La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°249)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°249) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°249)
Suite de l'épisode précédent N°248 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -

Elle l’oblige à enjamber le rebord de la baignoire pour entrer debout dans l’eau encore tiède tandis que d’une autre main, elle a ouvert le robinet d’eau chaude pour réchauffer le bain qui avait fini par refroidir sérieusement….

- Laisse-moi faire, je vais te savonner sur tout le corps. Tu aimes au moins ? Parce que moi c’est un de mes fantasmes de te voir rempli de bulles de savons et je n’ai pas eu souvent l’occasion de le faire à un homme. Mais toi, tu ne m’as jamais dit quels étaient tes désirs et surtout tes fantasmes. Tu sais tu peux tout me raconter. D’ailleurs, on va jouer à un jeu, tu veux bien ? Je vais te dire un de mes fantasmes et après ce sera ton tour. Mais il ne faut pas tricher, sinon ce ne sera pas du jeu, et on devra aussi se dire si on aime un peu ou beaucoup ou encore plus que beaucoup et si on l’a déjà fait.

Thaïs raconte n’importe quoi, le plus stupide possible de surcroît, pour lancer ce jeu et tenter de découvrir les fantasmes de son partenaire en essayant de le sortir un peu de son approche assez coincée de la sexualité; il lui avait embrassé un peu plus tôt sa poitrine à sa demande et n’avait même pas envoyé la main sur sa chatte à ce moment là. Jamais Thaïs n’aurait imaginé qu’un homme soit aussi peu entreprenant, surtout qu’ils avaient déjà consommé par deux fois dans l’après-midi et qu’il ne risquait donc pas de se voir opposer un refus. Mais toutes ces retenues qu’il s’imposait devaient bien cacher des désirs inavoués et inassouvis à fortiori. Elle n’aime pas plus que ça l’idée de savonner un homme nu dans un bain, mais que n’aurait-elle pas fait pour son Maître Vénéré. Et donc Isabelle avec un large sourire candide ajoute :

- C’est moi qui commence notre petit jeu. Mon premier fantasme, je viens de te le dire. Je suis en train de le réaliser. Tu vas avoir du savon de partout, de partout, de partout (dit-elle en éclatant de rire)

Ses mains se portent sur la queue qui bien évidemment répond aussi sec à la caresse d’Isabelle en se redressant fièrement. Elle glisse ses mains dans les poils qui entourent le sexe et les testicules, comme si elle était en train de lui faire un shampoing de sa toison virile qui remonte assez haut sur le torse.

- Je continue à te savonner, mais pendant ce temps, tu dois me dire l’un de tes secrets – ne ment pas, sinon ton nez va s’allonger, c’est ce que me disait ma maman quand j’étais petite.

C’était bel et bien Isabelle qui ment, et ce de la manière la plus effrontée possible, avec cette pointe d’humour, presque infantile qui la rend si crédible dans la pureté de son innocence affichée.

- Tu sais Isabelle, je n’ai pas vraiment de fantasmes à te raconter. Je suis quelqu’un de normal qui n’a pas de désir particulier autre que de faire l’amour avec une femme et d’y prendre du plaisir pour pouvoir en jouir.
- Non Thierry, tu me mens ! Tous les hommes ont des fantasmes. On voit cela écrit dans tous les livres. Tu ne vas pas être le seul homme au monde qui n’en aurait pas. Tu penses à quoi quand tu te caresses…. Je suis vraiment triste que tu le prennes comme cela, c’était un jeu mignon et toi tu triches… Tu ne me fais pas confiance, c’est cela ! …. Bon et bien pour la peine, je n’ai même plus envie de continuer et de te savonner le reste du corps ….. tu peux te rincer dans le bain, moi qui croyais que j’allais pouvoir te faire plaisir de la manière que tu aurais voulu vraiment au fond de toi, et toi tu ne veux même pas m’accorder ce plaisir là.

Isabelle se trempe vite fait dans le bain et sort immédiatement après. Elle doit le pousser dans ses retranchements, si elle veut arriver à le décoincer et quitte donc aussi sec la salle de bains. Elle le fait d’autant plus rapidement, qu’elle sait que les caméras ne peuvent filmer et enregistrer que ce qui se passe dans la chambre, le passage par la salle de bains n’était qu’une excuse, mais maintenant elle doit jouer la partie plus finement, pour arriver à faire tomber les boucliers protecteurs de l’armature rigide de son amant. Elle s’est rassise sur le lit, se calant avec les oreillers derrière le dos et en ayant écarté les deux jambes en V, lui montrant sans la moindre gêne sa chatte ouverte et humide qui est un appel à la pénétration, un appel à être baiséee...

