La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°255)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°255)
Suite de l'épisode précédent N°254 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Thierry est toujours tremblant sur le lit, bougeant comme il peut dans ses liens pour chercher à se dégager des morceaux de glaçons qui lui brûlent carrément les peaux les plus sensibles et qui ne semblent pas vouloir fondre rapidement. L’eau glacée dégouline sur tout son corps et réveille les douleurs des coups de cravache qui ont marqués son corps. Il commence à se demander si son calvaire prendra fin un jour ou s’il doit se résoudre à accepter dorénavant une vie bien différente de celle qu’il avait avant, faite de sévices, de souffrances et d’incertitudes mais également d’un plaisir intérieur qu’il ne peut nier, car il sait que malgré la douleur qu’il ressent, il apprécie ce qu’il est contraint de subir et en retire un bien-être profond et pourtant si contradictoire. Le Marquis ne lui laisse pas beaucoup de temps pour vaquer à ses réflexions internes et enchaîne aussi sec.
- D’ailleurs, je ne t’ai toujours pas posé la question de savoir si c’était bien ce que tu voulais devenir, un esclave à mon service, dévoué et fidèle. Tout à l’heure, je t’enlèverai ton bâillon et tes liens et menottes et tu auras le choix de te jeter à Mes pieds pour m’implorer que je daigne devenir ton Maître, ou à l’inverse tu seras libre de tout engagement à Mon égard, à l’exception d’une chose que j’impose dans les deux cas de figure. Tout à un prix sur terre, en contrepartie de la remise du DVD enregistré, tu devras accepter l’offre d’acquisition que tu as reçue pour le terrain provenant de la société X, qui en fait m’appartient indirectement. Je sais que c’est la moins intéressante au niveau financier pour vos actionnaires puisque c’est la plus basse, mais sur ce plan là, tu n’auras pas le choix. Je suis Marquis et Maître, mais avant tout je suis aussi un businessman et un bon gestionnaire. Les affaires sont les affaires et mon but était de maximiser mes intérêts en récupérant ce terrain qui m’intéresse tout en tâchant de vous le payer bien moins que sa valeur vénale. C’est à prendre ou à laisser ! Dès que l’acte de vente sera signé chez le notaire, je m’engage à te remettre l’enregistrement et à n’en garder aucune copie. Ma parole de Noble est fiable et tu devras t’en contenter en me faisant confiance. Si tu refuses de devenir l’un de Mes soumis, tu n’entendras plus jamais parler de moi une fois cette transaction signée, et il te sera impossible par la suite de chercher à rentrer en contact avec moi, même si tu venais un jour ramper à Mes pieds, car je ne reviens jamais dessus une de mes décisions, et tu devras savoir que tu auras sûrement perdu à tout jamais la chance de savoir ce que tu aurais pu vivre comme esclave librement asservi aux pieds de son Seigneur et Maître.
Le Marquis se recule un peu du lit, et se tournant vers Thaïs qui attendait un signe ou un mot de son Maître, IL lui fait signe de s’approcher simplement du bout du doigt et lui montrant le sol et son pied, lui faisant comprendre ce qu’IL attend de sa soumise qui s’agenouille dans la seconde et tend la langue vers la semelle qui s’est approché de son visage.
- Lèche bien avec application, Ma chienne, car je veux que la petite chose là-haut sur le lit te regarde pendant que tu oeuvres et qu’il comprenne qu’être à Mes pieds, ce n’est pas qu’une expression en l’air. Je tiens à ce qu’il voit de ses yeux que je n’ai pas besoin de menottes, ni de cordes pour te contraindre, que je n’ai pas besoin de bâillon pour te faire taire, et qu’une soumise-esclave bien dressée reçoit avec honneur les fessées dont son Maître daigne l’honorer.
Tandis que Thaïs s’évertue à quatre pattes, la croupe bien relevée, de lécher les chaussures de son Maître, ce dernier abat régulièrement, tour à tour sur chacune de ses fesses, Sa main avec les doigts écartés et la paume bien à plat, et ceci de toutes ses forces, sans la moindre réaction, ni le moindre cri de la soumise qui se plie bien volontiers aux désirs de celui à qui elle a offert son corps et sa vie. Le postérieur de la belle chienne docile commence à prendre quelques couleurs, quand le Noble se recule d’un geste.
