La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°270)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°270)
Suite de l'épisode précédent N°269 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis d’Evans vient de mettre sous les yeux de Sa soumise un écrin contenant une magnifique parure avec collier et bracelets manifestement D/s, non tant par la beauté du bijou qui, tel quel, pourrait fort bien passer pour un simple bijou décoratif pour ceux qui ne seraient pas apte à en décrypter l’utilité première, mais par la présence en son centre, relié par un premier petit anneau, du deuxième anneau qui pend sur le devant, qui forme comme un magnifique « O » hautement symbolique, qui restera posé à plat au dessus de la poitrine en permanence et qui pourra servir de point d’ancrage à toutes sortes de cordes et de chaînes, mais aussi par les trois arceaux complémentaires qui permettront d’accrocher en d’autres points des fixations diverses et autres entraves. Tout cela semble presque trop beau pour celle qui souhaitait avant tout rester une esclave humble et dévouée pour son Maître Vénéré, mais qui féminine dans l’âme ne peut malgré tout s’empêcher d’admirer les cristaux bleus qui y sont insérés et les divers détails de l’objet bicolore gravé aux initiales et aux armoiries de Celui à qui elle appartient.
Instinctivement, Thaïs porte la main à son cou qu’elle sent si vide pour l’instant, car à la demande de son Maître, lorsqu’elle avait fait semblant de reprendre sa liberté pour partir aux bras de Thierry qui, comme il le croyait la veille, pensait l’arracher des griffes de son soi-disant « bourreau », elle avait retiré son ancien collier de soumise qu’elle avait déposé sur la table de salon en partant pour ajouter de la véracité à sa mise en scène. Jamais elle n’a autant ressenti physiquement qu’en ce moment le manque total de signe d’appartenance à son Maître, dont elle ne porte plus pour l’heure les initiales qui étaient gravées sur son collier de chienne. Elle espère, au plus profond d’elle, que le Marquis d’Evans a bien l’intention de faire ce qu’IL vient de lui proposer et de lui offrir ce si bel objet qui ornera si bien son cou. Mais elle sait aussi qu’elle n’est que sa soumise dévouée et patiente et qu’elle ne doit rien demander, ni souhaiter, et encore moins anticiper, mais seulement remercier son Maître pour tout ce qu’IL voudra bien lui accorder, quand, et seulement quand, IL voudra bien le faire, et pour, et seulement pour, le temps qu’il lui plaira de la laisser en profiter.
- Ma belle chienne, alors comment trouves-tu ma dernière acquisition ?
- Mon Maître Vénéré, s’il est permis à Votre esclave de parler, c’est un bijou magnifique qui ornera avec élégance le cou de celle qui aura l’immense honneur de pouvoir porter avec dignité Vos initiales et Vos très belles armoiries. Je Vous dirais bien que, comme chaque fois, je trouve que mon Maître a particulièrement bon goût.
- Tu as toujours beaucoup de réserve quand tu t’exprimes et cela me plait qu’il en soit ainsi, mais ne te rappelles-tu pas que je viens de te dire que j’avais eu dans l’intention de t’offrir ce nouveau collier. Et donc comment le trouves-tu ? Est-il à ton goût ?
Thaïs prend le temps de formuler sa réponse, ne sachant pas si la question en était une ou juste une manière de rebondir sur le bon goût de son Maître qu’elle avait cru pouvoir relever.
- Mon Maître Vénéré, j’avais bien entendu ce que Vous m’aviez dit, mais je ne suis que Votre soumise, il ne m’appartient pas de commenter et de porter un jugement sur les choix de mon Maître, ni même sur ce qu’IL décide dans son infinie bonté de m’offrir. S’il Vous plait qu’il en soit ainsi, j’en serai la plus heureuse bien sûr, car tout ce qui plait à mon Maître Vénéré, me plait forcément puisque cela me vient de Lui avant tout, comme chacun de Ses bienfaits pour celle qui lui appartient totalement. Mais je sais aussi que Vous pouvez, si tel est Votre bon plaisir, donner et reprendre à tout moment ce qui est Vôtre, avec ou sans raison d’ailleurs, car je suis à Votre entière merci à chaque instant.
