La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°245)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°245)
Suite de l'épisode N°243 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -
Sous les ordres de son Maître Vénéré, Le Marquis d’Evans, Sa soumise Thaïs, dévouée et complice, s’était débrouillée en jouant une comédie effrontée de se faire passer pour une victime forcée et maltraitée de son Maître et non une soumise librement consentante, n’hésitant pas à implorer le jeune businessman qu’elle cherchait à piéger pour qu’il la sauve des griffes de son (soi-disant) bourreau et que, s’apitoyant sur son sort, il accepte de la prendre en charge, de la protéger et surtout de l’emmener dans sa chambre. Usant de tous ses charmes, elle avait séduit le jeune homme qui se prenait pour un vrai superman de service, ce qui flattait son égo mais lui avait fait perdre un peu de son self-control, la laissant seule dans sa chambre d’hôtel sans se douter un seul instant que tout cela n’avait été mis en scène que dans le seul but de pouvoir fouiner dans les documents et fichiers informatiques de ce dernier et qu’il n’existait en réalité pas la moindre Isabelle, mais seulement une soumise Thaïs toujours extrêmement fidèle et heureuse à son seul et unique Maître Vénéré…
Sous prétexte d’adresser un mail à sa famille, Thaïs a donc réussi à obtenir que l’ordinateur professionnel de l’homme d’affaires soit mis à sa disposition, mais visiblement seule une session invité lui a été ouverte. Elle sort sans attendre de sa poche une clé 3G pour pouvoir assurer une liaison avec les services informatiques qui travaillent pour l’Entreprise du Marquis (voir La Saga saison 2). Très rapidement, ils arrivent à prendre la main sur l’ordinateur qui se trouve pourtant à distance, mais ne pouvant car le temps était compté craquer le code de protection des fichiers personnels et professionnels, ils chargent à la place un logiciel espion indécelable même par les plus performants antivirus du marché qui leur permettra de pouvoir récupérer les éléments adéquats dès qu’un utilisateur se connectera, car ce logiciel permet de conserver entre autres la mémoire de toutes les touches qui sont tapées et qu’il peut envoyer des informations via le Net, sans pour autant que cette opération irrégulière ne soit visible par celui qui serait en train de travailler sur l’ordinateur.
Pendant ce temps là, Thaïs fouille rapidement dans la valise et la mallette qui se trouve dans la chambre. Elle sait que tant qu’elle ne reçoit pas le signal d’alerte par sms de son Maître, ses deux invités sont avec Lui et qu’elle est donc tranquille dans sa tâche d’espionne. Elle a pour mission de rapporter à son Maître, de quelque manière que ce soit, le maximum d’information sur la négociation en cours, et plus particulièrement la liste des autres promoteurs intéressés par ce terrain, car il faut que le Marquis puisse les évincer en toute connaissance de cause. En fait, Thaïs trouve peu d’éléments dans les bagages de l’homme d’affaires et donc elle se sent un peu bredouille malgré tous les efforts qu’elle a dû déployer pour arriver jusque là. C’est surtout qu’elle se rend compte que sa tâche va devoir se prolonger et qu’elle devra continuer à jouer le rôle d’Isabelle tombant amoureuse de son vaillant sauveur, Thierry. Elle a largement le temps de contacter les services informatiques qui ont terminé leur tâche de piratage à distance et elle se met donc, pour que son histoire reste plausible, à taper le mail soi-disant écrit pour sa mère et sa sœur, avec moult détails pour que cela semble très crédible.
