La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°219)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°219)
Suite de l'épisode 216 (cette suite est écrite par Muriana)-
Un SMS, juste un petit SMS : « Je serai là à 14 heures. » Comment a-t-Il su que je
serai seule chez moi ce jour là ? J’ai certainement du laisser échapper ce détail au
cours de nos échanges. Il sera là à 14 heures… Il est 9 heures, que dois-je préparer
pour Le recevoir ? Comment dois-je me préparer ? …
Je ne l’ai pas revu depuis cette réunion sur Ses terres et cette mémorable nuit dans
son château. Cette nuit où j’ai accepté de devenir sa soumise. Nous avons, en
revanche, beaucoup discuté et je lui obéis de plus en plus en dépit de la distance.
J’ai vraiment envie de Lui plaire, de Le satisfaire, de répondre à Ses désirs, à Ses
volontés. Je dois me préparer et je dois rendre ma maison accueillante, je dois tout
prévoir pour être totalement disponible, attentive à Ses désirs et prompte à les
réaliser. Je commence alors à ranger frénétiquement mon appartement, ne laissant rien
traîner, ne laissant rien au hasard. Et s’Il avait faim ? Je n’ai rien qui convienne.
Vite, j’attrape mon manteau et file faire des courses. Quelques mets fins chez le
traiteur, du champagne chez le caviste et me voilà revenue chez moi. Il est 11 heures.
Bien, maintenant je dois me préparer. Je me fais couler un bain parfumé pour me
détendre et me préparer à sa venue. Sortie de mon bain, je vérifie mon épilation, tout
va bien. Je me parfume, me maquille légèrement, enfile mes bas et une petite robe,
sans sous vêtements. Mon Maître aime que je n’aie pas de culotte… Il me reste plus
d’une heure avant son arrivée, je tourne en rond…quand une idée me vient. Je dois
absolument m’imprégner de sa visite, je dois me mettre en état de soumission….
J’enlève ma robe, règle mon réveil pour une heure de temps. Je vais maintenant pouvoir
m’adresser à Vous, directement et non à Lui. Je vais donc refaire la punition que Vous
m’aviez un jour ordonnée lors de nos échanges. Je vais donc m’enfermer, nue, dans le
placard les yeux bandés. Debout, je m’incline et commence à chuchoter, doucement et
lentement : "JE SUIS LA SOUMISE DE MON MAITRE LE MARQUIS D'EVANS, HEUREUSE DE L'ETRE
ET JE SAIS QU IL FERA DE MOI UNE BONNE SOUMISE" … L’heure passe … Sonnerie. Je sors
hagarde du placard, enfile de nouveau ma petite robe et me mets à genoux dans
l’entrée. Au bout d’un moment, la sonnette de la porte. Je me précipite pour Vous
ouvrir, tremblante. J’ai le souffle court en vous ouvrant la porte, Votre regard me
fait instantanément baisser les yeux. Vous prenez immédiatement le pouvoir Maître.
- Maître, je suis si heureuse de Vous voir. Voulez Vous quelque chose à boire ?
- Mûriana, ce n’est pas ce que j’attends de toi à ce moment …
Alors, vous me fixez une laisse à l’anneau mon collier. Vous refremez la porte
derrière vous. Cette fois ci, on ne va plus jouer avec les mots. Vous Vous asseyez
dans le fauteuil Voltaire de l’entrée, me tenant par ma laisse à vos genoux. Je sais
ce qu’il me reste à faire. Je me dois de Vous saluer comme Vous l’attendez d’une
bonne petite chienne. Je vous dégrafe le pantalon en entreprends une longue fellation
pour Vous prouver ma soumission, Vous dire qu’à partir de cet instant je suis à Vous
et Vous obéirai sans poser de question. Votre sexe puissant, Maître, envahit
rapidement la bouche vient taper au fond de ma gorge au rythme que Vous m’imposez en
me tenant la tête de Vos deux mains. Que j’aime cette sensation d’être à Vos pieds, à
votre service Et Vous jouissez, Maître et j’avale Maître, je Vous goûte avec plaisir.
