La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°214)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°214)
Suite de l'épisode N°212 - Chapitre 9 - La nuit de noce (troisième partie)
Une fois tous les deux dans la chambre, le Marquis stoppa devant son majestueux lit et pris un sac posé dessus. Il en sortit quelques sous-vêtements féminins, se retourna et dit d’une voix douce à sa belle soumise :
- Met ça et attend ici comme tu sais attendre à côté du lit
Puis Il lâcha la laisse et s’éclipsa un moment par une porte dérobée sur le côté donnant dans sa salle de bain privée. Aurore avait donc pour ordre de l’attendre, seulement vêtue d’une guêpière, de bas résilles et de cuissardes, agenouillée à côté du lit, jambes bien écartées et tête baissée, mains derrière le dos, cheveux détachés, buste droit, comme elle avait appris à attendre. Son bien aimé Maître tardait à revenir et la Marquise Aurore d’Evans attendait ainsi depuis un long moment déjà et commençait à avoir mal aux genoux mais elle ne bougeait pas, de peur que son Maître arrive à ce moment et ait la désagréable surprise de voir qu’elle lui désobéissait ... Des pas résonnèrent dans la salle de bain et elle entendit la porte s’ouvrir et son amant de mari rentrer dans la chambre.
A son retour, le Marquis d’Evans lui demanda de baisser les yeux, de ne pas le regarder et de ne pas parler. Elle ne pouvait apercevoir que ses pieds et comprit que son Maître et désormais mari se déshabillait. Il se dirigea vers elle, s’agenouilla, lui dégagea les seins de sa guêpière pour en pincer les bouts, fermement. Elle frémit. Ses mains de Dominateur se dirigèrent ensuite vers son intimité.
- Tu es encore toute mouillée ma belle petite chienne, lui dit-Il.
Il glissa deux doigts dans sa fente et frotta son clitoris avec ses autres doigts. Mon dieu qu’elle était excitée. Elle aurait voulu qu’Il la prenne tout de suite. Son ventre s’embrasait d’un feu intérieur.
- Comment vais-je te baiser ce soir ma petite chienne de femme ? Je ne le sais pas encore. Mais ce que Je sais, c’est que tu seras honorée comme il se doit par ton mari tellement Je vais m’occuper de tes trous, Je veux que tu te souviennes toute ta vie de ta nuit de noce …
Puis après un long silence, où Aurore devinait le regard fixe de son Maître sur son corps, Il se leva et revint avec un bandeau qu’Il lui mit sur les yeux. Il l’agrippa par les cheveux et l’entraîna au bout du lit. Là, Il s’assit et lui ordonna d’ouvrir en grand la bouche et lui dit
- Je vais commencer par te baiser la bouche. Tu vas encore me sucer, divinement me sucer ….
La Marquise Aurore d’Evans sentit son sexe bien dur et gonflé dans sa bouche. Elle l’avala jusqu’à la garde et eut un haut le cœur. Il la prit par les cheveux et fit lui-même les mouvements de va et vient. Elle avait du mal à respirer mais s’appliqua pour contenter son Maître. Il su se retirer quand il fallait pour qu’elle puisse reprendre sa respiration et rentra sa verge de nouveau pour se délecter de l’humidité de la bouche. Il se retint de jouir, quand Il se dégagea pour lui ordonner de se mettre debout, la poussa sur le lit couchée sur le dos et lui exigea de mettre les bras écartés au dessus de sa tête. Le Noble saisit alors des cordes et ligota ses poignets aux barreaux du lit, bras largement ouverts puis Il lui écarta les jambes et lui lia également les pieds. Aurore se retrouva dans une position totalement impudique. La soumise ne pouvait qu’entendre les bruits environnants. Aux bruits, elle comprit que son Maître était parti chercher des accessoires. Mais lesquels ? Elle ne le savait pas. Elle en était très excitée d’attendre ainsi ligotée et yeux bandés. La moiteur de son entrejambe ne trompait pas dans quel état d’excitation elle se trouvait. Elle sentit une caresse sur ses seins, reconnut les franges du martinet et le comprit très rapidement aux claquements sur chacun de ses seins, puis sur ses cuisses et sur son sexe. Aurore se cambra. C’était un peu douloureux mais bon à la fois. Elle sentit dans son sexe le manche du martinet que son Maître faisait entrer et sortir très lentement. La soumise gémissait car elle était sur le point de jouir et elle se mordit la lèvre jusqu’à qu’elle laissa éclater son orgasme en de longs cris de bonheur
Son Maître remplaça le manche du martinet par un objet qu’elle ne reconnut pas immédiatement. C’était froid et beaucoup plus gros que le manche du martinet. Certainement un nouveau gode ! Il entreprit des mouvements de va et vient assez rapides. Causée par la cadence accélérée de ces pénétrations, Aurore sentait son sexe dégouliner encore plus de purs plaisirs. Le Marquis calma un peu le jeu, histoire de la laisser ainsi sur des charbons ardents et en profita pour lui mettre délicatement des pinces sur les seins. La soumise poussa un petit cri car c’était un peu douloureux. Au bout d’un moment Aurore jouissait de nouveau sous la cadence du gode. Puis elle sentit qu’il retira le gode de son sexe, quand elle s’exclama d’une voix suppliant :
- Maître. Votre chienne aime être ainsi baisée mais serait encore plus honorée si vous la preniez de votre Noble sexe.