Pendant ce temps, dans le salon de la suite du Marquis, la réunion de travail est largement tendue. Le contact s’était avéré plus facile tout de même avec le plus âgé des hommes d’affaires qui était resté avec le Marquis tandis que son associé emmenait dans sa chambre Thaïs pour la protéger mais aussi pour la baiser. Spontanément, ni l’un ni l’autre ne se voulant tenter de reparler de ce qui venait de se passer, la conversation avait très vite tourné sur la qualité des vins produits dans la propriété qu’ils avaient pu déguster pendant le repas, enchaînant par la suite sur les plaisirs de la table. Le Marquis ayant précisé qu’IL avait pris plaisir à déguster ce petit vin de Chinon très local et de petite production, qu’IL ne connaissait pas bien évidemment, Lui qui est plus habitué à boire des vins Beaujolais venant de son pays, à quoi, son interlocuteur avait ajoutait qu’il appréciait aussi particulièrement les vins voisins de Bourgogne, se mettant rapidement à comparer ensemble bonnes et mauvaises années et noms des différents propriétaires-viticulteurs. A l’inverse, la tension s’était vite installée dès que le jeune businessman était revenu. Ceci avait contraint, le Marquis d’Evans à mettre tout de suite les choses au point pour la suite de la conversation avec celui dont il était manifeste, à sa tenue un peu plus débraillée qu’à son arrivée le matin même, qu’il avait cédé aux avances d’Isabelle, ce qui était d’ailleurs de nature à justifier le temps assez long pendant lequel il avait été absent.
- Messieurs, je regrette l’incident que Vous avez été amené à vivre. Je peux Vous assurer que je n’ai rien à me reprocher vis-à-vis de mon ex-soumise Thaïs. Je n’entends nullement me justifier devant vous et je vous prie de bien vouloir ne plus jamais me parler de cette personne pour ne pas m’importuner davantage. Je vous ai fait venir en vue de l’acquisition de votre terrain sur la commune de D….. et je veux seulement savoir si ma proposition a retenu l’accord de Votre Conseil d’Administration et dans le cas contraire, ce qui est de nature à empêcher la signature des actes. J’ai de nombreux projets en cours et je n’ai pas l’intention de perdre mon temps inutilement si ce dossier ne doit pas aboutir.
- Monsieur d’Evans, il nous est impossible de Vous donner une réponse pour l’instant. Nous avons reçu plusieurs propositions. Votre offre est intéressante sur le plan financier, je ne vous le cache pas, mais vous devez le savoir. En revanche, votre projet de convention préalable qui vaudra compromis, n’est pas sans nous poser un souci, notamment en raison des nombreuses clauses que vous avez insérées. Mon associé peut d’ailleurs confirmer mes propos.
- Oui, je vous assure qu’à ce jour, notre Conseil d’Administration n’a pris aucune décision. Une affaire de plusieurs millions d’euros ne se traite pas aussi vite que si nous vendions une baguette de pain. Nous avons besoin de toutes les garanties possibles aussi de notre côté.
- Messieurs, soyez raisonnables, mes juristes n’ont fait que reporter tous les engagements oraux et autres garanties dont vous nous avez fait part lors des réunions et contacts téléphoniques préalables.
La discussion se poursuit bon train, mais sans vraiment évoluer car il s’agit bien plus d’un dialogue de sourds que d’une vraie transaction en train de se finaliser.
- Monsieur d’Evans, je pense que pour l’instant, je vais mettre fin à cette conversation. Nous avons besoin de pouvoir parler entre nous et aussi de prendre un peu de recul sur les événements qui se sont passés. Je vais donc me retirer dans ma chambre ainsi que mon ami. Et nous vous recontacterons pour le dîner, j’ai aussi quelques appels téléphoniques et autres mails à passer et je pense que nous vous ferons parvenir également d’ici ce soir, une liste des questions qui ont été soulevées par nos conseils financiers et juridiques. Plus vite, vous serez en mesure de nous éclairer, moins ce dossier traînera en longueur.
- A plus tard, Monsieur le Marquis d’Evans, (reprenant alors que le jeune homme a commencé à se calmer un peu une formulation plus conventionnelle et enchaînant aussi sec un peu plus à l’écart et à voix assourdie) André, tu viens, j’ai besoin de te parler dans ta chambre, nous y serons plus a l’aise, la mienne est occupée comme tu dois t’en douter.