Vous me bandez les yeux, me bâillonnez fermement et me tirez par ma laisse dans le
salon dont je reconnais la douceur du parquet. Mon Maître, d’une main douce sur la
nuque, Vous me forcez à m’incliner, à l’équerre sur la table et m’écartez les jambes
en remontant ma robe sur mon bassin. Vous me prenez les deux mains, me les ligotez aux
pieds de la table. Puis Vous me dites d’un ton sévère :
- Je vais visiter ta cuisine, ne bouge pas !
J’entends vaguement des bruits de cliquetis dans la cuisine, que faites Vous ? Qu’y
cherchez Vous ? Puis Vos pas, calmes. Je Vous sens derrière moi. Une claque s’abat sur
mes fesses, puis une seconde et encore une autre. Je les compte mentalement, ne
pouvant prononcer un mot avec le bâillon. Plus de vingt, ma croupe doit rougir. Votre
autre main s’approche de mon visage, je sens une odeur qui m’est familière… du
gingembre ! Je comprends soudain ce que Vous allez me faire. Vous me frottez la vulve
avec un morceau de gingembre fraîchement coupé ! Vous vous attardez sur les lèvres,
tournez autour du clitoris, effleurez l’entrée de ma grotte… Vous vous appliquez, sans
dire un mot mais Vos gestes ne tolèrent aucune contradiction. Attachée comme je le
suis, je ne peux que subir ce cuisant plaisir. J’ai la chatte en feu. Je Vous sens
m’écarter les lobes, je sens quelque chose de très fin s’introduire dans ma rosette,
puis un autre et encore un autre… Maître, Vous me travaillez comme un plat asiatique ?
Vous m’écartez progressivement avec des baguettes ? Une sonnerie ? La porte ? Je sens
que Vous me jetez une couverture sur le corps. Vous vous éloignez …
(à suivre)
Un SMS, juste un petit SMS : « Je serai là à 14 heures. » Comment a-t-Il su que je
serai seule chez moi ce jour là ? J’ai certainement du laisser échapper ce détail au
cours de nos échanges. Il sera là à 14 heures… Il est 9 heures, que dois-je préparer
pour Le recevoir ? Comment dois-je me préparer ? …
Je ne l’ai pas revu depuis cette réunion sur Ses terres et cette mémorable nuit dans
son château. Cette nuit où j’ai accepté de devenir sa soumise. Nous avons, en
revanche, beaucoup discuté et je lui obéis de plus en plus en dépit de la distance.
J’ai vraiment envie de Lui plaire, de Le satisfaire, de répondre à Ses désirs, à Ses
volontés. Je dois me préparer et je dois rendre ma maison accueillante, je dois tout
prévoir pour être totalement disponible, attentive à Ses désirs et prompte à les
réaliser. Je commence alors à ranger frénétiquement mon appartement, ne laissant rien
traîner, ne laissant rien au hasard. Et s’Il avait faim ? Je n’ai rien qui convienne.
Vite, j’attrape mon manteau et file faire des courses. Quelques mets fins chez le
traiteur, du champagne chez le caviste et me voilà revenue chez moi. Il est 11 heures.
Bien, maintenant je dois me préparer. Je me fais couler un bain parfumé pour me
détendre et me préparer à sa venue. Sortie de mon bain, je vérifie mon épilation, tout
va bien. Je me parfume, me maquille légèrement, enfile mes bas et une petite robe,
sans sous vêtements. Mon Maître aime que je n’aie pas de culotte… Il me reste plus
d’une heure avant son arrivée, je tourne en rond…quand une idée me vient. Je dois
absolument m’imprégner de sa visite, je dois me mettre en état de soumission….
