La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°236)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°236)
Suite de l'épisode précédent N°234 ''Chris au Château -
Il lui caressa très doucement ses joues, son corps toujours attaché. Ce corps qu’il sentait vibrant, tendu à l’extrême, tendu de désirs de jouissances en Majuscule… Il continuait à lui sourire, l’observant respirer fort. Ses seins dressés en direction du Maître, l’incitant à les tourmenter. Allongé à ses côtés, Il s’en empare à pleines mains chaudes, approchant sa bouche pour les sucer, les manger avidement. Le Marquis d’Evans délivre alors la bouche de sa soumise de son bâillon. Elle avait de fait, la tête et le cou à nouveau nus. Le Maître avait pris la précaution de lui ôter son collier afin de ne pas la blesser au cas où elle se serait débattue. Il se relève pour se placer au-dessus d’elle et lui prend délicatement la tête entre Ses mains pour la couvrir de Ses tendres baisers gourmands et lui ré-humecter lentement la bouche. La soumise goûtait que ses muscles et ses mâchoires se détendre sous les baisers de son Maître et Amant. Elle aurait voulu pouvoir lui prendre la tête dans ses propres mains pour mieux le déguster à son tour tant elle ressentait de l’Amour pour Lui, Son Amant, Son Maître. Celui qui la poussait dans ses pulsions les plus femelles pour les faire naître avec Amour sous Son joug.
- Ma Chris, ma petite femelle adorée, je t’aime à voir tes yeux ainsi emplis d’Amour, si tu savais combien Je t’aime.
A ces mots, Chris se sentit transportée à nouveau un peu plus loin de son monde, elle ne savait toujours pas où Il la menait mais, à présent, elle ne Lui résistait plus : elle aimait ce voyage dans les sens dans lequel elle s’ouvrait et lui faisait offrande son être de soumise… Lentement, Il la détacha de ses liens en lui massant délicatement les membres ankylosés et l’aidant à s’étendre. Le Maître attrapa un petit coffret de bois sombre sur lequel étaient finement incrustées Ses Armoiries. Il ouvrit le couvercle et laissa apparaître un nouveau collier pour Sa petite chienne. Chris ne le voyait pas. Il avait pris la précaution de maintenir le coffret hors de sa vue.
- Soumise Chris, lève-toi et vient te présenter où Ton Maître est assis, à Mes pieds, lui dit-il d’un ton solennel.
Chris, sensible et instinctive, sentit que l’instant prenait encore un tout autre air. Alors qu’elle allait pour se mettre assise et passer les jambes hors de la couche du Marquis et se lever, le Maître l’interrompit :
- Non, non, pas comme ceci. Comment doit se déplacer une soumise aux ordres de Son Maître ?
Emprunte de confusion, la soumise baissa les yeux instinctivement et se mit à quatre pattes pour descendre du lit. Elle se dit que la hauteur du lit avait dû être étudiée pour ce faire car il n’était pas trop haut, comme certains autres peuvent l’être parfois. Alors qu’elle posait les mains sur l’épais tapis recouvrant le sol, elle sentit le plug lui enserrer son cul et se rappela la semence du Noble qu’elle portait. Elle sentait également sa chatte gonflée et coulante dans laquelle tapaient toujours les battements forts de son cœur. Elle redressa alors la tête fièrement en ondulant sa croupe, démarche rendue obligatoire à cause du plug qu’elle ne voulait pas expulser. Son Maître qui l’observait en la suivant du regard était aussi fier que sa petite chienne assume sa place à ce moment.
- Chris, stop ! Lui intima-t-il juste pour voir sa réaction. (elle s’arrêta et se figea dans la position dans laquelle elle était).Viens, maintenant, à ton Maître !