- Suffit maintenant, Ma chienne, mes chaussures ont été assez lustrées. Je n’ai pas de temps à perdre et pas envie de me fatiguer les mains pour mettre un peu de chaleur et d’excitation sur ton postérieur, fut-il, avec ses formes généreuses, aussi tentant que celui d’une Vénus callipyge. Je n’ai par contre pas l’intention de différer ma punition. Sais-tu quelle était ce matin la cause de mon courroux ?
- Non, mon Maître, je suis vraiment désolée de savoir que par mon comportement ou mon manquement, j’ai pu Vous courroucer et Vous déplaire de quelque manière que ce soit. Je vous remercie de bien vouloir me punir pour me permettre de m’améliorer à mieux Vous servir dans l’avenir. Serait-il possible, cependant, mon Maître Vénéré, que Vous m’indiquiez en quoi je Vous ai désobéi, afin que je ne reste pas plus longtemps dans l’erreur.
- Et bien, je vais accepter que tu ailles relire mon dernier sms qui doit toujours être enregistré sur ton téléphone. Et reviens ici te mettre à genoux devant la télé. J’ai encore quelque chose à te montrer à la suite de ce que je vous ai diffusé tout à l’heure.
La soumise, de plus en plus angoissée, se lève, récupère son téléphone dans la poche de son vêtement pendu dans l’armoire et se met à lire le sms en entier, qui termine par ces quelques phrases qui commencent à raisonner dans sa tête : « Mais pour cette nuit, je veux que tu te débrouilles pour que ton amant, que tu as bel et bien piégé, dorme le moins possible. Fais-toi baiser toute la nuit, laisse la lumière allumée et tâche de trouver ses points faibles, car il doit bien cacher quelques perversités enfouies que tu vas devoir faire ressortir au grand jour. Je veux que tu me le mettes dans tous ses états et qu’il se lâche devant la caméra. Si j’en ai besoin, je n’hésiterai à me servir de ses frasques pour le faire céder encore plus. Exécution ! »
Revenu comme son Maître le lui a demandé, elle s’agenouille devant le téléviseur que le Marquis remet en route et elle regarde avec attention la fin du film qui montre Thierry et Isabelle en train de s’endormir l’un après l’autre. Le silence se fait dans la chambre et la télé continue à tourner sur un plan qui reste presque figé, puisque les deux dormeurs ne bougent presque pas et ne font aucun bruit. Les larmes commencent à perler des yeux de Thaïs qui comprend enfin ce que son Maître voulait lui montrer, et qui se sent si triste d’avoir failli et laissé sa fatigue physique l’emporter sur son désir de servir et de contenter son Maître.
- Alors, tu crois vraiment que mon sms était de nature à t’autoriser à t’endormir. « Fais-toi baiser TOUTE la nuit ! », est-ce que ce n’était-ce pas un ordre assez clair ? Tout le reste de la nuit, je suis restée devant deux caméras qui filmaient deux dormeurs immobiles ! Et qui plus est, ce matin, il a fallu que je vous réveille. Tu étais tellement endormie que tu m’as fait attendre et perdre de précieuses secondes avant de répondre au téléphone. Je dois avouer que c’est en partie grâce au fait que vous dormiez que j’ai pu aussi facilement changer mes plans et neutraliser celui que tu m’apportais sur un plateau d’argent. Mais je ne peux pas, malgré tout, laisser passer ton manquement et ta désobéissance, même si je sais que j’en ai profité largement, car ce serait laisser des portes ouvertes pour l’avenir, ce que je ne veux pas. Tu vas donc être punie pour avoir fauté, et néanmoins en même temps j’aurai pu presque te remercier de l’avoir fait. Ceci dit, attrape la cravache et présente-moi là. Mais juste avant as-tu quelque chose à rajouter ?
- Mon Maître Vénéré, je reconnais maintenant en quoi j’ai pu Vous déplaire en désobéissant à Votre ordre. Je suis néanmoins heureuse de savoir que grâce à cela, Vous avez pu en profiter pour intervenir plus aisément, et j’accepte tout à fait la punition que Vous m’imposerez, dont je Vous remercie déjà par avance, car elle m’aidera à m’améliorer. J’implore Votre pardon avec l’espoir que Vous me l’accorderez après que j’aurais enduré le châtiment que je mérite pour Vous avoir désobéi. Je sais que vous n’aimez pas cela et j’en suis sincèrement attristée. Vous déplaire et manquer à mon serment d’allégeance et d’obéissance me cause une peine bien plus grande intérieurement que tous les coups que Vous voudrez m’infliger.
