La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°265)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°265)
Suite de l'épisode N°263 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis Edouard d'Evans venait de quitter la chambre du jeune businessman emmenant sa soumise Thaïs avec Lui, et laissant Thierry devant un choix qu'IL savait ne pas être cornélien. Le Maître avait laissé au soumis en devenir dix minutes pas plus pour faire le choix de sa vie future, avec la possibilité, soit de renoncer à tout cet univers qu'il venait de découvrir comme faisant partie de ses désirs les plus inavoués qui avait fait naître en lui une excitation fulgurante, soit se précipiter dans les appartements du Noble, pour se jeter à Ses pieds et le supplier de bien vouloir accepter de le dresser et de faire de lui l'esclave qu'il avait toujours rêvé d'être dans son fort intérieur, même s'il avait sans cesse tenté de repousser cette idée qui lui semblait incongrue et peu réaliste,
Le Marquis Edouard d'Evans se dirige vers l'escalier qui conduit à sa suite privée. IL n'a pas besoin de se retourner, IL sait que sa chienne est là et qu'elle suit son Maître, juste derrière lui, marchant à la même allure vive, comme si elle lui était reliée par une laisse invisible dont IL tiendrait la dragonne. Thaïs a les yeux baissés pour ne regarder que le sol et juste devant elle les pieds de son Maître qui guident ses propres pas dans la trace des Siens. Le Marquis ne parle pas comme s'IL était pressé de regagner sa chambre. Thaïs ne se hasarde surtout pas à lui poser la moindre question, mais elle espère quand même que son Maître est satisfait de tout ce qui s'est passé depuis le début de ce week-end et surtout qu'IL est content et fier de sa soumise toujours si obéissante et si dévouée.
Le Marquis s'arrête à l'entrée de la suite qu'IL occupe et laisse passer sa soumise devant pour qu'elle lui ouvre la porte. Au passage, IL lui retire son peignoir blanc, et la femelle se retrouve aussi nue qu'au premier jour de sa naissance. Sans même se retourner, tandis que Thaïs s'apprête à refermer après Son passage, le Marquis ordonne d'une voix ferme :
- A quatre pattes, maintenant. Ne ferme pas la porte, nous attendons de la visite, tu le sais bien ! Et puis approche jusqu'à Moi, Ma belle chienne, il est temps que tu reprennes ta place à Mes pieds physiquement, même si je sais que tu ne l'as abandonné que sur mon ordre, car jamais tu ne voudrais consciemment quitter ton Maître Vénéré. Est-ce que Je me trompe ? ajoute t-IL d'un air interrogatif comme s'IL voulait une fois encore tester la fidélité de sa soumise.
- Mon Maître Vénéré, bien sûr que Vous ne Vous trompez pas. Vous savez très bien que je ne souhaite qu'une chose, pouvoir être autorisée à rester Votre soumise Thaïs à Vos pieds, Vous appartenir chaque jour un peu plus tant que Vous voudrez bien de moi et ne me rejetterez pas, Vous obéir en tous points et tout faire pour Vous combler et Vous satisfaire, Vous mon Maître.
Le Noble s'est assis dans un fauteuil qu'IL a tourné pour l'orienter face à la porte qui marque l'entrée de la suite. IL regarde sa montre car IL sait qu'IL ne tolérera aucun retard de la part de celui qu'IL attend, bien décidé à fermer sa porte à l'heure dite si Thierry ne l'a pas franchi avant, car il ne saurait être question d'accepter la moindre transgression d'une première consigne donnée, preuve du peu de motivation et de volonté de l'esclave en devenir.