- Thierry, je n’ai pas juste envie de faire l’amour avec toi et que nous jouissions ensemble, j’ai envie que nous fassions l’amour de manière sublime, comme tu ne l’as jamais fait, comme je ne l’ai jamais fait, en s’apportant l’un l’autre les plaisirs que l’autre attend ou espère et qu’il n’a peut être même jamais osé exprimer et encore moins réaliser. Et puis j’aimerai quand même que tu deviennes un peu plus cochon, et que tu aies envie de sexe viril en plus de moi, pas simplement d’Amour pépère comme si on avait soixante-dix ans. C’est toi le mec, dit moi ! C’est toi qui devrais avoir envie de me sauter et de me baiser comme une bête.
- Ecoute Isabelle, oui je pourrai avoir envie de te baiser comme une bête et même de t’enculer comme une salope, et te faire plein de cochonneries dégoûtantes, mais on ne peut pas dire des choses comme cela, car l’Amour, c’est et ce doit rester beau et pur. Je n’aime pas ce qui est vulgaire et bestial, quand les hommes ne sont excités que par leur queue et non pas leur tête.
- Mais qui te parle de vulgarité, moi je te parle d’Amour vrai, d’actes d’amour sublimes, d’érotisme et pas de pornographie, de désirs et de plaisirs, de souhaits et de fantasmes. Il ne faut pas avoir honte de ses fantasmes, tu peux m’en parler librement et je pense que nous pourrons arriver à réaliser certains des tiens et certains des miens aussi, si nous voyons cela comme un jeu sain destiné à décupler nos sensations et notre jouissance. Je ne ferai rien de ce que tu n’as pas envie de faire, mais je te ferai tout ce que tu as envie que je te fasse. Et j’aimerai que tu puisses m’offrir la même chose en échange. Je ne vois pas où tu vois la vulgarité et la bestialité là dedans, si nous sommes tous les deux d’accord et consentants pour nous apporter du plaisir mutuel et du bonheur extrême et réciproque. Mais assez discuté, si tu ne veux pas parler, au moins baise-moi et baise-moi fort s’il te plait. J’ai envie que tu me possèdes et que tu me remplisses. J’ai envie que tu te comportes en Homme et que tu me prennes comme un Mâle doit le faire. J’ai envie que tu me fasses jouir jusqu’à en hurler de bonheur. J’ai envie que tu sois le salaud dont la salope que je suis à besoin.

Isabelle se retourne aussi sec pour se mettre en levrette et de ses deux mains, elle écarte le plus largement possible les deux globes fessiers pour lui montrer sa petite rondelle qui cherche à l’attirer en elle. Thierry n’en peut plus de se contenir dans un carcan de tabous et de politesse surannée, devant cette femelle en chaleur qui n’arrête pas de faire frémir son cerveau reptilien, il étouffe et finalement se lâche. Il empoigne Isabelle qui attendait qu’il l’encule, pour la retourner et la coucher sur le lit sans ménagement.

- Alors, c’est cela que tu veux du sexe, du sexe pur et dur, finalement tu étais peut-être bien à ta place chez ton Maître, sauf que je commence à en avoir assez que tu me prennes pour un moins que rien. Je ne me comporte pas en Homme, as-tu eu le malheur de me dire. Et bien, tu vas voir ! Tu la veux ma queue, et bien, tu vas l’avoir, mais pas comme toi tu veux, comme moi je veux. Tu voulais voir mes fantasmes et bien tu vas y goûter la belle. Je ne suis pas ton Marquis, ni ton Maître, mais je suis un homme, et j’entends bien que tu ne l’oublies pas, toi qui finalement n’a été qu’une putain soumise dans ton espèce de château.

Thaïs au fond d’elle jubile intérieurement car elle sait qu’elle est en train de le faire sortir de ses gongs. Elle a su toucher son point sensible en lui disant qu’il ne se comportait pas en homme. Il lui faut donc continuer à appuyer à l’endroit précis, même si elle sait que les représailles risquent fort de se faire sentir, mais elle pense à ce moment là aux ordres de son Maître, ce qui lui donne du courage dans sa perversité.

- Oui, tu vois, tu n’as même pas été capable de m’enculer à l’instant. Est-ce ta queue qui s’est ramollie ? Tu me l’as joué très prince charmant toute l’après-midi, mais finalement tes couilles sont vides et ta queue n’a pas beaucoup d’énergie à me besogner.

