La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°264)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°264)
Vanessa au château - Suite de l'épisode 262 -
Mais le Noble ne l’entend pas de cette oreille, Il tient à la pousser dans ses retranchements, à découvrir ses limites, à lui faire comprendre que la D/s est bien plus qu’un jeu. Il pose le bout de la badine à la base de sa nuque, et descend doucement le long de sa colonne vertébrale, puis le Châtelain la fait siffler plusieurs fois dans l’air. Vanessa se crispe, elle sait que le premier coup ne va pas tarder, elle l’appréhende, tous ses muscles sont contractés. Le Marquis d’Evans pose Sa main sur son fessier, Il le caresse doucement, elle se détend, baisse sa garde, juste ce qu’Il attendait pour donner le premier coup. La badine s’abat avec force sur ses deux fesses, Vanessa crie autant de surprise que de douleur. Une vive chaleur irradie son fessier, elle qui connaît si bien le feu, n’a jamais ressentie une telle brûlure. Vanessa commence à paniquer intérieurement, se demande comment elle va tenir la distance, mais elle se calme instantanément, elle sait que lorsque le corps lâche l’esprit prend le relais, elle l’a vécu plus d’une fois, et elle sait comment le gérer, même si la douleur est différente. Vanessa ferme les yeux, agrippe les chaînes retenant ses bracelets, et respire calmement.
- On repart à zéro, annonce d’une voix très calme le Marquis.
C’est sans attendre qu’Il frappe un second coup, et le suivant à peine quelques secondes plus tard. Vanessa ne réagit pas, son corps reste de marbre, sa respiration est calme, elle compte les coups dans sa tête pour se concentrer sur le chemin qu’il reste à parcourir. Le Maître l’observe attentivement, vérifie qu’elle va bien, se rend compte qu’elle se contrôle, Il est agréablement surpris par sa maîtrise. Le Noble frappe plus fort, quatre coups tombent, aucune réaction de sa part. La belle soumise décompte inexorablement dans son esprit, pour se raccrocher à une chose concrète, pour oublier la douleur. Il prend son temps, se recule, la laisse suspendue dans l'espace, l'observe, cherche le bon moment pour continuer. Mais Vanessa reste de marbre, comme si son esprit avait quitté cette pièce. Le Marquis s'approche à nouveau et vient frapper l'intérieur de sa cuisse gauche. Elle ne s'y attendait pas, elle parvient à retenir son cri, mais pas le sursaut qui reste un réflexe de son corps.
- On repart à zéro, annonce pour la deuxième fois la voix toujours très calme du Maître des lieux.
Vanessa s'en veut de ne pas avoir anticipé ce coup, elle avait concentré son esprit seulement sur la douleur de son fessier, il ne lui était pas venu à l'idée qu'il frapperait ailleurs, résignée elle se concentre à nouveau pour ne pas refaire la même erreur. Le Marquis d’Evans observe cette nouvelle soumise offerte en silence devant Lui et dont le fessier est déjà strié des sept premiers coups reçus sur cette peau si tendre. Il aurait pensé qu'elle tenterait d'échapper à ce nouveau décompte, qu'elle supplierait de prendre en compte ces premiers coups, mais sa volonté de surmonter cette épreuve semble inébranlable. La voir sous ce jour conforte le Maître dans l'idée qu'Il s'était fait de son potentiel, mais le chemin vers la véritable soumission est long, et Il devra la tester dans beaucoup d'autres conditions avant d'être certain de ses capacités à devenir une véritable soumise… sa soumise. Le Marquis s'approche d'elle, caresse son fessier endolori, vérifie une fois encore qu'elle se porte bien. Elle a fermé les yeux, sa respiration est posée et Il pourrait presque croire qu'elle dort debout, si ses mains n'étaient pas serrées sur les chaînes maintenant solidement ses poignets à la croix.