Thaïs pendant ce temps, s'est approchée de son Maître à quatre pattes, d'une marche animale qui fait onduler sa croupe une fesse après l'autre et balancer ses lourdes mamelles à chaque pas. Elle s'arrête quand elle atteint le fauteuil où l'attend le Marquis d'Evans et s'incline afin de poser sa tête, son front contre le sol, juste devant les pieds de son Maître et s'immobilise ainsi. Le Marquis regarde avec ravissement celle qui est Sienne et qui lui a prêté une si grande allégeance, et IL ressent un profond désir de mâle de la posséder qui s'ajoute à son désir de Maître de la soumettre encore et encore à ses moindres désirs les plus pervers. IL se lève tout d'un coup en ajoutant :
- Mais il me semble, ma chienne, que ton cou est bien vide, Tu ne portes plus les marques de mon appartenance, ne crois-tu pas qu'il serait temps que je te remette ton collier gravé à Mes initiales. Tes atours de petite chienne t'attendent, ne bouge surtout pas (dit-IL en lui soulevant légèrement la tête dont le front touchait encore le sol)
Au moment même où le Marquis s'apprête à se lever pour aller chercher de quoi parer Sa soumise en signe d'appartenance, un bruit de toc-toc se fait entendre.
- Monsieur le Marquis d'Evans, puis-je entrer ? C'est moi, C'est Thierry, Je suis là comme Vous me l'avez demandé, je suis venu… dit une voix toute timide
- Silence ! (s'écrie alors le Châtelain d'une voix courroucée) Qui t'a autorisé à parler en Ma présence ? Et puis qu'est-ce que cela veut dire " C'est moi, C'est Thierry " ! Sache qu'ici tu n'es rien, tant que je n'en ai pas décidé autrement, tu n'as pas de consistance et tu es loin d'avoir un nom ! Thierry, je ne connais plus et je n'autorise aucun Thierry à entrer sans autorisation dans mon salon.
- Mais Monsieur le Marquis, c'est Vous qui m'avez demandé de venir en me disant que Votre porte resterait ouverte pendant dix minutes. Je suis venu au plus vite pour ne pas risquer de la voir close à tout jamais et je ne pense pas avoir dépassé le délai que Vous m'aviez proposé.
- Silence ! Silence ! (d'une voix encore plus forte et assourdissante) Tu ne comprends donc pas le français !!! J'avais été pourtant clair précédemment. Même Ma belle Thaïs qui est une esclave-soumise que j'apprécie amplement pour sa loyauté et son dévouement, n'est pas autorisée à parler tant que je ne lui pose pas de questions ou ne lui donne pas le droit de s'exprimer en ma présence.
Le Marquis qui était déjà debout, s'approche de l’encadrement de la porte où se trouve le jeune businessman. IL se met presque en travers du passage comme s'IL voulait en barrer l'entrée pour l'instant et de son allure imposante et majestueuse, IL porte sur le soumis en devenir un regard dominateur qui le force à baisser les yeux avant d'enchaîner.
- Et en plus tu oses me répondre ! Je sens qu'il va y avoir du travail à faire avec toi pour t'éduquer, ne serait-ce qu'un tout petit peu avec les bases de la soumission que tu sembles ignorer, malgré le fait que je suis sûr que tu portes cela en toi.
Le Noble se tient très droit, le torse bombé et les épaules hautes et largement ouvertes. IL met ses poings sur sa taille et d'un ton ferme qui ne supportera visiblement pas une réplique de plus, IL reprend :
- Je ne peux pas tolérer les erreurs de tes propos. Ce n'est pas moi qui t'ai demandé de venir ici. Petite chose sans nom, ne te rappelles-tu donc pas mes propos qui étaient pourtant clairs et précis ? " Je peux dans ma grande magnanimité accepter de dresser le chien fidèle que tu pourras devenir, si tu décides de venir m'implorer pour que j'accepte de te voir ramper à mes pieds. " Je ne t'ai donc rien demandé à proprement parlé. Tu te trompes en osant affirmer le contraire. Mes esclaves et Mes soumis ou soumises sont tous à Mes pieds de leur plein gré et non à Ma demande, bien qu'ils soient tous devenus Ma propriété. Je veux que cela soit bien clair dans ton esprit avant que nous poursuivions. C'est une condition sine qua none ! Est-ce que tu as bien compris ce que je viens de te dire. N'ouvre pas la bouche, tu as déjà beaucoup trop parlé jusqu'à présent et tu as raté ce qui aurait dû être ton arrivée faite d'humilité et de soumission. Fais moi juste un signe de la tête pour me répondre que j'ai raison et que tu as eu tort en t'exprimant ainsi.