- C’est moi qui décide à quel moment je te prendrais, Ma belle soumise et de quelle façon, mais n’est crainte, tu auras droit à mon joyau ...
Aurore sentit alors Ses lèvres sur les siennes et leurs langues se mélangeaient fougueusement. Sa main était revenue sur la cuisse de la belle soumise, main qui remontait doucement jusqu'à la lisière de ses bas résilles. Cette si douce main resta là un moment à caresser la frontière entre peau et nylon. La Marquise Aurore d’Evans en était excitée au plus haut point. Le Marquis embrassait divinement bien et Sa main baladeuse incita à Aurore d’écarter un peu les jambes, malgré que celles-ci étaient attachées au lit, pour l'inviter à aller plus haut et Sa main entama alors une lente mais si sensuelle progression vers le sexe trempée de la belle. Elle en frémissait d'excitation et ne put s'empêcher de gémir de plaisirs lorsque les doigts du Maître disparaissaient dans l’entrejambe pour atteindre la chatte si impatiente d’excitation. Il caressa doucement le sexe si mouillé tout en continuant à embrasser Aurore. Les deux langues s’entremêlaient dans leur bouche avec passion …
Il continua encore à la caresser de longues minutes, quand le Marquis stoppa. Puis Aurore, les yeux toujours bandés, entendit bouger quand elle sentit la queue de son Maître de nouveau devant sa bouche. Elle aspira le gland qu'elle caressa de sa langue. Le Noble s’enfonça dans cette bouche si béante et fit plusieurs fois de suite un retrait puis une introduction à petite cadence, ce qui fit gémir de plaisir la belle soumise. Elle suçait divinement bien durant de longues minutes. Puis Il bougea encore pour venir se placer à califourchon sur le lit au dessus de son visage et s’avança pour qu’elle puisse reprendre sa divine fellation, elle put ainsi et aussi lécher les couilles de son Maître et jouer avec sa langue sur le dessous en léchant l’anus longuement et tout autour, ce qui provoqua de longs gémissements de plaisirs du Maître qui visiblement appréciait plus que tout ce genre de caresses buccales. Puis Aurore revint avaler le joyau de son mari. La bouche d’Aurore va-et-vient sur le sexe dressé. Au bout d’un moment, le Marquis défit les liens au niveau des chevilles de la belle, les poignets étant toujours attachés en haut du lit, pour mettre les jambes de la soumise sur Ses épaules. Le châtelain entreprit un nouveau doigtage profond et cadencé dans cette chatte si dilatée, si offerte si trempée …
Puis Il quitta de ses doigts ce sexe si excité pour y mettre sa verge dressée. Il rentra facilement tellement ils étaient tous deux si désireux de s’accoupler... Elle sentit son gland la pénétrer, Il resta un moment sans bouger pas trop profond en elle puis commença de tous petits vas et viens. Elle se sentit pénétrée de plus en plus profondément encore. C'est bon de le sentir coulisser en elle, et Aurore ne put s'empêcher de gémir à chaque aller retour du joyau tendu de son Maître. Quand enfin Il est entièrement en elle, Il coucha son corps contre celui de la belle pour s'enfoncer encore d'avantage et l'embrassa, elle reçut Sa langue dans sa bouche tandis que Son sexe était entièrement en elle. Les baisers fougueux durant cette pénétration vaginale étaient divins. Cela dura longtemps, puis Il se redressa, sourit tendrement et continua de lents va-et-vient. C'est trop bon, Aurore adorait cette position qui offre le plus de sensations, les jambes sur Ses épaules, Lui à genoux sur le lit entre ses jambes et elle yeux bandés et poignets liés.