J’enlève ma robe, règle mon réveil pour une heure de temps. Je vais maintenant pouvoir
m’adresser à Vous, directement et non à Lui. Je vais donc refaire la punition que Vous
m’aviez un jour ordonnée lors de nos échanges. Je vais donc m’enfermer, nue, dans le
placard les yeux bandés. Debout, je m’incline et commence à chuchoter, doucement et
lentement : "JE SUIS LA SOUMISE DE MON MAITRE LE MARQUIS D'EVANS, HEUREUSE DE L'ETRE
ET JE SAIS QU IL FERA DE MOI UNE BONNE SOUMISE" … L’heure passe … Sonnerie. Je sors
hagarde du placard, enfile de nouveau ma petite robe et me mets à genoux dans
l’entrée. Au bout d’un moment, la sonnette de la porte. Je me précipite pour Vous
ouvrir, tremblante. J’ai le souffle court en vous ouvrant la porte, Votre regard me
fait instantanément baisser les yeux. Vous prenez immédiatement le pouvoir Maître.
- Maître, je suis si heureuse de Vous voir. Voulez Vous quelque chose à boire ?
- Mûriana, ce n’est pas ce que j’attends de toi à ce moment …
Alors, vous me fixez une laisse à l’anneau mon collier. Vous refremez la porte
derrière vous. Cette fois ci, on ne va plus jouer avec les mots. Vous Vous asseyez
dans le fauteuil Voltaire de l’entrée, me tenant par ma laisse à vos genoux. Je sais
ce qu’il me reste à faire. Je me dois de Vous saluer comme Vous l’attendez d’une
bonne petite chienne. Je vous dégrafe le pantalon en entreprends une longue fellation
pour Vous prouver ma soumission, Vous dire qu’à partir de cet instant je suis à Vous
et Vous obéirai sans poser de question. Votre sexe puissant, Maître, envahit
rapidement la bouche vient taper au fond de ma gorge au rythme que Vous m’imposez en
me tenant la tête de Vos deux mains. Que j’aime cette sensation d’être à Vos pieds, à
votre service Et Vous jouissez, Maître et j’avale Maître, je Vous goûte avec plaisir.
Vous me bandez les yeux, me bâillonnez fermement et me tirez par ma laisse dans le
salon dont je reconnais la douceur du parquet. Mon Maître, d’une main douce sur la
nuque, Vous me forcez à m’incliner, à l’équerre sur la table et m’écartez les jambes
en remontant ma robe sur mon bassin. Vous me prenez les deux mains, me les ligotez aux
pieds de la table. Puis Vous me dites d’un ton sévère :
- Je vais visiter ta cuisine, ne bouge pas !
J’entends vaguement des bruits de cliquetis dans la cuisine, que faites Vous ? Qu’y
cherchez Vous ? Puis Vos pas, calmes. Je Vous sens derrière moi. Une claque s’abat sur
mes fesses, puis une seconde et encore une autre. Je les compte mentalement, ne
pouvant prononcer un mot avec le bâillon. Plus de vingt, ma croupe doit rougir. Votre
autre main s’approche de mon visage, je sens une odeur qui m’est familière… du
gingembre ! Je comprends soudain ce que Vous allez me faire. Vous me frottez la vulve
avec un morceau de gingembre fraîchement coupé ! Vous vous attardez sur les lèvres,
tournez autour du clitoris, effleurez l’entrée de ma grotte… Vous vous appliquez, sans
dire un mot mais Vos gestes ne tolèrent aucune contradiction. Attachée comme je le
suis, je ne peux que subir ce cuisant plaisir. J’ai la chatte en feu. Je Vous sens
m’écarter les lobes, je sens quelque chose de très fin s’introduire dans ma rosette,
puis un autre et encore un autre… Maître, Vous me travaillez comme un plat asiatique ?
Vous m’écartez progressivement avec des baguettes ? Une sonnerie ? La porte ? Je sens
que Vous me jetez une couverture sur le corps. Vous vous éloignez …
(à suivre)
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