La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°220)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°220)
Chapitre 9 - La nuit de noce (quatrième partie) - Suite de l'épisode 214 -
Il y avait une chaîne accrochée à la grande table rustique toute de chêne verni sombre et ce vieux meuble flanqué au beau milieu de la noble chambre en imposait par sa masse. Posés dessus, il avait aussi tout plein de sacs qui ne dévoilaient pas encore leur contenu. Le Marquis d’Evans se leva et empoigna la belle Aurore pour la déposer sur le lit, sur le ventre. Il attrapa alors des menottes et referma la première boucle sur l’un des poignets de sa femme soumise, lentement, pour bien faire ressentir l’excitation du moment. Puis la deuxième boucle fut fermée et Il l’a ainsi rendu prisonnière, au moins en ce qui concerne les bras de Sa chienne. Il attacha ensuite les chevilles également de la même façon en prenant son temps. La chaîne des chevilles étant elle-même reliée à la chaîne attachée à la table. Tout en l’attachant Il commençait à lui caresser les mollets, les cuisses puis rapidement les fesses. Ensuite le Marquis partit chercher quelque chose dans un des sacs.
Puis il revint et lui remit un bâillon-bouche. Il l’installa sur le visage d’Aurore et continua à lui caresser les fesses et les cuisses après lui avoir imposé une position de soumission bien exhibée : à plat ventre, les genoux remontés vers la poitrine, pour bien faire sortir les fesses. C’était l’une des premières positions que son Maître lui avait apprise. Après un bon et long moment d’attente où le noble Marquis la contemplait aisément de son regard bleu dominateur, il fit asseoir Sa belle sur le lit pour enfin la prendre par la laisse qui était reliée au collier et l’a fit marcher menottes aux chevilles et aux poignets, le tout relié à une ceinture de chaîne. Ainsi ce ‘’défilé’’ dans l’immense chambre dura de longues minutes quand ensuite, Il l’a fit mettre à 4 pattes par terre pour lui donner à manger … ce fut alors une moment très excitant pour elle. Une fois le bâillon retiré, elle eu droit pour dîner à une crème dessert au chocolat qu’Il lui donnait bien sûr à la cuillère, puis Il lui mit, après lui avoir caressé le visage son doigt dans sa bouche afin qu’elle le suça longuement avec délectation. Puis Il partit chercher de l’eau dans une petite gamelle et lui ordonna de laper le liquide comme la chienne qu’elle était.
Une fois la gamelle vidée, Il sortit des fers médiévaux datant de Ces Ancêtres. Rien que de les voir, l’excitation de la soumise montait d’un cran car elle savait la valeur sentimentale qu’avait son Maître pour ce genre d’objet. Il lui a dit de s’allonger sur le lit. Elle était alors comme un ver nu prête à être parée de magnifiques fers médiévaux restaurés et repeints d’un jaune or et portant le poinçon des Evans. Il retira les menottes aux poignets pour ensuite les refermer par les fers médiévaux avec de solides cadenas. Il fit de même aux chevilles. Puis le Marquis d’Evans termina l’installation par le volumineux collier de métal ancien, lourd comme toutes les autres parties de la parure.
Le Maître commença alors à lui caresser les cuisses lentement avec un regard fort sur ce corps ainsi ‘’cadenassé’’ ; puis les seins, à lui mordiller les tétons longuement et les lui sucer, lécher caresser aussi … Puis Il sortit un vibromasseur et un préservatif… Il balada l’objet vibrant autour de son clitoris, pour faire remonter l’excitation petit à petit. Puis quand la chatte de la belle devenait de plus en plus mouillée Il mit tout doucement Sa tête entre les jambes de la soumise, et commença à lui lécher les alentours du clitoris. La respiration d’Aurore s’accélérait et l’excitation monta encore d’un cran quand de temps en temps, Il venait lui sucer ou mordiller les tétons tout en lui branlant avec le vibro son clito de chienne… Alors que sa respiration continuait de s’accélérer, les battements de son cœur aussi, qu’elle eu un orgasme hallucinant, les cris de jouissance fusèrent dans toute la pièce, Aurore se laissa emmener dans cet intense plaisir jouissif…
Il lui précisa à ce moment là, la trouver délicieusement excitante à l’entendre jouir si fortement. Il la positionna alors debout jambes écartées et se plaça alors entre ses cuisses, puis s’assit sur le sol et la bouche à la hauteur du sexe de la belle, sexe encore tout dégoulinant de mouille jouissive, Il lui écarta chacune de ses lèvres et titilla directement son clitoris avec Sa langue baladeuse, Il téta de longues minutes toujours en écartant ses lèvres, le clitoris d’Aurore se regonflait rapidement sous Sa langue, il tirait dessus, l’aspirait, il la suça si bien que rapidement elle jouissait de nouveau mais cette fois dans la bouche de son Maître.