Chris repris son chemin contournant le lit et arrivant du côté où se trouvait le Marquis. A ses pieds, elle affaissa ses épaules pour se prosterner à Ses pieds. Elle essaya de parler mais sa voix n’était pas encore revenue du fait du manque d’humidité dans sa gorge. La soumise rougit un peu honteuse…
- Bien, ma belle femelle lubrique. Ne t’en fais ce n’est pas grave, ta voix, nous allons nous en charger dans très peu de temps lui répondit-il d’un air malicieux en lui caressant les fesses et jouant un peu à lui tyranniser son cul avec le plug. Relève-toi et présente-Moi ta si belle nuque.
Chris s’exécuta. Le Marquis d’Evans sortit le collier du coffret et de l’étui qui le protégeait et le mit à sa soumise. Lorsqu’Il eut terminé, Chris remarqua qu’il pesait à son cou. Elle n’en avait aperçu qu’une partie, tant le Marquis avait été leste à le lui passer autour du cou. Elle en devinait la texture, un cercle métal entouré de bois en haut et en bas, le tour recouvert de cuir à l’intérieur. Elle restait immobile, les muscles bandés. Lui, lui caressait la tête pour la détendre et la faire se relâcher.
- Chris, nous allons maintenant aller nous dégourdir tous les deux un peu les jambes pour passer dans une autre pièce du château. Tu vas me suivre dans cette position et tu me prendras dans ta démarche quadrupède, une allure féline….
A ces mots, il clipsa le mousqueton de la laisse qu’il avait préparé, se leva pour se rhabiller et faire passer un peignoir à sa soumise afin qu’elle ne prit pas froid lors de leur déplacement dans les longs couloirs du château. Il reprit son pas lent. Il évoluait avec souplesse sur le tapis épais qui étouffait ses pas. L’air du couloir était bien plus frais que celui de Sa chambre. La soumise, à quatre pattes suivait son Maître au bout de sa laisse tout en se demandant ce qu’il allait se passer. Elle roulait sa croupe de droite à gauche, telle une panthère évoluant doucement. Ils s’enfonçaient maintenant dans l’obscurité des couloirs. Il ne lui parlait pas, ne la regardait même pas, exerçant ainsi Sa volonté de Maître. Son habitude à manier des soumises lui faisait savoir que Sa petite chienne qui le suivait, n’hésitait pas. Il sentait sa démarche ondulante ; le gros plug lui causait des soucis pour le retenir dans son fondement. Le Noble imaginait son embarras : le cul plein de jus et bouché par ce plug. Il souriait. A vrai dire, le Marquis était fier d’elle, du tournant qu’elle avait pris en acceptant, en L’acceptant Lui comme unique Dominant à pouvoir disposer d’elle comme bon Lui semblerait. Chris sentit qu’Il s’arrêtait et fit de même.
- Hum… Ma petite chienne, je sais, tu ne vois rien ou pas grand-chose dans ce couloir sombre. Je vais te bander à nouveau les yeux avant d’entrer là où nous arrivons.
Il se baissa et passa longuement les doigts dans les cheveux de Sa soumise en lui donnant des baisers sur le crâne. Chris, dont l’excitation sexuelle était un peu redescendue par l’effet du froid, sentit son corps se réchauffer sous les caresses savantes de son Amant et Maître. Elle fermait les yeux pour mieux recevoir ces caresses qu’elle aimait tant. Le Maître s’émerveillait des capacités d’adaptation de Sa soumise.
-Tout doux, Oui, Ma belle, tout doux, Nous allons y aller mais rappelle-toi : A… Ma… manière... Je vais t'apprendre ce que jouir comme une femelle peut signifier…
Le Marquis d’Evans masquait les yeux de Sa soumise avec un tissu, vérifiait qu'il lui couvrait le champ visuel, puis Il se releva et ouvrit la porte devant laquelle ils s'étaient arrêtés. Chris sentit une douce chaleur venir lui caresser la peau. Le bandeau était bien mis, elle ne voyait qu'un infime filet de lumière filtrer par-dessous. Entrant dans la pièce le premier comme il sied à Son rang, son Maître avait repris Sa marche légère et assurée. Chris ne l'avait pas entendu, son attention étant portée sur les bruits qu'elle essayait de décrypter. Mais, là non plus, elle n'entendait rien. Le Marquis lui avait également recouvert les oreilles. Elle était sourde et aveugle. Elle sentit le Noble tirer sur sa laisse. Ce qui lui fit passer le pas de la porte. Porte qui se referma dès qu'elle l'eut complètement franchie. Sous ses mains et ses genoux, toujours cet épais et moelleux tapis qui semblait recouvrir les sols de tous les endroits par lesquels ils étaient passés.
