La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°266)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°266)
Suite de l'épisode précédent N°265 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis Edouard d'Evans vient de laisser à l'entrée du salon de la suite qu'IL occupe dans le château de M...., celui qu'IL a appelé une petite chose sans nom, à la fois intimidé, apeuré mais si décidé et si excité. L'ancien businessman, plein de suffisance et d'arrogance, a du quitter tous ses habits pour les laisser derrière la porte en entrant. Il a eu le sentiment de se dévêtir en même temps de tout son passé, de ce qui faisait sa force d'Homme reconnu par ses pairs professionnellement, sûr de lui, à l'aise dans sa position sociale et dans son standing assuré, libre et indépendant sans attaches familiales ayant jusque là rejeté les contraintes de toute nature. Celui qui a pénétré dans la chambre avec l'autorisation du Marquis d'Evans est tout autre. Il est nu, sans plus le moindre vêtement derrière lequel se cacher, sans masque non plus pour dissimuler ses émotions, il se sent vide et à la fois si libéré de ce qui faisait la futilité de sa vie d'avant, faite de paraître et de pouvoir qui ne fonctionnent que sur les valeurs peu nobles de l'argent et de la réussite sociale. Il est actuellement dans la disposition totalement inverse, rempli d'une peur qui n'est en fait que l'expression de son désir de pouvoir être autorisé à suivre la nouvelle route qu'il vient d'accepter si librement de prendre, avec une angoisse de ne pas être à la hauteur, bien que cette expression lui paraisse fort incongrue à la réflexion dans la situation où il se trouve, car il sent bien que ce que l'on attend de lui, c'est qu'il s'aplatisse le plus possible devant Celui dont il désire devenir l'esclave volontairement asservi.
Son excitation et les palpitations de son cœur vont en grandissant tandis qu'il met le premier pied dans la pièce, tant il imagine avec délectation les tendres tourments et supplices qui risquent pourtant de l'attendre et vers lesquels il se précipite sans le moindre regret, avec une frénésie dont il s'étonne lui même. Sa queue une fois de plus est devenue un énorme gourdin qui vient parer son corps nu de mâle, totalement exposé à la vue du Noble. Jamais de sa vie, il ne s'est trouvé à bander aussi longuement et à tout bout de champ. Il lui faut bien admettre que ce qu'il vit et découvre comme émotions, minute après minute, lui fait plutôt l'effet d'une drogue aphrodisiaque dont il aura beaucoup de mal à accepter de se passer, maintenant qu'il vient de goûter à ces premiers plaisirs de la soumission librement acceptée aux pieds d'un Maître puissant et exigeant. Il n'a même pas pu se soulager sexuellement depuis le début de la matinée, malgré une érection quasi constante et ses couilles lui semblent plus pleines que jamais. Son excitation physique est certaine, mais il sent que cela ne fait pas que le faire bander, car cela décuple son besoin sexuel sur un plan intellectuel en titillant son cerveau reptilien. Il sent aussi que cela attise sa libido que jusqu'à présent il réfrénait par crainte de se laisser dépasser par quelque chose qu'il ne maîtrisait pas et qui lui semblait presque contre nature et contraire aux bonnes mœurs. Sauf que justement il vient de réaliser que c'est avant qu'il allait à l'encontre de sa nature profonde de soumis, qui ne le prend pas qu'à sa verge mais bien au plus profond de ses tripes et de la gorge qu'il sent nouée comme s'il portait déjà un lourd collier de métal pesant sur son cou et ses épaules.
