La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°238)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°238) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°238)
Suite de l'épisode N°235 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -

Thaïs s'était retrouvée les yeux bandés, écartelée les bras et les pieds en croix, attachée solidement par des cordes qui passaient sur les poutres en bois de la chambre. Son rythme cardiaque s'était accéléré tandis qu'elle sentait que son Maître, Monsieur le Marquis d’Evans nouait les cordes sur ses pieds lui empêchant le moindre mouvement dans une position relativement inconfortable, qu'elle pensait ne pas pouvoir supporter très longtemps. En effet, le Marquis avait même réajusté les cordes en tirant dessus et les attachant entre elles, ce qui avait eu pour effet de tendre les liens et d'obliger la soumise à se mettre presque sur la pointe des pieds pour éviter trop de tension sur ses membres supérieurs. Et puis le silence s'était fait dans la chambre. Quelques minutes plus tard, alors que le Maître observe la soumise immobilisée et offerte, qui découvre les sensations d'un monde nouveau dont elle ignore tout, IL se décide enfin à rompre le silence :

- Thaïs, comment te sens-tu ?
- Vous êtes là, Mon Maître ? J'avais peur que Vous soyez parti.
- Mais non Thaïs, j'ai toujours été là, je te regardais essayer de gesticuler sans pouvoir parvenir à quoique ce soit et finalement te calmer pour te résigner à ton sort, vulnérable comme l'est une soumise qui s'est livrée à son Maître … Tu sais que lorsque je te regarde, je te désire à Ma manière, je sens ton corps qui frémit tellement il est réceptif et j'ai envie de tester plein de choses et de te soumettre à toutes Mes folies perverses. Tu es si différente des autres, à la fois si sensuelle et charnelle, mais aussi si cérébrale et réfléchie, en permanente dualité entre raison et passion qui s'affrontent dans un combat interne, à la fois forte mais si fragile derrière ta carapace, et pourtant je sens que tu pourras apprendre à canaliser toute la force qui est en toi pour devenir une soumise dont je serai de plus en plus fier… Je veux que tu te laisses aller maintenant, je vais te faire goûter au plaisir d'une autre manière encore. Mais comme tu n’as pas l’habitude, je vais t’enlever le bandeau pour que tu sois plus à même de voir ce que j’ai prévu de tester ce matin…

Le Marquis d’Evans défait le bandeau des yeux de sa soumise toujours écartelée. Instinctivement, Thaïs garde encore les yeux clos, et la tête baissée.

- Je veux marquer ton corps, je t'expliquerai pourquoi plus tard. Ne le prend pas comme une punition, cela en n’est pas une, c'est dans mon intérêt et puis il me plait aussi de savoir que tu m'appartiens et que je peux faire ce que je veux de toi, de ton corps qui est à Moi, que tu accepteras tout, sans jamais dire non … Thaïs, Est-ce que tu m'entends ?
- Oui, Maître, je Vous entends.
- Alors pourquoi ne dis-tu rien ?
- Maître, jusqu'à présent Vous n'avez pas vraiment posé de questions, Alors, simplement, je Vous écoutais et ne voulais pas Vous interrompre.
- Tu te rappelles tous les jolis instruments que tu as dû trouver en ouvrant le carton que j’avais fait livrer ici pour ton arrivée. Tu ne t’imaginais tout de même pas que c’était juste pour le plaisir des yeux. D’ailleurs, ouvre-moi tes beaux yeux bleus, je veux te voir maintenant. Je veux voir ton regard suppliant qui s’abandonne à mes désirs pervers et possessifs…

Le Marquis d’Evans s'empare d'une badine, qu'IL agite sans cesse devant les yeux de plus en plus inquiets de Thaïs de savoir quand et où celle-ci va s'abattre sur son corps, et l’effet que cela peut produire, elle dont le corps n’a jamais été meurtri, zébré, ni marqué de quelque manière que ce soit. Mais IL décide de faire durer le suspens, et croître l’excitation que l’inconnu fait naître. IL se sert de l’objet, non dans sa destination première, mais juste pour venir toucher le corps de Thaïs qui frémit à chaque fois et dont le souffle s’accélère, surtout quand IL entreprend d’aller s’immiscer avec dans son entrecuisse ouvert déjà très suintant.