- Tu as parfaitement raison, tu m’appartiens ! Je veux qu’il en soit ainsi et que tu ressentes au plus profond de ton corps et de ton âme cette appartenance. Je peux décider à tout moment, soit parce que tu as failli à l’une de Mes exigences ou simples demandes, soit encore parce qu’il me plait de me prouver que justement tu m’appartiens, que j’ai tout pouvoir de te donner et de te reprendre tout ce que je t’ai donné et accordé. Tu n’es une esclave-soumise à mes pieds que tant que je veux bien qu’il en soit ainsi, ne l’oublie jamais ! Ce n’est pas un titre qui t’est octroyé à vie, mais bien un titre qui se mérite à chaque instant à Mes pieds par une dévotion extrême et sans limite.
Thaïs se tient toujours à quatre pattes devant son Maître et inconsciemment, elle incline respectueusement encore plus la tête devant Celui qu’elle Vénère plus que tout. Elle a toujours du mal à entendre son Dominant lui dire que sa place de soumise à Ses pieds pourrait être remise en cause à tout moment, car cela crée chez elle un sentiment permanent de crainte et de vulnérabilité, mais aussi d’humilité qui lui fait bien comprendre qu’elle n’est rien par elle-même et que tout ce qu’elle est, ne lui vient que de Celui à qui elle appartient, qui a tout pouvoir sur elle, y compris celui de la chasser s’IL n’en voulait plus à Ses pieds ou s’IL avait fini par se lasser d’elle. Et dans cette abnégation totale et cet abandon extrême, elle ne peut s’empêcher de frissonner en sentant son corps en proie à des sensations intenses chaque fois que son désir de soumission se trouve renforcé et sollicité : sa gorge se noue, une onde de chaleur la traverse comme un courant électrique, son plexus semble se soulever à chaque battement de son cœur, ses muscles fessiers se contractent sous l’effet du plaisir qui commence à irradier dans son bas-ventre et sa nuque se creuse tandis que chaque parcelle de son corps semble frémir.
- Oui, Ma belle chienne, c’est ainsi, tu m’appartiens ! Tu es à Moi et à Moi seul ! Je veux que tous tes ressentis, qu’ils soient plaisirs ou déplaisirs ne viennent que de Moi, car Je sais que tu es faite pour cela, pour ne vivre qu’à travers ton Maître Vénéré, avec Lui, par Lui et pour Lui, et que c’est de cette manière que tu te sens à la fois craintive mais rassurée, maîtrisée mais protégée, et dans tous les cas, heureuse et radieuse de ta condition.
Le Marquis appuie sur la nuque de S soumise pour l’inciter à se courber davantage et IL guide la tête de Sa femelle vers Ses propres pieds sur lesquels Thaïs s’empresse de déposer avec ferveur et amour un baiser des plus respectueux.
- Dénoue mes chaussures, et défait mes chaussettes. Je veux que tu masses mes pieds comme tu sais si bien le faire.
L’esclave-soumise ne se le fait pas dire à deux fois. Délicatement, elle défait les lacets des chaussures en cuir du Marquis d’Evans qu’elle dépose juste à côté, enlève les chaussettes noires de soie qu’IL porte aux pieds qu’elle plie soigneusement avant de les ranger dans les chaussures vides. Elle s’installe à genoux sur les talons, juste devant le fauteuil et pose avec respect et délicatesse sur ses cuisses les deux pieds de son Maître. Prenant tour à tour chaque pied, elle commence par un long massage de la voute plantaire, insistant sur chaque partie de la plante du pied où se trouve situés plus de sept mille terminaisons nerveuses qui sont reliées directement avec le cerveau et qui représente pour chaque point par correspondance une des parties du corps, membres ou organes. Thaïs maîtrise avec suavité la réflexologie plantaire et elle insiste sur toutes les zones réflexes, ce qui procure un vrai sentiment de détente chez son Maître qui émet de petits bruissements de souffle de bien-être. Reprenant son massage, elle poursuit sur chaque orteil et doigts de pieds, qu’elle pince en étau avec ses doigts, avec fermeté mais sans plus, au niveau de chaque articulation pour accentuer le reflux sanguin et poursuit par de longs mouvements sur le dessus du pied en direction des chevilles, puis des mollets. C’est à ce moment là que le Marquis d’Evans qui ronronnait presque de quelques « oui, c’est bon » ou « continue » interrompt la séance détente qui a provoqué chez Lui une autre forme d’excitation.
- Continue Ma belle, mais monte par ici. Mes pieds ont assez profité de tes mains expertes. Il y a quelque chose un peu plus haut qui t’attend… Alors glisse tes mains sur mes jambes et tu vas comprendre ce que tu as provoqué.