Le jeune businessman se demande à cet instant quelle est la force intérieure qui le pousse à rester et à laisser l'Homme qui le toise de si haut lui parler une fois de plus comme personne n'a jamais osé le faire avant, qui n'est ni plus ni moins qu'un être humain comme lui, sans plus de droits sur quiconque que le commun des mortels. Il lui serait si simple de tourner les talons et de s'en aller à tout jamais en oubliant ce malheureux week-end dont il va déjà devoir payer rudement les pots cassés au niveau professionnel, puisqu'il va bien être contraint, s'il ne veut pas voir sa notoriété mise à mal par la diffusion d'un DVD compromettant, de faire valider à son Conseil d'administration la mauvaise offre d'acquisition du terrain et il aura beaucoup de mal à conserver la confiance des actionnaires et sa place d'administrateur dans la société où il ne détient qu'une toute petite partie non majoritaire des parts. Mais cela ne lui semble vraiment pas aussi simple, car il a vraiment ressenti des émotions et une excitation sans précédent quand il s'est trouvé à l'entière merci du Marquis Edouard d'Evans, rêvant comme dans les fantasmes les plus refoulés de devenir son esclave, de le servir en acceptant les plus basses besognes pour le contenter, de lui appartenir corps et âme même s'il sait les contraintes et acceptations de toutes sortes que cela va entraîner, tant il a ressenti la force du pouvoir Dominant de ce grand Maître. Son désir le plus cher est donc bien d'entrer et de se mettre à la disposition totale du Noble, servilement et docilement, mais comme il a fini par comprendre qu'il ne devait pas ouvrir la bouche, il ne sait pas très bien quoi faire et se trouve un peu démuni n'osant même pas bouger le petit doigt, figé qu'il est sur place devant la stature noble et imposante de Celui dont il reconnaît déjà, avec humilité et crainte, l'immense pouvoir que le Marquis d'Evans a pris sur lui en quelques heures à peine.
Le Châtelain commence à comprendre qu'IL a réussi à déstabiliser l'esprit de celui qui doit à cet instant renoncer à sa vie d'avant, sa vie professionnelle de jeune businessman trop sûr de lui et presque hautain arborant fièrement ses réussites passées, pour rentrer dans la peau humble d'un soumis en devenir au service du Marquis Edouard d'Evans. IL s'aperçoit que le jeune homme est un peu désemparé et qu'il fronce les sourcils, même s'il a conservé les yeux baissés. Puis, il fait le signe de tête affirmatif attendu par le Maître.
- Alors reprenons depuis le début ! Qui es-tu ? Tu n'auras droit qu'à une seule réponse, tâche que cela soit la bonne, celle que j'attends. Je t'écoute.
- Je suis Th..... (Thierry s'interrompt brusquement avant d'aller plus loin, comprenant que cela n'est sûrement pas la bonne réponse, qu'il s'est déjà fait rabroué durement juste avant quand il a frappé à la porte). Je suis une petite chose sans nom, Monsieur le Marquis Edouard d'Evans ....... Maître (ajoute t-il se rappelant la manière dont Thaïs s'était adressé à son Dominant)
- Bon c'est déjà mieux ! Oui, tu n'es rien, tu n'es plus rien, tu n'es personne pour l'heure, tout se mérite avec des efforts, du temps et de la vraie soumission. Pour l'instant, tu n'es pas autorisé à m'appeler " Maître " car tu ne fais pas encore partie des esclaves de Mon Château. Je n'ai pas encore décidé si j'acceptais de te dresser pour que tu puisses intégrer mon cheptel et ceci d'autant plus que tu n'as rien demandé de précis et que pour l'heure, je ne suis pas encore disposé à entendre tes supplications à cet effet.
Le Marquis s’approche plus sur le pas de la porte où IL se tenait, et attrapant celle-ci comme s'IL allait la fermer, IL ajoute.