Très rapidement, le Maître envoie à sa soumise le signal convenu en appuyant sur la touche programmée, pour la prévenir qu’elle doit se tenir prête à voir débarquer celui qui lui a fait profiter de l’hospitalité de sa chambre. Thaîs, avait déjà tout remis en ordre, tapé une partie de son mail volontairement laissé visible et non terminé. Elle se recouche vite fait sur le lit, faisant semblant de dormir et de récupérer. Le jeune Thierry a commencé par faire un sérieux débriefing avec son associé dans la chambre de ce dernier et c’est au bout d’un long moment qu’il retourne dans sa chambre pour y trouver son Isabelle endormie, enfin du moins le croît-il à cet instant. Comme l’ordinateur n’était toujours pas éteint, il se met à lire le mail qu’avait commencé à taper l’ex-soumise, et reste effaré de lire avec quelle perversité, elle avait été malmenée au Château, enfermée et même encagée, battue quotidiennement, fouettée, privée de sommeil et de nourriture qui ne consistait d’ailleurs qu’en une bouillie infâme et insipide, violée brutalement et forcée à porter en permanence des plugs et autres objets qui la pénétraient profondément pour la maintenir en état de dilatation constante, contraintes à toutes les basses besognes les plus répugnantes de jour comme de nuit et aussi traitée comme une chienne devant sans cesse se déplacer à quatre pattes et n’ayant pas droit de parler sauf si on lui posait une question. Tout ceci ne fait qu’ajouter de la véracité à ce qu’il croît forcément et surtout qu’augmenter la pitié naturelle qu’il ressent pour ce petit être sans défense qu’il vient de sauver du démon. Il s’allonge tranquillement aux cotés d’Isabelle prenant soin de ne pas la réveiller, il veut juste la contempler comme un enfant se mettrait à regarder avec tendresse un animal blessé.
La belle qui ne dort absolument pas, commence peu à peu à bouger comme si elle émergeait d’un long sommeil reconstructeur. Et c’est presque faussement endormie, qu’elle se rapproche de son nouvel amant et entreprend à nouveau de l’entraîner vers une jouissance partagée, car elle sait très bien qu’elle doit absolument pour arriver à ses fins faire encore plus chavirer le cœur de son nouveau protecteur, afin qu’il abaisse toutes ses barrières de protection que son côté professionnel lui a fait ériger.
- Thierry, dites-moi comment cela s’est passé ? Avez-vous vu Le Marquis, a-t-IL dit quelque chose à mon sujet ? Et est-ce que tout cela ne va pas vous poser un souci dans vos affaires professionnelles. Je n’ai pas arrêté de penser à cela, je me suis sentie coupable de Vous avoir entraîné dans mes déboires, et d’avoir peut-être perturbé vos négociations d’affaires. Si j’étais la cause de cette vente ratée, je ne me le pardonnerais pas.
- Isabelle, ne devais-tu pas me tutoyer ? Surtout que maintenant nous sommes devenus amants.
- Oh oui, pardon, Thierry. J’ai tellement perdu l’habitude à force de vouvoyer mon ancien Maître et toutes les personnes de sa suite, devant leur parler avec déférence, voir même de manière obséquieuse sous peine de recevoir une punition ou tout du moins une gifle au moindre mot de travers, que cela est ressorti de manière inconsciente, mais je n’ai rien oublié de ce que nous avons vécu tout à l’heure et de ce moment très ré-jouissant que j’ai pu vivre dans tes bras. J’aurais même bien envie de recommencer, si tu en avais le désir de ton côté et si tu avais du temps également.