Le Maître se recule, Il lève le bras et abat à nouveau la badine sur le fessier de sa ‘’proie’’. La soumise ne réagit pas, satisfait, Il décide de ne pas faire durer le supplice trop longtemps et fait tomber six autres coups dans un rythme digne d'un métronome. Intérieurement Vanessa continue de compter, prenant courage dans ce qu'il reste à tenir, la moitié est presque dépassée, il s'agit de ne pas faillir, elle doit tenir, elle se prépare à toutes les éventualités qu'elle puisse envisager, et cette fois-ci c'est sur l’ensemble de son corps qu'elle reste concentrée. Le Noble caresse à nouveau son fessier, et par-dessous, Il passe Sa main jusqu’à sur le sexe déjà bien humide. La Marquis branle quelques instant le clitoris puis doigte cette chatte si accueillante, et entend Sa belle petite chienne gémir de plaisir. Puis Il remonte sa main dans le creux de ses reins, et sans la retirer abat sept coups de plus sur ses fesses zébrées. La douleur est vive, elle sent ses yeux s’humidifier, mais se contrôle, Vanessa ne veut pas pleurer, pas devant lui, pas comme ça.
- Sais-tu combien il reste de coups ?
- Un seul Maître, répond-t-elle en ouvrant les yeux.
- « Un seul » ? n’est-ce pas suffisant à ton goût ? interroge-t-il pour la troubler d’avantage.
- Si, si Maître, je voulais dire, il en reste un dernier.
- Bien, alors prépare-toi bien si tu ne veux pas recommencer à zéro.
Vanessa ferme à nouveau les yeux alors que son Maître se recule pour observer ce dernier coup s’abattre sur sa peau devenue violacée. Sans attendre, et comme pour abréger la douleur qu’Il juge suffisante, le Marquis frappe une dernier fois ces fesses offertes à Sa badine. Vanessa expire un grand coup, comme délivrée d’une grande période d’apnée, elle se rassure en se disant que le pire est passé, sans en être pour autant certaine, mais elle a besoin d’y croire, pour tenir, pour ne pas craquer, pour rester forte. Le Châtelain s’approche en silence et sans dire un mot la détache, la belle soumise reste sans bouger ne sachant quelle attitude adopter, attendant un signe de Sa part pour réagir. Les minutes s’égrainent, et aucun ordre ne vient, comme si le Maître des lieux attendait quelque chose, mais Vanessa ne devine pas quoi. Le Marquis d’Evans s’en rend compte, sourit et annonce très calmement :
- Après une punition, une soumise se met toujours à genoux pour remercier le Maître qui a daigné prendre de son temps pour parfaire son éducation.
Vanessa enregistre la phrase, l’analyse, comprend ce qu’Il attend, et sans perdre un instant de plus se retourne pour s’agenouiller face à Lui, tête baissée, les mains jointes dans le dos.
- Maître, je tiens à vous remercier pour avoir pris le temps de sanctionner mes fautes afin de mieux me faire comprendre ce qu’un Maître attend d’une soumise.
- Voilà qui est mieux, puisque tu tiens à me remercier, Je vais t’en laisser le loisir, ouvre la bouche, dit-il en dégrafant le haut de son pantalon.
Vanessa ne voit pas ce que son Maître fait, mais au son de la boucle de la ceinture du Noble, elle a comprit ce qu’Il attendait d’elle. Elle ouvre docilement la bouche et patiente. Il pose son sexe sur ses lèvres ouvertes, attend ainsi plusieurs secondes, mais elle ne réagit pas.
- Eh bien, qu’attends-tu ? questionne-t-il agacé.
- C’est que… je… je n’ai jamais fait ça, Maître, avoue-t-elle timidement.
- Et pourquoi ? demande-t-il d’un air amusé.
- Eh bien… simplement… parce que je l’ai toujours refusé.
- Et tu comptes me le refuser ? interroge-t-il en souriant.
- Non Maître, assure-t-elle bien décidée à obéir.
- Alors je te le redemande, qu’attends-tu ?
- Je ne sais pas comment m’y prendre, Maître.