Thaïs revient tenant la cravache bien droite posée sur l’intérieur de ses deux mains. Elle s’agenouille, s’incline profondément et levant les bras au dessus de sa tête en direction de son Maître, elle lui tend l’instrument qui va servir à sa correction.
- Lève-toi, tu sais que je n’aime pas devoir punir une de mes esclaves, mais je ne peux déroger à la règle, car il n’est pas question de laisser une faute impunie. Tiens-toi bien droite, jambes écartées, les bras au dessus de la tête. Ferme les yeux et ne t’avise pas de les ouvrir, je n’ai pas de bandeau sous la main à te mettre, mais je n’hésiterais pas à doubler la punition si tu me désobéis une fois de plus. Et tâche d’endurer en silence, je ne t’autorise pas à crier, seulement à compter les coups que tu recevras à voix haute pour que l’on puisse t’entendre. Te voir accepter, librement sans entraves et courageusement sans bruit, ton châtiment va être la première leçon que va recevoir ce futur soumis, car je sais déjà, même si lui l’ignore ou feint de se le cacher encore, qu’il se jettera à Mes pieds à son tour dans très peu de temps.
Le Maître fait plusieurs fois siffler la cravache dans l’air, prenant un malin plaisir à ce petit jeu pervers qui fait monter la pression. Ce n ‘est qu’au bout de deux minutes qui ont dû paraître interminables à la soumise en attente, concentrée pour ne pas crier lorsque le premier coup viendrait s’abattre sur son corps offert et à la merci de son Maître. Et c’est dans une certaine excitation dans son bas ventre que Thaïs commence à mouiller de plaisir, les mains moites, les tétons de ses seins qui pointent, l’excitation sexuelle monte en elle en ne sachant où Il choisira de frapper, que Ce dernier se décide enfin à …….
(à suivre ….)
Thierry est toujours tremblant sur le lit, bougeant comme il peut dans ses liens pour chercher à se dégager des morceaux de glaçons qui lui brûlent carrément les peaux les plus sensibles et qui ne semblent pas vouloir fondre rapidement. L’eau glacée dégouline sur tout son corps et réveille les douleurs des coups de cravache qui ont marqués son corps. Il commence à se demander si son calvaire prendra fin un jour ou s’il doit se résoudre à accepter dorénavant une vie bien différente de celle qu’il avait avant, faite de sévices, de souffrances et d’incertitudes mais également d’un plaisir intérieur qu’il ne peut nier, car il sait que malgré la douleur qu’il ressent, il apprécie ce qu’il est contraint de subir et en retire un bien-être profond et pourtant si contradictoire. Le Marquis ne lui laisse pas beaucoup de temps pour vaquer à ses réflexions internes et enchaîne aussi sec.
- D’ailleurs, je ne t’ai toujours pas posé la question de savoir si c’était bien ce que tu voulais devenir, un esclave à mon service, dévoué et fidèle. Tout à l’heure, je t’enlèverai ton bâillon et tes liens et menottes et tu auras le choix de te jeter à Mes pieds pour m’implorer que je daigne devenir ton Maître, ou à l’inverse tu seras libre de tout engagement à Mon égard, à l’exception d’une chose que j’impose dans les deux cas de figure. Tout à un prix sur terre, en contrepartie de la remise du DVD enregistré, tu devras accepter l’offre d’acquisition que tu as reçue pour le terrain provenant de la société X, qui en fait m’appartient indirectement. Je sais que c’est la moins intéressante au niveau financier pour vos actionnaires puisque c’est la plus basse, mais sur ce plan là, tu n’auras pas le choix. Je suis Marquis et Maître, mais avant tout je suis aussi un businessman et un bon gestionnaire. Les affaires sont les affaires et mon but était de maximiser mes intérêts en récupérant ce terrain qui m’intéresse tout en tâchant de vous le payer bien moins que sa valeur vénale. C’est à prendre ou à laisser ! Dès que l’acte de vente sera signé chez le notaire, je m’engage à te remettre l’enregistrement et à n’en garder aucune copie. Ma parole de Noble est fiable et tu devras t’en contenter en me faisant confiance. Si tu refuses de devenir l’un de Mes soumis, tu n’entendras plus jamais parler de moi une fois cette transaction signée, et il te sera impossible par la suite de chercher à rentrer en contact avec moi, même si tu venais un jour ramper à Mes pieds, car je ne reviens jamais dessus une de mes décisions, et tu devras savoir que tu auras sûrement perdu à tout jamais la chance de savoir ce que tu aurais pu vivre comme esclave librement asservi aux pieds de son Seigneur et Maître.