Aurore s'abandonna complètement au plaisir que son bien aimé Maître lui procurait lorsqu’elle est fut secouée par un orgasme violent, des cris de jouissance fusaient en de longues râles de plaisirs.... Quand elle reprit ses esprits, Il avait arrêté de bouger, Il était toujours bien planté en elle et Il se pencha pour l'embrasser. Puis doucement lorsqu'Il se releva, Il lui caressa l’anus de Ses doigts tout en restant bien en elle, Sa verge gonflée et si raide occupait la place. La vue de ses fesses, mises en valeurs par la guêpière et les bas, lui plut. Alors Il se retira de la chatte pour présenter un plug devant le cul de la soumise. Il l’enfonça doucement celui-ci étant lubrifié préalablement. Puis le Marquis détacha les poignets de la belle et Il l’a tira délicatement à lui par les bras pour lui refaire l’amour en position assise sur le lit. Les jambes de la femelle étant de chaque côté des hanches du Maître. Assise, elle n’avait qu’à s’empaler sur ce phallus dressé, ses bras autour du cou de son mari.
Plugée et ainsi baisée, elle fut surprise par cette ardeur soudaine d’une cadence beaucoup plus vite alors Aurore fut vite emportée par le plaisir qu'Il lui procurait. Après plusieurs minutes de ce traitement, et tout en la maintenant fortement à Lui, Il se leva pour la baiser Lui debout, elle jambes autour de la taille du Maître et bras toujours enserrant le cou du Marquis. Il la besogna encore et encore longtemps dans des gémissements forts puis ralentit tout à coup quand Il sortit son sexe pour la déposer sur l’épais tapis de velours d’Orient qui orne le luxueux parquet vernis. Le Marquis d’Evans entreprit alors un léchage profond avec sa langue dans la chatte béante de Sa chienne. Quelle douceur inattendue, quel bonheur empli de caresses ! Lorsque elle n'en put plus, car elle était prête à jouir de nouveau, Aurore lui supplia de la prendre encore et encore. Alors le Marquis d’Evans l'allongea sur le côté sur ce doux tapis et Il vint se coller dans Son dos. Il lui souleva une jambe pour la pénétrer facilement par derrière et commença de lents va-et-vient dans cette chatte si accueillante en embrassant le lobe de l’oreille, la nuque et le cou de la belle en des sucions si érotiques.
Sa main vint se poser sur le ventre d’Aurore puis descendit doucement pour branler le clitoris. Il le caressa au même rythme qu'il baissait la chatte. C'est trop bon et la soumise ne tardait pas à jouir. Ce qui n’empêcha pas au Marquis de continuer son pilonnage à grands coups de reins augmentant Sa cadence. L’orgasme d’Aurore n’en finit plus, elle râla de plaisir dans la constance, sans interruption, quand elle sentit souffler, dans son dos, son Maître en de longs râles de jouissance. Il accéléra encore et dans un dernier coup de boutoir enfoncé au plus profond d’elle et de jouir en de longs jets de sperme. Cette cadence infernale suivie d'une pénétration profonde puis de sentir Son sexe se gonfler et jouir en elle, ont eu raison de la belle Aurore chez laquelle un second orgasme violent et quasi simultané au premier l'emporta très loin dans l’ivresse de son corps et de ses plaisirs procurés. Lorsque elle reprit ses esprits, elle fut vidée, heureuse, sur un nuage. Le Marquis était encore en elle, Il était allongé derrière son dos et respirait calmement. Il lui demanda si tout allait bien dans un large sourire. Aurore comblée, lui répondit que oui, que c'était vraiment super bon. Il lui réplique alors un « Idem »… Il bougea un peu, Son sexe n'avait presque pas diminué de taille. Ce simple mouvement électrisa la soumise … la nuit ne fit que commencer …
(à suivre …)
Une fois tous les deux dans la chambre, le Marquis stoppa devant son majestueux lit et pris un sac posé dessus. Il en sortit quelques sous-vêtements féminins, se retourna et dit d’une voix douce à sa belle soumise :
- Met ça et attend ici comme tu sais attendre à côté du lit
Puis Il lâcha la laisse et s’éclipsa un moment par une porte dérobée sur le côté donnant dans sa salle de bain privée. Aurore avait donc pour ordre de l’attendre, seulement vêtue d’une guêpière, de bas résilles et de cuissardes, agenouillée à côté du lit, jambes bien écartées et tête baissée, mains derrière le dos, cheveux détachés, buste droit, comme elle avait appris à attendre. Son bien aimé Maître tardait à revenir et la Marquise Aurore d’Evans attendait ainsi depuis un long moment déjà et commençait à avoir mal aux genoux mais elle ne bougeait pas, de peur que son Maître arrive à ce moment et ait la désagréable surprise de voir qu’elle lui désobéissait ... Des pas résonnèrent dans la salle de bain et elle entendit la porte s’ouvrir et son amant de mari rentrer dans la chambre.