Et aussi sec Thaïs se colle contre le corps de son amant, ondulant son bassin pour venir se frotter sur le sexe de son partenaire dans une danse préliminaire destinée à faire monter en lui un désir érectile d’homme. Elle l’embrasse tendrement et prend sa main pour lui montrer le chemin de son intimité qu’elle voudrait qu’il dénude et caresse sans retenue. De ses mains, elle ouvre la chemise blanche qu’il porte en ayant au préalable agrandi le nœud de cravate qu’elle fait passer au dessus de sa tête. Et elle glisse ses mains sur la toison qui couvre le torse du jeune homme. Du bout des ses ongles, elle pianote sur sa peau mélangeant caresses et légers attouchements. Son amant se laisse faire par ses mains expertes qui ne tardent pas à descendre pour ouvrir la ceinture en cuir qu’il porte et juste après la fermeture éclair de son pantalon. Elle se redresse sur le lit, l’enfourche carrément et prend les deux mains de son partenaire pour les poser sur ses épaules, lui faisant comprendre sans mots dire qu’elle souhaite qu’il puisse la dévêtir comme on effeuille une fleur, enlevant le chemisier de voile qui couvre le haut de son corps. Elle est nue dessous, car elle avait quitté la chambre du Marquis sans prendre le temps de chercher s’il y avait des sous-vêtements, vu qu’elle avait enfilé la tenue qu’elle portait à son arrivée au Château de M….. et que suivant les ordres de son Maître, elle ne portait ce jour là, ni petite culotte, ni soutien-gorge. Elle se retrouve donc à califourchon, assise sur son amant, seulement vêtue d’une jupe à volants qu’elle soulève et laisse retomber en corolle tout autour d’elle. Son haut du corps est nu, comme au premier jour de sa vie, ne portant aucune parure, puisque elle avait pris soin de défaire son collier d’esclave avant de quitter son ancien Maître, le déposant en évidence avec la clef qui servait à le cadenasser sur la table de salon, juste avant de rejoindre celui qui l’emmenait.
Elle conduit les mains de son amant vers sa poitrine généreuse et ses deux seins lourds qu’elle empoigne à travers les mains de son amant, lui faisant comprendre à quel point elle aime qu’on s’occupe de ses monts majestueux. Et tandis qu’il s’affaire à malaxer et à venir titiller les deux mamelons qui se tendent à son contact, Isabelle descend peu à peu reculant sur le corps allongé de son amant, jusqu’à pouvoir commencer à empoigner le pantalon et le boxer que porte encore le jeune homme qu’elle fait glisser au fur et à mesure qu’elle recule vers le fond du lit. Il avait déjà quitté ses chaussures avant de grimper sur le lit et rien de fait ne s’oppose à son véritable effeuillage qui met à nu son partenaire, qui des suites de l’excitation de cette scène arbore déjà un pieu bien dressé. Sur un ton très coquin, Isabelle, sourit :
- Tout à l’heure, je n’avais pas eu le temps de t’admirer dans toute ta splendeur …. Tu as tout ce qu’il faut pour plaire à une femme, je suis sûre qu’elles doivent être nombreuses à passer dans ton lit.
- Isabelle, ne dit pas cela comme ça. Je suis quelqu’un de beaucoup plus sérieux que ce que tu crois. Certes, il y a longtemps que je ne suis plus puceau, mais je me consacre beaucoup à mes affaires, et je ne cours pas les donzelles en chaleur toute la journée, même si cela me contraint le plus souvent à un onanisme forcé, et disons hygiénique. Je suis un homme après tout qui a besoin de se vider régulièrement comme les autres.
- Et bien, je peux t’assurer que là ce ne va pas être une partie de plaisirs solitaires que nous allons jouer maintenant. Je vois que la petite bête est déjà montée, montée, montée et je suis sure qu’elle a envie de venir se mettre bien au chaud.
Et tandis qu’elle dit cela, elle a commencé à se coucher sur le lit à ses pieds et en avançant tel un félin qui ramperait, elle lèche les jambes de son amant délicatement, s’approchant peu à peu de son entrecuisse qu’inconsciemment il entrouvre un peu plus. Elle lèche à grands coups de langue toute la queue qui se cabre encore plus dès qu’elle approche, et s’attarde ensuite sur le gland dont elle fait le tour de nombreuses fois, pour ensuite redescendre très délicatement sur le vit qu’elle effleure du bout de ses dents, sachant très bien le frisson que cela doit provoquer et l’impact de ses actes sur le cerveau reptilien de l’homme qui ne peut que désirer à cet instant la femelle dont les odeurs corporelles sensuelles ont commencé à envahir ses narines. Sa langue se remet en action quand elle entreprend de lui lécher les bourses de part en part, pour finalement presque les mettre en bouche une après l’autre les sentant gonflées et pleines. Et c’est enfin qu’elle se décide à venir empaler sa bouche sur le sexe durci et gonflé, le suçant, l’aspirant, le léchant comme la vraie salope expérimentée qu’elle a appris à devenir dans sa formation de soumise au service de son Maître Vénéré, le Marquis d’Evans….
