas. Puis on entendit une musique d’ambiance démarrer, en effet l’orchestre installé depuis peu, jouait une douce musique de chambre, du Johann Sebastian Bach. Cet orchestre était composé uniquement d’esclaves qui jouaient complètement nu sur l’estrade. 8 esclaves encagés au total et qui jouaient violon, clavecin, flûte, etc … C’était assez insolite de voir un orchestre aux membres dénudés mais chez Monsieur le Marquis d’Evans, plus rien n’était étonnant. Ce que le novice de notre monde de la D/s risquait de trouver choquant ou incroyable était une normalité, une banalité évidente au château du Marquis.
On buvait, on festoyait, l’ambiance était très joyeuse. On mangeait de bon appétit et lorsque on étaient passé au plat de viande, un canard fermier labellisé à l’orange à la sauce exquise, on n’hésitait pas à lancer sur la pelouse, après avoir dévorer cette succulente viande, quelques os de canard pour que l’esclave en laisse puisse aller chercher cet os et le déguster à même la pelouse à 4 pattes tel un véritable chien. Chaque laisse avait été prévue assez longue pour cela. C’est à ce moment là que Monsieur le Marquis s’exclama !
- Mes amis, Mes amis … En ce milieu de repas, j’ai une petite surprise pour vous, mais sachez que je vous en réserve une très grosse (NDLA : ce sera le sujet du prochain épisode) pour tout à l’heure après le repas et avant l’orgie de la soirée ! … Walter, va chercher ce qui est prévu !
- Oui, Monsieur le Marquis, tout de suite… répondit le majordome qui attendait depuis le début du repas en retrait après avoir déjeuné vite fait en cuisine.
Il tourna les talons et revint 10 minutes après avec une esclave également dénudée tenue en laisse. Elle était très belle, aux cheveux bruns et longs ondulés. Des yeux absolument magnifiques, un corps de déesse. Elle avait des chaînes autour du cou, à ses poignets et à ses chevilles. Elle évoluait ainsi très doucement. Walter et la jeune et très belle femme stoppèrent à 1 mètre du châtelain, celui-ci reprit la parole :
- Je vous présente ‘’Scarlett’’. C’est mon cadeau de mariage de mon vieil ami Adbel Bensalha, Maître de la D/s à Istanbul. Il ne peut pas être des nôtres aujourd’hui mais Il a tenu à m’offrir un beau cadeau d’amitié. Scarlett est arrivée hier soir, elle s’est présentée à la grille et est arrivée avec le chauffeur personnel d’Abdel et avec une missive m’informant de la raison de sa venue. Je vais téléphoner à mon ami tout à l’heure pour le remercier chaleureusement de son sublime cadeau. Dans sa lettre, Il m’informe que Scarlett a été difficile à dresser, elle était rebelle, sauvageonne, et n’hésitait pas à répondre. Mais maintenant c’est dressée et en bonne soumise qu’elle me parvient. Il compte aussi sur mon savoir-faire pour en faire une soumise parfaite. Walter va l’attacher solidement à l’ombre contre le tronc de ce marronnier de façon à ce que ses seins et sa chatte nous soient bien exposés. Vous pourrez pour ceux qui le veulent durant la fin du repas et après aussi, aller lui titiller ses tétons de chienne ou lui branler sa chatte, la doigter, bref user et abuser d’elle, selon vos humeurs !!!! Je vous offre pour la journée mon cadeau de mariage !!! …
(A suivre …)
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