La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°271)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°271)
Suite de l'épisode précédent N°270 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Thierry craintivement se positionne correctement à genoux. Il sent, même sans l’apercevoir, le regard puissant du Marquis d’Evans qui s’est posé sur lui et il se met presque à trembler de peur car il sent l’excitation qui est en train de repartir à l’assaut de son corps et de sa virilité d’homme qui de manière incontrôlable se remet à gonfler tout en même temps qu’il en ressent une profonde honte de voir qu’il ne peut rien maîtriser et que son désir de soumission reste tout autant cérébral que physique. Il baisse encore plus la tête, arc-boute son corps vers l’avant pour essayer de dissimuler cette partie de son anatomie de mâle qui darde déjà. Il espère que le Marquis daignera l’écouter jusqu’au bout et ne verra pas trop ce qu’il tente de cacher, à l’aide de son corps, de son torse, de ses bras et de ses mains jointes en prière presque tendues devant lui en direction du Châtelain.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je ne suis qu’une petite chose sans nom, misérable et insignifiante créature qui a tout à apprendre de Vous, qui espère que Vous accepterez de la prendre à Votre service, de la dresser convenablement pour qu’elle devienne un chien fidèle et docile à Vos pieds. J’accepte et espère librement et servilement de devenir Votre soumis, Votre chose, Votre esclave, Votre propriété. Je reconnais que j’ai besoin pour me parfaire de Votre enseignement, et je Vous remercie par avance du temps et de l’énergie que Vous me consacrerez pour que je puisse devenir celui que Vous pourrez accepter dans Votre cheptel. Je reconnais Votre pouvoir absolu sur moi et je ressens intensément la force de Votre regard de Dominant qui me terrifie et m’excite également, je l’avoue avec honte et humilité. J’accepte sans contestation possible toutes les punitions qu’il Vous plaira de m’imposer pour mes défaillances et mes manquements, mais j’espère aussi que Vous serez indulgent et magnanime surtout au début. Je Vous en supplie, Monsieur le Marquis d’Evans, gardez-moi à Vos pieds et devenez le Maître dont j’ai besoin.
- Je t’ai écouté avec attention, créature misérable et insignifiante à mes yeux, car tu n’as encore mérité aucun autre titre. Je vais prendre le temps de réfléchir avant de te donner ma réponse, car je ne suis pas à ton service, cela doit toujours être l’inverse. Je n’ai donc aucune obligation de répondre sur le champ à ta requête. La patience est une qualité requise pour celui qui veut espérer pouvoir rentrer dans mon cheptel. Mais je dois t’avouer que ta supplique ne me satisfait pas entièrement pour l’instant. Tu as parlé beaucoup trop de toi, de ta petite personne, de ce que tu attendais, de ce que tu espérais, de ce que tu demandais et bien peu de ce que tu offrais, de ce que tu comptais m’apporter. Un soumis n’est pas là pour prendre de son Maître mais bien pour donner à ce dernier et pour se donner entièrement. Qu’est ce que cela signifie « le Maître dont tu as besoin », crois-tu que je sois là pour répondre à tes besoins !!! Sache aussi qu’on ne parle pas à son Dominant à l’impératif car tu n’as aucun ordre à me donner et surtout pas celui de me garder à tes pieds. Moi seul pourrait décider ou non de cela, et de toutes autres choses d’ailleurs !
Thierry a baissé la tête écoutant avec attention, mais un peu désemparé, les propos du Marquis Edouard d’Evans comprenant peu à peu effectivement le bien fondé et la sagesse concernant lesdits propos, et se rendant compte que sa demande n’a pas eu du tout l’effet escompté car il est bien novice en la matière. Effectivement, le jeune businessman est encore imbu de lui-même, dirigeant dans l’âme, et il comprend que son désir de soumission n’est encore que le fruit de son excitation fantasmée et non un véritable désir de se soumettre au point de ne plus s’appartenir et d’appartenir corps et âme au vrai sens du terme à un Autre, ainsi qu’une profonde envie de se remettre entre les mains de cet Autre à qui il abandonnerait le pouvoir de le diriger et le maîtriser, en reconnaissant toute la force et la puissance d’un Grand Maître. Il n’ose pas bouger et reste immobile les mains jointes avec malgré tout le regard suppliant et humblement baissé, espérant que tout ne soit pas déjà perdu pour la suite qu’il a cependant commencé à espérer, mais dont il mesure à peine le long et pénible chemin scabreux qu’il lui reste à parcourir.
- Et puis, je dois avouer que j’en ai marre de te voir bander à tout bout de champ, dès que j’ouvre la bouche. Tu devais m’adresser une supplique avec un minimum de respect et d’humilité. Et ta queue semble encore vouloir me narguer d’une virilité bien mal placée dans ta situation de suppliant. Certes, il me sera assez facile de l’encager par la suite pour éviter que ta nouille ne tente de vouloir se dresser à tout instant, mais il est temps que tu apprennes que, si tu veux espérer un jour entrer dans mon cheptel, il va te falloir un peu plus de docilité dans ta tête et aussi dans ton corps qui ne t’appartiendra plus.