Contrairement à ce qu'il aurait pu imaginer, il ne bande pas ou plus du désir hétérosexuel qui avant savait l'exciter, et sûrement pas du fait de pouvoir voir les fesses de la belle chienne Thaïs qui se trouve juste devant lui à quelques mètres seulement, dans une posture pourtant indécente puisque ainsi agenouillée avec la croupe relevée et les jambes écartées, il peut sans grand mal avoir une vue directe sur son intimité, fut-elle furtive car il n'a pas vraiment osé lever les yeux pour porter son regard plus loin dans la pièce, de crainte de croiser le regard directif et profond du Châtelain, qui le terrifie autant qu'il l'attire. Il a quand même aperçu les parties intimes de celle pour laquelle il pensait avoir des sentiments amoureux au point de songer à l'épouser sur un simple coup de foudre, sa chatte qui brille légèrement car la cyprine la recouvre généreusement mais aussi son cul offert et ouvert qui est un véritable appel à la sodomie que tout membre viril souhaiterait forcer et dilater pour se faire une place bien au chaud dans cet étroit orifice accueillant.
Craignant de s'attirer une fois encore les foudres du Grand Maître, car il se sent si ignare de tout ce qu'il doit faire et de l'attitude qu'il doit adopter, il prend à la lettre les mots que le Noble à daigné lui adresser : " A terre et rampe maintenant car Je sais que tu ne désires que cela ". Il s'est donc mis à genoux, puis s'est couché sur le parquet. Son sexe gonflé le gêne car il représente une protubérance qui se cogne contre le sol et qui est écrasé par son poids d'homme non chétif. Il se rappelle que pendant qu'il faisait son service militaire, il y a très longtemps, il avait dû suivre des exercices d'entraînement intensif dont il avait gardé un assez mauvais souvenir, quand il fallait franchir des obstacles aux pas de course, escalader, sauter, enjamber et aussi ramper sous des fils de fer barbelés, et ce parfois même sous la pluie et dans la boue. Il a donc imaginé que c'est ce que le Marquis d'Evans attend de lui sur l'instant, qu'il avance donc ainsi, les bras pliés devant lui, prenant appui sur les coudes et les avant-bras pour se déplacer centimètres après centimètres, en laissant son corps traîner derrière le plus plat possible, se propulsant en poussant aussi sur ses jambes au sol. Son pénis frotte sur chacune des lames de parquet et son avancée lui semble lente, périlleuse et douloureuse.
Il est sûrement bien loin d'une démarche gracieuse, qui ne l'est déjà pas quand il s'agit de soldats se trémoussant avec casques et treillis, coudée après coudée. Mais c'est quand il entend le Marquis d'Evans dire à Thaïs, à juste titre, qu'il est pitoyable ainsi allongé sur le sol et que le Maître devra le dresser pour qu'il devienne un bon chien capable de se mouvoir avec élégance, qu'une terrible honte s'empare de son esprit déjà mis à rude épreuve. Il s'imagine d'ailleurs plus, à cause de sa nudité et de sa posture, dans la peau d'un ver de terre flasque rampant sur le sol péniblement que dans le corps d'un chien dressé, animal de compagnie fidèle et dévoué, ou même de l'esclave docile, qu'il espérait pouvoir devenir un jour, poussé par ses fantasmes sexuels et désirs si profonds, mais auquel il croyait que le Maître reconnaîtrait malgré tout une certaine humanité, fut-elle servile et docile. Il avance tant bien que mal vers le centre de la chambre, à la fois gêné et excité par la grosseur de sa queue qu'il doit traîner sous son corps et qui cogne le sol à chaque avancée, craignant encore plus de se laisser enfin gagner par la montée de plaisirs qui le conduirait à éjaculer sur place et sous lui. Il s'imagine très bien que ce serait du plus mauvais effet et terriblement inconvenant pour tenter ensuite de convaincre le Marquis d'Evans d'accéder à sa requête et de le prendre sous son joug. Il tente donc de redresser son corps en s'arc-boutant sur ses avant-bras et sur la pointe des pieds pour pouvoir éviter tout contact sur son pénis qui ne demande plus qu'à jaillir de son foutre. Cela rend sa démarche encore plus cahoteuse et le Marquis n'a aucun mal à imaginer les raisons de ces déhanchements malhabiles.