- Petite chose sans nom, regarde Mon esclave-soumise qui m'attend là-bas sans bouger à genoux. Ne vois-tu pas la différence majeure entre elle et toi. Ne vois-tu pas dans quelle tenue mes esclaves sont autorisés à se présenter devant leur Maître. Crois-tu que je vais laisser entrer ici un jeune businessman en costume d'affaires, encore que je m'aperçois que dans ta précipitation, tu n'as même pas mis ta cravate, cela te fera donc un habit de moins à retirer avant de pouvoir espérer faire un seul pas à l'intérieur de cette pièce.
Thierry hésite un instant, car il sent très bien l'excitation qui a commencé à faire gonfler sa queue à l'intérieur de son pantalon depuis que le Marquis a commencé à le rudoyer sévèrement. Il sait qu'il va à nouveau apparaître avec un sexe dressé s'il doit se déshabiller sur le champ et qu'il ne manquera pas de s'attirer les moqueries du Marquis qui ne va pas se gêner de le lui faire remarquer et que cela l’excitera encore plus. Et pourtant c'est cette même excitation et la honte qu'il en éprouve qui le pousse à continuer. Il enlève la veste de son costume et commence à la plier délicatement pour la poser à terre, quand il est interrompu dans son déshabillage.
- Tu crois vraiment que j'ai du temps à perdre avec une misérable chose comme toi, alors que Ma belle chienne m'attend et que J'ai envie de la posséder et de me vider dans l'un de ses orifices qui me sont tous ouverts et mis à ma disposition. Tu as dix secondes pour te mettre à poil, laisser tes habits d'homme d'affaires dans le couloir, ils ne te seront plus d'aucune utilité à l'intérieur. Rentre après et ferme la porte. Exécution immédiate. Tu es venu parce que tu voulais ramper à Mes pieds et m'implorer ..... Alors commence par ramper et aussi par attendre sans bouger que je sois disposé à t'écouter.
Le Marquis se retourne laissant le soumis qui s'empresse de se dévêtir, de pénétrer et de fermer la porte, trop heureux et trop excité d'être parvenu à l'intérieur. Il n'a pas encore lâché la poignée qu'il entend derrière lui la voix autoritaire du Noble.
- A terre et rampe maintenant car Je sais que tu ne désires que cela ... et tu vas apprendre la première règle de tous les soumis en devenir sans nom et sans statut qui est : la patience.
C'est vers sa soumise Thaïs que le Maître Vénéré maintenant se dirige, oubliant totalement son futur esclave qui s'est mis à terre et qui avance en rampant sur le sol vers le centre de la pièce.
- Ma belle chienne lubrique, il est temps que tu t'occupes de ton Maître qui a envie de se vider les couilles depuis trop longtemps maintenant, mais je reconnais que j'ai aussi toujours beaucoup de plaisir d'une autre nature à voir une nouvelle recrue venir se jeter à Mes pieds. Si tu pouvais le voir allonger sur le sol, il en est pitoyable mais je le dresserai à se mouvoir ave élégance et à devenir un bon chien, enfin, s'il m'implore correctement et si Je daigne l'écouter suffisamment longtemps pour finir par accepter sa requête (dit-IL assez fort pour que le soumis en devenir l'entende distinctement)
Thaîs pense que son Maître va revenir s'installer dans le fauteuil et qu'IL attendra d'elle de pouvoir bénéficier de sa douce et voluptueuse bouche qu'IL apprécie particulièrement quand elle lui fait une fellation digne de ce nom, lui laissant la baiser sa retenue ses lèvres grandes ouvertes pour pouvoir accueillir le membre gonflé de son Maître le plus profondément possible. Mais à genoux et la tête toujours inclinée vers le sol, elle aperçoit juste les pieds de son Dominant qui passent à ses côtés sans s'arrêter et prêtant attention au moindre bruit, elle entend que son Maître Vénéré semble être parti dans la chambre à côté. Elle se demande ce qu'IL a encore bien pu imaginer de sensuel ou de plus pervers pour la suite de leurs ébats lubriques car l'imagination du Châtelain est sans bornes...