(A suivre …)
Sous les ordres de son Maître Vénéré, Le Marquis d’Evans, Sa soumise Thaïs, dévouée et complice, s’était débrouillée en jouant une comédie effrontée de se faire passer pour une victime forcée et maltraitée de son Maître et non une soumise librement consentante, n’hésitant pas à implorer le jeune businessman qu’elle cherchait à piéger pour qu’il la sauve des griffes de son (soi-disant) bourreau et que, s’apitoyant sur son sort, il accepte de la prendre en charge, de la protéger et surtout de l’emmener dans sa chambre. Usant de tous ses charmes, elle avait séduit le jeune homme qui se prenait pour un vrai superman de service, ce qui flattait son égo mais lui avait fait perdre un peu de son self-control, la laissant seule dans sa chambre d’hôtel sans se douter un seul instant que tout cela n’avait été mis en scène que dans le seul but de pouvoir fouiner dans les documents et fichiers informatiques de ce dernier et qu’il n’existait en réalité pas la moindre Isabelle, mais seulement une soumise Thaïs toujours extrêmement fidèle et heureuse à son seul et unique Maître Vénéré…
Sous prétexte d’adresser un mail à sa famille, Thaïs a donc réussi à obtenir que l’ordinateur professionnel de l’homme d’affaires soit mis à sa disposition, mais visiblement seule une session invité lui a été ouverte. Elle sort sans attendre de sa poche une clé 3G pour pouvoir assurer une liaison avec les services informatiques qui travaillent pour l’Entreprise du Marquis (voir La Saga saison 2). Très rapidement, ils arrivent à prendre la main sur l’ordinateur qui se trouve pourtant à distance, mais ne pouvant car le temps était compté craquer le code de protection des fichiers personnels et professionnels, ils chargent à la place un logiciel espion indécelable même par les plus performants antivirus du marché qui leur permettra de pouvoir récupérer les éléments adéquats dès qu’un utilisateur se connectera, car ce logiciel permet de conserver entre autres la mémoire de toutes les touches qui sont tapées et qu’il peut envoyer des informations via le Net, sans pour autant que cette opération irrégulière ne soit visible par celui qui serait en train de travailler sur l’ordinateur.
Pendant ce temps là, Thaïs fouille rapidement dans la valise et la mallette qui se trouve dans la chambre. Elle sait que tant qu’elle ne reçoit pas le signal d’alerte par sms de son Maître, ses deux invités sont avec Lui et qu’elle est donc tranquille dans sa tâche d’espionne. Elle a pour mission de rapporter à son Maître, de quelque manière que ce soit, le maximum d’information sur la négociation en cours, et plus particulièrement la liste des autres promoteurs intéressés par ce terrain, car il faut que le Marquis puisse les évincer en toute connaissance de cause. En fait, Thaïs trouve peu d’éléments dans les bagages de l’homme d’affaires et donc elle se sent un peu bredouille malgré tous les efforts qu’elle a dû déployer pour arriver jusque là. C’est surtout qu’elle se rend compte que sa tâche va devoir se prolonger et qu’elle devra continuer à jouer le rôle d’Isabelle tombant amoureuse de son vaillant sauveur, Thierry. Elle a largement le temps de contacter les services informatiques qui ont terminé leur tâche de piratage à distance et elle se met donc, pour que son histoire reste plausible, à taper le mail soi-disant écrit pour sa mère et sa sœur, avec moult détails pour que cela semble très crédible.