Les bras un peu ankylosées, elle restait ainsi debout à se détendre, ses jambes la tenaient à peine tellement la jouissance avait été si intense. Il se releva et s’approcha de sa bouche et l’embrassa aussitôt, Aurore aimait ses baisers doux et passionnés. La position debout dans laquelle il l’avait mise commença à devenir un peu désagréable, Il le devina. Alors Il prit une chaise assortie à la table et qui traînait dans un coin, Il l’approcha d’elle et avant de délier les fers, Il la fit se mettre à genoux et s’assit sur la chaise, Il baissa sa braguette et en sortit Son sexe tendu comme un arc qu’Il glissa aussitôt dans la bouche d’Aurore, elle le prit à pleine bouche le plus loin possible dans sa gorge, son sexe était chaud et dur, Il le laissa glisser dans la bouche, donnant une pression de Ses mains sur la nuque de la soumise en va et vient. Au bout d’un long moment, Il avait envie de jouir, elle le devinait de par Ses gémissements. Il se retira aussi assez soudainement. Il se leva de la chaise, puis déverrouillant les cadenas, Il lui exigea de se pencher en avant sur la chaise et d’offrir son sexe à Son sexe, Il positionna alors les mains d’Aurore sur les lourds rebords de la volumineuse chaise en l’écartant de nouveau divinement bien les jambes, elle imaginait bien l’image qu’Il avait de ses fesses et de sa chatte ainsi exhibées. Il claqua doucement l’une de ses fesses de Sa lourde main, ce qui fit redresser légèrement la belle mais c’est avec une autre fessée plus forte qu’Il lui somma de rester penchée comme Il l’avait suggéré. Elle osait le regarder car un immense miroir placé face à elle tout au fond de la chambre, lui me permettait de l’apercevoir. Elle le trouvait vraiment délicieux, beau et si dominateur.
Puis, Il s’écarta d’elle, il n’était plus dans son champ de vison, mais elle l’entendait bouger des objets. Il alla se positionner juste derrière Aurore qui ne voyait dans le miroir que Son torse cette fois et Son visage qui souriait. La belle sentit curieusement quelque chose, mais de très petit et très rigide courir le long de sa chatte, elle voyait Son bras bouger légèrement, Il tenait quelque chose du bout du bras, mais qu’étais ce ? Doucement Il jouait avec ce qu’Il tenait dans la main à écarter les lèvres du vagin l’une après l’autre et Il introduisit très lentement cette rigidité dans son sexe si trempé. C’était fin et très dur, elle en était encore très excitée, Aurore sentit son sexe se gonfler de plaisir encore et encore, Il fît glisser cet objet le long de son antre pour récupérer un peu de son plaisir et remonta doucement vers son cul. Il tapotait l’entrée de son anus, du bout de cette tige raide, oui Il tapotait comme s’Il ajustait son tir, puis elle sentit que son ouverture anale se dilatait. La belle soumise se pencha un peu plus, comme une invitation à la prendre ainsi. Elle voulait que son anus s’écarte doucement, Il tourna sur elle-même cette tige qui s’engouffra d’un petit centimètre et Il ne bougea plus. Il faisait tourner cet objet si petit qu’elle le sentit à peine, Il le faisait tourner à l’intérieur et glisser un peu plus loin chaque fois, mais si peu chaque fois que le corps d’Aurore s’agita pour permettre à cet objet de glisser un peu plus en elle. Au bout d’un long moment, Il le retira et avec celui-ci lui donna un petit coup sur ses deux fesses et lui demanda de ne pas bouger, d’attendre, que c’était Lui qui devait manipuler et décider de la pénétration.
