La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°232)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°232)
Suite de l'épisode N°231 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré - Un Week-end démarre (2/2) -
Avant de sortir de la chambre, Thaïs avale d’un trait la coupe de champagne sans prendre le temps de savourer son exquis goût et suit d’un mètre derrière son Maître dans les escaliers et couloirs du Château de M…, jusqu’à une grande salle à manger où sont dressées encore quelques tables vides sur des nappes de tissus pêche avec des verres de cristal scintillant et de vrais couverts en argenterie. Plusieurs tables sont occupées, certains convives semblent en être déjà au dessert et d’autres viennent à peine d’arriver. Il règne une ambiance cosy et l’on entend un charmant brouhaha de conversations éparses toutes discrètes. Il est clair que le lieu est fréquenté par le grand monde, par des gens d’une extrême politesse, d’un savoir vivre et d’une aisance financière affichée. Un serveur svelte s’approche et invite poliment le Marquis et Thaïs à s’asseoir à une table. Puis il tend deux immenses cartes ouvertes respectivement à Thaïs et au Marquis. Très curieuse et assez affamée aussi, Thaïs salive déjà à la lecture des mets qui défilent sous ses yeux aux noms chantants comme semblent l’être les plats qui sortent des fourneaux de ce restaurant étoilé. Mais à peine a-t-elle plongé les yeux dans sa lecture gastronomique, presque cachée derrière son géant menu de papier, qu’elle entend :
- Tst, tst, tst ….
Thaïs comprend qu’elle n’est pas juste à table pour déguster avec un galant quelques bons mets et vins, mais bien qu’étant en compagnie de son Maître, elle aurait du attendre qu’IL lui propose éventuellement de regarder la carte et de choisir. Elle pose donc le menu sur la table en le fermant et répond :
- Oui, Maître.
- Thaïs, ce soir tu es mon invitée à cette table et non Ma soumise. Il y a du monde autour. Appelle moi juste Monsieur le Marquis, ou simplement Monsieur si le serveur est tout proche. Je t’invite maintenant à me dire ce que tu aimerais déguster. Je suppose que tu as faim…
Au gré des plats tout aussi alléchants les uns que les autres, d’un foie gras de canard poêlé sur pommes caramélisées, suivi d’un assortiment de morceaux de chevreuil en trois déclinaisons de cuissons, pour terminer par un sabayon de clémentines dorées en chaud-froid, le tout agrémenté d’une bonne bouteille de vin rouge mis en bouteille directement au Château, la soirée semble à Thaïs idyllique. Ils parlent comme des amis de longue date de peinture, d’art, de tous ces sujets éclectiques qui passionnent Thaïs et que le Marquis aime à l’entendre développer avec la passion qui la caractérise. Elle reprend sa bonne humeur, son ton enjoué, le vin rouge aidant lui chauffe déjà les joues et c’est très courtoisement et affectueusement qu’elle se sent aux anges sous le regard de Celui qu’elle désire de plus en plus avec les minutes qui passent. Oh comme elle aimerait en cet instant, qu’IL soit pour elle un amant fougueux et amoureux ne pouvant plus se passer de ses yeux et de son charme. Le Marquis décide de se faire monter le café avec des mignardises directement dans la chambre, car la soirée est déjà bien avancée et IL sait que les deux jours suivants vont être d’une grande importance financière nécessitant toute son énergie et sa disponibilité intellectuelle car IL escompte bien sur le plan qu’IL a échafaudé pour emporter l’acquisition du bien immobilier qu’IL convoite depuis plusieurs semaines. Thaïs est presque grise de bien-être, ce luxe, ce confort, les manières du Marquis si tendre et si prévenant depuis le début du repas, lui ont fait oublier tout le reste et sa condition de soumise. Et c’est sans s’en rendre compte, qu’à peine après avoir franchi la porte de la suite avançant en direction de la très grande chambre qu’elle s’approche du Marquis, le serre dans ses bras et l’embrasse avec une fougue sans nom montrant le désir qu’elle a de Lui. Aussi sec ce dernier lui arrache les mains et la repousse violemment.