Thaïs a bien sûr déjà compris ce que son Maître attend d’elle, et ses deux mains poursuivent leur escalade jusqu’au sommet des cuisses du Châtelain qui émet quelques petits bruits qui en disent long sur le plaisir qu’IL prend sous les caresses tactiles de Sa soumise. Relevant la tête, Thaïs aperçoit enfin la bosse plus que visible sur le pantalon du Châtelain, sur laquelle elle dépose un premier baiser en signe d’approche. Tout en continuant à l’embrasser à travers l’étoffe du pantalon du costume du Marquis, ses deux mains s’affèrent sur la ceinture de cuir noir que ce dernier porte à la taille et que les doigts lestes de la soumise défont et entrouvrent pour avoir accès à ce qui se trouve en-dessous et qui semble déjà vouloir pointer et sortir à travers le tissu ondulant. De ses dents, la soumise attrape le zip de la fermeture éclair qu’elle tente de descendre vers le bas. Le Marquis s’incline un peu plus pour lui faciliter la tâche.
- Oui, Ma belle chienne, sort ma Divine Queue de sa cachette, elle est pour toi. Ta bouche sera un parfait fourreau. Tu vas me sucer comme tu sais si bien le faire, mais attention ne me fait pas jouir, car je réserve ma semence pour une toute autre utilisation et ce n’est pas ton palais qui se délectera de mon nectar cette fois. Tu as déjà eu ton compte tout à l’heure sous la douche, il ne te faut pas abuser des bonnes choses (ajoute t-IL d’un petit air coquin).
Thaïs sait qu’elle n’a pas à juger des désirs de son Maître et qu’elle n’est là que pour satisfaire le moindre de ses plaisirs de la manière qu’il convient à celui-ci. Elle entreprend donc sa fellation avec dévotion et savoir-faire, ouvrant sa bouche au maximum pour engloutir la Divine Verge de son Maître qui grossit encore sous l’effet de sa langue humide de chienne lubrique bien dressée, qui se plait à tourner autour du gland et à lécher chaque millimètre carré de cette bite déjà gorgée de sang, se frayant un chemin au milieu des habits que le Noble porte toujours et desquels ne dépasse que le Vit généreusement dressé. Le Châtelain l’encourage d’abord par les gestes, car régulièrement d’un coup de reins, IL s’enfonce profondément dans la bouche de Thaïs qui résiste pour ne pas avoir de haut-le cœur quand IL vient en butée sur le fond de sa gorge tout en lui maintenant la tête pour qu’elle ne recule pas sous la poussée virile et aussi par ces quelques mots :
- Continue, Je veux que tu rendes ma queue plus dure et plus gonflée que jamais. Alors applique-toi bien, mais n’accélère pas et ne change pas de rythme car je veux garder ma semence pour cette petite chose sans nom qui est là, misérable devant moi, en train d’essayer toujours de se nettoyer de son foutre qu’il a osé répandre sans en avoir reçu l’autorisation. (dit-il tout bas à l’oreille de Sa soumise, ne voulant pas encore prévenir Thierry de ses intentions)
Tout en se faisant sucer, le Marquis depuis quelque temps ne quitte plus des yeux Thierry qui continue toujours à essayer de faire disparaître toute trace de son méfait, tête basse, mal à l’aise en utilisant sa salive et ses mains pour tenter de se laver tant bien que mal.
- Alors la petite chose sans nom, tu as eu le temps de réfléchir et de nettoyer ta queue et tes salissures. C’est bon pour aujourd’hui, mais tâche que cela ne se reproduise plus car je serai beaucoup moins tolérant une prochaine fois, et la punition pourrait être d’un tout autre acabit (dit le Marquis, plus haut cette fois, pour être bien entendu par Thierry qui s’est interrompu à ce moment là)
Le Marquis d’Evans marque un temps de pause avant de reprendre sur un ton ferme et très directif, pour marquer la solennité de l’instant.
- Je pense qu’il est temps que tu me supplies, car c’est bien pour cela que tu es venu de ton plein gré dans ma chambre. Tu dois connaître ton texte par cœur à force de le ressasser dans ta tête. Je daigne enfin perdre de mon précieux temps pour t’écouter, mais une supplique se formule en position de suppliant, à genoux, les mains jointes et la tête inclinée vers le bas.