Le Marquis d’Evans sourit, presque sensible à cet aveux, et pose Sa main à l’arrière de la tête de la jeune femme et comme pour la délivrer de son manque d’expérience, sans dire un mot Il commence à imprégner son rythme. Vanessa respire par le nez afin ne pas perturber le rythme du Maître en espérant tenir le temps nécessaire pour ne pas le décevoir d’avantage. Son esprit s’envole, elle ferme les yeux, se concentre sur les secondes qui passent, La soumise s’applique du mieux qu’elle peut et cela s’avère positif car les râles de plaisir qu’elle entend de son Maître lui montre qu’elle se débrouille bien. La verge emplit sa bouche, elle sent cette noble bite grossir sur sa langue et au bout de plusieurs minutes d’un rythme imposé par le Maître, Celui-ci se retire d’un coup lorsque Vanessa sent un liquide chaud couler sur son visage. L’éjaculation est abondante en de longs jets de sperme coulant sur les joues de la belle… Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, sans un mot mais avec un simple sourire de satisfaction, (ce qui laisse à penser à la Vanessa que sa première fellation fut appréciée) le Marquis d’Evans remonte son pantalon puis tire sur la laisse, lui faisant comprendre qu’elle doit le suivre à quatre pattes. Ils passent par une porte dérobée pour arriver dans une salle de bain où Il la fait stopper en son centre.
- Tu connais le chemin pour repartir, mais avant, tu peux prendre le temps qu’il te faut pour te refaire une beauté. Tes vêtements sont sur la commode à côté de la douche.
Le Marquis lui détache son collier pour le déposer sur la commode près de ses vêtements, et sans lui accorder un seul regard tourne les talons pour la laisser à quatre pattes au milieu de cette pièce carrelée luxueusement. Vanessa attend plusieurs minutes avant de réaliser qu’Il ne reviendra pas. Elle se redresse doucement jusqu’à se retrouver debout, se dirige vers la douche et laisse couler l’eau chaude sur tout son corps. Ce contact lui rappelle la douleur de son fessier, et elle diminue instantanément la température de l’eau pour apaiser cette brûlure cutanée. La belle soumise termine par son visage pour faire disparaître toute trace de la semence du Maître, puis elle sort, prenant une serviette laissée là pour elle. Tout en se séchant, Vanessa réagit à ce qu’elle vient de vivre, et à ce qu’elle avait espéré. La jeune femme est déçue et en colère : Déçue qu’Il l’a laisse ainsi repartir comme si rien ne s’était passé, déçue de ne pas pouvoir en découvrir d’avantage, et en colère parce qu’elle a l’amère sensation d’avoir été utilisée, d’avoir été un jeu pour lui, un jeu dont Il se désintéresse aussi vite qu’Il l’a découvert.
Tout en se rhabillant, Vanessa regarde la laisse et le collier restés sur la commode, comme pour lui rappeler qu’elle n’a été qu’un instrument. Elle se fait une raison, elle a voulut jouer sans connaître les règles du jeu, elle a joué, le jeu est terminé, elle doit rentrer. Vanessa détourne le regard, tourne les talons et passe la porte et le couloir désert du bâtiment pour retourner à sa voiture. Elle l’ouvre, monte machinalement à l’intérieur, démarre le moteur, s’apprête à repartir lorsqu’elle voit une enveloppe glissée sous son essuie-glace. La jeune femme coupe le moteur, sort de sa voiture, d’une main fébrile s’empare de la lettre avant de s’asseoir sur son siège pour en découvrir le contenu. Seulement quelques mots y sont écrits :
« Ceci n’est qu’un aperçu du monde auquel tu as voulu goûter, si tu souhaites aller plus loin envoie-moi un sms avant 48 heures me faisant part de ton intention, sans nouvelles de ta part je considèrerais que tu souhaites stopper là, et je respecterais ton choix en comptant sur ta discrétion. »
Vanessa relit plusieurs fois ces quelques mots, elle s’en veut énormément d’avoir pu penser qu’Il l’avait manipulé, d’avoir ressenti cette colère à son encontre, une certaine honte l’envahit. Elle redémarre son moteur, attache sa ceinture, et prends la route en direction de chez elle….