Le Marquis se recule un peu du lit, et se tournant vers Thaïs qui attendait un signe ou un mot de son Maître, IL lui fait signe de s’approcher simplement du bout du doigt et lui montrant le sol et son pied, lui faisant comprendre ce qu’IL attend de sa soumise qui s’agenouille dans la seconde et tend la langue vers la semelle qui s’est approché de son visage.
- Lèche bien avec application, Ma chienne, car je veux que la petite chose là-haut sur le lit te regarde pendant que tu oeuvres et qu’il comprenne qu’être à Mes pieds, ce n’est pas qu’une expression en l’air. Je tiens à ce qu’il voit de ses yeux que je n’ai pas besoin de menottes, ni de cordes pour te contraindre, que je n’ai pas besoin de bâillon pour te faire taire, et qu’une soumise-esclave bien dressée reçoit avec honneur les fessées dont son Maître daigne l’honorer.
Tandis que Thaïs s’évertue à quatre pattes, la croupe bien relevée, de lécher les chaussures de son Maître, ce dernier abat régulièrement, tour à tour sur chacune de ses fesses, Sa main avec les doigts écartés et la paume bien à plat, et ceci de toutes ses forces, sans la moindre réaction, ni le moindre cri de la soumise qui se plie bien volontiers aux désirs de celui à qui elle a offert son corps et sa vie. Le postérieur de la belle chienne docile commence à prendre quelques couleurs, quand le Noble se recule d’un geste.
- Suffit maintenant, Ma chienne, mes chaussures ont été assez lustrées. Je n’ai pas de temps à perdre et pas envie de me fatiguer les mains pour mettre un peu de chaleur et d’excitation sur ton postérieur, fut-il, avec ses formes généreuses, aussi tentant que celui d’une Vénus callipyge. Je n’ai par contre pas l’intention de différer ma punition. Sais-tu quelle était ce matin la cause de mon courroux ?
- Non, mon Maître, je suis vraiment désolée de savoir que par mon comportement ou mon manquement, j’ai pu Vous courroucer et Vous déplaire de quelque manière que ce soit. Je vous remercie de bien vouloir me punir pour me permettre de m’améliorer à mieux Vous servir dans l’avenir. Serait-il possible, cependant, mon Maître Vénéré, que Vous m’indiquiez en quoi je Vous ai désobéi, afin que je ne reste pas plus longtemps dans l’erreur.
- Et bien, je vais accepter que tu ailles relire mon dernier sms qui doit toujours être enregistré sur ton téléphone. Et reviens ici te mettre à genoux devant la télé. J’ai encore quelque chose à te montrer à la suite de ce que je vous ai diffusé tout à l’heure.
La soumise, de plus en plus angoissée, se lève, récupère son téléphone dans la poche de son vêtement pendu dans l’armoire et se met à lire le sms en entier, qui termine par ces quelques phrases qui commencent à raisonner dans sa tête : « Mais pour cette nuit, je veux que tu te débrouilles pour que ton amant, que tu as bel et bien piégé, dorme le moins possible. Fais-toi baiser toute la nuit, laisse la lumière allumée et tâche de trouver ses points faibles, car il doit bien cacher quelques perversités enfouies que tu vas devoir faire ressortir au grand jour. Je veux que tu me le mettes dans tous ses états et qu’il se lâche devant la caméra. Si j’en ai besoin, je n’hésiterai à me servir de ses frasques pour le faire céder encore plus. Exécution ! »
Revenu comme son Maître le lui a demandé, elle s’agenouille devant le téléviseur que le Marquis remet en route et elle regarde avec attention la fin du film qui montre Thierry et Isabelle en train de s’endormir l’un après l’autre. Le silence se fait dans la chambre et la télé continue à tourner sur un plan qui reste presque figé, puisque les deux dormeurs ne bougent presque pas et ne font aucun bruit. Les larmes commencent à perler des yeux de Thaïs qui comprend enfin ce que son Maître voulait lui montrer, et qui se sent si triste d’avoir failli et laissé sa fatigue physique l’emporter sur son désir de servir et de contenter son Maître.