Pendant ce temps, dans le salon de la suite du Marquis, la réunion de travail est largement tendue. Le contact s’était avéré plus facile tout de même avec le plus âgé des hommes d’affaires qui était resté avec le Marquis tandis que son associé emmenait dans sa chambre Thaïs pour la protéger mais aussi pour la baiser. Spontanément, ni l’un ni l’autre ne se voulant tenter de reparler de ce qui venait de se passer, la conversation avait très vite tourné sur la qualité des vins produits dans la propriété qu’ils avaient pu déguster pendant le repas, enchaînant par la suite sur les plaisirs de la table. Le Marquis ayant précisé qu’IL avait pris plaisir à déguster ce petit vin de Chinon très local et de petite production, qu’IL ne connaissait pas bien évidemment, Lui qui est plus habitué à boire des vins Beaujolais venant de son pays, à quoi, son interlocuteur avait ajoutait qu’il appréciait aussi particulièrement les vins voisins de Bourgogne, se mettant rapidement à comparer ensemble bonnes et mauvaises années et noms des différents propriétaires-viticulteurs. A l’inverse, la tension s’était vite installée dès que le jeune businessman était revenu. Ceci avait contraint, le Marquis d’Evans à mettre tout de suite les choses au point pour la suite de la conversation avec celui dont il était manifeste, à sa tenue un peu plus débraillée qu’à son arrivée le matin même, qu’il avait cédé aux avances d’Isabelle, ce qui était d’ailleurs de nature à justifier le temps assez long pendant lequel il avait été absent.
- Messieurs, je regrette l’incident que Vous avez été amené à vivre. Je peux Vous assurer que je n’ai rien à me reprocher vis-à-vis de mon ex-soumise Thaïs. Je n’entends nullement me justifier devant vous et je vous prie de bien vouloir ne plus jamais me parler de cette personne pour ne pas m’importuner davantage. Je vous ai fait venir en vue de l’acquisition de votre terrain sur la commune de D….. et je veux seulement savoir si ma proposition a retenu l’accord de Votre Conseil d’Administration et dans le cas contraire, ce qui est de nature à empêcher la signature des actes. J’ai de nombreux projets en cours et je n’ai pas l’intention de perdre mon temps inutilement si ce dossier ne doit pas aboutir.
- Monsieur d’Evans, il nous est impossible de Vous donner une réponse pour l’instant. Nous avons reçu plusieurs propositions. Votre offre est intéressante sur le plan financier, je ne vous le cache pas, mais vous devez le savoir. En revanche, votre projet de convention préalable qui vaudra compromis, n’est pas sans nous poser un souci, notamment en raison des nombreuses clauses que vous avez insérées. Mon associé peut d’ailleurs confirmer mes propos.
- Oui, je vous assure qu’à ce jour, notre Conseil d’Administration n’a pris aucune décision. Une affaire de plusieurs millions d’euros ne se traite pas aussi vite que si nous vendions une baguette de pain. Nous avons besoin de toutes les garanties possibles aussi de notre côté.
- Messieurs, soyez raisonnables, mes juristes n’ont fait que reporter tous les engagements oraux et autres garanties dont vous nous avez fait part lors des réunions et contacts téléphoniques préalables.
La discussion se poursuit bon train, mais sans vraiment évoluer car il s’agit bien plus d’un dialogue de sourds que d’une vraie transaction en train de se finaliser.
- Monsieur d’Evans, je pense que pour l’instant, je vais mettre fin à cette conversation. Nous avons besoin de pouvoir parler entre nous et aussi de prendre un peu de recul sur les événements qui se sont passés. Je vais donc me retirer dans ma chambre ainsi que mon ami. Et nous vous recontacterons pour le dîner, j’ai aussi quelques appels téléphoniques et autres mails à passer et je pense que nous vous ferons parvenir également d’ici ce soir, une liste des questions qui ont été soulevées par nos conseils financiers et juridiques. Plus vite, vous serez en mesure de nous éclairer, moins ce dossier traînera en longueur.
- A plus tard, Monsieur le Marquis d’Evans, (reprenant alors que le jeune homme a commencé à se calmer un peu une formulation plus conventionnelle et enchaînant aussi sec un peu plus à l’écart et à voix assourdie) André, tu viens, j’ai besoin de te parler dans ta chambre, nous y serons plus a l’aise, la mienne est occupée comme tu dois t’en douter.