Mais le Noble a pour l'heure autre chose en tête, et IL sait très bien qu'IL a enjoint à son soumis en devenir une bonne dose de patience avant qu'IL ne daigne lui prêter plus d'attention pour accepter de l'entendre le supplier de pouvoir rester à Ses pieds. Le Maître qui est accoutumé à ce genre de situation a pris l'habitude de ne surtout pas se précipiter dans les premières approches du dressage, car il faut laisser le temps à une petite chose sans nom de s'acclimater de sa nouvelle condition et en Dominant expérimenté qu'IL est, IL a bien dans l'intention de le faire poireauter et patienter un bon bout de temps avant de revenir s'intéresser à ce qui ne sera jamais qu'un esclave de plus dans son cheptel et envers qui IL ne doit montrer, s'IL veut en rester Maître à tout jamais, aucune attention particulière avant qu'elle ne soit méritée par une obéissance et une allégeance sans failles.
Le Marquis d'Evans retourne dans sa chambre, où se trouvent les affaires dont IL va avoir besoin pour "vêtir" à sa convenance sa chienne Thaïs et l'utiliser suivant son bon plaisir du moment, car IL compte bien profiter de la fin de ce Week-end maintenant qu'IL est arrivé à ses fins sur le plan professionnel. IL récupère dans le carton qu'IL avait fait livrer à l'hôtel avant son arrivée des cordages, une longue chaîne et d'autres plus petite, quelques accessoires divers qui lui permettront de faire les attaches nécessaires. IL a dans l'intention de saillir Sa femelle mais IL désire d'abord la préparer pour qu'elle soit en condition toute particulière pour apprécier à sa juste valeur l'honneur qui est fait à l'esclave-soumise de se faire pénétrer par le noble sexe de son Maître qui l'inondera sûrement de sa précieuse semence, même s'IL ne sait pas encore de quelle manière, car il faut bien laisser une part de spontanéité dans le plaisir charnel. IL retourne ensuite vers l'un de ses nombreux sacs de voyage et y récupère le cadeau qu'IL avait prévu d'offrir à sa soumise en remerciements de sa prestation de comédienne.
Le Maître est très content de l'objet qu'IL a choisi, car IL reconnaît aisément que Thaïs l'a bien mérité et qu'elle a été plus qu'excellente dans le déroulé de tout le Week-end, tant au niveau des enjeux professionnels qui vont aboutir favorablement au profit du Marquis d'Evans, qu'au niveau de ses intérêts personnels car IL va pouvoir compter sous peu un nouveau matricule dans la liste des esclaves attachés au service du Maître. Le Marquis d'Evans a déjà l'intention de s'attribuer également les capacités professionnelles de l'ancien homme d'affaires, spécialisé en affaires immobilières, pour pouvoir le mettre ultérieurement au service de l'une de ses sociétés quand il sera suffisamment dressé et qu'il aura été capable de prouver une loyauté infaillible envers son Maître. Le Marquis sait qu'IL ne doit jamais agir dans la précipitation et l'heure n'est pas à échafauder des plans financiers pour l'avenir mais bien de retrouver au plus vite Thaïs qu'IL désire de plus en plus charnellement.
