La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°211)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°211)
Suite de l'épisode précédent - La nuit de noce (première partie) -
La nuit était déjà fort avancée quand les invités quittèrent le château après s’être mainte fois soulagés dans d’incroyables orgies offertes par le Maître des lieux. La chaleur de cette nuit d’été laissait place à la lourdeur de l’air, à l’évidence l’orage approchait. Des éclairs de chaleur éclairaient de toute part le ciel d’un noir d’encre et étoilé de mille points brillants. Ces éclairs commençaient à déchirer l’atmosphère lourde et Monsieur le Marquis ordonna aux esclaves de rentrer à l’intérieur tout ce que la pluie pourrait abîmer, telles les tables encombrées et leurs argenteries, etc … Alors tous les esclaves s’affairaient sous les ordres de Walter qui pris en charge ce rangement qui devenait urgent à cause des premières gouttes de pluie. Le Marquis se tourna vers sa femme et soumise toujours à demi couchée dans la pelouse près de son Maître. Il la regarda longuement en silence, on aurait cru qu’Il admirait son corps, ses courbures, les sinuosités de ses formes si sensuelles. Quand au bout d’un long moment alors que la pluie commençait à mouiller son costume, Il lui dit sur un ton laconique mais tendrement:
- C’est l’heure …
Il avait à peine dit le dernier mot que le hasard voulu qu’un éclair plus proche que les autres suivit d’un rapide et gros coup de tonnerre gronda sur le château comme si la providence leur imposait de rentrer dans la demeure, dans la chambre nuptiale … Alors la Marquise Aurore d’Evans compris de suite, ce que cela voulait dire, la nuit de noce, qu’elle attendait au plus profond de son âme depuis qu’elle avait appris son propre mariage, allait enfin commencer. Les éclairs illuminaient son visage d’ange, et malgré la pluie qui lui dégoulinait sur le visage, elle paraissait radieuse à la pensée du moment à venir. Son Mari et Maître lui tendu alors la main pour l’inviter à se relever. Une fois debout, la Marquise n’eu pas le temps de réagir qu’elle se sentit soulever du sol pour se retrouver couchée dans les bras du Marquis. Il lui sourit, pencha la tête doucement, tout en la maintenant suspendue dans ses bras, pour l’embrasser amoureusement. La scène en devenait quasi romantique sous la pluie, les éclairs, mais aussi avec le sublime décor, devant ce château et ses vieilles pierres illuminées par l’orage. On aurait cru que les statues antiques servaient de spectateurs et les encourageaient à s’embrasser à chaque éclair qui les fit apparaître de la pénombre en arrière plan. Le baiser était long, tendre et fougueux, les cheveux de la belle défait par l’eau qui coulait le long de sa nuque donnaient à la soumise une féminité sensuelle extraordinairement érotique. Un cinéaste se serait trouvé là à ce moment avec sa caméra qu’il n’aurait pas obtenu meilleure scène romantique.
Puis le Noble qui ne quittait pas du regard Sa belle, se mit à marcher en direction du château, il fit fi de la pluie qui ne le gênait nullement. Il traversa la cour tranquillement, monta le perron avec Sa belle dans les bras, poussa la lourde double porte d’entrée et se retrouva dans le hall immense. Trempé par la pluie, il déposa à même le carrelage sa femme soumise. Il claqua des mains fortement et l’écho qui en suivit raisonnait fort dans cette partie du château. Il n’eu pas à attendre longtemps que deux belles et jeunes esclaves entièrement nues arrivèrent en courbant l’échine.
- Qu’on m’apporte de quoi nous sécher…
Les esclaves firent rapidement demi-tour. En attendant leur retour, La Marquise Aurore d’Evans, trempée également jusqu’au os, s’agenouilla face à son Maître et se prosterna pour lui dire :
- Maître, suis-je autorisée à vous dire ce que je ressens ?