Très rapidement, le Maître envoie à sa soumise le signal convenu en appuyant sur la touche programmée, pour la prévenir qu’elle doit se tenir prête à voir débarquer celui qui lui a fait profiter de l’hospitalité de sa chambre. Thaîs, avait déjà tout remis en ordre, tapé une partie de son mail volontairement laissé visible et non terminé. Elle se recouche vite fait sur le lit, faisant semblant de dormir et de récupérer. Le jeune Thierry a commencé par faire un sérieux débriefing avec son associé dans la chambre de ce dernier et c’est au bout d’un long moment qu’il retourne dans sa chambre pour y trouver son Isabelle endormie, enfin du moins le croît-il à cet instant. Comme l’ordinateur n’était toujours pas éteint, il se met à lire le mail qu’avait commencé à taper l’ex-soumise, et reste effaré de lire avec quelle perversité, elle avait été malmenée au Château, enfermée et même encagée, battue quotidiennement, fouettée, privée de sommeil et de nourriture qui ne consistait d’ailleurs qu’en une bouillie infâme et insipide, violée brutalement et forcée à porter en permanence des plugs et autres objets qui la pénétraient profondément pour la maintenir en état de dilatation constante, contraintes à toutes les basses besognes les plus répugnantes de jour comme de nuit et aussi traitée comme une chienne devant sans cesse se déplacer à quatre pattes et n’ayant pas droit de parler sauf si on lui posait une question. Tout ceci ne fait qu’ajouter de la véracité à ce qu’il croît forcément et surtout qu’augmenter la pitié naturelle qu’il ressent pour ce petit être sans défense qu’il vient de sauver du démon. Il s’allonge tranquillement aux cotés d’Isabelle prenant soin de ne pas la réveiller, il veut juste la contempler comme un enfant se mettrait à regarder avec tendresse un animal blessé.
La belle qui ne dort absolument pas, commence peu à peu à bouger comme si elle émergeait d’un long sommeil reconstructeur. Et c’est presque faussement endormie, qu’elle se rapproche de son nouvel amant et entreprend à nouveau de l’entraîner vers une jouissance partagée, car elle sait très bien qu’elle doit absolument pour arriver à ses fins faire encore plus chavirer le cœur de son nouveau protecteur, afin qu’il abaisse toutes ses barrières de protection que son côté professionnel lui a fait ériger.
- Thierry, dites-moi comment cela s’est passé ? Avez-vous vu Le Marquis, a-t-IL dit quelque chose à mon sujet ? Et est-ce que tout cela ne va pas vous poser un souci dans vos affaires professionnelles. Je n’ai pas arrêté de penser à cela, je me suis sentie coupable de Vous avoir entraîné dans mes déboires, et d’avoir peut-être perturbé vos négociations d’affaires. Si j’étais la cause de cette vente ratée, je ne me le pardonnerais pas.
- Isabelle, ne devais-tu pas me tutoyer ? Surtout que maintenant nous sommes devenus amants.
- Oh oui, pardon, Thierry. J’ai tellement perdu l’habitude à force de vouvoyer mon ancien Maître et toutes les personnes de sa suite, devant leur parler avec déférence, voir même de manière obséquieuse sous peine de recevoir une punition ou tout du moins une gifle au moindre mot de travers, que cela est ressorti de manière inconsciente, mais je n’ai rien oublié de ce que nous avons vécu tout à l’heure et de ce moment très ré-jouissant que j’ai pu vivre dans tes bras. J’aurais même bien envie de recommencer, si tu en avais le désir de ton côté et si tu avais du temps également.