Soudain, alors qu'elle butta dans Les jambes du Châtelain, elle sentit qu'Il lui empoignait les cheveux pour la faire se lever. Le Maître en profita pour la dévêtir en marchant sur le peignoir qui tomba à terre. Elle s'exécutait alors qu'Il l'avait attiré à lui et de son autre main lui fouillait sa chatte de chienne qui bientôt se remit à couler abondamment. Elle sentait aussi Son souffle chaud sur sa peau. Le Maître lui tirait les cheveux pour amener sa tête à dégager la nuque de Son Amour de soumise. Il admirait sa nudité, sa sensualité, sa peau blanche et fine juste ornée de son collier. Le Marquis d'Evans sentait Son ample sexe se redresser devant le spectacle que Sa chienne lubrique lui offrait. Il sentait sa chatte à nouveau bien s'ouvrir sous Ses doigts experts et si baladeurs. Il savait... Il allait apprendre à Son Amour de chienne à être baisée à Sa manière de Maître... Il le savait... Elle allait jouir comme jamais elle ne l'avait fait... C'était maintenant Sa seule et unique volonté : Vivre leurs Désirs d'extases au pluriel...
Le Maître avait amené Sa soumise dans Son salon particulier. La pièce quasi secrète de la maisonnée. Là, où il aimait se retrouver seul pour méditer, se retrouver et parfois pour écrire Sa Saga … Pièce dans laquelle peu de soumises avaient été admises à pénétrer. La pièce jouxtait une petite pièce d'eau particulière. Antique petite pièce dérobée réaménagée, elle, seulement connue de Lui et Marie.
(A suivre…)
Il lui caressa très doucement ses joues, son corps toujours attaché. Ce corps qu’il sentait vibrant, tendu à l’extrême, tendu de désirs de jouissances en Majuscule… Il continuait à lui sourire, l’observant respirer fort. Ses seins dressés en direction du Maître, l’incitant à les tourmenter. Allongé à ses côtés, Il s’en empare à pleines mains chaudes, approchant sa bouche pour les sucer, les manger avidement. Le Marquis d’Evans délivre alors la bouche de sa soumise de son bâillon. Elle avait de fait, la tête et le cou à nouveau nus. Le Maître avait pris la précaution de lui ôter son collier afin de ne pas la blesser au cas où elle se serait débattue. Il se relève pour se placer au-dessus d’elle et lui prend délicatement la tête entre Ses mains pour la couvrir de Ses tendres baisers gourmands et lui ré-humecter lentement la bouche. La soumise goûtait que ses muscles et ses mâchoires se détendre sous les baisers de son Maître et Amant. Elle aurait voulu pouvoir lui prendre la tête dans ses propres mains pour mieux le déguster à son tour tant elle ressentait de l’Amour pour Lui, Son Amant, Son Maître. Celui qui la poussait dans ses pulsions les plus femelles pour les faire naître avec Amour sous Son joug.
- Ma Chris, ma petite femelle adorée, je t’aime à voir tes yeux ainsi emplis d’Amour, si tu savais combien Je t’aime.
A ces mots, Chris se sentit transportée à nouveau un peu plus loin de son monde, elle ne savait toujours pas où Il la menait mais, à présent, elle ne Lui résistait plus : elle aimait ce voyage dans les sens dans lequel elle s’ouvrait et lui faisait offrande son être de soumise… Lentement, Il la détacha de ses liens en lui massant délicatement les membres ankylosés et l’aidant à s’étendre. Le Maître attrapa un petit coffret de bois sombre sur lequel étaient finement incrustées Ses Armoiries. Il ouvrit le couvercle et laissa apparaître un nouveau collier pour Sa petite chienne. Chris ne le voyait pas. Il avait pris la précaution de maintenir le coffret hors de sa vue.