(A suivre …)
Le Marquis d’Evans vient de mettre sous les yeux de Sa soumise un écrin contenant une magnifique parure avec collier et bracelets manifestement D/s, non tant par la beauté du bijou qui, tel quel, pourrait fort bien passer pour un simple bijou décoratif pour ceux qui ne seraient pas apte à en décrypter l’utilité première, mais par la présence en son centre, relié par un premier petit anneau, du deuxième anneau qui pend sur le devant, qui forme comme un magnifique « O » hautement symbolique, qui restera posé à plat au dessus de la poitrine en permanence et qui pourra servir de point d’ancrage à toutes sortes de cordes et de chaînes, mais aussi par les trois arceaux complémentaires qui permettront d’accrocher en d’autres points des fixations diverses et autres entraves. Tout cela semble presque trop beau pour celle qui souhaitait avant tout rester une esclave humble et dévouée pour son Maître Vénéré, mais qui féminine dans l’âme ne peut malgré tout s’empêcher d’admirer les cristaux bleus qui y sont insérés et les divers détails de l’objet bicolore gravé aux initiales et aux armoiries de Celui à qui elle appartient.
Instinctivement, Thaïs porte la main à son cou qu’elle sent si vide pour l’instant, car à la demande de son Maître, lorsqu’elle avait fait semblant de reprendre sa liberté pour partir aux bras de Thierry qui, comme il le croyait la veille, pensait l’arracher des griffes de son soi-disant « bourreau », elle avait retiré son ancien collier de soumise qu’elle avait déposé sur la table de salon en partant pour ajouter de la véracité à sa mise en scène. Jamais elle n’a autant ressenti physiquement qu’en ce moment le manque total de signe d’appartenance à son Maître, dont elle ne porte plus pour l’heure les initiales qui étaient gravées sur son collier de chienne. Elle espère, au plus profond d’elle, que le Marquis d’Evans a bien l’intention de faire ce qu’IL vient de lui proposer et de lui offrir ce si bel objet qui ornera si bien son cou. Mais elle sait aussi qu’elle n’est que sa soumise dévouée et patiente et qu’elle ne doit rien demander, ni souhaiter, et encore moins anticiper, mais seulement remercier son Maître pour tout ce qu’IL voudra bien lui accorder, quand, et seulement quand, IL voudra bien le faire, et pour, et seulement pour, le temps qu’il lui plaira de la laisser en profiter.
- Ma belle chienne, alors comment trouves-tu ma dernière acquisition ?
- Mon Maître Vénéré, s’il est permis à Votre esclave de parler, c’est un bijou magnifique qui ornera avec élégance le cou de celle qui aura l’immense honneur de pouvoir porter avec dignité Vos initiales et Vos très belles armoiries. Je Vous dirais bien que, comme chaque fois, je trouve que mon Maître a particulièrement bon goût.
- Tu as toujours beaucoup de réserve quand tu t’exprimes et cela me plait qu’il en soit ainsi, mais ne te rappelles-tu pas que je viens de te dire que j’avais eu dans l’intention de t’offrir ce nouveau collier. Et donc comment le trouves-tu ? Est-il à ton goût ?
Thaïs prend le temps de formuler sa réponse, ne sachant pas si la question en était une ou juste une manière de rebondir sur le bon goût de son Maître qu’elle avait cru pouvoir relever.
- Mon Maître Vénéré, j’avais bien entendu ce que Vous m’aviez dit, mais je ne suis que Votre soumise, il ne m’appartient pas de commenter et de porter un jugement sur les choix de mon Maître, ni même sur ce qu’IL décide dans son infinie bonté de m’offrir. S’il Vous plait qu’il en soit ainsi, j’en serai la plus heureuse bien sûr, car tout ce qui plait à mon Maître Vénéré, me plait forcément puisque cela me vient de Lui avant tout, comme chacun de Ses bienfaits pour celle qui lui appartient totalement. Mais je sais aussi que Vous pouvez, si tel est Votre bon plaisir, donner et reprendre à tout moment ce qui est Vôtre, avec ou sans raison d’ailleurs, car je suis à Votre entière merci à chaque instant.