- Thaïs, qu’est-ce qui te prend ? Est-ce parce que je t’ai laissé plus de liberté pendant le repas que tu te crois permis de prendre des initiatives déplacées ? … A genoux ma chienne ! Oui, je vais te baiser, mais pas comme tu le souhaites et comme ton corps le désire à l’instant, mais bien suivant Mon bon Vouloir et pour Mon seul plaisir. Tu as bien compris !
- Oui, mon Maître Vénéré, je crois que le vin du Château m’a fait tourner la tête. Ce sera Quand et Comme Vous le voulez pour Votre bon plaisir de Maître, répond en baissant la tête, Thaïs confuse.
- Va chercher ton foulard et dépêche toi. Je veux me coucher tôt ce soir et j’ai besoin de me vider avant. Demain matin, je t’expliquerai ce que j’attends de toi. Nos invités arriveront pour le déjeuner, nous devons donc prévoir de travailler sur cette entrevue pendant au moins deux à trois heures dans la matinée, car je dois te laisser prendre connaissance du dossier immobilier que j’envisage de monter et du bien que je cherche à acquérir. C’est ton domaine et c’est pour cela que je t’ai fait venir, mais en attendant tu vas aussi servir à Mon plaisir de mâle… Déshabille toi, que je puisse te regarder et te palper, tu semblais si excitée tout à l’heure en entrant dans la chambre. Je veux voir si tu mouilles déjà.
Thaïs se retrouve vite nue tandis que le Maître lui attache à nouveau le foulard noir sur les yeux. IL la fait tourner sur place, comme si elle était un pantin dont on s’amuse, qui titube presque entre le désir qui la submerge et l’alcool qui coule dans ses veines. Elle le sent tout autour qui la frôle parfois, tantôt sur les seins, tantôt dans la nuque ou sur les fesses. IL lui attrape la main et la porte sur la bosse qui emplit et déforme son pantalon et lui fait comprendre qu’IL attend qu’elle dégage le bâton de joie qui a pris de l’ampleur dans son boxer. D’une pression de la main sur ses épaules, IL oblige Sa soumise à s’agenouiller à Ses pieds afin qu’IL puisse s’empaler dans sa bouche, entre ses lèvres et contre sa langue chargée de faire encore durcir le pieu qui va bientôt pourfendre la chienne sensuelle en chaleur qui n’attend plus que cela, être baisée sans ménagement par son Maître. IL dégage Ses pieds du pantalon qui est tombé à terre, IL avait retiré Ses chaussures en arrivant dans la chambre pour être plus à l’aise. IL ôte vite fait la veste de Son complet et c’est encore vêtu de Sa chemise et de Sa cravate qu’IL desserre suffisamment qu’IL la pousse vers le lit, jusqu’à ce qu’elle se cogne un peu les genoux heurtant le fond du grand lit.
- Grimpe dessus le lit et à quatre pattes, Ma chienne. J’ai quelque chose pour toi cherchant un endroit pour aller se blottir bien au chaud.
Thaïs sent à ce moment là qu’IL est en train de lui mettre et lui agrafer son collier de chien. Comme si elle avait eu besoin de cela pour se sentir toute à Lui et à sa merci. Mais en même temps, elle ressent un désir de plus en plus fort couler entre ses cuisses qui se contractent, tandis qu’IL la fait se plier de manière à relever sa croupe tandis que sa tête repose à plat sur le lit. IL lui prend les deux bras et les tire vers l’avant et ajoute :
- Ne bouge surtout pas et ne change pas de cette position de levrette. Je n’ai pas le temps de t’attacher ce soir, mais tu ne perds rien pour attendre. Ecarte un peu plus les cuisses, je veux voir ta vallée étroite qui serpente entre les fesses s’ouvrir pour Moi.
