La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°224)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°224) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°224)
Histoire écrite par servlyon -

L’esclave servlyon avait déplu au Marquis d’Evans, par son manque de réactivité aux sollicitations de son Maître. Une punition sévère s’avéra nécessaire aussi fut-il confier au maître-chien de la vénerie du château. Celui ci vint en fin de matinée chercher l’esclave récalcitrant qui du le suive à quatre pattes jusqu’au fond de la cour, il passa devant les chiens d’ordre de grande vénerie tel que les poitevins, les fox-hound et les limiers qui jappèrent fortement sur leur passage. Une cage tout au bout du bâtiment était libre, c’est là qu’on le fit entrer, une chaîne fut relié à son collier, et la porte claqua sans qu’on ne lui adresse aucune parole, le laissant seul à méditer sur son mauvais comportement.

Le maître-chien habitué a adopté les techniques de dressage adéquates de chaque animal avait là un spécimen particulier, mais il y était habitué car, de temps en temps, on lui confiait des esclaves qui avaient besoin fortement de réfléchir à leur condition.

Il s’agissait ici d’un débourrage adapté, qui doit rappeler à l’esclave le respect des ordres, et apprendre des attitudes de soumission. Le maître-chien, qui était au service du Marquis depuis de nombreuses années savait comment s’y prendre …

Le reste de la journée l’esclave eu tout le loisir de méditer à la faute qu’il avait commise, le soir venu il n’avait rien eu à manger, bien qu’il entendit qu’on avait nourri les cages d’à côté ; il ne savait pas pour combien de temps il serait enfermé là, il méditait sur sa fâcheuse posture, le collier relier à l’anneau du mur ne lui permettait pas de se lever, peu après pris par la fatigue il s’endormi sur la paille le ventre vide …

… Le lendemain matin il fut réveillé par un claquement de porte, l’aide commis au maître-chien rempli les deux gamelles de servlyon l’une d’eau et l’autre d’une espèce de bouillie de riz écrasé, et la porte se referma. L’esclave du Marquis avait faim et il fut contraint de manger comme il pouvait plongeant sa tête dans la gamelle car il n’avait pas d’autre choix. Ce fut le seul repas de la journée car on le laissa là à méditer sur les conséquences de sa désobéissance. Il entendait les bruits de la vie du château, il se demandait pour combien de temps on le laisserai enfermé là !

Le matin du troisième jour c’est le maître chien lui même qui vint le chercher pour l’emmener dans le hangar proche du chenil pour le laver au jet, après cela il lui lança sur un ton ironique :

- Pépette, dit il, (nom qu’il lui donna car étant lui même grand, très costaud et poilu, cela contrastait avec le côté androgyne du puni qui, de plus, était glabre), Pèpette t’es contente d’être propre ! Alors tu dois me remercier …

Le garde dégrafa alors sa ceinture sans préambule ! Pépette compris ce qu’il devait faire, il s’appliqua à sucer la queue se présentant devant ses yeux, mais il le fit de mauvaise grâce et en plus, il recracha la semence quand le maître-chien lui déchargea dans la bouche … ce qui déplu fortement au maître chien :

- Si tu veux un jour sortir d’ici, il faudra mettre plus de cœur à l’ouvrage !

Et il claqua la porte ! Il eu tout de même droit à une autre bouillie, la seule qu’il aurait dans la journée. Le soir le commis du maître-chien entra, il se fit sucer et ensuite encula pépette sans ménagement. Pépette ne savait pas s’il était venu de son propre chef mais, par prudence, il se laissa faire par peur des éventuelles représailles.

Le quatrième jour fut identique au troisième, il dû satisfaire le matin le maître-chien et le soir son commis ! Puis tous les jours, il eu la visite des deux hommes, et en fin de semaine pépette s’étant résigné sur son sort suçait, avalait et nettoyait les deux sexes proprement et sans révolte.

Jugeant que pépette avait bien compris la leçon qu’il avait voulu lui donner, Monsieur le Marquis d’Evans, son Vénéré Maître, le fit libérer. Une fois lavé et rendu présentable on sortit pépette des communs du château, lui fit traverser la cour gravillonnée pour arriver en bas de l’escalier d’honneur où on lui dit de patienter. Au bout d’une heure, on revint le chercher pour l’emmener devant le Maître. Celui-ci dès qu’il fut en sa présence, pépette s’agenouilla et baissa la tête en signe de soumission.

Le Marquis d’Evans lui dit :

- J’espère qu’à l’avenir je n’aurai pas à répéter deux fois avant de me faire obéir ! Je trouve que le nom de pépette te va à merveille, c’est un nom qui convient bien à une servante et justement, j’en ai besoin d’une et tu vas être celle là ! compris pépette ?
- Oui, Maître, ce sera un honneur de Vous servir !

Maître Evans fit appeler la gouvernante Marie la cuisinière (voir la Saga) à qui il présenta pépette pour qu’elle le forme dans sa future fonction, c’était une femme brune à la tenue stricte en chignon, forte et grande au visage sévère, qui savait instruire les plus rétives bonnes à tout faire... Une femme à poigne qui était au service de Monsieur le Marquis d’Evans depuis de très nombreuses années et qui connaissait bien ces exigences.