- Oui Ma belle, dis-moi … lui répondit le Marquis tout en lui souriant et lui caressant les cheveux à la coiffure inexistante, conséquence de la pluie
- Je sais que je vais vivre ma plus belle nuit de ma vie, je le sens, je le devine… Je mesure l’immense privilège qui m’est accordé. Etre Votre femme est plus qu’un Honneur, c’est un Bonheur inouï, mais d’avoir été choisi par Vous et parmi Vos nombreuses soumises, je ne réalise toujours pas ce qui m’arrive. Je Vous suis si dévouée, que je ferai n’importe quoi pour Vous… mais j’ai peur maintenant, mon Maître … oui peur de Vous décevoir ... peur de n’être pas à la hauteur de Vos espérances lors de cette nuit de noce … Je ferai tout pour Vous combler … mais saurais-je Vous combler …
- Oui ma belle lui répondit le Marquis d’Evans, pour me combler, il te suffit d’une seule chose, une unique chose qui te permettra d’être à la hauteur et je sais que cette chose tu l’as possède sans aucun doute … C’est ton Amour … Oui il te suffit de M’aimer simplement de m’aimer et tout ce passera bien … Car cette nuit d’Amour, ce ne sera pas qu’une simple soumise chienne que j’aurai dans ma couche, mais j’aurai aussi et avant tout Ma femme, Ma Marquise …
Puis sur ces mots rassurants pour la belle Aurore qui parue soulagée en souriant tendrement de ses belles dents blanches, les deux esclaves revinrent avec les bras encombrés de serviettes éponges et autres lingeries. Le Noble frappa alors de nouveau dans les mains et les deux esclaves comprirent ce qu’elles devaient faire. Elles déshabillèrent totalement leur Maître là au beau milieu de ce hall où le silence régnait et où seul le tonnerre qui redoublait d’intensité apportait une ambiance quasi suréaliste. Puis elles séchèrent le Maître à l’aide des grandes serviettes éponges. Elles passaient le linge de partout en faisant attention de n’oublier aucune partie du Noble corps. Quand une d’elle voulut sécher le sexe du Marquis, celui-ci empoigna le bras de l’esclave pour lui dire :
- Non … pas toi …
Alors Il pris la serviette éponge des mains de la belle esclave pour la donner à Aurore. Celle-ci compris qu’elle devait sécher la bite de son Maître. Aurore s’appliqua du mieux qu’elle pouvait, passant la serviette entre et sous les cuisses du Noble, sur côtés puis sur les testicules, sur la verge, sur le dessus poilu en allant vers le nombril et redescendait doucement. Ce séchage érotique fit réagir le Marquis qui commença à bander. Alors, il fit un simple signe aux deux esclaves de quitter les lieux. Celles-ci s’éclipsèrent en laissant d‘autres serviettes pour que la belle Marquise puisse être séchée aussi. Le Marquis invita alors Sa belle à se lever et Il entreprit aussi de sécher le corps de sa femme. Le Marquis ouvrit en grand le drap de bain éponge pour envelopper le corps d’Aurore avec le sien …
(à suivre …)
La nuit était déjà fort avancée quand les invités quittèrent le château après s’être mainte fois soulagés dans d’incroyables orgies offertes par le Maître des lieux. La chaleur de cette nuit d’été laissait place à la lourdeur de l’air, à l’évidence l’orage approchait. Des éclairs de chaleur éclairaient de toute part le ciel d’un noir d’encre et étoilé de mille points brillants. Ces éclairs commençaient à déchirer l’atmosphère lourde et Monsieur le Marquis ordonna aux esclaves de rentrer à l’intérieur tout ce que la pluie pourrait abîmer, telles les tables encombrées et leurs argenteries, etc … Alors tous les esclaves s’affairaient sous les ordres de Walter qui pris en charge ce rangement qui devenait urgent à cause des premières gouttes de pluie. Le Marquis se tourna vers sa femme et soumise toujours à demi couchée dans la pelouse près de son Maître. Il la regarda longuement en silence, on aurait cru qu’Il admirait son corps, ses courbures, les sinuosités de ses formes si sensuelles. Quand au bout d’un long moment alors que la pluie commençait à mouiller son costume, Il lui dit sur un ton laconique mais tendrement:
- C’est l’heure …
Il avait à peine dit le dernier mot que le hasard voulu qu’un éclair plus proche que les autres suivit d’un rapide et gros coup de tonnerre gronda sur le château comme si la providence leur imposait de rentrer dans la demeure, dans la chambre nuptiale … Alors la Marquise Aurore d’Evans compris de suite, ce que cela voulait dire, la nuit de noce, qu’elle attendait au plus profond de son âme depuis qu’elle avait appris son propre mariage, allait enfin commencer. Les éclairs illuminaient son visage d’ange, et malgré la pluie qui lui dégoulinait sur le visage, elle paraissait radieuse à la pensée du moment à venir. Son Mari et Maître lui tendu alors la main pour l’inviter à se relever. Une fois debout, la Marquise n’eu pas le temps de réagir qu’elle se sentit soulever du sol pour se retrouver couchée dans les bras du Marquis. Il lui sourit, pencha la tête doucement, tout en la maintenant suspendue dans ses bras, pour l’embrasser amoureusement. La scène en devenait quasi romantique sous la pluie, les éclairs, mais aussi avec le sublime décor, devant ce château et ses vieilles pierres illuminées par l’orage. On aurait cru que les statues antiques servaient de spectateurs et les encourageaient à s’embrasser à chaque éclair qui les fit apparaître de la pénombre en arrière plan. Le baiser était long, tendre et fougueux, les cheveux de la belle défait par l’eau qui coulait le long de sa nuque donnaient à la soumise une féminité sensuelle extraordinairement érotique. Un cinéaste se serait trouvé là à ce moment avec sa caméra qu’il n’aurait pas obtenu meilleure scène romantique.