Le Marquis d’Evans approche son sexe tendu et gonflé du petit orifice qu’est son anus de la femelle sensuelle qui se cambre encore plus pour aller à sa rencontre, et pour s’ouvrir tant elle se sent offerte et heureuse de l’être. Son dos frémit tandis qu’IL pose Ses deux mains sur ses reins et lui donne le tempo de l’ondulation de son bassin qui vient faire écho aux coups de butoir dont IL l’honore. D’une toute petite voix, IL s’est approché de l’oreille de la belle et lui murmure, n’ayant même pas ralenti son étreinte :
- Ne t’avise pas de jouir, la belle, je ne t’ai nullement autorisé à prendre du plaisir !
Alors qu’Il lui baisait le cul, Sa main masturbait frénétiquement le clitoris de la soumise et doigtait aussi sa chatte trempée. Mais Thaïs savait bien que son Maître ne lui avait rien dit, elle n’allait d’ailleurs pas tarder à lui demander l’autorisation de pouvoir se lâcher dans l’extase. Mais visiblement, tel n’est pas dans le souhait du Maître et c’est donc en ce mordant les lèvres qu’elle tente de résister aux assauts de la queue qui la besogne sauvagement et la terrasse dans son intimité la plus profonde. Elle essaye de calmer sa respiration haletante pour empêcher la montée du plaisir et ne sait plus comment résister quand IL lui annonce qu’IL va bientôt lâcher Sa semence en elle. Son corps n’est plus que frémissements contenus tant bien que mal et respiration rapide.
- Jouiiiiiit chienne ! Maintenant jouit, je te l’ordonne.
Il n’en faut pas plus pour que les cris de la chienne qui halète de plaisirs ne se fassent entendre, et que de son vagin de femme fontaine s’écoule à grands jets saccadés l’éjaculat féminin qui vient inonder le dessus de lit. Leurs deux orgasmes se sont joués dans l’osmose et c’est après un long moment qu’IL retire enfin Sa queue de l’anus dilaté de Sa soumise pour se tourner et s’allonger sur le lit.
- Nettoie-moi à fond avec ta langue de petite chienne, je n’ai pas envie de me lever, et je préfère ta langue au gant de toilette.
Thaïs se penche délicatement sur le sexe dégonflé de son Maître vidé, et y récupère la précieuse semence restée sur la verge. Elle aimerait qu’IL lui dise un mot tendre, un mot comme les amants échangent après un ébat amoureux, lui faisant comprendre qu’IL a pris du plaisir. Elle est heureuse d’avoir entendu son Maître jouir en même temps qu’elle, en elle, et cela devra lui suffire de savoir qu’IL y a visiblement pris au moins un plaisir physique incontestable car elle sent son antre anale emplie d’une bonne quantité de sperme qui cherche à ressortir… La poussant avec Son pied, IL l’expulse brusquement hors du lit la faisant presque tomber sur la descente de lit sans ménagement.
- Une petite chienne doit savoir où est sa place. Tu vas dormir par terre, la belle. Et sois bien contente. Je te donne le dessus de lit que tu as trempé pour te couvrir, je n’ai pas non plus envie que tu prennes froid.