Le Maître Vénéré retire du sac une boite écrin assez grosse dans laquelle se trouve le nouveau collier qu'IL souhaite offrir à Sa soumise, accompagné des accessoires qui le complètent. Et prenant l'ensemble de ses affaires, IL revient vers le salon, où IL trouve toujours à la même place, dans un silence qui permettrait d'entendre siffler les mouches, Sa soumise Thaïs, toujours prosternée juste devant le fauteuil vide qu'IL occupait précédemment et aussi cette petite chose sans nom, nu, en position presque allongée, reposant sur les coudes et les avant-bras et toujours sur la pointe des pieds pliés, le corps légèrement arc-bouté vers le haut, les fesses relevées et en tension pour ne pas être plus aplati sur le sol. Le Marquis s'approche de cette masse longiligne, mais cependant tordue, et sans dire un mot, IL pose son pied sur les fesses du jeune homme et appuie suffisamment pour le forcer à céder sur ses appuis et à s'écraser complètement à même le sol. Puis, s'adressant à lui, d'une voix posée, tout en le toisant de très haut :
- Tu sembles avoir quelques soucis pour enregistrer Mes propos et connaître le sens des mots. Mais je veux bien être encore un peu indulgent car tu n'as pas encore été dressé et personne ne t'a inculqué les bonnes manières visiblement avant Moi. Mais à cet instant, serait-ce encore ta misérable queue qui te dérange, elle ne te laissera donc jamais tranquille… "A terre", ne veut pas dire en équilibre sur tes pieds et tes bras, mais ton corps posé à même le sol non pas perché sur un phallus rigide qui te sert aussi de trépied... Il y a des moments, où je me demande si tu es un mâle doté d'un sexe qui pend entre ses cuisses la plupart du temps à l'état normal et qui parfois se gonfle et se dresse sous l'effet du désir sexuel, ou si tu es l'une de ses créatures priapiques en érection permanente ou même encore mieux, un monstre ithyphallique qui se présente comme un sexe difforme dont la base ne serait autre qu'un petit corps d'homme autour… De toute façon, cette queue qui t’embarrasse deviendra vite une simple nouille encagée, soit en certain …
Le Marquis appuie de plus en plus fortement sur les fesses de celui qui est à sa merci sous son pied, le forçant à s'aplatir complètement et à peser de tout son poids sur le sol. Du pied encore, IL écarte ensuite un à un les coudes du corps inerte qui se laisse faire, pour amener peu à peu les bras à lâcher prise eux aussi, non plus en tension, mais posés à même le sol en prolongement du corps. Avant de se remettre à parler, le Marquis repose à nouveau son pied sur les fesses qui en avaient profité pour se soulever légèrement, et IL maintient une forte pression sur le pantin dénudé qu'IL manipule déjà de tous petits gestes bien dosés et pourtant appuyés. Loin de pouvoir être en état de débander, celui qui ne sait même plus comment il s'appelle et qui il est, se trouve de plus en plus en proie à une érection qui ne trouve même plus la place de pouvoir s'exprimer prise en sandwich entre les lames du parquet vernis et le corps d'autant plus pesant et écrasant qu'il doit supporter le poids supplémentaire imposé par le pied du Marquis qui sait très bien ce qu'IL fait en agissant ainsi.
- Bon voilà qui est mieux, Là, tu es vraiment à terre, juste allongé à même le sol, Je ne veux pas voir la bosse que forme ta queue te déformer le squelette et la base de la colonne vertébrale. Tu n'es quand même pas encore un taureau en rut qu'on aurait nourri au Viagra. Et ne t'avise pas de laisser couler ton vit indiscipliné avant que tu n'y sois autorisé car tu pourrais repartir aussi sec d'où tu viens, espérant que tes vêtements soient encore dans le couloir, et ce avant même d'être autorisé à ouvrir la bouche et à t'exprimer. Donc tâche de calmer un peu tes ardeurs jouissives.
Marquant un temps de pause, le Marquis prend le temps de passer une main tactile sur le corps alangui, de la tête jusqu'au pied et remontant par l'autre jambe pour revenir jusqu'au sommet du crâne, comme s'IL voulait commencer à jauger de la forme et de réactivité de celui qui est venu ramper à ses pieds, à proprement parler, ce qui ne manque pas de faire légèrement frémir une fois encore le corps qui est ainsi caressé d'une main large aux doigts puissants.