- Soumise Chris, lève-toi et vient te présenter où Ton Maître est assis, à Mes pieds, lui dit-il d’un ton solennel.
Chris, sensible et instinctive, sentit que l’instant prenait encore un tout autre air. Alors qu’elle allait pour se mettre assise et passer les jambes hors de la couche du Marquis et se lever, le Maître l’interrompit :
- Non, non, pas comme ceci. Comment doit se déplacer une soumise aux ordres de Son Maître ?
Emprunte de confusion, la soumise baissa les yeux instinctivement et se mit à quatre pattes pour descendre du lit. Elle se dit que la hauteur du lit avait dû être étudiée pour ce faire car il n’était pas trop haut, comme certains autres peuvent l’être parfois. Alors qu’elle posait les mains sur l’épais tapis recouvrant le sol, elle sentit le plug lui enserrer son cul et se rappela la semence du Noble qu’elle portait. Elle sentait également sa chatte gonflée et coulante dans laquelle tapaient toujours les battements forts de son cœur. Elle redressa alors la tête fièrement en ondulant sa croupe, démarche rendue obligatoire à cause du plug qu’elle ne voulait pas expulser. Son Maître qui l’observait en la suivant du regard était aussi fier que sa petite chienne assume sa place à ce moment.
- Chris, stop ! Lui intima-t-il juste pour voir sa réaction. (elle s’arrêta et se figea dans la position dans laquelle elle était).Viens, maintenant, à ton Maître !
Chris repris son chemin contournant le lit et arrivant du côté où se trouvait le Marquis. A ses pieds, elle affaissa ses épaules pour se prosterner à Ses pieds. Elle essaya de parler mais sa voix n’était pas encore revenue du fait du manque d’humidité dans sa gorge. La soumise rougit un peu honteuse…
- Bien, ma belle femelle lubrique. Ne t’en fais ce n’est pas grave, ta voix, nous allons nous en charger dans très peu de temps lui répondit-il d’un air malicieux en lui caressant les fesses et jouant un peu à lui tyranniser son cul avec le plug. Relève-toi et présente-Moi ta si belle nuque.
Chris s’exécuta. Le Marquis d’Evans sortit le collier du coffret et de l’étui qui le protégeait et le mit à sa soumise. Lorsqu’Il eut terminé, Chris remarqua qu’il pesait à son cou. Elle n’en avait aperçu qu’une partie, tant le Marquis avait été leste à le lui passer autour du cou. Elle en devinait la texture, un cercle métal entouré de bois en haut et en bas, le tour recouvert de cuir à l’intérieur. Elle restait immobile, les muscles bandés. Lui, lui caressait la tête pour la détendre et la faire se relâcher.
- Chris, nous allons maintenant aller nous dégourdir tous les deux un peu les jambes pour passer dans une autre pièce du château. Tu vas me suivre dans cette position et tu me prendras dans ta démarche quadrupède, une allure féline….
A ces mots, il clipsa le mousqueton de la laisse qu’il avait préparé, se leva pour se rhabiller et faire passer un peignoir à sa soumise afin qu’elle ne prit pas froid lors de leur déplacement dans les longs couloirs du château. Il reprit son pas lent. Il évoluait avec souplesse sur le tapis épais qui étouffait ses pas. L’air du couloir était bien plus frais que celui de Sa chambre. La soumise, à quatre pattes suivait son Maître au bout de sa laisse tout en se demandant ce qu’il allait se passer. Elle roulait sa croupe de droite à gauche, telle une panthère évoluant doucement. Ils s’enfonçaient maintenant dans l’obscurité des couloirs. Il ne lui parlait pas, ne la regardait même pas, exerçant ainsi Sa volonté de Maître. Son habitude à manier des soumises lui faisait savoir que Sa petite chienne qui le suivait, n’hésitait pas. Il sentait sa démarche ondulante ; le gros plug lui causait des soucis pour le retenir dans son fondement. Le Noble imaginait son embarras : le cul plein de jus et bouché par ce plug. Il souriait. A vrai dire, le Marquis était fier d’elle, du tournant qu’elle avait pris en acceptant, en L’acceptant Lui comme unique Dominant à pouvoir disposer d’elle comme bon Lui semblerait. Chris sentit qu’Il s’arrêtait et fit de même.