- N’ai pas peur pour l’instant Thaïs, je veux d’abord que tu goûtes au plaisir très ré…jouissant afin de libérer toutes les tensions que je sens en toi. Il est vrai que tu n’as pas encore joui ce matin et tu as pourtant été une bonne petite chienne pour ton Maître, acceptant de lui offrir des moments intenses de plaisirs qui ont su faire jaillir tout son sperme …

Le Marquis s’approche du corps de la soumise toujours écartelée. IL a juste enfilé une chemise pour se couvrir mais qui est restée ouverte et son sexe vient de se redresser tandis que son corps se colle contre le dos de sa soumise laissant entre les deux son bâton de joie gonflé à nouveau. IL l’enlace tendrement et Ses mains parcourent les courbes de son visage, puis descendent peu à peu pour empoigner ses deux seins majestueux qu’IL prend à pleines mains et malaxe sans ménagement, s’attardant plus particulièrement sur les deux tétons turgescents à son approche. IL continue ses explorations sur le ventre qui se rétracte au passage de ses mains câlines et va ensuite se perdre dans l’intérieur des cuisses qui se crispent, mais ne peuvent ni se fermer ni s’ouvrir, car complètement entravée. Dans le même temps, IL dépose un baiser sur sa nuque, ce qui a pour effet de la faire vibrer et émettre un petit cri de plaisir.

- Tu ne vas pas jouir juste avec un baiser dans la nuque, tout de même, Thaïs !
- Non, Maître Vous ne m’avez pas autorisé. Mais je vais avoir du mal à contenir mon plaisir.
- Il le faudra bien le contenir, tu m’entends ! Tu dois attendre mon ordre pour jouir, tu as bien compris. Ne me déçois pas de si bon matin, cela ne se passerait pas très bien pour toi pour la suite de la journée.
- Oui, Maître.

Thaïs se sent à la merci de son Maître comme jamais elle ne l’a été de sa vie, Aucun mouvement ne lui est possible, des frissons parcourent son corps et elle est à fleur de peau, heureuse d’être là à ses côtés et de se sentir sa soumise et pour autant inquiète de ce qui l’attend et qu’elle ignore encore. Elle ne peut empêcher son Maître de prendre possession de ce qui lui appartient, son corps, son sexe, son désir qui va grandissant, son excitation qu’IL fait croître tel un virtuose. IL n’arrête pas de déposer des baisers dans sa nuque, alternant avec des petits souffles légers derrière les oreilles ou sur les épaules …. Tandis que sa main inquisitrice est partie à l’assaut de son bouton de rose qui est gonflé comme jamais et de sa caverne intime qui est si chaude et si soyeuse. Ses doigts deviennent comme ceux d’un pianiste qui jouent une mélodie qui la fait vibrer harmonieusement. Elle essaye de résister à la montée du désir, se cabre de plus en plus dans ses liens, souffle lentement pour ne pas laisser l’orgasme venir avant que son Maître ne l’y autorise. Ce sublime doigté dure longtemps, de longues minutes. Et lorsque le Marquis a bien senti que le summum est presque atteint et d’une voix calme, IL lui murmure à l’oreille :

- Maintenant !!! jouit maintenant !

Thaïs dans la seconde qui suit, émet un grand cri libérateur, qui est suivi d’un long silence pendant lequel elle se trouve presque en apnée. Et dans le même temps, la femme fontaine qu’elle est, a laissé jaillir de son corps un très long jet de cette eau transparente qui coule quand le plaisir féminin est à son paroxysme.

- Et bien Ma belle, tu as inondé, il me semble …. Tout est trempé par terre …. Et alors qu’est qu’on dit ?
- Merci, Maître Vénéré, merci de m’avoir permis de jouir aussi fort. J’ai beaucoup coulé je crois car Vos doigts ont un effet sublime sur mon corps et sur mon sexe.

Le Marquis retire ses doigts de la chatte trempée et les mets aussi sec dans la bouche de Thaïs qui s’empresse de les sucer et de les nettoyer avant de déposer un baiser tendre et reconnaissant sur la main qui est à portée de ses lèvres.

- Alors maintenant on va passer à des choses plus sérieuses. Tu sais que nous avons à déjeuner deux invités dans le cadre de Mes affaires. Je t’expliquerai tout à l’heure ce que j’attends de toi, et pourquoi je t’ai fait venir à cette réunion. Mais tu te rappelles que je t’ai dit juste avant que je devais marquer ton corps, car je souhaite que mes invités puissent te voir ainsi tout à l’heure. Tu es d’accord, bien sur ? Même sans savoir ce qui va t’arriver ?
- Oui, Maître. Je Vous appartiens, corps et âme. Vous pouvez faire ce que Vous voulez de moi.
- Très bien, je n’attendais cependant pas une autre réponse de ta part, car tu es à Moi, ne l’oublie jamais.

Le Marquis d’Evans attrape un petit martinet avec des lanières assez souples qu’IL abat sur les fesses de Thaïs, qui a émit un son juste sur le premier coup, plus par l’effet de la surprise que par douleur proprement dite.

- Tu vois, c’est juste pour donner de la couleur à tes fesses et aussi pour chauffer un peu ton dos, avant que je ne lui fasse goûter le plaisir du fouet. Mais c’est bien parce que c’était le premier coup que je n’ai rien dit, je ne veux pas t’entendre pour l’instant, tu as bien compris ?
- Oui, Maître. Pardonnez-moi.

