La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°237)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°237)
Mary au Château -
Malgré la neige, en ce troisième mercredi de novembre, il y avait un véritable climat festif dans la capitale du Beaujolais, à Beaujeu, lors de la fameuse soirée des Sarmentelles afin de marquer l’arrivée du Beaujolais Nouveau 2013, officiellement mis sur le marché dès le lendemain, le troisième jeudi comme l’exige la tradition !... Le Marquis d’Evans savait exactement qui il y trouverai, puisque Sa Soumise Mary MDE devait se rendre à cette soirée dansante. Elle était arrivée l’après-midi même de sa Savoie pour en théorie, et avec son mari, acheter du vin chez ses amis viticulteurs mais dans sa tête une seule motivation comptait pour venir dans cette région viticole, la rencontre avec son Maître Vénéré. Le bal avait démarré déjà depuis plus d’une heure que Mary cherchait, de ses yeux attentifs, la présence de son Maître. La foule nombreuse à danser sur l’immense parquet de la salle des fêtes empêchait à la belle de voir tout le monde tandis qu’avec son mari et ses amis viticulteurs elle dégustait à la grande buvette, un verre de Brouilly.
Mary regarde les personnes danser, et elle se voit déjà danser avec son Maître… Elle n’arrête pas de jeter des coups d'œil un peu de partout, des fois qu’elle l’apercevait… Mais, non, ses espoirs tombent peu à peu, elle ne le voit pas … ‘’Viendra-t-Il, se dit-elle ?’’. Il est vrai qu’Il ne lui avait rien promis, elle s’était simplement contentée de l’informer de sa venue ici…. Ses pensées sont soudainement interrompues lorsque un ami vigneron lui proposa de danser une valse. Elle ne peut refuser ne serait-ce par pure amitié mais son cavalier du moment se montra un piètre danseur bien maladroit, et quand la musique s’interrompit, son ami lui proposant une autre valse commencée par l’orchestre, elle sentit à ce moment-là une large main se poser sur son épaule et en se retournant elle entendit une voix calme qu’elle reconnaît de suite :
- Madame, accepteriez-vous cette danse avec Moi ?’’
Son Maître était là à quelques centimètres derrière elle et Il lui sourit largement. Depuis combien de temps, il devait la regarder, elle en n’avait aucune idée, mais Il est là et seul cela comptait. Mary était si émue, qu’elle ne dit aucun mot, se contentant comme réponse de lui présenter ses bras comme signe d’acceptation à danser. L’ami vigneron fit la moue et s’en retournant un peu vexé. Il alla rejoindre le mari de Mary qui était bien occupé à consommer à la buvette, entre hommes.
Pour Mary qui restait encore émue de surprise et un peu déstabilisée, essayant de cacher au mieux son émotion devant les autres. Bien sûr elle est entre rêve et réalité, mais par l’unique regard de son Maître, elle sais que c'est bien Lui, émerveillée par Son physique, Sa prestance. Oui elle ne rêve donc pas, c’est bien la réalité, elle danse avec Lui. Ils font une ou deux danses, Son Maître ne dit rien, juste Il lui sourit, la fixant de Son regard Dominateur. Il lui effleure discrètement le dos de Sa large main, oui discrètement aussi sur ses hanches. Elle se laisse faire elle a trop envie de lui appartenir en réel. Mary lui sourit. Puis à peine la danse terminée, Le Marquis d’Evans lui dit d’un ton toujours aussi calme et laconique :
- Walter nous attend dehors.
- Nous ?...Maître … ?
- Oui nous, depuis que je sais ta venue à Beaujeu, je prévoie ta venue dans Mon château pour quelques jours jusqu’à la fin de la semaine, peux-tu vis-à-vis de ton mari ?
- Maître, moi-même je ne vous cache pas que j'y songeais aussi à venir en Votre demeure, c’est pour cela que j’ai préparé mon mari à cette éventualité, lui disant que l’Office du Tourisme m’avait conseillé les chambres d’hôtes de la région et plus particulièrement celles de votre domaine. C’est pour cela que j’ai réservé en téléphonant cette après-midi auprès de votre secrétariat pour 4 nuits dans une de Vos propriétés située en cœur du village. Nous y avons déjà installé nos bagages.
- Oui je sais, j’ai consulté, il n’y a pas plus d’une heure, le listing des réservations et j’y ai vu ton nom.
- Mais, Maître, comment pourrais-je aller maintenant en Votre Château ?