- Tu as parfaitement raison, tu m’appartiens ! Je veux qu’il en soit ainsi et que tu ressentes au plus profond de ton corps et de ton âme cette appartenance. Je peux décider à tout moment, soit parce que tu as failli à l’une de Mes exigences ou simples demandes, soit encore parce qu’il me plait de me prouver que justement tu m’appartiens, que j’ai tout pouvoir de te donner et de te reprendre tout ce que je t’ai donné et accordé. Tu n’es une esclave-soumise à mes pieds que tant que je veux bien qu’il en soit ainsi, ne l’oublie jamais ! Ce n’est pas un titre qui t’est octroyé à vie, mais bien un titre qui se mérite à chaque instant à Mes pieds par une dévotion extrême et sans limite.
Thaïs se tient toujours à quatre pattes devant son Maître et inconsciemment, elle incline respectueusement encore plus la tête devant Celui qu’elle Vénère plus que tout. Elle a toujours du mal à entendre son Dominant lui dire que sa place de soumise à Ses pieds pourrait être remise en cause à tout moment, car cela crée chez elle un sentiment permanent de crainte et de vulnérabilité, mais aussi d’humilité qui lui fait bien comprendre qu’elle n’est rien par elle-même et que tout ce qu’elle est, ne lui vient que de Celui à qui elle appartient, qui a tout pouvoir sur elle, y compris celui de la chasser s’IL n’en voulait plus à Ses pieds ou s’IL avait fini par se lasser d’elle. Et dans cette abnégation totale et cet abandon extrême, elle ne peut s’empêcher de frissonner en sentant son corps en proie à des sensations intenses chaque fois que son désir de soumission se trouve renforcé et sollicité : sa gorge se noue, une onde de chaleur la traverse comme un courant électrique, son plexus semble se soulever à chaque battement de son cœur, ses muscles fessiers se contractent sous l’effet du plaisir qui commence à irradier dans son bas-ventre et sa nuque se creuse tandis que chaque parcelle de son corps semble frémir.
- Oui, Ma belle chienne, c’est ainsi, tu m’appartiens ! Tu es à Moi et à Moi seul ! Je veux que tous tes ressentis, qu’ils soient plaisirs ou déplaisirs ne viennent que de Moi, car Je sais que tu es faite pour cela, pour ne vivre qu’à travers ton Maître Vénéré, avec Lui, par Lui et pour Lui, et que c’est de cette manière que tu te sens à la fois craintive mais rassurée, maîtrisée mais protégée, et dans tous les cas, heureuse et radieuse de ta condition.
Le Marquis appuie sur la nuque de S soumise pour l’inciter à se courber davantage et IL guide la tête de Sa femelle vers Ses propres pieds sur lesquels Thaïs s’empresse de déposer avec ferveur et amour un baiser des plus respectueux.
- Dénoue mes chaussures, et défait mes chaussettes. Je veux que tu masses mes pieds comme tu sais si bien le faire.
L’esclave-soumise ne se le fait pas dire à deux fois. Délicatement, elle défait les lacets des chaussures en cuir du Marquis d’Evans qu’elle dépose juste à côté, enlève les chaussettes noires de soie qu’IL porte aux pieds qu’elle plie soigneusement avant de les ranger dans les chaussures vides. Elle s’installe à genoux sur les talons, juste devant le fauteuil et pose avec respect et délicatesse sur ses cuisses les deux pieds de son Maître. Prenant tour à tour chaque pied, elle commence par un long massage de la voute plantaire, insistant sur chaque partie de la plante du pied où se trouve situés plus de sept mille terminaisons nerveuses qui sont reliées directement avec le cerveau et qui représente pour chaque point par correspondance une des parties du corps, membres ou organes. Thaïs maîtrise avec suavité la réflexologie plantaire et elle insiste sur toutes les zones réflexes, ce qui procure un vrai sentiment de détente chez son Maître qui émet de petits bruissements de souffle de bien-être. Reprenant son massage, elle poursuit sur chaque orteil et doigts de pieds, qu’elle pince en étau avec ses doigts, avec fermeté mais sans plus, au niveau de chaque articulation pour accentuer le reflux sanguin et poursuit par de longs mouvements sur le dessus du pied en direction des chevilles, puis des mollets. C’est à ce moment là que le Marquis d’Evans qui ronronnait presque de quelques « oui, c’est bon » ou « continue » interrompt la séance détente qui a provoqué chez Lui une autre forme d’excitation.
- Continue Ma belle, mais monte par ici. Mes pieds ont assez profité de tes mains expertes. Il y a quelque chose un peu plus haut qui t’attend… Alors glisse tes mains sur mes jambes et tu vas comprendre ce que tu as provoqué.