Et aussi sec Thaïs se colle contre le corps de son amant, ondulant son bassin pour venir se frotter sur le sexe de son partenaire dans une danse préliminaire destinée à faire monter en lui un désir érectile d’homme. Elle l’embrasse tendrement et prend sa main pour lui montrer le chemin de son intimité qu’elle voudrait qu’il dénude et caresse sans retenue. De ses mains, elle ouvre la chemise blanche qu’il porte en ayant au préalable agrandi le nœud de cravate qu’elle fait passer au dessus de sa tête. Et elle glisse ses mains sur la toison qui couvre le torse du jeune homme. Du bout des ses ongles, elle pianote sur sa peau mélangeant caresses et légers attouchements. Son amant se laisse faire par ses mains expertes qui ne tardent pas à descendre pour ouvrir la ceinture en cuir qu’il porte et juste après la fermeture éclair de son pantalon. Elle se redresse sur le lit, l’enfourche carrément et prend les deux mains de son partenaire pour les poser sur ses épaules, lui faisant comprendre sans mots dire qu’elle souhaite qu’il puisse la dévêtir comme on effeuille une fleur, enlevant le chemisier de voile qui couvre le haut de son corps. Elle est nue dessous, car elle avait quitté la chambre du Marquis sans prendre le temps de chercher s’il y avait des sous-vêtements, vu qu’elle avait enfilé la tenue qu’elle portait à son arrivée au Château de M….. et que suivant les ordres de son Maître, elle ne portait ce jour là, ni petite culotte, ni soutien-gorge. Elle se retrouve donc à califourchon, assise sur son amant, seulement vêtue d’une jupe à volants qu’elle soulève et laisse retomber en corolle tout autour d’elle. Son haut du corps est nu, comme au premier jour de sa vie, ne portant aucune parure, puisque elle avait pris soin de défaire son collier d’esclave avant de quitter son ancien Maître, le déposant en évidence avec la clef qui servait à le cadenasser sur la table de salon, juste avant de rejoindre celui qui l’emmenait.
Elle conduit les mains de son amant vers sa poitrine généreuse et ses deux seins lourds qu’elle empoigne à travers les mains de son amant, lui faisant comprendre à quel point elle aime qu’on s’occupe de ses monts majestueux. Et tandis qu’il s’affaire à malaxer et à venir titiller les deux mamelons qui se tendent à son contact, Isabelle descend peu à peu reculant sur le corps allongé de son amant, jusqu’à pouvoir commencer à empoigner le pantalon et le boxer que porte encore le jeune homme qu’elle fait glisser au fur et à mesure qu’elle recule vers le fond du lit. Il avait déjà quitté ses chaussures avant de grimper sur le lit et rien de fait ne s’oppose à son véritable effeuillage qui met à nu son partenaire, qui des suites de l’excitation de cette scène arbore déjà un pieu bien dressé. Sur un ton très coquin, Isabelle, sourit :
- Tout à l’heure, je n’avais pas eu le temps de t’admirer dans toute ta splendeur …. Tu as tout ce qu’il faut pour plaire à une femme, je suis sûre qu’elles doivent être nombreuses à passer dans ton lit.
- Isabelle, ne dit pas cela comme ça. Je suis quelqu’un de beaucoup plus sérieux que ce que tu crois. Certes, il y a longtemps que je ne suis plus puceau, mais je me consacre beaucoup à mes affaires, et je ne cours pas les donzelles en chaleur toute la journée, même si cela me contraint le plus souvent à un onanisme forcé, et disons hygiénique. Je suis un homme après tout qui a besoin de se vider régulièrement comme les autres.
- Et bien, je peux t’assurer que là ce ne va pas être une partie de plaisirs solitaires que nous allons jouer maintenant. Je vois que la petite bête est déjà montée, montée, montée et je suis sure qu’elle a envie de venir se mettre bien au chaud.
Et tandis qu’elle dit cela, elle a commencé à se coucher sur le lit à ses pieds et en avançant tel un félin qui ramperait, elle lèche les jambes de son amant délicatement, s’approchant peu à peu de son entrecuisse qu’inconsciemment il entrouvre un peu plus. Elle lèche à grands coups de langue toute la queue qui se cabre encore plus dès qu’elle approche, et s’attarde ensuite sur le gland dont elle fait le tour de nombreuses fois, pour ensuite redescendre très délicatement sur le vit qu’elle effleure du bout de ses dents, sachant très bien le frisson que cela doit provoquer et l’impact de ses actes sur le cerveau reptilien de l’homme qui ne peut que désirer à cet instant la femelle dont les odeurs corporelles sensuelles ont commencé à envahir ses narines. Sa langue se remet en action quand elle entreprend de lui lécher les bourses de part en part, pour finalement presque les mettre en bouche une après l’autre les sentant gonflées et pleines. Et c’est enfin qu’elle se décide à venir empaler sa bouche sur le sexe durci et gonflé, le suçant, l’aspirant, le léchant comme la vraie salope expérimentée qu’elle a appris à devenir dans sa formation de soumise au service de son Maître Vénéré, le Marquis d’Evans….
(A suivre …)
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