- Tu vas aller voir ton mari, et lui dire que par le plus grand des hasards, le propriétaire de la chambre d’hôte t’a invité à danser et après avoir papoté avec moi, et ayant de la place, je vous propose de venir tous les deux loger au château, pour le même prix car le confort sera bien meilleur et que je ferai aller chercher vos bagages … nous verrons bien sa réaction …
- Bien Maître, je vais lui en parler de suite, dit Mary le cœur battant, tout en se pressant en direction de la buvette
Le Marquis d’Evans voyait Mary en pleine discussion avec son mari et quand celui-ci s’approcha, traversant la piste de danse visiblement un peu éméché, mais aucune agressivité ne laissait paraître, bien au contraire le vin avait l’air de le rendre radieux et c’est dans un large sourire jovial et déjà avec une main tendue qu’il arriva suivit de sa femme, près du Noble :
- Bonsoir Monsieur, Mary m’a expliqué votre proposition, vous parlez d’une formidable coïncidence ! Je vous en remercie infiniment, on m’avait dit que dans le Beaujolais l’accueil était fort mais là, ça dépasse mes espérances ! Merci à vous ! … Loger dans un château, le rêve pour tout touriste !!! … Mais Mary veut aller se reposer en votre demeure alors puis-je vous demander de bien vouloir l’emmener dans votre château car… oui … heu … voila, je suis avec les copains et j’aimerais bien encore profiter de la buv… heu … leur compagnie !… mais comment trouverais-je le château, si je veux m’y rendre, afin de vous y rejoindre d’ici une heure ou deux ?
- Bonsoir Monsieur, répondit le Marquis, Ne vous en faites pas, vous appellerez sur le portable de votre femme, mon chauffeur viendra vous chercher et ainsi vous pourrez déguster le Beaujolais Nouveau sans crainte de prendre le volant. Vous laisserez ainsi votre voiture au parking, là où elle est. Cela vous convient-il ?
- Oui mais c’est parfait … Merci cher Monsieur, merci beaucoup ! .. Monsieur ?
- Marquis d’Evans, Monsieur le Marquis Edouard d’Evans …, répondit le Noble en saluant d’un sourire.
Le mari de Mary ne tarda à vite retrouver la bande de joyeux lurons qui commençait à chanter à la buvette. Mary prit sa veste et son sac. Arrivée à la voiture, Le Marquis d’Evans présenta Walter à Mary. Celui-ci dit bonsoir poliment tout en lui souriant. Mary aperçut dans ses yeux une grande admiration envers son patron.
La rolls démarra. Mary sans dire mot et afin de faire une surprise à son Maître Vénéré sortit sans attendre de son sac à main son collier de chienne. Le Marquis assis à ses côtés, prit le collier d’une main tandis que l’autre commençait déjà à lui caresser la cuisse avant de claquer du doigt en lui disant laconiquement :
- Ecarte les jambes, chienne …
Mary n’eu aucune difficulté à faire cela, sa robe ample lui permettait d’écarter largement ses cuisses. Mary qui bien entendu ne portait pas de culotte ce jour-ci dévoila ainsi un sexe lisse sans aucune pilosité et déjà fort trempé d’excitation. Le Maître mit le collier au cou de Sa soumise doucement sans précipitation en la fixant droit dans les yeux :
- Tu es désormais Ma soumise chienne en réel et soit heureuse de l’être.
- Merci Maître, il y a si longtemps que j’attendais ce moment, dit Mary en baissant la tête en signe de profonde reconnaissance
Puis Il embrassa la belle fougueusement, les langues se trouvèrent. Il passait avec tendresse une main dans ses cheveux tandis que l’autre s’insinuait tout doucement entre ses cuisses. Elle sentit de suite les doigts baladeurs du Maître lui caressant son clito de chienne, passant Ses doigts sur les lèvres si humides. Le Marquis enfila deux doigts dans sa chatte et commençait à les faire aller et venir avec une régularité de métronome. Mary en gémissait de plaisir mais elle savait qu’elle devait supporter toute montée de plaisir sans avoir droit à la jouissance tant que son Maître ne l’aurait pas autorisée à avoir un orgasme. Tout cela ne laissa pas insensible le châtelain qui excité de la situation dévoila une bosse sous son pantalon. D’un autre claquement de doigts et d’un geste rapide en direction de sa queue, Mary comprit vite ce que son Maître attendait d’elle. Elle déboutonna la braguette du pantalon du Marquis pour en faire sortir un sexe dur et long gonflé de sang. Au moment ou elle pencha la tête pour le sucer, elle aperçu, l’espace de quelques secondes, le visage souriant et amusé de Walter dans le rétroviseur intérieur, tandis que celui-ci conduisait avec prudence. Elle pris en bouche la verge divine et s’appliqua du mieux qu’elle pouvait à donner du plaisir à son Vénéré Maître.