Sans plus aucun autre mot, le Maître éteint la lumière et s’endort presque aussi sec dans l’immense lit aux draps blancs dans lequel IL s’est glissé. Thaïs n’osant pas se lever, se déplace à 4 pattes et à tâtons pour passer par la salle de bains pour se rincer et revient s’installer sur le tapis où son Maître Vénéré l’a assigné. Pour la première fois, elle va enfin vraiment dormir aux pieds de son Maître Vénéré et finalement elle se sent heureuse à cette place, nonobstant toutes les difficultés qu’elle a du apprendre à surmonter… Elle tarde à trouver le sommeil écoutant au fil des longues minutes la douce respiration de son Maître dormant quand enfin elle sombre à son tour dans un sommeil réparateur…
Le petit jour est en train de poindre, quand son Maître réveille sa soumise endormie d’une voix coquine et matinale
- Thaïs, Ma petite chienne, approche de plus près, j’ai une surprise à te montrer ! …
(A suivre …)
Avant de sortir de la chambre, Thaïs avale d’un trait la coupe de champagne sans prendre le temps de savourer son exquis goût et suit d’un mètre derrière son Maître dans les escaliers et couloirs du Château de M…, jusqu’à une grande salle à manger où sont dressées encore quelques tables vides sur des nappes de tissus pêche avec des verres de cristal scintillant et de vrais couverts en argenterie. Plusieurs tables sont occupées, certains convives semblent en être déjà au dessert et d’autres viennent à peine d’arriver. Il règne une ambiance cosy et l’on entend un charmant brouhaha de conversations éparses toutes discrètes. Il est clair que le lieu est fréquenté par le grand monde, par des gens d’une extrême politesse, d’un savoir vivre et d’une aisance financière affichée. Un serveur svelte s’approche et invite poliment le Marquis et Thaïs à s’asseoir à une table. Puis il tend deux immenses cartes ouvertes respectivement à Thaïs et au Marquis. Très curieuse et assez affamée aussi, Thaïs salive déjà à la lecture des mets qui défilent sous ses yeux aux noms chantants comme semblent l’être les plats qui sortent des fourneaux de ce restaurant étoilé. Mais à peine a-t-elle plongé les yeux dans sa lecture gastronomique, presque cachée derrière son géant menu de papier, qu’elle entend :
- Tst, tst, tst ….
Thaïs comprend qu’elle n’est pas juste à table pour déguster avec un galant quelques bons mets et vins, mais bien qu’étant en compagnie de son Maître, elle aurait du attendre qu’IL lui propose éventuellement de regarder la carte et de choisir. Elle pose donc le menu sur la table en le fermant et répond :
- Oui, Maître.
- Thaïs, ce soir tu es mon invitée à cette table et non Ma soumise. Il y a du monde autour. Appelle moi juste Monsieur le Marquis, ou simplement Monsieur si le serveur est tout proche. Je t’invite maintenant à me dire ce que tu aimerais déguster. Je suppose que tu as faim…
Au gré des plats tout aussi alléchants les uns que les autres, d’un foie gras de canard poêlé sur pommes caramélisées, suivi d’un assortiment de morceaux de chevreuil en trois déclinaisons de cuissons, pour terminer par un sabayon de clémentines dorées en chaud-froid, le tout agrémenté d’une bonne bouteille de vin rouge mis en bouteille directement au Château, la soirée semble à Thaïs idyllique. Ils parlent comme des amis de longue date de peinture, d’art, de tous ces sujets éclectiques qui passionnent Thaïs et que le Marquis aime à l’entendre développer avec la passion qui la caractérise. Elle reprend sa bonne humeur, son ton enjoué, le vin rouge aidant lui chauffe déjà les joues et c’est très courtoisement et affectueusement qu’elle se sent aux anges sous le regard de Celui qu’elle désire de plus en plus avec les minutes qui passent. Oh comme elle aimerait en cet instant, qu’IL soit pour elle un amant fougueux et amoureux ne pouvant plus se passer de ses yeux et de son charme. Le Marquis décide de se faire monter le café avec des mignardises directement dans la chambre, car la soirée est déjà bien avancée et IL sait que les deux jours suivants vont être d’une grande importance financière nécessitant toute son énergie et sa disponibilité intellectuelle car IL escompte bien sur le plan qu’IL a échafaudé pour emporter l’acquisition du bien immobilier qu’IL convoite depuis plusieurs semaines. Thaïs est presque grise de bien-être, ce luxe, ce confort, les manières du Marquis si tendre et si prévenant depuis le début du repas, lui ont fait oublier tout le reste et sa condition de soumise. Et c’est sans s’en rendre compte, qu’à peine après avoir franchi la porte de la suite avançant en direction de la très grande chambre qu’elle s’approche du Marquis, le serre dans ses bras et l’embrasse avec une fougue sans nom montrant le désir qu’elle a de Lui. Aussi sec ce dernier lui arrache les mains et la repousse violemment.