(A suivre …)
Mais le Noble ne l’entend pas de cette oreille, Il tient à la pousser dans ses retranchements, à découvrir ses limites, à lui faire comprendre que la D/s est bien plus qu’un jeu. Il pose le bout de la badine à la base de sa nuque, et descend doucement le long de sa colonne vertébrale, puis le Châtelain la fait siffler plusieurs fois dans l’air. Vanessa se crispe, elle sait que le premier coup ne va pas tarder, elle l’appréhende, tous ses muscles sont contractés. Le Marquis d’Evans pose Sa main sur son fessier, Il le caresse doucement, elle se détend, baisse sa garde, juste ce qu’Il attendait pour donner le premier coup. La badine s’abat avec force sur ses deux fesses, Vanessa crie autant de surprise que de douleur. Une vive chaleur irradie son fessier, elle qui connaît si bien le feu, n’a jamais ressentie une telle brûlure. Vanessa commence à paniquer intérieurement, se demande comment elle va tenir la distance, mais elle se calme instantanément, elle sait que lorsque le corps lâche l’esprit prend le relais, elle l’a vécu plus d’une fois, et elle sait comment le gérer, même si la douleur est différente. Vanessa ferme les yeux, agrippe les chaînes retenant ses bracelets, et respire calmement.
- On repart à zéro, annonce d’une voix très calme le Marquis.
C’est sans attendre qu’Il frappe un second coup, et le suivant à peine quelques secondes plus tard. Vanessa ne réagit pas, son corps reste de marbre, sa respiration est calme, elle compte les coups dans sa tête pour se concentrer sur le chemin qu’il reste à parcourir. Le Maître l’observe attentivement, vérifie qu’elle va bien, se rend compte qu’elle se contrôle, Il est agréablement surpris par sa maîtrise. Le Noble frappe plus fort, quatre coups tombent, aucune réaction de sa part. La belle soumise décompte inexorablement dans son esprit, pour se raccrocher à une chose concrète, pour oublier la douleur. Il prend son temps, se recule, la laisse suspendue dans l'espace, l'observe, cherche le bon moment pour continuer. Mais Vanessa reste de marbre, comme si son esprit avait quitté cette pièce. Le Marquis s'approche à nouveau et vient frapper l'intérieur de sa cuisse gauche. Elle ne s'y attendait pas, elle parvient à retenir son cri, mais pas le sursaut qui reste un réflexe de son corps.
- On repart à zéro, annonce pour la deuxième fois la voix toujours très calme du Maître des lieux.
Vanessa s'en veut de ne pas avoir anticipé ce coup, elle avait concentré son esprit seulement sur la douleur de son fessier, il ne lui était pas venu à l'idée qu'il frapperait ailleurs, résignée elle se concentre à nouveau pour ne pas refaire la même erreur. Le Marquis d’Evans observe cette nouvelle soumise offerte en silence devant Lui et dont le fessier est déjà strié des sept premiers coups reçus sur cette peau si tendre. Il aurait pensé qu'elle tenterait d'échapper à ce nouveau décompte, qu'elle supplierait de prendre en compte ces premiers coups, mais sa volonté de surmonter cette épreuve semble inébranlable. La voir sous ce jour conforte le Maître dans l'idée qu'Il s'était fait de son potentiel, mais le chemin vers la véritable soumission est long, et Il devra la tester dans beaucoup d'autres conditions avant d'être certain de ses capacités à devenir une véritable soumise… sa soumise. Le Marquis s'approche d'elle, caresse son fessier endolori, vérifie une fois encore qu'elle se porte bien. Elle a fermé les yeux, sa respiration est posée et Il pourrait presque croire qu'elle dort debout, si ses mains n'étaient pas serrées sur les chaînes maintenant solidement ses poignets à la croix.