(A suivre…)
Malgré la neige, en ce troisième mercredi de novembre, il y avait un véritable climat festif dans la capitale du Beaujolais, à Beaujeu, lors de la fameuse soirée des Sarmentelles afin de marquer l’arrivée du Beaujolais Nouveau 2013, officiellement mis sur le marché dès le lendemain, le troisième jeudi comme l’exige la tradition !... Le Marquis d’Evans savait exactement qui il y trouverai, puisque Sa Soumise Mary MDE devait se rendre à cette soirée dansante. Elle était arrivée l’après-midi même de sa Savoie pour en théorie, et avec son mari, acheter du vin chez ses amis viticulteurs mais dans sa tête une seule motivation comptait pour venir dans cette région viticole, la rencontre avec son Maître Vénéré. Le bal avait démarré déjà depuis plus d’une heure que Mary cherchait, de ses yeux attentifs, la présence de son Maître. La foule nombreuse à danser sur l’immense parquet de la salle des fêtes empêchait à la belle de voir tout le monde tandis qu’avec son mari et ses amis viticulteurs elle dégustait à la grande buvette, un verre de Brouilly.
Mary regarde les personnes danser, et elle se voit déjà danser avec son Maître… Elle n’arrête pas de jeter des coups d'œil un peu de partout, des fois qu’elle l’apercevait… Mais, non, ses espoirs tombent peu à peu, elle ne le voit pas … ‘’Viendra-t-Il, se dit-elle ?’’. Il est vrai qu’Il ne lui avait rien promis, elle s’était simplement contentée de l’informer de sa venue ici…. Ses pensées sont soudainement interrompues lorsque un ami vigneron lui proposa de danser une valse. Elle ne peut refuser ne serait-ce par pure amitié mais son cavalier du moment se montra un piètre danseur bien maladroit, et quand la musique s’interrompit, son ami lui proposant une autre valse commencée par l’orchestre, elle sentit à ce moment-là une large main se poser sur son épaule et en se retournant elle entendit une voix calme qu’elle reconnaît de suite :
- Madame, accepteriez-vous cette danse avec Moi ?’’
Son Maître était là à quelques centimètres derrière elle et Il lui sourit largement. Depuis combien de temps, il devait la regarder, elle en n’avait aucune idée, mais Il est là et seul cela comptait. Mary était si émue, qu’elle ne dit aucun mot, se contentant comme réponse de lui présenter ses bras comme signe d’acceptation à danser. L’ami vigneron fit la moue et s’en retournant un peu vexé. Il alla rejoindre le mari de Mary qui était bien occupé à consommer à la buvette, entre hommes.
Pour Mary qui restait encore émue de surprise et un peu déstabilisée, essayant de cacher au mieux son émotion devant les autres. Bien sûr elle est entre rêve et réalité, mais par l’unique regard de son Maître, elle sais que c'est bien Lui, émerveillée par Son physique, Sa prestance. Oui elle ne rêve donc pas, c’est bien la réalité, elle danse avec Lui. Ils font une ou deux danses, Son Maître ne dit rien, juste Il lui sourit, la fixant de Son regard Dominateur. Il lui effleure discrètement le dos de Sa large main, oui discrètement aussi sur ses hanches. Elle se laisse faire elle a trop envie de lui appartenir en réel. Mary lui sourit. Puis à peine la danse terminée, Le Marquis d’Evans lui dit d’un ton toujours aussi calme et laconique :
- Walter nous attend dehors.
- Nous ?...Maître … ?
- Oui nous, depuis que je sais ta venue à Beaujeu, je prévoie ta venue dans Mon château pour quelques jours jusqu’à la fin de la semaine, peux-tu vis-à-vis de ton mari ?
- Maître, moi-même je ne vous cache pas que j'y songeais aussi à venir en Votre demeure, c’est pour cela que j’ai préparé mon mari à cette éventualité, lui disant que l’Office du Tourisme m’avait conseillé les chambres d’hôtes de la région et plus particulièrement celles de votre domaine. C’est pour cela que j’ai réservé en téléphonant cette après-midi auprès de votre secrétariat pour 4 nuits dans une de Vos propriétés située en cœur du village. Nous y avons déjà installé nos bagages.
- Oui je sais, j’ai consulté, il n’y a pas plus d’une heure, le listing des réservations et j’y ai vu ton nom.
- Mais, Maître, comment pourrais-je aller maintenant en Votre Château ?