- Prends le temps de bien réfléchir à ce que tu es venu me demander et aux savoureuses suppliques que tu vas m'adresser. Rappelle-toi bien qu'ici la porte n'est jamais fermée pour sortir. Dans le sens inverse, elle ne s'ouvre que sur mon ordre et rarement. Tu es libre de partir quand tu le voudras, mais sache une chose, que je dois bien avant tout te répéter à nouveau. Si un jour, tu t'en vas et que tu décides de me quitter, que ce soit de ton plein gré ou parce que je te renvois au cas où tu ne serais plus digne de rester à Mes côtés, ce sera absolument définitif, Je n'offre à qui que ce soit de seconde chance. De toute manière, rien ne dit encore que je vais même seulement daigner t'accorder une première et unique chance…
(A suivre …)
Le Marquis Edouard d'Evans vient de laisser à l'entrée du salon de la suite qu'IL occupe dans le château de M...., celui qu'IL a appelé une petite chose sans nom, à la fois intimidé, apeuré mais si décidé et si excité. L'ancien businessman, plein de suffisance et d'arrogance, a du quitter tous ses habits pour les laisser derrière la porte en entrant. Il a eu le sentiment de se dévêtir en même temps de tout son passé, de ce qui faisait sa force d'Homme reconnu par ses pairs professionnellement, sûr de lui, à l'aise dans sa position sociale et dans son standing assuré, libre et indépendant sans attaches familiales ayant jusque là rejeté les contraintes de toute nature. Celui qui a pénétré dans la chambre avec l'autorisation du Marquis d'Evans est tout autre. Il est nu, sans plus le moindre vêtement derrière lequel se cacher, sans masque non plus pour dissimuler ses émotions, il se sent vide et à la fois si libéré de ce qui faisait la futilité de sa vie d'avant, faite de paraître et de pouvoir qui ne fonctionnent que sur les valeurs peu nobles de l'argent et de la réussite sociale. Il est actuellement dans la disposition totalement inverse, rempli d'une peur qui n'est en fait que l'expression de son désir de pouvoir être autorisé à suivre la nouvelle route qu'il vient d'accepter si librement de prendre, avec une angoisse de ne pas être à la hauteur, bien que cette expression lui paraisse fort incongrue à la réflexion dans la situation où il se trouve, car il sent bien que ce que l'on attend de lui, c'est qu'il s'aplatisse le plus possible devant Celui dont il désire devenir l'esclave volontairement asservi.
Son excitation et les palpitations de son cœur vont en grandissant tandis qu'il met le premier pied dans la pièce, tant il imagine avec délectation les tendres tourments et supplices qui risquent pourtant de l'attendre et vers lesquels il se précipite sans le moindre regret, avec une frénésie dont il s'étonne lui même. Sa queue une fois de plus est devenue un énorme gourdin qui vient parer son corps nu de mâle, totalement exposé à la vue du Noble. Jamais de sa vie, il ne s'est trouvé à bander aussi longuement et à tout bout de champ. Il lui faut bien admettre que ce qu'il vit et découvre comme émotions, minute après minute, lui fait plutôt l'effet d'une drogue aphrodisiaque dont il aura beaucoup de mal à accepter de se passer, maintenant qu'il vient de goûter à ces premiers plaisirs de la soumission librement acceptée aux pieds d'un Maître puissant et exigeant. Il n'a même pas pu se soulager sexuellement depuis le début de la matinée, malgré une érection quasi constante et ses couilles lui semblent plus pleines que jamais. Son excitation physique est certaine, mais il sent que cela ne fait pas que le faire bander, car cela décuple son besoin sexuel sur un plan intellectuel en titillant son cerveau reptilien. Il sent aussi que cela attise sa libido que jusqu'à présent il réfrénait par crainte de se laisser dépasser par quelque chose qu'il ne maîtrisait pas et qui lui semblait presque contre nature et contraire aux bonnes mœurs. Sauf que justement il vient de réaliser que c'est avant qu'il allait à l'encontre de sa nature profonde de soumis, qui ne le prend pas qu'à sa verge mais bien au plus profond de ses tripes et de la gorge qu'il sent nouée comme s'il portait déjà un lourd collier de métal pesant sur son cou et ses épaules.
Contrairement à ce qu'il aurait pu imaginer, il ne bande pas ou plus du désir hétérosexuel qui avant savait l'exciter, et sûrement pas du fait de pouvoir voir les fesses de la belle chienne Thaïs qui se trouve juste devant lui à quelques mètres seulement, dans une posture pourtant indécente puisque ainsi agenouillée avec la croupe relevée et les jambes écartées, il peut sans grand mal avoir une vue directe sur son intimité, fut-elle furtive car il n'a pas vraiment osé lever les yeux pour porter son regard plus loin dans la pièce, de crainte de croiser le regard directif et profond du Châtelain, qui le terrifie autant qu'il l'attire. Il a quand même aperçu les parties intimes de celle pour laquelle il pensait avoir des sentiments amoureux au point de songer à l'épouser sur un simple coup de foudre, sa chatte qui brille légèrement car la cyprine la recouvre généreusement mais aussi son cul offert et ouvert qui est un véritable appel à la sodomie que tout membre viril souhaiterait forcer et dilater pour se faire une place bien au chaud dans cet étroit orifice accueillant.