Au bout de 10 minutes de ce traitement chauffant, le Marquis rompt le silence que seuls les coups de martinet meublaient avec une régularité de métronome.

- Je te donne le droit exceptionnellement de crier quand tout à l’heure je vais te marquer, car les coups seront vraiment appuyés de ma part et tu vas connaître la morsure du fouet dans ta chair. Tu risques d’avoir mal.

Le Marquis a pris en mains un fouet à longue queue unique qu’IL abat par trois fois méthodiquement sur le corps de sa soumise, deux traits en diagonale de part et d’autre du corps en ayant changé de positionnement à chaque fois et le troisième horizontal. Thaïs a donc sur le dos, une étoile à six branches, formées de trois marques rouges presque à vif. Elle a hurlé chaque fois que son corps a senti le fouet s’abattre et elle est presque prête à tomber dans les pommes tant sous la douleur des coups portés que sur la fatigue de cette position imposée depuis fort longtemps.

- C’est très bien ma belle, c’est fini, calme-toi maintenant… Je suis très fier de toi.

Le Marquis d’Evans détache Thaïs de ses liens. IL la soutient dans Ses bras car les jambes lui manquent et elle est prête à défaillir. IL l’aide à s’approcher du canapé et l’allonge tendrement en lui mettant un coussin sous la tête, puis la caresse affectueusement en passant Sa main dans ses cheveux, sur son visage et ses lèvres. Le contraste entre les gestes tendres de son amant qui l’avait caressé et faite jouir, puis ceux violents de son Maître Dominateur et pervers qui n’avait pas hésité à zébrer son corps dans son intérêt avait-il dit et ceux maintenant très affectueux de son protecteur sont surprenants pour Thaïs qui ne comprend pas comment IL peut être si différent en l’espace de quelques minutes, et elle repense à l’histoire du Docteur Jekyll et Mister Hyde, se demandant s’il elle n’a pas succombé aux charmes du premier pour finalement devoir succomber aux affres du second.

- Repose toi quelques instants, Ma belle chienne. Mais surtout je t’interdis de toucher aux marques que tu as sur le dos. Pas question que tu envoies les mains dessus. Si tu grattais ou si tu y touchais, cela pourrait faire des croûtes… J’avais juste besoin que les marques soient visibles aujourd’hui, tu vas comprendre pourquoi. Je ne veux pas qu’elles te restent à vie. Tu m’as compris, Thaïs.
- Oui, Maître, je Vous ai compris. Je ne toucherais pas, même si cela me fait encore atrocement mal. Pourquoi avez-Vous eu besoin, Maître, que j’ai de telles marques douloureuses sur le dos pour Vos invités ?
- Thaïs, qu’est-ce que je t’ai déjà dit !!! Tu ne dois jamais poser de questions ? Est-ce clair !!!
- Euh … oui, pardonnez-moi, Maître, C’est très clair pour Votre soumise.
- Je te le dirais de toute manière tout à l’heure, en temps voulu, mais pour l’instant, tu vas te reposer quelques minutes, moi je file dans la salle de bains me préparer et aussi je vais faire monter un petit déjeuner pour nous deux…

La matinée se passe sans autres événements, que ceux de se préparer à la réunion de travail que va avoir Monsieur le Marquis d’Evans avec ses deux invités. Après un bon petit déjeuner, le Marquis a même fait couler un bain pour que sa soumise puisse se laver à son tour et détendre ses muscles dans une eau remplie d’huiles essentielles, même si le bain n’a fait que raviver la douleur de son dos encore meurtri et des ses trois plaies quasi à vif. Et c’est donc auprès d’une table de travail qu’IL commence à expliquer Ses plans presque machiavéliques à la soumise qui va lui servir d’appât pour arriver à Ses fins dans la négociation qu’IL a entreprise… Mais juste avant, IL lui a demandé de se vêtir des habits qu’IL a choisis pour elle. Pas de sous-vêtements et une robe bleue Roy avec un dos complètement dénudé. Thaïs enfile également des bas noirs et des chaussures du même ton que la robe, mais la tenue est telle qu’avec ses cheveux courts, le regard est très vite attiré sur le dos sur lequel une étoile est dessinée, dont nul ne peut douter de la provenance et ignorer qu’au moins trois coups ont marqués sa chair récemment pour y laisser de longues estafilades rouges et l’empreinte que le ‘’bourreau’’ a voulu y dessiner.