- Tu vas aller voir ton mari, et lui dire que par le plus grand des hasards, le propriétaire de la chambre d’hôte t’a invité à danser et après avoir papoté avec moi, et ayant de la place, je vous propose de venir tous les deux loger au château, pour le même prix car le confort sera bien meilleur et que je ferai aller chercher vos bagages … nous verrons bien sa réaction …
- Bien Maître, je vais lui en parler de suite, dit Mary le cœur battant, tout en se pressant en direction de la buvette
Le Marquis d’Evans voyait Mary en pleine discussion avec son mari et quand celui-ci s’approcha, traversant la piste de danse visiblement un peu éméché, mais aucune agressivité ne laissait paraître, bien au contraire le vin avait l’air de le rendre radieux et c’est dans un large sourire jovial et déjà avec une main tendue qu’il arriva suivit de sa femme, près du Noble :
- Bonsoir Monsieur, Mary m’a expliqué votre proposition, vous parlez d’une formidable coïncidence ! Je vous en remercie infiniment, on m’avait dit que dans le Beaujolais l’accueil était fort mais là, ça dépasse mes espérances ! Merci à vous ! … Loger dans un château, le rêve pour tout touriste !!! … Mais Mary veut aller se reposer en votre demeure alors puis-je vous demander de bien vouloir l’emmener dans votre château car… oui … heu … voila, je suis avec les copains et j’aimerais bien encore profiter de la buv… heu … leur compagnie !… mais comment trouverais-je le château, si je veux m’y rendre, afin de vous y rejoindre d’ici une heure ou deux ?
- Bonsoir Monsieur, répondit le Marquis, Ne vous en faites pas, vous appellerez sur le portable de votre femme, mon chauffeur viendra vous chercher et ainsi vous pourrez déguster le Beaujolais Nouveau sans crainte de prendre le volant. Vous laisserez ainsi votre voiture au parking, là où elle est. Cela vous convient-il ?
- Oui mais c’est parfait … Merci cher Monsieur, merci beaucoup ! .. Monsieur ?
- Marquis d’Evans, Monsieur le Marquis Edouard d’Evans …, répondit le Noble en saluant d’un sourire.
Le mari de Mary ne tarda à vite retrouver la bande de joyeux lurons qui commençait à chanter à la buvette. Mary prit sa veste et son sac. Arrivée à la voiture, Le Marquis d’Evans présenta Walter à Mary. Celui-ci dit bonsoir poliment tout en lui souriant. Mary aperçut dans ses yeux une grande admiration envers son patron.
La rolls démarra. Mary sans dire mot et afin de faire une surprise à son Maître Vénéré sortit sans attendre de son sac à main son collier de chienne. Le Marquis assis à ses côtés, prit le collier d’une main tandis que l’autre commençait déjà à lui caresser la cuisse avant de claquer du doigt en lui disant laconiquement :
- Ecarte les jambes, chienne …
Mary n’eu aucune difficulté à faire cela, sa robe ample lui permettait d’écarter largement ses cuisses. Mary qui bien entendu ne portait pas de culotte ce jour-ci dévoila ainsi un sexe lisse sans aucune pilosité et déjà fort trempé d’excitation. Le Maître mit le collier au cou de Sa soumise doucement sans précipitation en la fixant droit dans les yeux :
- Tu es désormais Ma soumise chienne en réel et soit heureuse de l’être.
- Merci Maître, il y a si longtemps que j’attendais ce moment, dit Mary en baissant la tête en signe de profonde reconnaissance
Puis Il embrassa la belle fougueusement, les langues se trouvèrent. Il passait avec tendresse une main dans ses cheveux tandis que l’autre s’insinuait tout doucement entre ses cuisses. Elle sentit de suite les doigts baladeurs du Maître lui caressant son clito de chienne, passant Ses doigts sur les lèvres si humides. Le Marquis enfila deux doigts dans sa chatte et commençait à les faire aller et venir avec une régularité de métronome. Mary en gémissait de plaisir mais elle savait qu’elle devait supporter toute montée de plaisir sans avoir droit à la jouissance tant que son Maître ne l’aurait pas autorisée à avoir un orgasme. Tout cela ne laissa pas insensible le châtelain qui excité de la situation dévoila une bosse sous son pantalon. D’un autre claquement de doigts et d’un geste rapide en direction de sa queue, Mary comprit vite ce que son Maître attendait d’elle. Elle déboutonna la braguette du pantalon du Marquis pour en faire sortir un sexe dur et long gonflé de sang. Au moment ou elle pencha la tête pour le sucer, elle aperçu, l’espace de quelques secondes, le visage souriant et amusé de Walter dans le rétroviseur intérieur, tandis que celui-ci conduisait avec prudence. Elle pris en bouche la verge divine et s’appliqua du mieux qu’elle pouvait à donner du plaisir à son Vénéré Maître.
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