- Thaïs, qu’est-ce qui te prend ? Est-ce parce que je t’ai laissé plus de liberté pendant le repas que tu te crois permis de prendre des initiatives déplacées ? … A genoux ma chienne ! Oui, je vais te baiser, mais pas comme tu le souhaites et comme ton corps le désire à l’instant, mais bien suivant Mon bon Vouloir et pour Mon seul plaisir. Tu as bien compris !
- Oui, mon Maître Vénéré, je crois que le vin du Château m’a fait tourner la tête. Ce sera Quand et Comme Vous le voulez pour Votre bon plaisir de Maître, répond en baissant la tête, Thaïs confuse.
- Va chercher ton foulard et dépêche toi. Je veux me coucher tôt ce soir et j’ai besoin de me vider avant. Demain matin, je t’expliquerai ce que j’attends de toi. Nos invités arriveront pour le déjeuner, nous devons donc prévoir de travailler sur cette entrevue pendant au moins deux à trois heures dans la matinée, car je dois te laisser prendre connaissance du dossier immobilier que j’envisage de monter et du bien que je cherche à acquérir. C’est ton domaine et c’est pour cela que je t’ai fait venir, mais en attendant tu vas aussi servir à Mon plaisir de mâle… Déshabille toi, que je puisse te regarder et te palper, tu semblais si excitée tout à l’heure en entrant dans la chambre. Je veux voir si tu mouilles déjà.
Thaïs se retrouve vite nue tandis que le Maître lui attache à nouveau le foulard noir sur les yeux. IL la fait tourner sur place, comme si elle était un pantin dont on s’amuse, qui titube presque entre le désir qui la submerge et l’alcool qui coule dans ses veines. Elle le sent tout autour qui la frôle parfois, tantôt sur les seins, tantôt dans la nuque ou sur les fesses. IL lui attrape la main et la porte sur la bosse qui emplit et déforme son pantalon et lui fait comprendre qu’IL attend qu’elle dégage le bâton de joie qui a pris de l’ampleur dans son boxer. D’une pression de la main sur ses épaules, IL oblige Sa soumise à s’agenouiller à Ses pieds afin qu’IL puisse s’empaler dans sa bouche, entre ses lèvres et contre sa langue chargée de faire encore durcir le pieu qui va bientôt pourfendre la chienne sensuelle en chaleur qui n’attend plus que cela, être baisée sans ménagement par son Maître. IL dégage Ses pieds du pantalon qui est tombé à terre, IL avait retiré Ses chaussures en arrivant dans la chambre pour être plus à l’aise. IL ôte vite fait la veste de Son complet et c’est encore vêtu de Sa chemise et de Sa cravate qu’IL desserre suffisamment qu’IL la pousse vers le lit, jusqu’à ce qu’elle se cogne un peu les genoux heurtant le fond du grand lit.
- Grimpe dessus le lit et à quatre pattes, Ma chienne. J’ai quelque chose pour toi cherchant un endroit pour aller se blottir bien au chaud.
Thaïs sent à ce moment là qu’IL est en train de lui mettre et lui agrafer son collier de chien. Comme si elle avait eu besoin de cela pour se sentir toute à Lui et à sa merci. Mais en même temps, elle ressent un désir de plus en plus fort couler entre ses cuisses qui se contractent, tandis qu’IL la fait se plier de manière à relever sa croupe tandis que sa tête repose à plat sur le lit. IL lui prend les deux bras et les tire vers l’avant et ajoute :
- Ne bouge surtout pas et ne change pas de cette position de levrette. Je n’ai pas le temps de t’attacher ce soir, mais tu ne perds rien pour attendre. Ecarte un peu plus les cuisses, je veux voir ta vallée étroite qui serpente entre les fesses s’ouvrir pour Moi.
