La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°209)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°209)
La Marquise Aurore d'Evans (suite de 'épisode précédent) -
Le banquet continua dans la bonne humeur. Bon nombre de convives passaient devant Scarlett toujours attachée nue et bien exhibée contre le volumineux tronc d’arbre. On lui pinçait les tétons au passage, on la giflait sans motif juste pour se dégourdir la main, on lui introduisit un cigare éteint dans sa chatte, on lui crachait dessus, bref, elle était humiliée, souillée selon le bon vouloir de chacun. A chaque fois Scarlett remerciait avec conviction d’être traitée ainsi, cela la faisait d’ailleurs, grandement mouiller. Il y a même un Maître qui se mit à lui uriner dessus tout en l’insultant.
Une fois le festin terminé, Monsieur le Marquis, s’exclama d’une voix forte qui inspirait le silence et l’écoute :
- Mes amis, mes amis …. Je vous avais promis une grosse surprise, et bien la voici ! Vous allez prendre pour chacun de vous l’esclave qui vous a été prêté pour la journée et qui est donc en ce moment en laisse à vos pieds. Promenez-les en laisse comme de bons chiens, ils nous suivrons ainsi à quatre pattes et rendons-nous tous de l’autre côté du château, dans l’autre cour, que l’on ne peut pas apercevoir d’ici, le château cachant le côté Nord où se situe cette cour. Je vous dis cela car une fois de l’autre côté, je pense que vous apprécierez ce que vous y trouverez, c’est ma grosse surprise ! Allez, s’il vous plait mes amis, suivez-moi ! …. Walter, détache cette chienne de Scarlett et suivez-nous aussi tous les deux …
Et ainsi tous très intéressés par cette surprise suivirent le châtelain et c’est avec une curiosité exacerbée qu’ils avançaient d’un bon pas, mais ils étaient toute fois ralentis par les mouvements moins rapides des esclaves évoluant en quadrupèdes dociles. Une fois arrivés sur place, quelle fut la surprise pour les convives de découvrir des installations insolites en ce lieu historique (c’est dans cette cour Nord que l’ancêtre du Marquis reçu le fameux Marquis de Sade, voir les Origines de la Saga). En effet devant les yeux des invités, on put voir des manèges que l’on trouve dans les fêtes foraines, à la différence que ces manèges là étaient d’un tout autre usage. Il y avait par exemple un magnifique manège carrousel à 2 étages et qui tournait doucement sur son axe sous une agréable musique d’orgue de barbarie. Mais ce manège n’était surtout pas destiné à des enfants, bien entendu ! Il était composé de chevaux de bois qui montaient et descendaient. Mais il y avait de fixé sur les selles de ces chevaux de bois un phallus vertical. Des vélos aussi, ou la même chose était installée sur les selles percées d’un trou au centre où des phallus montaient et descendaient entraînés par le pédalier qui tournait au même rythme que l’ensemble. Un manège évidemment destiné aux esclaves pour les Maîtresses ou Maîtres voulant faire empaler leur esclave !
On put découvrir aussi un stand de tir sur le côté mais au lieu qu’il soit équipé des classiques ballons à crever, on y voyait des fesses, oui des véritables fesses nues de femelles positionnées en levrette sur des plateaux surélevés et attachées de façon à ce que les tireurs puissent viser celles-ci mais avec les carabines équipées de paintball de couleurs. Un bouquet de fleurs colorées et artificielles était planté dans les anus de ces esclaves. Sur le fond un circuit en forme de rectangle arrondi d’une dizaine de mètres en longueur sur quatre en largeur délimité par des bottes de paille. Ce circuit était voué à des courses avec paris en mettant comme participants des esclaves au dossard numéroté et devant faire la course à quatre pattes. Mais le plus incroyable des manèges était bien celui qui dominait cette fête foraine improbable ! La grande roue qui d’une hauteur finale de 20 mètres de haut (et qui n’avait pas été déployée avant, afin qu’on ne puisse l’apercevoir et préserver ainsi la surprise) commençait à se déployer sur toute sa hauteur. Des cabines-balancelles toutes vitrées pour la sécurité composaient cette grande roue. Mais ce qui différenciait ce manège d’une grande roue classique de foires, c’était ce qui se trouvait dans chaque cabine. En effet pour chacune d’elles, il n’y avait pas de siège, mais à la place une coque ovalisée et profonde de mousse confortable et de façon à y installer une soumise couchée sur le dos et de façon à ce que ses jambes restent surélevées et bien écartées par des sangles prévues et fixées sur des pattes métalliques sur les côtés et ainsi leur sexe épilé bien exposé au Maître qui voudrait ainsi baiser son esclave à 20 mètres de haut. L’expression s’envoyer en l’air prenait ainsi tous son sens !