A son retour, le Marquis d’Evans lui demanda de baisser les yeux, de ne pas le regarder et de ne pas parler. Elle ne pouvait apercevoir que ses pieds et comprit que son Maître et désormais mari se déshabillait. Il se dirigea vers elle, s’agenouilla, lui dégagea les seins de sa guêpière pour en pincer les bouts, fermement. Elle frémit. Ses mains de Dominateur se dirigèrent ensuite vers son intimité.
- Tu es encore toute mouillée ma belle petite chienne, lui dit-Il.
Il glissa deux doigts dans sa fente et frotta son clitoris avec ses autres doigts. Mon dieu qu’elle était excitée. Elle aurait voulu qu’Il la prenne tout de suite. Son ventre s’embrasait d’un feu intérieur.
- Comment vais-je te baiser ce soir ma petite chienne de femme ? Je ne le sais pas encore. Mais ce que Je sais, c’est que tu seras honorée comme il se doit par ton mari tellement Je vais m’occuper de tes trous, Je veux que tu te souviennes toute ta vie de ta nuit de noce …
Puis après un long silence, où Aurore devinait le regard fixe de son Maître sur son corps, Il se leva et revint avec un bandeau qu’Il lui mit sur les yeux. Il l’agrippa par les cheveux et l’entraîna au bout du lit. Là, Il s’assit et lui ordonna d’ouvrir en grand la bouche et lui dit
- Je vais commencer par te baiser la bouche. Tu vas encore me sucer, divinement me sucer ….
La Marquise Aurore d’Evans sentit son sexe bien dur et gonflé dans sa bouche. Elle l’avala jusqu’à la garde et eut un haut le cœur. Il la prit par les cheveux et fit lui-même les mouvements de va et vient. Elle avait du mal à respirer mais s’appliqua pour contenter son Maître. Il su se retirer quand il fallait pour qu’elle puisse reprendre sa respiration et rentra sa verge de nouveau pour se délecter de l’humidité de la bouche. Il se retint de jouir, quand Il se dégagea pour lui ordonner de se mettre debout, la poussa sur le lit couchée sur le dos et lui exigea de mettre les bras écartés au dessus de sa tête. Le Noble saisit alors des cordes et ligota ses poignets aux barreaux du lit, bras largement ouverts puis Il lui écarta les jambes et lui lia également les pieds. Aurore se retrouva dans une position totalement impudique. La soumise ne pouvait qu’entendre les bruits environnants. Aux bruits, elle comprit que son Maître était parti chercher des accessoires. Mais lesquels ? Elle ne le savait pas. Elle en était très excitée d’attendre ainsi ligotée et yeux bandés. La moiteur de son entrejambe ne trompait pas dans quel état d’excitation elle se trouvait. Elle sentit une caresse sur ses seins, reconnut les franges du martinet et le comprit très rapidement aux claquements sur chacun de ses seins, puis sur ses cuisses et sur son sexe. Aurore se cambra. C’était un peu douloureux mais bon à la fois. Elle sentit dans son sexe le manche du martinet que son Maître faisait entrer et sortir très lentement. La soumise gémissait car elle était sur le point de jouir et elle se mordit la lèvre jusqu’à qu’elle laissa éclater son orgasme en de longs cris de bonheur
Son Maître remplaça le manche du martinet par un objet qu’elle ne reconnut pas immédiatement. C’était froid et beaucoup plus gros que le manche du martinet. Certainement un nouveau gode ! Il entreprit des mouvements de va et vient assez rapides. Causée par la cadence accélérée de ces pénétrations, Aurore sentait son sexe dégouliner encore plus de purs plaisirs. Le Marquis calma un peu le jeu, histoire de la laisser ainsi sur des charbons ardents et en profita pour lui mettre délicatement des pinces sur les seins. La soumise poussa un petit cri car c’était un peu douloureux. Au bout d’un moment Aurore jouissait de nouveau sous la cadence du gode. Puis elle sentit qu’il retira le gode de son sexe, quand elle s’exclama d’une voix suppliant :
- Maître. Votre chienne aime être ainsi baisée mais serait encore plus honorée si vous la preniez de votre Noble sexe.