Craignant de s'attirer une fois encore les foudres du Grand Maître, car il se sent si ignare de tout ce qu'il doit faire et de l'attitude qu'il doit adopter, il prend à la lettre les mots que le Noble à daigné lui adresser : " A terre et rampe maintenant car Je sais que tu ne désires que cela ". Il s'est donc mis à genoux, puis s'est couché sur le parquet. Son sexe gonflé le gêne car il représente une protubérance qui se cogne contre le sol et qui est écrasé par son poids d'homme non chétif. Il se rappelle que pendant qu'il faisait son service militaire, il y a très longtemps, il avait dû suivre des exercices d'entraînement intensif dont il avait gardé un assez mauvais souvenir, quand il fallait franchir des obstacles aux pas de course, escalader, sauter, enjamber et aussi ramper sous des fils de fer barbelés, et ce parfois même sous la pluie et dans la boue. Il a donc imaginé que c'est ce que le Marquis d'Evans attend de lui sur l'instant, qu'il avance donc ainsi, les bras pliés devant lui, prenant appui sur les coudes et les avant-bras pour se déplacer centimètres après centimètres, en laissant son corps traîner derrière le plus plat possible, se propulsant en poussant aussi sur ses jambes au sol. Son pénis frotte sur chacune des lames de parquet et son avancée lui semble lente, périlleuse et douloureuse.
Il est sûrement bien loin d'une démarche gracieuse, qui ne l'est déjà pas quand il s'agit de soldats se trémoussant avec casques et treillis, coudée après coudée. Mais c'est quand il entend le Marquis d'Evans dire à Thaïs, à juste titre, qu'il est pitoyable ainsi allongé sur le sol et que le Maître devra le dresser pour qu'il devienne un bon chien capable de se mouvoir avec élégance, qu'une terrible honte s'empare de son esprit déjà mis à rude épreuve. Il s'imagine d'ailleurs plus, à cause de sa nudité et de sa posture, dans la peau d'un ver de terre flasque rampant sur le sol péniblement que dans le corps d'un chien dressé, animal de compagnie fidèle et dévoué, ou même de l'esclave docile, qu'il espérait pouvoir devenir un jour, poussé par ses fantasmes sexuels et désirs si profonds, mais auquel il croyait que le Maître reconnaîtrait malgré tout une certaine humanité, fut-elle servile et docile. Il avance tant bien que mal vers le centre de la chambre, à la fois gêné et excité par la grosseur de sa queue qu'il doit traîner sous son corps et qui cogne le sol à chaque avancée, craignant encore plus de se laisser enfin gagner par la montée de plaisirs qui le conduirait à éjaculer sur place et sous lui. Il s'imagine très bien que ce serait du plus mauvais effet et terriblement inconvenant pour tenter ensuite de convaincre le Marquis d'Evans d'accéder à sa requête et de le prendre sous son joug. Il tente donc de redresser son corps en s'arc-boutant sur ses avant-bras et sur la pointe des pieds pour pouvoir éviter tout contact sur son pénis qui ne demande plus qu'à jaillir de son foutre. Cela rend sa démarche encore plus cahoteuse et le Marquis n'a aucun mal à imaginer les raisons de ces déhanchements malhabiles.