- Hum… Ma petite chienne, je sais, tu ne vois rien ou pas grand-chose dans ce couloir sombre. Je vais te bander à nouveau les yeux avant d’entrer là où nous arrivons.
Il se baissa et passa longuement les doigts dans les cheveux de Sa soumise en lui donnant des baisers sur le crâne. Chris, dont l’excitation sexuelle était un peu redescendue par l’effet du froid, sentit son corps se réchauffer sous les caresses savantes de son Amant et Maître. Elle fermait les yeux pour mieux recevoir ces caresses qu’elle aimait tant. Le Maître s’émerveillait des capacités d’adaptation de Sa soumise.
-Tout doux, Oui, Ma belle, tout doux, Nous allons y aller mais rappelle-toi : A… Ma… manière... Je vais t'apprendre ce que jouir comme une femelle peut signifier…
Le Marquis d’Evans masquait les yeux de Sa soumise avec un tissu, vérifiait qu'il lui couvrait le champ visuel, puis Il se releva et ouvrit la porte devant laquelle ils s'étaient arrêtés. Chris sentit une douce chaleur venir lui caresser la peau. Le bandeau était bien mis, elle ne voyait qu'un infime filet de lumière filtrer par-dessous. Entrant dans la pièce le premier comme il sied à Son rang, son Maître avait repris Sa marche légère et assurée. Chris ne l'avait pas entendu, son attention étant portée sur les bruits qu'elle essayait de décrypter. Mais, là non plus, elle n'entendait rien. Le Marquis lui avait également recouvert les oreilles. Elle était sourde et aveugle. Elle sentit le Noble tirer sur sa laisse. Ce qui lui fit passer le pas de la porte. Porte qui se referma dès qu'elle l'eut complètement franchie. Sous ses mains et ses genoux, toujours cet épais et moelleux tapis qui semblait recouvrir les sols de tous les endroits par lesquels ils étaient passés.
Soudain, alors qu'elle butta dans Les jambes du Châtelain, elle sentit qu'Il lui empoignait les cheveux pour la faire se lever. Le Maître en profita pour la dévêtir en marchant sur le peignoir qui tomba à terre. Elle s'exécutait alors qu'Il l'avait attiré à lui et de son autre main lui fouillait sa chatte de chienne qui bientôt se remit à couler abondamment. Elle sentait aussi Son souffle chaud sur sa peau. Le Maître lui tirait les cheveux pour amener sa tête à dégager la nuque de Son Amour de soumise. Il admirait sa nudité, sa sensualité, sa peau blanche et fine juste ornée de son collier. Le Marquis d'Evans sentait Son ample sexe se redresser devant le spectacle que Sa chienne lubrique lui offrait. Il sentait sa chatte à nouveau bien s'ouvrir sous Ses doigts experts et si baladeurs. Il savait... Il allait apprendre à Son Amour de chienne à être baisée à Sa manière de Maître... Il le savait... Elle allait jouir comme jamais elle ne l'avait fait... C'était maintenant Sa seule et unique volonté : Vivre leurs Désirs d'extases au pluriel...
Le Maître avait amené Sa soumise dans Son salon particulier. La pièce quasi secrète de la maisonnée. Là, où il aimait se retrouver seul pour méditer, se retrouver et parfois pour écrire Sa Saga … Pièce dans laquelle peu de soumises avaient été admises à pénétrer. La pièce jouxtait une petite pièce d'eau particulière. Antique petite pièce dérobée réaménagée, elle, seulement connue de Lui et Marie.
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