Aurore était terriblement excitée et n’apercevait toujours pas l’objet qu’Il tenait dans Sa main. Il recommença à pénétrer son cul toujours positionné derrière elle. L’excitation provoquée avait dilaté tous ses orifices, si bien que cet objet qui était ressenti comme une brindille déconcerta la belle qui espérait un peu plus de virilité. Elle fut servie, car cette fois la pénétration devin un peu plus difficile a l’approche de cet nouvel objet, quelque chose de plus gros la pénétrait cette fois, le châtelain avait retourné l’objet et recommençait à labourer son anus. Il le fît glisser à l’intérieur et cette fois son corps fût envahi de désirs, le Noble le roula à l’intérieur d’elle, tout en s’enfonçant délicieusement, c’était dur et rond, comme Son sexe, mais plus dur encore. Le Maître changea d’orifice, Il engagea celui-ci dans sa chatte après avoir changé de préservatif entourant cet objet. Il se pencha et trouva une latte de bois qui pouvait maintenir seul cet objet dans son antre, le maintenir enfoncé dans son sexe et ainsi Il était libre de Ses mouvements. Le Maître des lieux s’approcha encore plus près d’elle et lui écarta de Ses deux mains, son sexe et son anus, Le Marquis donna de très nombreux petits coups de langue sur son anus, et le lécha avec avidité longtemps, Aurore en gémissait de plaisir. Il bougea légèrement ses fesses pour la faire glisser sur cet objet et s’assurer qu’Il tenait bien et ne pouvait en aucun cas la blesser. Le Marquis prit cette fois position au niveau de son anus, ayant enjambé l’objet, Il lui écarta de nouveau les fesses et ainsi se glissa rapidement dans ce petit trou qui l’attendait depuis un moment. La soumise ainsi fut prise dans les deux orifices à la fois. Le Noble percuta doucement sur ses fesses, donna des coups lents mais profonds, elle se sentit prête à exploser de plaisir, Lui, saisissant ses épaules, le Marquis lui bloquer contre Ses hanches, les deux corps et les cris se mêlèrent dans une jouissance fulgurante fût à son comble.
Quand tous les deux se remirent de leurs ivresses jouissives, le Maître invita sa belle Marquise à venir se blottir au creux de sa poitrine dans ce grand lit nuptial. Le reste de la nuit de noce se passa entre temps de repos, de multiples câlins, de fougueux baisers et de baises multiples en de si nombreuses positions toutes aussi originales les unes que les autres … Oui Les deux époux n’oublieront jamais cette fameuse nuit mémorable en émotions et sensations fortes …
Il y avait une chaîne accrochée à la grande table rustique toute de chêne verni sombre et ce vieux meuble flanqué au beau milieu de la noble chambre en imposait par sa masse. Posés dessus, il avait aussi tout plein de sacs qui ne dévoilaient pas encore leur contenu. Le Marquis d’Evans se leva et empoigna la belle Aurore pour la déposer sur le lit, sur le ventre. Il attrapa alors des menottes et referma la première boucle sur l’un des poignets de sa femme soumise, lentement, pour bien faire ressentir l’excitation du moment. Puis la deuxième boucle fut fermée et Il l’a ainsi rendu prisonnière, au moins en ce qui concerne les bras de Sa chienne. Il attacha ensuite les chevilles également de la même façon en prenant son temps. La chaîne des chevilles étant elle-même reliée à la chaîne attachée à la table. Tout en l’attachant Il commençait à lui caresser les mollets, les cuisses puis rapidement les fesses. Ensuite le Marquis partit chercher quelque chose dans un des sacs.
Puis il revint et lui remit un bâillon-bouche. Il l’installa sur le visage d’Aurore et continua à lui caresser les fesses et les cuisses après lui avoir imposé une position de soumission bien exhibée : à plat ventre, les genoux remontés vers la poitrine, pour bien faire sortir les fesses. C’était l’une des premières positions que son Maître lui avait apprise. Après un bon et long moment d’attente où le noble Marquis la contemplait aisément de son regard bleu dominateur, il fit asseoir Sa belle sur le lit pour enfin la prendre par la laisse qui était reliée au collier et l’a fit marcher menottes aux chevilles et aux poignets, le tout relié à une ceinture de chaîne. Ainsi ce ‘’défilé’’ dans l’immense chambre dura de longues minutes quand ensuite, Il l’a fit mettre à 4 pattes par terre pour lui donner à manger … ce fut alors une moment très excitant pour elle. Une fois le bâillon retiré, elle eu droit pour dîner à une crème dessert au chocolat qu’Il lui donnait bien sûr à la cuillère, puis Il lui mit, après lui avoir caressé le visage son doigt dans sa bouche afin qu’elle le suça longuement avec délectation. Puis Il partit chercher de l’eau dans une petite gamelle et lui ordonna de laper le liquide comme la chienne qu’elle était.