(A suivre ….)
Le Marquis Edouard d'Evans venait de quitter la chambre du jeune businessman emmenant sa soumise Thaïs avec Lui, et laissant Thierry devant un choix qu'IL savait ne pas être cornélien. Le Maître avait laissé au soumis en devenir dix minutes pas plus pour faire le choix de sa vie future, avec la possibilité, soit de renoncer à tout cet univers qu'il venait de découvrir comme faisant partie de ses désirs les plus inavoués qui avait fait naître en lui une excitation fulgurante, soit se précipiter dans les appartements du Noble, pour se jeter à Ses pieds et le supplier de bien vouloir accepter de le dresser et de faire de lui l'esclave qu'il avait toujours rêvé d'être dans son fort intérieur, même s'il avait sans cesse tenté de repousser cette idée qui lui semblait incongrue et peu réaliste,
Le Marquis Edouard d'Evans se dirige vers l'escalier qui conduit à sa suite privée. IL n'a pas besoin de se retourner, IL sait que sa chienne est là et qu'elle suit son Maître, juste derrière lui, marchant à la même allure vive, comme si elle lui était reliée par une laisse invisible dont IL tiendrait la dragonne. Thaïs a les yeux baissés pour ne regarder que le sol et juste devant elle les pieds de son Maître qui guident ses propres pas dans la trace des Siens. Le Marquis ne parle pas comme s'IL était pressé de regagner sa chambre. Thaïs ne se hasarde surtout pas à lui poser la moindre question, mais elle espère quand même que son Maître est satisfait de tout ce qui s'est passé depuis le début de ce week-end et surtout qu'IL est content et fier de sa soumise toujours si obéissante et si dévouée.
Le Marquis s'arrête à l'entrée de la suite qu'IL occupe et laisse passer sa soumise devant pour qu'elle lui ouvre la porte. Au passage, IL lui retire son peignoir blanc, et la femelle se retrouve aussi nue qu'au premier jour de sa naissance. Sans même se retourner, tandis que Thaïs s'apprête à refermer après Son passage, le Marquis ordonne d'une voix ferme :
- A quatre pattes, maintenant. Ne ferme pas la porte, nous attendons de la visite, tu le sais bien ! Et puis approche jusqu'à Moi, Ma belle chienne, il est temps que tu reprennes ta place à Mes pieds physiquement, même si je sais que tu ne l'as abandonné que sur mon ordre, car jamais tu ne voudrais consciemment quitter ton Maître Vénéré. Est-ce que Je me trompe ? ajoute t-IL d'un air interrogatif comme s'IL voulait une fois encore tester la fidélité de sa soumise.
- Mon Maître Vénéré, bien sûr que Vous ne Vous trompez pas. Vous savez très bien que je ne souhaite qu'une chose, pouvoir être autorisée à rester Votre soumise Thaïs à Vos pieds, Vous appartenir chaque jour un peu plus tant que Vous voudrez bien de moi et ne me rejetterez pas, Vous obéir en tous points et tout faire pour Vous combler et Vous satisfaire, Vous mon Maître.
Le Noble s'est assis dans un fauteuil qu'IL a tourné pour l'orienter face à la porte qui marque l'entrée de la suite. IL regarde sa montre car IL sait qu'IL ne tolérera aucun retard de la part de celui qu'IL attend, bien décidé à fermer sa porte à l'heure dite si Thierry ne l'a pas franchi avant, car il ne saurait être question d'accepter la moindre transgression d'une première consigne donnée, preuve du peu de motivation et de volonté de l'esclave en devenir.