Mais le Noble a pour l'heure autre chose en tête, et IL sait très bien qu'IL a enjoint à son soumis en devenir une bonne dose de patience avant qu'IL ne daigne lui prêter plus d'attention pour accepter de l'entendre le supplier de pouvoir rester à Ses pieds. Le Maître qui est accoutumé à ce genre de situation a pris l'habitude de ne surtout pas se précipiter dans les premières approches du dressage, car il faut laisser le temps à une petite chose sans nom de s'acclimater de sa nouvelle condition et en Dominant expérimenté qu'IL est, IL a bien dans l'intention de le faire poireauter et patienter un bon bout de temps avant de revenir s'intéresser à ce qui ne sera jamais qu'un esclave de plus dans son cheptel et envers qui IL ne doit montrer, s'IL veut en rester Maître à tout jamais, aucune attention particulière avant qu'elle ne soit méritée par une obéissance et une allégeance sans failles.
Le Marquis d'Evans retourne dans sa chambre, où se trouvent les affaires dont IL va avoir besoin pour "vêtir" à sa convenance sa chienne Thaïs et l'utiliser suivant son bon plaisir du moment, car IL compte bien profiter de la fin de ce Week-end maintenant qu'IL est arrivé à ses fins sur le plan professionnel. IL récupère dans le carton qu'IL avait fait livrer à l'hôtel avant son arrivée des cordages, une longue chaîne et d'autres plus petite, quelques accessoires divers qui lui permettront de faire les attaches nécessaires. IL a dans l'intention de saillir Sa femelle mais IL désire d'abord la préparer pour qu'elle soit en condition toute particulière pour apprécier à sa juste valeur l'honneur qui est fait à l'esclave-soumise de se faire pénétrer par le noble sexe de son Maître qui l'inondera sûrement de sa précieuse semence, même s'IL ne sait pas encore de quelle manière, car il faut bien laisser une part de spontanéité dans le plaisir charnel. IL retourne ensuite vers l'un de ses nombreux sacs de voyage et y récupère le cadeau qu'IL avait prévu d'offrir à sa soumise en remerciements de sa prestation de comédienne.
Le Maître est très content de l'objet qu'IL a choisi, car IL reconnaît aisément que Thaïs l'a bien mérité et qu'elle a été plus qu'excellente dans le déroulé de tout le Week-end, tant au niveau des enjeux professionnels qui vont aboutir favorablement au profit du Marquis d'Evans, qu'au niveau de ses intérêts personnels car IL va pouvoir compter sous peu un nouveau matricule dans la liste des esclaves attachés au service du Maître. Le Marquis d'Evans a déjà l'intention de s'attribuer également les capacités professionnelles de l'ancien homme d'affaires, spécialisé en affaires immobilières, pour pouvoir le mettre ultérieurement au service de l'une de ses sociétés quand il sera suffisamment dressé et qu'il aura été capable de prouver une loyauté infaillible envers son Maître. Le Marquis sait qu'IL ne doit jamais agir dans la précipitation et l'heure n'est pas à échafauder des plans financiers pour l'avenir mais bien de retrouver au plus vite Thaïs qu'IL désire de plus en plus charnellement.