Puis le Noble qui ne quittait pas du regard Sa belle, se mit à marcher en direction du château, il fit fi de la pluie qui ne le gênait nullement. Il traversa la cour tranquillement, monta le perron avec Sa belle dans les bras, poussa la lourde double porte d’entrée et se retrouva dans le hall immense. Trempé par la pluie, il déposa à même le carrelage sa femme soumise. Il claqua des mains fortement et l’écho qui en suivit raisonnait fort dans cette partie du château. Il n’eu pas à attendre longtemps que deux belles et jeunes esclaves entièrement nues arrivèrent en courbant l’échine.
- Qu’on m’apporte de quoi nous sécher…
Les esclaves firent rapidement demi-tour. En attendant leur retour, La Marquise Aurore d’Evans, trempée également jusqu’au os, s’agenouilla face à son Maître et se prosterna pour lui dire :
- Maître, suis-je autorisée à vous dire ce que je ressens ?
- Oui Ma belle, dis-moi … lui répondit le Marquis tout en lui souriant et lui caressant les cheveux à la coiffure inexistante, conséquence de la pluie
- Je sais que je vais vivre ma plus belle nuit de ma vie, je le sens, je le devine… Je mesure l’immense privilège qui m’est accordé. Etre Votre femme est plus qu’un Honneur, c’est un Bonheur inouï, mais d’avoir été choisi par Vous et parmi Vos nombreuses soumises, je ne réalise toujours pas ce qui m’arrive. Je Vous suis si dévouée, que je ferai n’importe quoi pour Vous… mais j’ai peur maintenant, mon Maître … oui peur de Vous décevoir ... peur de n’être pas à la hauteur de Vos espérances lors de cette nuit de noce … Je ferai tout pour Vous combler … mais saurais-je Vous combler …
- Oui ma belle lui répondit le Marquis d’Evans, pour me combler, il te suffit d’une seule chose, une unique chose qui te permettra d’être à la hauteur et je sais que cette chose tu l’as possède sans aucun doute … C’est ton Amour … Oui il te suffit de M’aimer simplement de m’aimer et tout ce passera bien … Car cette nuit d’Amour, ce ne sera pas qu’une simple soumise chienne que j’aurai dans ma couche, mais j’aurai aussi et avant tout Ma femme, Ma Marquise …
Puis sur ces mots rassurants pour la belle Aurore qui parue soulagée en souriant tendrement de ses belles dents blanches, les deux esclaves revinrent avec les bras encombrés de serviettes éponges et autres lingeries. Le Noble frappa alors de nouveau dans les mains et les deux esclaves comprirent ce qu’elles devaient faire. Elles déshabillèrent totalement leur Maître là au beau milieu de ce hall où le silence régnait et où seul le tonnerre qui redoublait d’intensité apportait une ambiance quasi suréaliste. Puis elles séchèrent le Maître à l’aide des grandes serviettes éponges. Elles passaient le linge de partout en faisant attention de n’oublier aucune partie du Noble corps. Quand une d’elle voulut sécher le sexe du Marquis, celui-ci empoigna le bras de l’esclave pour lui dire :
- Non … pas toi …
Alors Il pris la serviette éponge des mains de la belle esclave pour la donner à Aurore. Celle-ci compris qu’elle devait sécher la bite de son Maître. Aurore s’appliqua du mieux qu’elle pouvait, passant la serviette entre et sous les cuisses du Noble, sur côtés puis sur les testicules, sur la verge, sur le dessus poilu en allant vers le nombril et redescendait doucement. Ce séchage érotique fit réagir le Marquis qui commença à bander. Alors, il fit un simple signe aux deux esclaves de quitter les lieux. Celles-ci s’éclipsèrent en laissant d‘autres serviettes pour que la belle Marquise puisse être séchée aussi. Le Marquis invita alors Sa belle à se lever et Il entreprit aussi de sécher le corps de sa femme. Le Marquis ouvrit en grand le drap de bain éponge pour envelopper le corps d’Aurore avec le sien …
(à suivre …)
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