- C’est moi qui décide à quel moment je te prendrais, Ma belle soumise et de quelle façon, mais n’est crainte, tu auras droit à mon joyau ...
Aurore sentit alors Ses lèvres sur les siennes et leurs langues se mélangeaient fougueusement. Sa main était revenue sur la cuisse de la belle soumise, main qui remontait doucement jusqu'à la lisière de ses bas résilles. Cette si douce main resta là un moment à caresser la frontière entre peau et nylon. La Marquise Aurore d’Evans en était excitée au plus haut point. Le Marquis embrassait divinement bien et Sa main baladeuse incita à Aurore d’écarter un peu les jambes, malgré que celles-ci étaient attachées au lit, pour l'inviter à aller plus haut et Sa main entama alors une lente mais si sensuelle progression vers le sexe trempée de la belle. Elle en frémissait d'excitation et ne put s'empêcher de gémir de plaisirs lorsque les doigts du Maître disparaissaient dans l’entrejambe pour atteindre la chatte si impatiente d’excitation. Il caressa doucement le sexe si mouillé tout en continuant à embrasser Aurore. Les deux langues s’entremêlaient dans leur bouche avec passion …
Il continua encore à la caresser de longues minutes, quand le Marquis stoppa. Puis Aurore, les yeux toujours bandés, entendit bouger quand elle sentit la queue de son Maître de nouveau devant sa bouche. Elle aspira le gland qu'elle caressa de sa langue. Le Noble s’enfonça dans cette bouche si béante et fit plusieurs fois de suite un retrait puis une introduction à petite cadence, ce qui fit gémir de plaisir la belle soumise. Elle suçait divinement bien durant de longues minutes. Puis Il bougea encore pour venir se placer à califourchon sur le lit au dessus de son visage et s’avança pour qu’elle puisse reprendre sa divine fellation, elle put ainsi et aussi lécher les couilles de son Maître et jouer avec sa langue sur le dessous en léchant l’anus longuement et tout autour, ce qui provoqua de longs gémissements de plaisirs du Maître qui visiblement appréciait plus que tout ce genre de caresses buccales. Puis Aurore revint avaler le joyau de son mari. La bouche d’Aurore va-et-vient sur le sexe dressé. Au bout d’un moment, le Marquis défit les liens au niveau des chevilles de la belle, les poignets étant toujours attachés en haut du lit, pour mettre les jambes de la soumise sur Ses épaules. Le châtelain entreprit un nouveau doigtage profond et cadencé dans cette chatte si dilatée, si offerte si trempée …
Puis Il quitta de ses doigts ce sexe si excité pour y mettre sa verge dressée. Il rentra facilement tellement ils étaient tous deux si désireux de s’accoupler... Elle sentit son gland la pénétrer, Il resta un moment sans bouger pas trop profond en elle puis commença de tous petits vas et viens. Elle se sentit pénétrée de plus en plus profondément encore. C'est bon de le sentir coulisser en elle, et Aurore ne put s'empêcher de gémir à chaque aller retour du joyau tendu de son Maître. Quand enfin Il est entièrement en elle, Il coucha son corps contre celui de la belle pour s'enfoncer encore d'avantage et l'embrassa, elle reçut Sa langue dans sa bouche tandis que Son sexe était entièrement en elle. Les baisers fougueux durant cette pénétration vaginale étaient divins. Cela dura longtemps, puis Il se redressa, sourit tendrement et continua de lents va-et-vient. C'est trop bon, Aurore adorait cette position qui offre le plus de sensations, les jambes sur Ses épaules, Lui à genoux sur le lit entre ses jambes et elle yeux bandés et poignets liés.