- Alors, tu crois vraiment que mon sms était de nature à t’autoriser à t’endormir. « Fais-toi baiser TOUTE la nuit ! », est-ce que ce n’était-ce pas un ordre assez clair ? Tout le reste de la nuit, je suis restée devant deux caméras qui filmaient deux dormeurs immobiles ! Et qui plus est, ce matin, il a fallu que je vous réveille. Tu étais tellement endormie que tu m’as fait attendre et perdre de précieuses secondes avant de répondre au téléphone. Je dois avouer que c’est en partie grâce au fait que vous dormiez que j’ai pu aussi facilement changer mes plans et neutraliser celui que tu m’apportais sur un plateau d’argent. Mais je ne peux pas, malgré tout, laisser passer ton manquement et ta désobéissance, même si je sais que j’en ai profité largement, car ce serait laisser des portes ouvertes pour l’avenir, ce que je ne veux pas. Tu vas donc être punie pour avoir fauté, et néanmoins en même temps j’aurai pu presque te remercier de l’avoir fait. Ceci dit, attrape la cravache et présente-moi là. Mais juste avant as-tu quelque chose à rajouter ?
- Mon Maître Vénéré, je reconnais maintenant en quoi j’ai pu Vous déplaire en désobéissant à Votre ordre. Je suis néanmoins heureuse de savoir que grâce à cela, Vous avez pu en profiter pour intervenir plus aisément, et j’accepte tout à fait la punition que Vous m’imposerez, dont je Vous remercie déjà par avance, car elle m’aidera à m’améliorer. J’implore Votre pardon avec l’espoir que Vous me l’accorderez après que j’aurais enduré le châtiment que je mérite pour Vous avoir désobéi. Je sais que vous n’aimez pas cela et j’en suis sincèrement attristée. Vous déplaire et manquer à mon serment d’allégeance et d’obéissance me cause une peine bien plus grande intérieurement que tous les coups que Vous voudrez m’infliger.
Thaïs revient tenant la cravache bien droite posée sur l’intérieur de ses deux mains. Elle s’agenouille, s’incline profondément et levant les bras au dessus de sa tête en direction de son Maître, elle lui tend l’instrument qui va servir à sa correction.
- Lève-toi, tu sais que je n’aime pas devoir punir une de mes esclaves, mais je ne peux déroger à la règle, car il n’est pas question de laisser une faute impunie. Tiens-toi bien droite, jambes écartées, les bras au dessus de la tête. Ferme les yeux et ne t’avise pas de les ouvrir, je n’ai pas de bandeau sous la main à te mettre, mais je n’hésiterais pas à doubler la punition si tu me désobéis une fois de plus. Et tâche d’endurer en silence, je ne t’autorise pas à crier, seulement à compter les coups que tu recevras à voix haute pour que l’on puisse t’entendre. Te voir accepter, librement sans entraves et courageusement sans bruit, ton châtiment va être la première leçon que va recevoir ce futur soumis, car je sais déjà, même si lui l’ignore ou feint de se le cacher encore, qu’il se jettera à Mes pieds à son tour dans très peu de temps.
Le Maître fait plusieurs fois siffler la cravache dans l’air, prenant un malin plaisir à ce petit jeu pervers qui fait monter la pression. Ce n ‘est qu’au bout de deux minutes qui ont dû paraître interminables à la soumise en attente, concentrée pour ne pas crier lorsque le premier coup viendrait s’abattre sur son corps offert et à la merci de son Maître. Et c’est dans une certaine excitation dans son bas ventre que Thaïs commence à mouiller de plaisir, les mains moites, les tétons de ses seins qui pointent, l’excitation sexuelle monte en elle en ne sachant où Il choisira de frapper, que Ce dernier se décide enfin à …….
(à suivre ….)
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