Thaïs pendant ce temps, s'est approchée de son Maître à quatre pattes, d'une marche animale qui fait onduler sa croupe une fesse après l'autre et balancer ses lourdes mamelles à chaque pas. Elle s'arrête quand elle atteint le fauteuil où l'attend le Marquis d'Evans et s'incline afin de poser sa tête, son front contre le sol, juste devant les pieds de son Maître et s'immobilise ainsi. Le Marquis regarde avec ravissement celle qui est Sienne et qui lui a prêté une si grande allégeance, et IL ressent un profond désir de mâle de la posséder qui s'ajoute à son désir de Maître de la soumettre encore et encore à ses moindres désirs les plus pervers. IL se lève tout d'un coup en ajoutant :
- Mais il me semble, ma chienne, que ton cou est bien vide, Tu ne portes plus les marques de mon appartenance, ne crois-tu pas qu'il serait temps que je te remette ton collier gravé à Mes initiales. Tes atours de petite chienne t'attendent, ne bouge surtout pas (dit-IL en lui soulevant légèrement la tête dont le front touchait encore le sol)
Au moment même où le Marquis s'apprête à se lever pour aller chercher de quoi parer Sa soumise en signe d'appartenance, un bruit de toc-toc se fait entendre.
- Monsieur le Marquis d'Evans, puis-je entrer ? C'est moi, C'est Thierry, Je suis là comme Vous me l'avez demandé, je suis venu… dit une voix toute timide
- Silence ! (s'écrie alors le Châtelain d'une voix courroucée) Qui t'a autorisé à parler en Ma présence ? Et puis qu'est-ce que cela veut dire " C'est moi, C'est Thierry " ! Sache qu'ici tu n'es rien, tant que je n'en ai pas décidé autrement, tu n'as pas de consistance et tu es loin d'avoir un nom ! Thierry, je ne connais plus et je n'autorise aucun Thierry à entrer sans autorisation dans mon salon.
- Mais Monsieur le Marquis, c'est Vous qui m'avez demandé de venir en me disant que Votre porte resterait ouverte pendant dix minutes. Je suis venu au plus vite pour ne pas risquer de la voir close à tout jamais et je ne pense pas avoir dépassé le délai que Vous m'aviez proposé.
- Silence ! Silence ! (d'une voix encore plus forte et assourdissante) Tu ne comprends donc pas le français !!! J'avais été pourtant clair précédemment. Même Ma belle Thaïs qui est une esclave-soumise que j'apprécie amplement pour sa loyauté et son dévouement, n'est pas autorisée à parler tant que je ne lui pose pas de questions ou ne lui donne pas le droit de s'exprimer en ma présence.
Le Marquis qui était déjà debout, s'approche de l’encadrement de la porte où se trouve le jeune businessman. IL se met presque en travers du passage comme s'IL voulait en barrer l'entrée pour l'instant et de son allure imposante et majestueuse, IL porte sur le soumis en devenir un regard dominateur qui le force à baisser les yeux avant d'enchaîner.
- Et en plus tu oses me répondre ! Je sens qu'il va y avoir du travail à faire avec toi pour t'éduquer, ne serait-ce qu'un tout petit peu avec les bases de la soumission que tu sembles ignorer, malgré le fait que je suis sûr que tu portes cela en toi.
Le Noble se tient très droit, le torse bombé et les épaules hautes et largement ouvertes. IL met ses poings sur sa taille et d'un ton ferme qui ne supportera visiblement pas une réplique de plus, IL reprend :
- Je ne peux pas tolérer les erreurs de tes propos. Ce n'est pas moi qui t'ai demandé de venir ici. Petite chose sans nom, ne te rappelles-tu donc pas mes propos qui étaient pourtant clairs et précis ? " Je peux dans ma grande magnanimité accepter de dresser le chien fidèle que tu pourras devenir, si tu décides de venir m'implorer pour que j'accepte de te voir ramper à mes pieds. " Je ne t'ai donc rien demandé à proprement parlé. Tu te trompes en osant affirmer le contraire. Mes esclaves et Mes soumis ou soumises sont tous à Mes pieds de leur plein gré et non à Ma demande, bien qu'ils soient tous devenus Ma propriété. Je veux que cela soit bien clair dans ton esprit avant que nous poursuivions. C'est une condition sine qua none ! Est-ce que tu as bien compris ce que je viens de te dire. N'ouvre pas la bouche, tu as déjà beaucoup trop parlé jusqu'à présent et tu as raté ce qui aurait dû être ton arrivée faite d'humilité et de soumission. Fais moi juste un signe de la tête pour me répondre que j'ai raison et que tu as eu tort en t'exprimant ainsi.