Sans même avoir eu le temps de les voir venir, Isabelle reçoit deux gifles majestueuses de chaque côté du visage ; si elle avait eu un miroir, elle aurait pu voir la trace de tous les doigts. Elle en est presque sonnée sur le coup.

- Cela suffit petite putain, tu cachais bien ton jeu. Moi qui te prenait pour une jeune fille martyr, tu n’es qu’une chienne en chaleur, une nymphomane, pas étonnant que tu aies atterri entre les mains d’un Maître qui n’a eu qu’à profiter de tes mauvais penchants. Mais puisqu’il n’y a que cela pour te satisfaire, du sexe pur et dur, tu vas en avoir… Et je peux te dire que mes fantasmes à moi, ils ne sont pas à l’eau de rose, et ce n’est pas juste une histoire bien mignonne de bulles de savons.

Thierry tire Isabelle pour que sa tête soit au centre du lit et il l’enjambe en lui disant.

- Tu voulais du sexe, et bien tu vas commencer par me bouffer le cul, petite salope.

Il tient sa tête fermement entre ses cuisses pour l’empêcher de bouger et pendant ce temps là, il l’a immobilisé en mettant ses mains sous les siennes bras écartés. Isabelle fait semblant de pleurer car même si elle n’apprécie pas ce qu’elle est en train de subir, elle sait que son Maître sera ravi et ce d’autant plus que sans le savoir Thierry est positionné de telle manière qu’une caméra prend son visage de manière tout à fait identifiable en train de la forcer, pratiquement de la violer, et que l’autre caméra filme son cul qu’Isabelle entreprend de lécher sous les injures qui ne cessent de fuser.

- Alors petite salope, tu te dépêches de me lécher, je veux sentir ta langue en action. Tu voulais du sexe et bien tu es servie.

Il s’est appuyé complètement sur le visage d’Isabelle manquant presque de l’étouffer surtout qu’elle ravale maintenant de vrais sanglots sous la contrainte qu’elle n’avait pas prévue et l’oppression qu’elle ressent manquant de respiration. Ce n’est qu’au bout d’un long moment qu’il se décide à lâcher la pression qu’il exerçait, se redresse, fait pivoter sans attendre Isabelle qui se retrouve à plat ventre en moins de deux, puis lui tire les fesses en arrière pour l’obliger à se redresser à quatre pattes. Sans la moindre précaution, il présente son gland devant l’anus d’Isabelle qui est un peu abasourdie parce ces quelques minutes où elle a cru étouffer littéralement. Il pousse un grand coup sauvage avec un râle comme celui d’un guerrier qui partirait à l’assaut de la bataille. Isabelle hurle sous la douleur de la pénétration faite sans ménagement à sec, et ce d’autant plus qu’elle n’éprouve ni désir, ni plaisir au départ à être baisée par ce type qui lui est devenu odieux finalement, même si elle sait qu’elle ne sera entre ses mains qu’aussi longtemps que son Maître le jugera utile. A grands coups de queue, Thierry la laboure sans ménagement, ses couilles viennent taper à chaque coup sur ses fesses et il l’encule sans lui accorder le moindre répit.

- Alors c’est cela, je ne suis pas un homme et ma queue n’est pas à la hauteur de ce que tu en attendais. Et ma virilité n’est pas assez bonne pour Madame qui voulait du sexe pur et dur.

Il continue à la besogner tout en appuyant sur le dos de la belle en levrette pour la forcer à courber le dos, jusqu’à ce que sa tête repose sur le lit. Le plaisir ne tarde pas à monter en lui, car jamais il n’avait eu le courage de baiser une femme ainsi, et c’est donc de très longs jets qu’il déverse dans l’anus de celle qu’il vient de sodomiser sans ménagement et sans la moindre attention, ni galanterie masculine. Il pousse de grands cris tandis qu’il éjacule sous le regard des caméras dissimulées :

- Salope, et bien dit-moi ! Oui, dit-moi, salope, tu as eu ce que tu voulais ?

Elle ne dit mot sur le coup mais elle se l'avouait à elle-même, le plaisir qu'elle ressentit tout de même, d'avoir été baisée ainsi par le cul si sauvagement , après la douleur première fut apprécié, oui un plaisir physique mais aussi Le plaisir de savoir que son Maître serai si fier d'elle ...

(A suivre ….)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ca manque de plus en plus d'esclaves mâles !



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