Une fois la gamelle vidée, Il sortit des fers médiévaux datant de Ces Ancêtres. Rien que de les voir, l’excitation de la soumise montait d’un cran car elle savait la valeur sentimentale qu’avait son Maître pour ce genre d’objet. Il lui a dit de s’allonger sur le lit. Elle était alors comme un ver nu prête à être parée de magnifiques fers médiévaux restaurés et repeints d’un jaune or et portant le poinçon des Evans. Il retira les menottes aux poignets pour ensuite les refermer par les fers médiévaux avec de solides cadenas. Il fit de même aux chevilles. Puis le Marquis d’Evans termina l’installation par le volumineux collier de métal ancien, lourd comme toutes les autres parties de la parure.
Le Maître commença alors à lui caresser les cuisses lentement avec un regard fort sur ce corps ainsi ‘’cadenassé’’ ; puis les seins, à lui mordiller les tétons longuement et les lui sucer, lécher caresser aussi … Puis Il sortit un vibromasseur et un préservatif… Il balada l’objet vibrant autour de son clitoris, pour faire remonter l’excitation petit à petit. Puis quand la chatte de la belle devenait de plus en plus mouillée Il mit tout doucement Sa tête entre les jambes de la soumise, et commença à lui lécher les alentours du clitoris. La respiration d’Aurore s’accélérait et l’excitation monta encore d’un cran quand de temps en temps, Il venait lui sucer ou mordiller les tétons tout en lui branlant avec le vibro son clito de chienne… Alors que sa respiration continuait de s’accélérer, les battements de son cœur aussi, qu’elle eu un orgasme hallucinant, les cris de jouissance fusèrent dans toute la pièce, Aurore se laissa emmener dans cet intense plaisir jouissif…
Il lui précisa à ce moment là, la trouver délicieusement excitante à l’entendre jouir si fortement. Il la positionna alors debout jambes écartées et se plaça alors entre ses cuisses, puis s’assit sur le sol et la bouche à la hauteur du sexe de la belle, sexe encore tout dégoulinant de mouille jouissive, Il lui écarta chacune de ses lèvres et titilla directement son clitoris avec Sa langue baladeuse, Il téta de longues minutes toujours en écartant ses lèvres, le clitoris d’Aurore se regonflait rapidement sous Sa langue, il tirait dessus, l’aspirait, il la suça si bien que rapidement elle jouissait de nouveau mais cette fois dans la bouche de son Maître.
Les bras un peu ankylosées, elle restait ainsi debout à se détendre, ses jambes la tenaient à peine tellement la jouissance avait été si intense. Il se releva et s’approcha de sa bouche et l’embrassa aussitôt, Aurore aimait ses baisers doux et passionnés. La position debout dans laquelle il l’avait mise commença à devenir un peu désagréable, Il le devina. Alors Il prit une chaise assortie à la table et qui traînait dans un coin, Il l’approcha d’elle et avant de délier les fers, Il la fit se mettre à genoux et s’assit sur la chaise, Il baissa sa braguette et en sortit Son sexe tendu comme un arc qu’Il glissa aussitôt dans la bouche d’Aurore, elle le prit à pleine bouche le plus loin possible dans sa gorge, son sexe était chaud et dur, Il le laissa glisser dans la bouche, donnant une pression de Ses mains sur la nuque de la soumise en va et vient. Au bout d’un long moment, Il avait envie de jouir, elle le devinait de par Ses gémissements. Il se retira aussi assez soudainement. Il se leva de la chaise, puis déverrouillant les cadenas, Il lui exigea de se pencher en avant sur la chaise et d’offrir son sexe à Son sexe, Il positionna alors les mains d’Aurore sur les lourds rebords de la volumineuse chaise en l’écartant de nouveau divinement bien les jambes, elle imaginait bien l’image qu’Il avait de ses fesses et de sa chatte ainsi exhibées. Il claqua doucement l’une de ses fesses de Sa lourde main, ce qui fit redresser légèrement la belle mais c’est avec une autre fessée plus forte qu’Il lui somma de rester penchée comme Il l’avait suggéré. Elle osait le regarder car un immense miroir placé face à elle tout au fond de la chambre, lui me permettait de l’apercevoir. Elle le trouvait vraiment délicieux, beau et si dominateur.