Le Maître se recule, Il lève le bras et abat à nouveau la badine sur le fessier de sa ‘’proie’’. La soumise ne réagit pas, satisfait, Il décide de ne pas faire durer le supplice trop longtemps et fait tomber six autres coups dans un rythme digne d'un métronome. Intérieurement Vanessa continue de compter, prenant courage dans ce qu'il reste à tenir, la moitié est presque dépassée, il s'agit de ne pas faillir, elle doit tenir, elle se prépare à toutes les éventualités qu'elle puisse envisager, et cette fois-ci c'est sur l’ensemble de son corps qu'elle reste concentrée. Le Noble caresse à nouveau son fessier, et par-dessous, Il passe Sa main jusqu’à sur le sexe déjà bien humide. La Marquis branle quelques instant le clitoris puis doigte cette chatte si accueillante, et entend Sa belle petite chienne gémir de plaisir. Puis Il remonte sa main dans le creux de ses reins, et sans la retirer abat sept coups de plus sur ses fesses zébrées. La douleur est vive, elle sent ses yeux s’humidifier, mais se contrôle, Vanessa ne veut pas pleurer, pas devant lui, pas comme ça.
- Sais-tu combien il reste de coups ?
- Un seul Maître, répond-t-elle en ouvrant les yeux.
- « Un seul » ? n’est-ce pas suffisant à ton goût ? interroge-t-il pour la troubler d’avantage.
- Si, si Maître, je voulais dire, il en reste un dernier.
- Bien, alors prépare-toi bien si tu ne veux pas recommencer à zéro.
Vanessa ferme à nouveau les yeux alors que son Maître se recule pour observer ce dernier coup s’abattre sur sa peau devenue violacée. Sans attendre, et comme pour abréger la douleur qu’Il juge suffisante, le Marquis frappe une dernier fois ces fesses offertes à Sa badine. Vanessa expire un grand coup, comme délivrée d’une grande période d’apnée, elle se rassure en se disant que le pire est passé, sans en être pour autant certaine, mais elle a besoin d’y croire, pour tenir, pour ne pas craquer, pour rester forte. Le Châtelain s’approche en silence et sans dire un mot la détache, la belle soumise reste sans bouger ne sachant quelle attitude adopter, attendant un signe de Sa part pour réagir. Les minutes s’égrainent, et aucun ordre ne vient, comme si le Maître des lieux attendait quelque chose, mais Vanessa ne devine pas quoi. Le Marquis d’Evans s’en rend compte, sourit et annonce très calmement :
- Après une punition, une soumise se met toujours à genoux pour remercier le Maître qui a daigné prendre de son temps pour parfaire son éducation.
Vanessa enregistre la phrase, l’analyse, comprend ce qu’Il attend, et sans perdre un instant de plus se retourne pour s’agenouiller face à Lui, tête baissée, les mains jointes dans le dos.
- Maître, je tiens à vous remercier pour avoir pris le temps de sanctionner mes fautes afin de mieux me faire comprendre ce qu’un Maître attend d’une soumise.
- Voilà qui est mieux, puisque tu tiens à me remercier, Je vais t’en laisser le loisir, ouvre la bouche, dit-il en dégrafant le haut de son pantalon.
Vanessa ne voit pas ce que son Maître fait, mais au son de la boucle de la ceinture du Noble, elle a comprit ce qu’Il attendait d’elle. Elle ouvre docilement la bouche et patiente. Il pose son sexe sur ses lèvres ouvertes, attend ainsi plusieurs secondes, mais elle ne réagit pas.
- Eh bien, qu’attends-tu ? questionne-t-il agacé.
- C’est que… je… je n’ai jamais fait ça, Maître, avoue-t-elle timidement.
- Et pourquoi ? demande-t-il d’un air amusé.
- Eh bien… simplement… parce que je l’ai toujours refusé.
- Et tu comptes me le refuser ? interroge-t-il en souriant.
- Non Maître, assure-t-elle bien décidée à obéir.
- Alors je te le redemande, qu’attends-tu ?
- Je ne sais pas comment m’y prendre, Maître.