Il y avait aussi des auto-tamponneuses de couleur bleue (destinées aux Dominants (es) ) avec des pare-chocs en cylindre long en forme de verge en érection et pour d’autres de couleur rose (destinées aux esclaves) le cylindre était creux et en forme de vagin ouvert. Le but bien évidemment était que les voitures ‘’mâles’’ tamponnent et pénètrent les voitures ‘’femelles’’.
Ainsi toute la fin de l’après-midi les invités du Marquis qui celui-ci n’avait pas regardé sur la dépense, purent se distraire, s’amuser, user et abuser des esclaves dans les divers manèges spécialement installés pour le mariage du Maître des lieux et de sa belle Marquise Aurore d’Evans. Emeline par exemple eut pour ordre de monter dans la grande roue avec Maître Léon, d’autres esclaves suivirent dans les autres nacelles, elle fut baisée à souhait et quand la roue redescendit à 20 mètres de haut, émeline avait le cœur qui bondissait tout en mouillant sur les coups de boutoirs du Dominant. Sensations étranges et nouvelles pour elle d’être baisée comme si elle tombait dans le vide !... Cyrillia quant à lui, Maîtresse Caroline lui offrit des tours de carrousel en alternance soient des tours sur un cheval de bois, soient des tours sur un vélo. Il fut ainsi sodomisé à souhait avec des phallus artificiels qui montaient et descendaient dans son cul en suivant une cadence régulière et musicale. En ce qui concerne Scarlett, Walter la fit installer dans le stand de tir. Une fois bien attachée, le majordome fit mouche avec 5 balles sur ses fesses. L’esclave mâle qui tenait le stand avait pour ordre de donner un cadeau à ceux qui mirent les 5 balles colorées dans leur objectif, cet esclave devait ainsi offrir ses services buccaux et c’est ainsi que celui-ci fit le tour du comptoir du stand, pour venir s’agenouiller devant Walter et il se mit à lui dégrafer son pantalon pour le sucer et le faire jouir dans sa bouche. Mais le majordome se retenu de jouir préférant entrer dans le stand et aller sodomiser Scarlett car voyant son cul si bien arrondi, le majordome ne put s’empêcher de l’enculer à grands coups de bite tout en se faisant lécher les couilles par l’esclave qui venait de le sucer. Et sans oublier la Marquise Aurore d'Evans où un petit manège avait été spécialement monté pour elle. Il s'agissait d'une seule cabine à unique place accrochée sur un haut portique et qui pouvait ainsi se balancer telle une balançoire. Ce qui était insolite, c'est que cette cabine était en fait une cage suspendue à barreaux. Le Noble l'enferma ainsi nue et il enclencha le mécanisme de balancements lents. Puis Il s'assit en face sur un fauteuil déposé ici pour l'occasion et Il savoura d'un regard satisfait, sa femme soumise en train d'être balancée dans une régularité de métronome.