Puis, Il s’écarta d’elle, il n’était plus dans son champ de vison, mais elle l’entendait bouger des objets. Il alla se positionner juste derrière Aurore qui ne voyait dans le miroir que Son torse cette fois et Son visage qui souriait. La belle sentit curieusement quelque chose, mais de très petit et très rigide courir le long de sa chatte, elle voyait Son bras bouger légèrement, Il tenait quelque chose du bout du bras, mais qu’étais ce ? Doucement Il jouait avec ce qu’Il tenait dans la main à écarter les lèvres du vagin l’une après l’autre et Il introduisit très lentement cette rigidité dans son sexe si trempé. C’était fin et très dur, elle en était encore très excitée, Aurore sentit son sexe se gonfler de plaisir encore et encore, Il fît glisser cet objet le long de son antre pour récupérer un peu de son plaisir et remonta doucement vers son cul. Il tapotait l’entrée de son anus, du bout de cette tige raide, oui Il tapotait comme s’Il ajustait son tir, puis elle sentit que son ouverture anale se dilatait. La belle soumise se pencha un peu plus, comme une invitation à la prendre ainsi. Elle voulait que son anus s’écarte doucement, Il tourna sur elle-même cette tige qui s’engouffra d’un petit centimètre et Il ne bougea plus. Il faisait tourner cet objet si petit qu’elle le sentit à peine, Il le faisait tourner à l’intérieur et glisser un peu plus loin chaque fois, mais si peu chaque fois que le corps d’Aurore s’agita pour permettre à cet objet de glisser un peu plus en elle. Au bout d’un long moment, Il le retira et avec celui-ci lui donna un petit coup sur ses deux fesses et lui demanda de ne pas bouger, d’attendre, que c’était Lui qui devait manipuler et décider de la pénétration.
Aurore était terriblement excitée et n’apercevait toujours pas l’objet qu’Il tenait dans Sa main. Il recommença à pénétrer son cul toujours positionné derrière elle. L’excitation provoquée avait dilaté tous ses orifices, si bien que cet objet qui était ressenti comme une brindille déconcerta la belle qui espérait un peu plus de virilité. Elle fut servie, car cette fois la pénétration devin un peu plus difficile a l’approche de cet nouvel objet, quelque chose de plus gros la pénétrait cette fois, le châtelain avait retourné l’objet et recommençait à labourer son anus. Il le fît glisser à l’intérieur et cette fois son corps fût envahi de désirs, le Noble le roula à l’intérieur d’elle, tout en s’enfonçant délicieusement, c’était dur et rond, comme Son sexe, mais plus dur encore. Le Maître changea d’orifice, Il engagea celui-ci dans sa chatte après avoir changé de préservatif entourant cet objet. Il se pencha et trouva une latte de bois qui pouvait maintenir seul cet objet dans son antre, le maintenir enfoncé dans son sexe et ainsi Il était libre de Ses mouvements. Le Maître des lieux s’approcha encore plus près d’elle et lui écarta de Ses deux mains, son sexe et son anus, Le Marquis donna de très nombreux petits coups de langue sur son anus, et le lécha avec avidité longtemps, Aurore en gémissait de plaisir. Il bougea légèrement ses fesses pour la faire glisser sur cet objet et s’assurer qu’Il tenait bien et ne pouvait en aucun cas la blesser. Le Marquis prit cette fois position au niveau de son anus, ayant enjambé l’objet, Il lui écarta de nouveau les fesses et ainsi se glissa rapidement dans ce petit trou qui l’attendait depuis un moment. La soumise ainsi fut prise dans les deux orifices à la fois. Le Noble percuta doucement sur ses fesses, donna des coups lents mais profonds, elle se sentit prête à exploser de plaisir, Lui, saisissant ses épaules, le Marquis lui bloquer contre Ses hanches, les deux corps et les cris se mêlèrent dans une jouissance fulgurante fût à son comble.
Quand tous les deux se remirent de leurs ivresses jouissives, le Maître invita sa belle Marquise à venir se blottir au creux de sa poitrine dans ce grand lit nuptial. Le reste de la nuit de noce se passa entre temps de repos, de multiples câlins, de fougueux baisers et de baises multiples en de si nombreuses positions toutes aussi originales les unes que les autres … Oui Les deux époux n’oublieront jamais cette fameuse nuit mémorable en émotions et sensations fortes …
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