Le Marquis d’Evans approche son sexe tendu et gonflé du petit orifice qu’est son anus de la femelle sensuelle qui se cambre encore plus pour aller à sa rencontre, et pour s’ouvrir tant elle se sent offerte et heureuse de l’être. Son dos frémit tandis qu’IL pose Ses deux mains sur ses reins et lui donne le tempo de l’ondulation de son bassin qui vient faire écho aux coups de butoir dont IL l’honore. D’une toute petite voix, IL s’est approché de l’oreille de la belle et lui murmure, n’ayant même pas ralenti son étreinte :
- Ne t’avise pas de jouir, la belle, je ne t’ai nullement autorisé à prendre du plaisir !
Alors qu’Il lui baisait le cul, Sa main masturbait frénétiquement le clitoris de la soumise et doigtait aussi sa chatte trempée. Mais Thaïs savait bien que son Maître ne lui avait rien dit, elle n’allait d’ailleurs pas tarder à lui demander l’autorisation de pouvoir se lâcher dans l’extase. Mais visiblement, tel n’est pas dans le souhait du Maître et c’est donc en ce mordant les lèvres qu’elle tente de résister aux assauts de la queue qui la besogne sauvagement et la terrasse dans son intimité la plus profonde. Elle essaye de calmer sa respiration haletante pour empêcher la montée du plaisir et ne sait plus comment résister quand IL lui annonce qu’IL va bientôt lâcher Sa semence en elle. Son corps n’est plus que frémissements contenus tant bien que mal et respiration rapide.
- Jouiiiiiit chienne ! Maintenant jouit, je te l’ordonne.
Il n’en faut pas plus pour que les cris de la chienne qui halète de plaisirs ne se fassent entendre, et que de son vagin de femme fontaine s’écoule à grands jets saccadés l’éjaculat féminin qui vient inonder le dessus de lit. Leurs deux orgasmes se sont joués dans l’osmose et c’est après un long moment qu’IL retire enfin Sa queue de l’anus dilaté de Sa soumise pour se tourner et s’allonger sur le lit.
- Nettoie-moi à fond avec ta langue de petite chienne, je n’ai pas envie de me lever, et je préfère ta langue au gant de toilette.
Thaïs se penche délicatement sur le sexe dégonflé de son Maître vidé, et y récupère la précieuse semence restée sur la verge. Elle aimerait qu’IL lui dise un mot tendre, un mot comme les amants échangent après un ébat amoureux, lui faisant comprendre qu’IL a pris du plaisir. Elle est heureuse d’avoir entendu son Maître jouir en même temps qu’elle, en elle, et cela devra lui suffire de savoir qu’IL y a visiblement pris au moins un plaisir physique incontestable car elle sent son antre anale emplie d’une bonne quantité de sperme qui cherche à ressortir… La poussant avec Son pied, IL l’expulse brusquement hors du lit la faisant presque tomber sur la descente de lit sans ménagement.
- Une petite chienne doit savoir où est sa place. Tu vas dormir par terre, la belle. Et sois bien contente. Je te donne le dessus de lit que tu as trempé pour te couvrir, je n’ai pas non plus envie que tu prennes froid.
Sans plus aucun autre mot, le Maître éteint la lumière et s’endort presque aussi sec dans l’immense lit aux draps blancs dans lequel IL s’est glissé. Thaïs n’osant pas se lever, se déplace à 4 pattes et à tâtons pour passer par la salle de bains pour se rincer et revient s’installer sur le tapis où son Maître Vénéré l’a assigné. Pour la première fois, elle va enfin vraiment dormir aux pieds de son Maître Vénéré et finalement elle se sent heureuse à cette place, nonobstant toutes les difficultés qu’elle a du apprendre à surmonter… Elle tarde à trouver le sommeil écoutant au fil des longues minutes la douce respiration de son Maître dormant quand enfin elle sombre à son tour dans un sommeil réparateur…
Le petit jour est en train de poindre, quand son Maître réveille sa soumise endormie d’une voix coquine et matinale
- Thaïs, Ma petite chienne, approche de plus près, j’ai une surprise à te montrer ! …
(A suivre …)
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