Aurore s'abandonna complètement au plaisir que son bien aimé Maître lui procurait lorsqu’elle est fut secouée par un orgasme violent, des cris de jouissance fusaient en de longues râles de plaisirs.... Quand elle reprit ses esprits, Il avait arrêté de bouger, Il était toujours bien planté en elle et Il se pencha pour l'embrasser. Puis doucement lorsqu'Il se releva, Il lui caressa l’anus de Ses doigts tout en restant bien en elle, Sa verge gonflée et si raide occupait la place. La vue de ses fesses, mises en valeurs par la guêpière et les bas, lui plut. Alors Il se retira de la chatte pour présenter un plug devant le cul de la soumise. Il l’enfonça doucement celui-ci étant lubrifié préalablement. Puis le Marquis détacha les poignets de la belle et Il l’a tira délicatement à lui par les bras pour lui refaire l’amour en position assise sur le lit. Les jambes de la femelle étant de chaque côté des hanches du Maître. Assise, elle n’avait qu’à s’empaler sur ce phallus dressé, ses bras autour du cou de son mari.
Plugée et ainsi baisée, elle fut surprise par cette ardeur soudaine d’une cadence beaucoup plus vite alors Aurore fut vite emportée par le plaisir qu'Il lui procurait. Après plusieurs minutes de ce traitement, et tout en la maintenant fortement à Lui, Il se leva pour la baiser Lui debout, elle jambes autour de la taille du Maître et bras toujours enserrant le cou du Marquis. Il la besogna encore et encore longtemps dans des gémissements forts puis ralentit tout à coup quand Il sortit son sexe pour la déposer sur l’épais tapis de velours d’Orient qui orne le luxueux parquet vernis. Le Marquis d’Evans entreprit alors un léchage profond avec sa langue dans la chatte béante de Sa chienne. Quelle douceur inattendue, quel bonheur empli de caresses ! Lorsque elle n'en put plus, car elle était prête à jouir de nouveau, Aurore lui supplia de la prendre encore et encore. Alors le Marquis d’Evans l'allongea sur le côté sur ce doux tapis et Il vint se coller dans Son dos. Il lui souleva une jambe pour la pénétrer facilement par derrière et commença de lents va-et-vient dans cette chatte si accueillante en embrassant le lobe de l’oreille, la nuque et le cou de la belle en des sucions si érotiques.
Sa main vint se poser sur le ventre d’Aurore puis descendit doucement pour branler le clitoris. Il le caressa au même rythme qu'il baissait la chatte. C'est trop bon et la soumise ne tardait pas à jouir. Ce qui n’empêcha pas au Marquis de continuer son pilonnage à grands coups de reins augmentant Sa cadence. L’orgasme d’Aurore n’en finit plus, elle râla de plaisir dans la constance, sans interruption, quand elle sentit souffler, dans son dos, son Maître en de longs râles de jouissance. Il accéléra encore et dans un dernier coup de boutoir enfoncé au plus profond d’elle et de jouir en de longs jets de sperme. Cette cadence infernale suivie d'une pénétration profonde puis de sentir Son sexe se gonfler et jouir en elle, ont eu raison de la belle Aurore chez laquelle un second orgasme violent et quasi simultané au premier l'emporta très loin dans l’ivresse de son corps et de ses plaisirs procurés. Lorsque elle reprit ses esprits, elle fut vidée, heureuse, sur un nuage. Le Marquis était encore en elle, Il était allongé derrière son dos et respirait calmement. Il lui demanda si tout allait bien dans un large sourire. Aurore comblée, lui répondit que oui, que c'était vraiment super bon. Il lui réplique alors un « Idem »… Il bougea un peu, Son sexe n'avait presque pas diminué de taille. Ce simple mouvement électrisa la soumise … la nuit ne fit que commencer …
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je la relis pour la sixième fois et je suis pris par des sensations spéciales
Minouche
Minouche
Enfin de retour :)
Un très belle histoire, réaliste, excitante, en la lisant, je m'imaginais beaucoup de choses
Minouche
Minouche