Le jeune businessman se demande à cet instant quelle est la force intérieure qui le pousse à rester et à laisser l'Homme qui le toise de si haut lui parler une fois de plus comme personne n'a jamais osé le faire avant, qui n'est ni plus ni moins qu'un être humain comme lui, sans plus de droits sur quiconque que le commun des mortels. Il lui serait si simple de tourner les talons et de s'en aller à tout jamais en oubliant ce malheureux week-end dont il va déjà devoir payer rudement les pots cassés au niveau professionnel, puisqu'il va bien être contraint, s'il ne veut pas voir sa notoriété mise à mal par la diffusion d'un DVD compromettant, de faire valider à son Conseil d'administration la mauvaise offre d'acquisition du terrain et il aura beaucoup de mal à conserver la confiance des actionnaires et sa place d'administrateur dans la société où il ne détient qu'une toute petite partie non majoritaire des parts. Mais cela ne lui semble vraiment pas aussi simple, car il a vraiment ressenti des émotions et une excitation sans précédent quand il s'est trouvé à l'entière merci du Marquis Edouard d'Evans, rêvant comme dans les fantasmes les plus refoulés de devenir son esclave, de le servir en acceptant les plus basses besognes pour le contenter, de lui appartenir corps et âme même s'il sait les contraintes et acceptations de toutes sortes que cela va entraîner, tant il a ressenti la force du pouvoir Dominant de ce grand Maître. Son désir le plus cher est donc bien d'entrer et de se mettre à la disposition totale du Noble, servilement et docilement, mais comme il a fini par comprendre qu'il ne devait pas ouvrir la bouche, il ne sait pas très bien quoi faire et se trouve un peu démuni n'osant même pas bouger le petit doigt, figé qu'il est sur place devant la stature noble et imposante de Celui dont il reconnaît déjà, avec humilité et crainte, l'immense pouvoir que le Marquis d'Evans a pris sur lui en quelques heures à peine.
Le Châtelain commence à comprendre qu'IL a réussi à déstabiliser l'esprit de celui qui doit à cet instant renoncer à sa vie d'avant, sa vie professionnelle de jeune businessman trop sûr de lui et presque hautain arborant fièrement ses réussites passées, pour rentrer dans la peau humble d'un soumis en devenir au service du Marquis Edouard d'Evans. IL s'aperçoit que le jeune homme est un peu désemparé et qu'il fronce les sourcils, même s'il a conservé les yeux baissés. Puis, il fait le signe de tête affirmatif attendu par le Maître.
- Alors reprenons depuis le début ! Qui es-tu ? Tu n'auras droit qu'à une seule réponse, tâche que cela soit la bonne, celle que j'attends. Je t'écoute.
- Je suis Th..... (Thierry s'interrompt brusquement avant d'aller plus loin, comprenant que cela n'est sûrement pas la bonne réponse, qu'il s'est déjà fait rabroué durement juste avant quand il a frappé à la porte). Je suis une petite chose sans nom, Monsieur le Marquis Edouard d'Evans ....... Maître (ajoute t-il se rappelant la manière dont Thaïs s'était adressé à son Dominant)
- Bon c'est déjà mieux ! Oui, tu n'es rien, tu n'es plus rien, tu n'es personne pour l'heure, tout se mérite avec des efforts, du temps et de la vraie soumission. Pour l'instant, tu n'es pas autorisé à m'appeler " Maître " car tu ne fais pas encore partie des esclaves de Mon Château. Je n'ai pas encore décidé si j'acceptais de te dresser pour que tu puisses intégrer mon cheptel et ceci d'autant plus que tu n'as rien demandé de précis et que pour l'heure, je ne suis pas encore disposé à entendre tes supplications à cet effet.
Le Marquis s’approche plus sur le pas de la porte où IL se tenait, et attrapant celle-ci comme s'IL allait la fermer, IL ajoute.