Thaïs constate que le Marquis d’Evans avait tout programmé depuis longtemps, cela ne la surprend guère car elle sait combien IL est minutieux, mais cela lui donne encore plus le sentiment d’être un simple pion dans le jeu de son Maître, une marionnette qu’IL agite à sa guise, sauf qu’elle sait très bien que c’est elle qui a voulu devenir Sa soumise et se plier à toutes Ses volontés pour devenir, pour Lui et Lui seul, celle dont IL avait envie et besoin, et qu’elle est prête à tout pour Celui qu’elle vénère et affectionne si profondément. C’est donc sans chercher à deviner les intentions de son Maître, qu’elle s’agenouille à ses côtés pour l’écouter.

- Thaïs, Voilà, à midi, je dois recevoir deux hommes d’affaires qui possèdent un terrain que je veux absolument acquérir. Je ne suis pas sûr qu’ils souhaitent me le vendre et qu’il n’y ait pas d’autres concurrents dans cette affaire. Nos contacts n’ont pas été très bons jusqu’à présent et je dois donc ruser si je veux arriver à Mes fins. Il faut que tu saches que j’ai fait plusieurs offres d’acquisition sur ce bien, sous des noms différents et par le biais de conseils, de prête-noms et de sociétés écrans. Je pense qu’ils n’ont pas pu remonter les filières, mais je veux d’abord m’en assurer. En fait, de ces deux personnes, un seul d’entre eux est le vrai décideur, tu comprendras très vite, car c’est à lui que je m’adresserai la plupart du temps, même s’il fait toujours en sorte de laisser son homologue s’exprimer à sa place, ce qui lui permet de prendre un peu de recul, mais j’ai vite compris le subterfuge dès notre première entrevue.
- Oui, Maître, et qu’attendez-Vous de moi exactement ? Car je dois avouer que je ne comprends pas bien où Vous voulez en arriver. Si Vous voulez ce terrain, pourquoi ne pas faire tout simplement une offre plus importante, voire leur proposer de faire une surenchère sur l’offre la plus intéressante qu’ils ont reçue ?
- Thaïs, je te croyais plus affairiste que cela, tout simplement, parce que je n’ai pas envie de payer deux fois le prix pour quelque chose que je peux obtenir avec un peu plus de finesse à moindre coût ou du moins au prix du marché. Je ne suis pas en manque d’argent, mais je prendrai assez de plaisir à faire une bonne affaire.
- Mais pourquoi, avez-Vous eu besoin de me fouetter ce matin, Maître. Je n’avais rien fait de mal, que je sache !
- Thaïs, je vais commencer à être agacer sérieusement si tu m’obliges tout le temps à répéter ce que je te dis … Alors disons que ce sera la dernière fois, sinon ce n’est pas trois mais trente coups dont tu vas avoir la trace sur ton dos.
- Non, Maître, je Vous en supplie.
- Donc pour que cela soit bien clair dans ta tête à la mémoire défaillante, et de une, tu dois obéir en tous points sans poser de questions et de deux, ne t’ai-je pas dit avant de commencer que ceci n’était pas du tout une punition.
- Oui, mon Maître, Vous aviez dit tout cela, je vous demande pardon de l’avoir oublié.
- Maintenant, assied-toi, Thaïs, sur la chaise à Mes côtés, je vais te montrer le dossier du projet que j’ai en tête. Je veux aussi connaître ton avis de professionnelle sur cette affaire. Pour mes invités, tu seras à la fois mon assistante, ma secrétaire, mais aussi mon esclave… D’ailleurs pour que cela soit bien clair d’entrée de jeu, tu porteras au cou ce collier.

Le Marquis se lève, va chercher dans l'un de ses sacs de voyage, un collier en métal rond couleur acier, qui semble ne même pas avoir de fermeture tant le mécanisme en est dissimulé à l’intérieur même du collier. De ce grand anneau qu’il enserre au cou de Sa soumise qui a baisé la tête après s’être mise à genoux, pend juste un autre petit anneau rond très symbolique. Thaïs a entendu le cliquetis de la fermeture du collier qui a exactement la taille de son cou, se disant une fois de plus que son Maître a pensé à tout, y compris à emporter un collier aux mensurations précises qui tombe juste au bas de l’encolure, serré mais pas de trop non plus, épousant la forme de son corps à merveille. Elle sent le froid du métal sur sa peau, mais elle est très contente de porter le collier posé par son Maître comme symbole de son appartenance et de sa soumission… Le Marquis continue à converser avec Sa soumise, préparant leur repas d’affaires, jusqu’à l’arrivée de leurs deux invités.

12h00 – Le téléphone sonne dans la suite du Marquis. Sur ordre de son Maître, Thaïs répond et précise qu’on lui informe que les deux personnes sont arrivées à l’accueil. Le Marquis lui dit de répondre qu’elle va descendre les chercher pour les faire monter jusqu’à la suite du Marquis, si quelqu’un veut bien sans tarder les accompagner jusqu’au bas de l’escalier privé qui conduit au premier étage de la tour du château...

(A suivre….)

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