Le Marquis d’Evans sourit, presque sensible à cet aveux, et pose Sa main à l’arrière de la tête de la jeune femme et comme pour la délivrer de son manque d’expérience, sans dire un mot Il commence à imprégner son rythme. Vanessa respire par le nez afin ne pas perturber le rythme du Maître en espérant tenir le temps nécessaire pour ne pas le décevoir d’avantage. Son esprit s’envole, elle ferme les yeux, se concentre sur les secondes qui passent, La soumise s’applique du mieux qu’elle peut et cela s’avère positif car les râles de plaisir qu’elle entend de son Maître lui montre qu’elle se débrouille bien. La verge emplit sa bouche, elle sent cette noble bite grossir sur sa langue et au bout de plusieurs minutes d’un rythme imposé par le Maître, Celui-ci se retire d’un coup lorsque Vanessa sent un liquide chaud couler sur son visage. L’éjaculation est abondante en de longs jets de sperme coulant sur les joues de la belle… Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, sans un mot mais avec un simple sourire de satisfaction, (ce qui laisse à penser à la Vanessa que sa première fellation fut appréciée) le Marquis d’Evans remonte son pantalon puis tire sur la laisse, lui faisant comprendre qu’elle doit le suivre à quatre pattes. Ils passent par une porte dérobée pour arriver dans une salle de bain où Il la fait stopper en son centre.
- Tu connais le chemin pour repartir, mais avant, tu peux prendre le temps qu’il te faut pour te refaire une beauté. Tes vêtements sont sur la commode à côté de la douche.
Le Marquis lui détache son collier pour le déposer sur la commode près de ses vêtements, et sans lui accorder un seul regard tourne les talons pour la laisser à quatre pattes au milieu de cette pièce carrelée luxueusement. Vanessa attend plusieurs minutes avant de réaliser qu’Il ne reviendra pas. Elle se redresse doucement jusqu’à se retrouver debout, se dirige vers la douche et laisse couler l’eau chaude sur tout son corps. Ce contact lui rappelle la douleur de son fessier, et elle diminue instantanément la température de l’eau pour apaiser cette brûlure cutanée. La belle soumise termine par son visage pour faire disparaître toute trace de la semence du Maître, puis elle sort, prenant une serviette laissée là pour elle. Tout en se séchant, Vanessa réagit à ce qu’elle vient de vivre, et à ce qu’elle avait espéré. La jeune femme est déçue et en colère : Déçue qu’Il l’a laisse ainsi repartir comme si rien ne s’était passé, déçue de ne pas pouvoir en découvrir d’avantage, et en colère parce qu’elle a l’amère sensation d’avoir été utilisée, d’avoir été un jeu pour lui, un jeu dont Il se désintéresse aussi vite qu’Il l’a découvert.
Tout en se rhabillant, Vanessa regarde la laisse et le collier restés sur la commode, comme pour lui rappeler qu’elle n’a été qu’un instrument. Elle se fait une raison, elle a voulut jouer sans connaître les règles du jeu, elle a joué, le jeu est terminé, elle doit rentrer. Vanessa détourne le regard, tourne les talons et passe la porte et le couloir désert du bâtiment pour retourner à sa voiture. Elle l’ouvre, monte machinalement à l’intérieur, démarre le moteur, s’apprête à repartir lorsqu’elle voit une enveloppe glissée sous son essuie-glace. La jeune femme coupe le moteur, sort de sa voiture, d’une main fébrile s’empare de la lettre avant de s’asseoir sur son siège pour en découvrir le contenu. Seulement quelques mots y sont écrits :
« Ceci n’est qu’un aperçu du monde auquel tu as voulu goûter, si tu souhaites aller plus loin envoie-moi un sms avant 48 heures me faisant part de ton intention, sans nouvelles de ta part je considèrerais que tu souhaites stopper là, et je respecterais ton choix en comptant sur ta discrétion. »
Vanessa relit plusieurs fois ces quelques mots, elle s’en veut énormément d’avoir pu penser qu’Il l’avait manipulé, d’avoir ressenti cette colère à son encontre, une certaine honte l’envahit. Elle redémarre son moteur, attache sa ceinture, et prends la route en direction de chez elle….
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