La fête devait durer aussi toute la soirée mais il y avait aussi de prévu l’orgie toute la nuit et qui devait clore les festivités, sans oublier la nuit de noce des époux, mais cela sera l’objet des prochains épisodes …
(A suivre …)
Le banquet continua dans la bonne humeur. Bon nombre de convives passaient devant Scarlett toujours attachée nue et bien exhibée contre le volumineux tronc d’arbre. On lui pinçait les tétons au passage, on la giflait sans motif juste pour se dégourdir la main, on lui introduisit un cigare éteint dans sa chatte, on lui crachait dessus, bref, elle était humiliée, souillée selon le bon vouloir de chacun. A chaque fois Scarlett remerciait avec conviction d’être traitée ainsi, cela la faisait d’ailleurs, grandement mouiller. Il y a même un Maître qui se mit à lui uriner dessus tout en l’insultant.
Une fois le festin terminé, Monsieur le Marquis, s’exclama d’une voix forte qui inspirait le silence et l’écoute :
- Mes amis, mes amis …. Je vous avais promis une grosse surprise, et bien la voici ! Vous allez prendre pour chacun de vous l’esclave qui vous a été prêté pour la journée et qui est donc en ce moment en laisse à vos pieds. Promenez-les en laisse comme de bons chiens, ils nous suivrons ainsi à quatre pattes et rendons-nous tous de l’autre côté du château, dans l’autre cour, que l’on ne peut pas apercevoir d’ici, le château cachant le côté Nord où se situe cette cour. Je vous dis cela car une fois de l’autre côté, je pense que vous apprécierez ce que vous y trouverez, c’est ma grosse surprise ! Allez, s’il vous plait mes amis, suivez-moi ! …. Walter, détache cette chienne de Scarlett et suivez-nous aussi tous les deux …
Et ainsi tous très intéressés par cette surprise suivirent le châtelain et c’est avec une curiosité exacerbée qu’ils avançaient d’un bon pas, mais ils étaient toute fois ralentis par les mouvements moins rapides des esclaves évoluant en quadrupèdes dociles. Une fois arrivés sur place, quelle fut la surprise pour les convives de découvrir des installations insolites en ce lieu historique (c’est dans cette cour Nord que l’ancêtre du Marquis reçu le fameux Marquis de Sade, voir les Origines de la Saga). En effet devant les yeux des invités, on put voir des manèges que l’on trouve dans les fêtes foraines, à la différence que ces manèges là étaient d’un tout autre usage. Il y avait par exemple un magnifique manège carrousel à 2 étages et qui tournait doucement sur son axe sous une agréable musique d’orgue de barbarie. Mais ce manège n’était surtout pas destiné à des enfants, bien entendu ! Il était composé de chevaux de bois qui montaient et descendaient. Mais il y avait de fixé sur les selles de ces chevaux de bois un phallus vertical. Des vélos aussi, ou la même chose était installée sur les selles percées d’un trou au centre où des phallus montaient et descendaient entraînés par le pédalier qui tournait au même rythme que l’ensemble. Un manège évidemment destiné aux esclaves pour les Maîtresses ou Maîtres voulant faire empaler leur esclave !
On put découvrir aussi un stand de tir sur le côté mais au lieu qu’il soit équipé des classiques ballons à crever, on y voyait des fesses, oui des véritables fesses nues de femelles positionnées en levrette sur des plateaux surélevés et attachées de façon à ce que les tireurs puissent viser celles-ci mais avec les carabines équipées de paintball de couleurs. Un bouquet de fleurs colorées et artificielles était planté dans les anus de ces esclaves. Sur le fond un circuit en forme de rectangle arrondi d’une dizaine de mètres en longueur sur quatre en largeur délimité par des bottes de paille. Ce circuit était voué à des courses avec paris en mettant comme participants des esclaves au dossard numéroté et devant faire la course à quatre pattes. Mais le plus incroyable des manèges était bien celui qui dominait cette fête foraine improbable ! La grande roue qui d’une hauteur finale de 20 mètres de haut (et qui n’avait pas été déployée avant, afin qu’on ne puisse l’apercevoir et préserver ainsi la surprise) commençait à se déployer sur toute sa hauteur. Des cabines-balancelles toutes vitrées pour la sécurité composaient cette grande roue. Mais ce qui différenciait ce manège d’une grande roue classique de foires, c’était ce qui se trouvait dans chaque cabine. En effet pour chacune d’elles, il n’y avait pas de siège, mais à la place une coque ovalisée et profonde de mousse confortable et de façon à y installer une soumise couchée sur le dos et de façon à ce que ses jambes restent surélevées et bien écartées par des sangles prévues et fixées sur des pattes métalliques sur les côtés et ainsi leur sexe épilé bien exposé au Maître qui voudrait ainsi baiser son esclave à 20 mètres de haut. L’expression s’envoyer en l’air prenait ainsi tous son sens !