Thaïs a bien sûr déjà compris ce que son Maître attend d’elle, et ses deux mains poursuivent leur escalade jusqu’au sommet des cuisses du Châtelain qui émet quelques petits bruits qui en disent long sur le plaisir qu’IL prend sous les caresses tactiles de Sa soumise. Relevant la tête, Thaïs aperçoit enfin la bosse plus que visible sur le pantalon du Châtelain, sur laquelle elle dépose un premier baiser en signe d’approche. Tout en continuant à l’embrasser à travers l’étoffe du pantalon du costume du Marquis, ses deux mains s’affèrent sur la ceinture de cuir noir que ce dernier porte à la taille et que les doigts lestes de la soumise défont et entrouvrent pour avoir accès à ce qui se trouve en-dessous et qui semble déjà vouloir pointer et sortir à travers le tissu ondulant. De ses dents, la soumise attrape le zip de la fermeture éclair qu’elle tente de descendre vers le bas. Le Marquis s’incline un peu plus pour lui faciliter la tâche.
- Oui, Ma belle chienne, sort ma Divine Queue de sa cachette, elle est pour toi. Ta bouche sera un parfait fourreau. Tu vas me sucer comme tu sais si bien le faire, mais attention ne me fait pas jouir, car je réserve ma semence pour une toute autre utilisation et ce n’est pas ton palais qui se délectera de mon nectar cette fois. Tu as déjà eu ton compte tout à l’heure sous la douche, il ne te faut pas abuser des bonnes choses (ajoute t-IL d’un petit air coquin).
Thaïs sait qu’elle n’a pas à juger des désirs de son Maître et qu’elle n’est là que pour satisfaire le moindre de ses plaisirs de la manière qu’il convient à celui-ci. Elle entreprend donc sa fellation avec dévotion et savoir-faire, ouvrant sa bouche au maximum pour engloutir la Divine Verge de son Maître qui grossit encore sous l’effet de sa langue humide de chienne lubrique bien dressée, qui se plait à tourner autour du gland et à lécher chaque millimètre carré de cette bite déjà gorgée de sang, se frayant un chemin au milieu des habits que le Noble porte toujours et desquels ne dépasse que le Vit généreusement dressé. Le Châtelain l’encourage d’abord par les gestes, car régulièrement d’un coup de reins, IL s’enfonce profondément dans la bouche de Thaïs qui résiste pour ne pas avoir de haut-le cœur quand IL vient en butée sur le fond de sa gorge tout en lui maintenant la tête pour qu’elle ne recule pas sous la poussée virile et aussi par ces quelques mots :
- Continue, Je veux que tu rendes ma queue plus dure et plus gonflée que jamais. Alors applique-toi bien, mais n’accélère pas et ne change pas de rythme car je veux garder ma semence pour cette petite chose sans nom qui est là, misérable devant moi, en train d’essayer toujours de se nettoyer de son foutre qu’il a osé répandre sans en avoir reçu l’autorisation. (dit-il tout bas à l’oreille de Sa soumise, ne voulant pas encore prévenir Thierry de ses intentions)
Tout en se faisant sucer, le Marquis depuis quelque temps ne quitte plus des yeux Thierry qui continue toujours à essayer de faire disparaître toute trace de son méfait, tête basse, mal à l’aise en utilisant sa salive et ses mains pour tenter de se laver tant bien que mal.
- Alors la petite chose sans nom, tu as eu le temps de réfléchir et de nettoyer ta queue et tes salissures. C’est bon pour aujourd’hui, mais tâche que cela ne se reproduise plus car je serai beaucoup moins tolérant une prochaine fois, et la punition pourrait être d’un tout autre acabit (dit le Marquis, plus haut cette fois, pour être bien entendu par Thierry qui s’est interrompu à ce moment là)
Le Marquis d’Evans marque un temps de pause avant de reprendre sur un ton ferme et très directif, pour marquer la solennité de l’instant.
- Je pense qu’il est temps que tu me supplies, car c’est bien pour cela que tu es venu de ton plein gré dans ma chambre. Tu dois connaître ton texte par cœur à force de le ressasser dans ta tête. Je daigne enfin perdre de mon précieux temps pour t’écouter, mais une supplique se formule en position de suppliant, à genoux, les mains jointes et la tête inclinée vers le bas.
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