- Petite chose sans nom, regarde Mon esclave-soumise qui m'attend là-bas sans bouger à genoux. Ne vois-tu pas la différence majeure entre elle et toi. Ne vois-tu pas dans quelle tenue mes esclaves sont autorisés à se présenter devant leur Maître. Crois-tu que je vais laisser entrer ici un jeune businessman en costume d'affaires, encore que je m'aperçois que dans ta précipitation, tu n'as même pas mis ta cravate, cela te fera donc un habit de moins à retirer avant de pouvoir espérer faire un seul pas à l'intérieur de cette pièce.
Thierry hésite un instant, car il sent très bien l'excitation qui a commencé à faire gonfler sa queue à l'intérieur de son pantalon depuis que le Marquis a commencé à le rudoyer sévèrement. Il sait qu'il va à nouveau apparaître avec un sexe dressé s'il doit se déshabiller sur le champ et qu'il ne manquera pas de s'attirer les moqueries du Marquis qui ne va pas se gêner de le lui faire remarquer et que cela l’excitera encore plus. Et pourtant c'est cette même excitation et la honte qu'il en éprouve qui le pousse à continuer. Il enlève la veste de son costume et commence à la plier délicatement pour la poser à terre, quand il est interrompu dans son déshabillage.
- Tu crois vraiment que j'ai du temps à perdre avec une misérable chose comme toi, alors que Ma belle chienne m'attend et que J'ai envie de la posséder et de me vider dans l'un de ses orifices qui me sont tous ouverts et mis à ma disposition. Tu as dix secondes pour te mettre à poil, laisser tes habits d'homme d'affaires dans le couloir, ils ne te seront plus d'aucune utilité à l'intérieur. Rentre après et ferme la porte. Exécution immédiate. Tu es venu parce que tu voulais ramper à Mes pieds et m'implorer ..... Alors commence par ramper et aussi par attendre sans bouger que je sois disposé à t'écouter.
Le Marquis se retourne laissant le soumis qui s'empresse de se dévêtir, de pénétrer et de fermer la porte, trop heureux et trop excité d'être parvenu à l'intérieur. Il n'a pas encore lâché la poignée qu'il entend derrière lui la voix autoritaire du Noble.
- A terre et rampe maintenant car Je sais que tu ne désires que cela ... et tu vas apprendre la première règle de tous les soumis en devenir sans nom et sans statut qui est : la patience.
C'est vers sa soumise Thaïs que le Maître Vénéré maintenant se dirige, oubliant totalement son futur esclave qui s'est mis à terre et qui avance en rampant sur le sol vers le centre de la pièce.
- Ma belle chienne lubrique, il est temps que tu t'occupes de ton Maître qui a envie de se vider les couilles depuis trop longtemps maintenant, mais je reconnais que j'ai aussi toujours beaucoup de plaisir d'une autre nature à voir une nouvelle recrue venir se jeter à Mes pieds. Si tu pouvais le voir allonger sur le sol, il en est pitoyable mais je le dresserai à se mouvoir ave élégance et à devenir un bon chien, enfin, s'il m'implore correctement et si Je daigne l'écouter suffisamment longtemps pour finir par accepter sa requête (dit-IL assez fort pour que le soumis en devenir l'entende distinctement)
Thaîs pense que son Maître va revenir s'installer dans le fauteuil et qu'IL attendra d'elle de pouvoir bénéficier de sa douce et voluptueuse bouche qu'IL apprécie particulièrement quand elle lui fait une fellation digne de ce nom, lui laissant la baiser sa retenue ses lèvres grandes ouvertes pour pouvoir accueillir le membre gonflé de son Maître le plus profondément possible. Mais à genoux et la tête toujours inclinée vers le sol, elle aperçoit juste les pieds de son Dominant qui passent à ses côtés sans s'arrêter et prêtant attention au moindre bruit, elle entend que son Maître Vénéré semble être parti dans la chambre à côté. Elle se demande ce qu'IL a encore bien pu imaginer de sensuel ou de plus pervers pour la suite de leurs ébats lubriques car l'imagination du Châtelain est sans bornes...
(A suivre ….)
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