Il y avait aussi des auto-tamponneuses de couleur bleue (destinées aux Dominants (es) ) avec des pare-chocs en cylindre long en forme de verge en érection et pour d’autres de couleur rose (destinées aux esclaves) le cylindre était creux et en forme de vagin ouvert. Le but bien évidemment était que les voitures ‘’mâles’’ tamponnent et pénètrent les voitures ‘’femelles’’.
Ainsi toute la fin de l’après-midi les invités du Marquis qui celui-ci n’avait pas regardé sur la dépense, purent se distraire, s’amuser, user et abuser des esclaves dans les divers manèges spécialement installés pour le mariage du Maître des lieux et de sa belle Marquise Aurore d’Evans. Emeline par exemple eut pour ordre de monter dans la grande roue avec Maître Léon, d’autres esclaves suivirent dans les autres nacelles, elle fut baisée à souhait et quand la roue redescendit à 20 mètres de haut, émeline avait le cœur qui bondissait tout en mouillant sur les coups de boutoirs du Dominant. Sensations étranges et nouvelles pour elle d’être baisée comme si elle tombait dans le vide !... Cyrillia quant à lui, Maîtresse Caroline lui offrit des tours de carrousel en alternance soient des tours sur un cheval de bois, soient des tours sur un vélo. Il fut ainsi sodomisé à souhait avec des phallus artificiels qui montaient et descendaient dans son cul en suivant une cadence régulière et musicale. En ce qui concerne Scarlett, Walter la fit installer dans le stand de tir. Une fois bien attachée, le majordome fit mouche avec 5 balles sur ses fesses. L’esclave mâle qui tenait le stand avait pour ordre de donner un cadeau à ceux qui mirent les 5 balles colorées dans leur objectif, cet esclave devait ainsi offrir ses services buccaux et c’est ainsi que celui-ci fit le tour du comptoir du stand, pour venir s’agenouiller devant Walter et il se mit à lui dégrafer son pantalon pour le sucer et le faire jouir dans sa bouche. Mais le majordome se retenu de jouir préférant entrer dans le stand et aller sodomiser Scarlett car voyant son cul si bien arrondi, le majordome ne put s’empêcher de l’enculer à grands coups de bite tout en se faisant lécher les couilles par l’esclave qui venait de le sucer. Et sans oublier la Marquise Aurore d'Evans où un petit manège avait été spécialement monté pour elle. Il s'agissait d'une seule cabine à unique place accrochée sur un haut portique et qui pouvait ainsi se balancer telle une balançoire. Ce qui était insolite, c'est que cette cabine était en fait une cage suspendue à barreaux. Le Noble l'enferma ainsi nue et il enclencha le mécanisme de balancements lents. Puis Il s'assit en face sur un fauteuil déposé ici pour l'occasion et Il savoura d'un regard satisfait, sa femme soumise en train d'être balancée dans une régularité de métronome.
La fête devait durer aussi toute la soirée mais il y avait aussi de prévu l’orgie toute la nuit et qui devait clore les festivités, sans oublier la nuit de noce des époux, mais cela sera l’objet des prochains épisodes …
(A suivre …)
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle imagination ! Vite la suite .
Bonjour, je découvre vos histoires, un plaisir jamais ressenti. Je vais lire toutes vos histoires