Le Maître Vénéré retire du sac une boite écrin assez grosse dans laquelle se trouve le nouveau collier qu'IL souhaite offrir à Sa soumise, accompagné des accessoires qui le complètent. Et prenant l'ensemble de ses affaires, IL revient vers le salon, où IL trouve toujours à la même place, dans un silence qui permettrait d'entendre siffler les mouches, Sa soumise Thaïs, toujours prosternée juste devant le fauteuil vide qu'IL occupait précédemment et aussi cette petite chose sans nom, nu, en position presque allongée, reposant sur les coudes et les avant-bras et toujours sur la pointe des pieds pliés, le corps légèrement arc-bouté vers le haut, les fesses relevées et en tension pour ne pas être plus aplati sur le sol. Le Marquis s'approche de cette masse longiligne, mais cependant tordue, et sans dire un mot, IL pose son pied sur les fesses du jeune homme et appuie suffisamment pour le forcer à céder sur ses appuis et à s'écraser complètement à même le sol. Puis, s'adressant à lui, d'une voix posée, tout en le toisant de très haut :
- Tu sembles avoir quelques soucis pour enregistrer Mes propos et connaître le sens des mots. Mais je veux bien être encore un peu indulgent car tu n'as pas encore été dressé et personne ne t'a inculqué les bonnes manières visiblement avant Moi. Mais à cet instant, serait-ce encore ta misérable queue qui te dérange, elle ne te laissera donc jamais tranquille… "A terre", ne veut pas dire en équilibre sur tes pieds et tes bras, mais ton corps posé à même le sol non pas perché sur un phallus rigide qui te sert aussi de trépied... Il y a des moments, où je me demande si tu es un mâle doté d'un sexe qui pend entre ses cuisses la plupart du temps à l'état normal et qui parfois se gonfle et se dresse sous l'effet du désir sexuel, ou si tu es l'une de ses créatures priapiques en érection permanente ou même encore mieux, un monstre ithyphallique qui se présente comme un sexe difforme dont la base ne serait autre qu'un petit corps d'homme autour… De toute façon, cette queue qui t’embarrasse deviendra vite une simple nouille encagée, soit en certain …
Le Marquis appuie de plus en plus fortement sur les fesses de celui qui est à sa merci sous son pied, le forçant à s'aplatir complètement et à peser de tout son poids sur le sol. Du pied encore, IL écarte ensuite un à un les coudes du corps inerte qui se laisse faire, pour amener peu à peu les bras à lâcher prise eux aussi, non plus en tension, mais posés à même le sol en prolongement du corps. Avant de se remettre à parler, le Marquis repose à nouveau son pied sur les fesses qui en avaient profité pour se soulever légèrement, et IL maintient une forte pression sur le pantin dénudé qu'IL manipule déjà de tous petits gestes bien dosés et pourtant appuyés. Loin de pouvoir être en état de débander, celui qui ne sait même plus comment il s'appelle et qui il est, se trouve de plus en plus en proie à une érection qui ne trouve même plus la place de pouvoir s'exprimer prise en sandwich entre les lames du parquet vernis et le corps d'autant plus pesant et écrasant qu'il doit supporter le poids supplémentaire imposé par le pied du Marquis qui sait très bien ce qu'IL fait en agissant ainsi.
- Bon voilà qui est mieux, Là, tu es vraiment à terre, juste allongé à même le sol, Je ne veux pas voir la bosse que forme ta queue te déformer le squelette et la base de la colonne vertébrale. Tu n'es quand même pas encore un taureau en rut qu'on aurait nourri au Viagra. Et ne t'avise pas de laisser couler ton vit indiscipliné avant que tu n'y sois autorisé car tu pourrais repartir aussi sec d'où tu viens, espérant que tes vêtements soient encore dans le couloir, et ce avant même d'être autorisé à ouvrir la bouche et à t'exprimer. Donc tâche de calmer un peu tes ardeurs jouissives.
Marquant un temps de pause, le Marquis prend le temps de passer une main tactile sur le corps alangui, de la tête jusqu'au pied et remontant par l'autre jambe pour revenir jusqu'au sommet du crâne, comme s'IL voulait commencer à jauger de la forme et de réactivité de celui qui est venu ramper à ses pieds, à proprement parler, ce qui ne manque pas de faire légèrement frémir une fois encore le corps qui est ainsi caressé d'une main large aux doigts puissants.
- Prends le temps de bien réfléchir à ce que tu es venu me demander et aux savoureuses suppliques que tu vas m'adresser. Rappelle-toi bien qu'ici la porte n'est jamais fermée pour sortir. Dans le sens inverse, elle ne s'ouvre que sur mon ordre et rarement. Tu es libre de partir quand tu le voudras, mais sache une chose, que je dois bien avant tout te répéter à nouveau. Si un jour, tu t'en vas et que tu décides de me quitter, que ce soit de ton plein gré ou parce que je te renvois au cas où tu ne serais plus digne de rester à Mes côtés, ce sera absolument définitif, Je n'offre à qui que ce soit de seconde chance. De toute manière, rien ne dit encore que je vais même seulement daigner t'accorder une première et unique chance…
(A suivre …)
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