Elle pris donc en main pépette, tout d’abord, elle le fit raser entièrement, lui fit mettre des bas et chausser des talons hauts et entreprit de lui apprendre à marcher avec. Les débuts furent difficiles, mais avec force et coups de badine petit à petit, il marcha de mieux en mieux, et les marques de ses fesses striées étaient le témoin du dur apprentissage … Puis la formation de la parfaite soubrette se poursuivi au fil des jours. Pépette avait bien l’intention de bien se tenir et de progresser dans sa nouvelle fonction car il ne voulait pas, de nouveau se retrouver au chenil. Il acceptait sa situation la trouvant même en adéquation avec sa vraie nature.

La gouvernante tenait à ce qu’on ne lui fasse aucun reproche, aussi mit-elle un zèle particulier à former pépette dans son rôle de domestique. Outre le service de cuisine pépette dû apprendre à faire le service de table, le ménage, etc…

Un jour le Marquis de Thorens était venu voir son ami Monsieur le Marquis d’Evans, il resta à dîner et ce fut là, l’occasion pour pépette de faire ces premières armes, son Maître voulant tester sa prestation. Marie la cuisinière équipa pépette en véritable soubrette : mitaines en satin, coiffe, mini robe courte et décolleté noir, tablier blanc, jupon blanc à froufrou, porte-jarretelles, bas, talons aiguilles, collier de velours et cage qui emprisonna son sexe.

Pépette appréhendait cette prestation, car il savait qu’aucune erreur ne lui serait pardonnée. Le soir venu, il s’était préparé comme on lui avait appris , il vérifia plusieurs fois sa tenue, vérifiant les moindres détails … Il avait dressé la table, les couverts bien positionnés afin que les armoiries du Marquis soient bien visibles, il avait épousseté la commode tombeau, la table demi-lune, le bureau de pente, le buffet de chasse, etc... L’heure du dîner approchait, pépette sentait une peur lui tenailler le ventre, à 20 heure il alla en cuisine chercher le premier plat, traversa le grand couloir et fit le premier service … il entendit le Marquis de Thorens complimenter son hôte sur l’originalité de son personnel … pépette se tenait prêt à chaque coup de sonnette de table, il faisait mille pas entre la cuisine et la salle à manger, veillant à ce qu’il ne manqua rien … Tout se déroula bien et pépette était de plus en plus décontracté se trouvant même bien dans son nouveau rôle, jusqu’à l’heure du café où servant la tasse à Thorens, celui-ci lui passa la main aux fesses ! Surpris pépette en sursautant renversa le café sur la nappe et éclaboussa même les habits du Marquis de Thorens …

Le Marquis d’Evans qui n’avait jamais besoin de crier pour se faire respecter, mais furieux tout de même porta des réprimandes d’une voix forte (sans crier) et froide avec des yeux réprobateurs. Puis Il se saisit de pépette, attrapant une cravache qui se trouvait sur la table bouillotte. Il renversa sur le ventre pèpette sur une table de proximité et lui cingla fortement les fesses de multiples coups de cravaches, le traitant d’incapable de minable chien ! Heureusement pour pépette, Thorens sous-estima la faute de l’esclave en disant qu’il était depuis le début du repas très excité par cette improbable soubrette ! Et proposa que pépette pour se faire pardonner le suce ! Le Marquis d’Evans trouva l’idée bonne et pépette du s’exécuter sur le champ et pendant qu’il suçait Thorens, le Maître des lieux prit pépette par derrière après avoir terminer de lui rougir les fesses à la cravache. Les deux Nobles se soulagèrent en se déchargeant de leur semence dans les orifices de l’esclave.

Puis pépette termina le service, rangeant, nettoyant, balayant …

Monsieur le Marquis d’Evans et le Marquis de Thorens continuèrent à discuter de diverses choses comme si de rien n’était. Et lors du départ Thorens, celui-ci remercia son hôte pour cette soirée très réussie et complimenta le châtelain et lui dit qu’il aimerait trouver un domestique du même genre que pépette. Le Marquis d’Evans souhaitant effacer la maladresse commise par pépette, proposa à Thorens de l’emmener avec lui pour une quinzaine de jours, Thorens accepta et dit en riant qu’ainsi, il ne pourrait pas parfaire son éducation n’ayant pas le grand savoir de son Hôte mais qu’il prendrai beaucoup de plaisir à humilier et à se soulager avec cet esclave!

En fin de soirée, pépette qui n’avait rien entendu de l’accord des deux hommes fut surpris de l’ordre que Maître Evans lui donna de partir avec Thorens. Pépette était à la fois troublé et inquiet de quitter son Maître, mais il ne posa pas de question, il était là pour obéir, c’est tout. La grosse berline limousine noir de Thorens s’avança et pépette parti très angoissé pour une destination inconnue, ne sachant pas ce qui allait lui arriver ni pour combien de temps, ni même s’il reviendrait un jour chez son Maître le Marquis d’Evans …

(à suivre …)

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