Tandis que la belle Thaïs continue encore à sucer son Maître, le Marquis d’Evans toujours vautré sur le fauteuil, se penche sur celle-ci et lui glisse à l’oreille avec tendresse.
- Merci Ma belle chienne. J’adore ta bouche si suave et si accueillante. Tu as bien œuvré une fois de plus, je sens que Ma verge est bien dure et plus gonflée que jamais. Je vais prendre possession de ce qui va m’appartenir dans peu de temps. Tu peux te reculer et pendant que je vais enculer ce chien-soumis en devenir pour le marquer de mon empreinte et le baptiser de mon nectar, va vite me chercher un plug anal. Un ordinaire en plastique, car il n’est pas question de le laisser repartir avec un rosebud dans le cul, les bijoux à facettes colorées sont réservés pour Mes belles chiennes. Tu en trouveras dans le carton. Prends ce que tu trouves de forme allongée en plastique noir, de petite ou de moyenne taille, car je suppose qu’il doit être encore très étroit; je choisirai au dernier moment.
Thaïs se détache de son Maître en déposant en remerciements un dernier baiser sur le sexe qu’elle a léché et sucé avec application et Vénération. Se mettant à quatre pattes, d’une marche animale ondulante, elle se dirige vers la chambre du Noble. Le Marquis d’Evans se lève, remontant son pantalon sur la taille, mais laissant toujours la braguette ouverte et le boxer baissé à l’intérieur. Son pieu majestueux turgescent et proéminant le précède presque dans sa démarche vers Thierry qui se tient toujours à genoux les mains jointes à quelques pas devant lui. S’approchant, IL l’attrape sans mot dire par l’oreille, comme on l’aurait fait d’un tout jeune enfant désobéissant et IL l’oblige sans ménagement à se mettre debout.
- Lève-toi un peu maintenant et tâche d’avoir le courage de nous montrer ton tuyau d’arrosage que tu as bien du mal à maintenir fermé et recroquevillé.
Les joues de Thierry prennent aussi sec une couleur écarlate. Il est plus honteux que ne le serait un gamin que l’on aurait surpris en train de bander pour la première fois et à qui son Maître d’école serait en train de tirer l’oreille pour lui faire comprendre sa vilaine bêtise indécente. Le Marquis se déplace en direction du bureau qui se trouve dans la pièce, entraînant à sa suite le soumis en devenir qu’IL traîne toujours par l’oreille le forçant à marcher presque courbé en deux. D’un geste de l’autre main libre, IL fait signe à Thaïs pour qu’elle débarrasse le plateau du bureau de tous les objets décoratifs et autres accessoires qui s’y trouvent. Le Châtelain plaque contre la table dans le sens de la longueur son futur soumis qui se retrouve allongé sur à cette table la face plaquée contre elle. Il lui écarte les jambes pour les positionner de chaque côté des pieds du bureau. IL attrape ensuite la queue de ce dernier qu’IL rabat vers le bas pour ne pas la laisser coincée entre la table et le corps nu allongé dont il va prendre possession.
- Tend tes bras vers l’avant et accroche-toi avec les mains au plateau du bureau. Surtout ne bouge pas, même si tu n’apprécies pas particulièrement. Le but n’est pas que tu apprécies mais que tu puisses savourer l’immense honneur que te fais Celui qui pourrait peut-être accepter de devenir un jour prochain ton Maître en t’honorant dès à présent de sa Divine Queue et de Sa semence. Tu m’appartiens déjà avant même que Je décides si Je t’accepte dans Mon cheptel, et chaque partie de ton corps m’appartient; je peux donc décider d’en user et d’en abuser comme IL me plait.
Le Marquis d’Evans se positionne juste derrière les fesses bombées de son futur soumis. Prêt pour la saillie, Sa verge se trouve juste près de la rondelle si étroite qui n’a jamais été forcée par un sexe d’homme et à sec d’un coup lent mais puissant, IL force et déflore l’orifice étroit de l’anus de Thierry, qui ne peut s’empêcher de pousser un hurlement sous la douleur, car il a eu l’impression que son fondement a été fendu en deux par le pieu qui le pénétrait sans ménagement. Le Marquis attend sans bouger que le corps du soumis se détende et s’habitue à la forme qui vient d’assaillir sa partie la plus intime. Puis IL se retire doucement et recommence par trois fois une lente et profonde pénétration. Comme IL est particulièrement excité par la prise de possession de ce nouveau sujet qui va certainement rejoindre Son cheptel d’esclaves, même si pour marquer encore plus Son pouvoir et Sa Domination, le Marquis n’a pas encore voulu faire part officiellement de Son acceptation.
Puis de longs vas et vient de plus en plus puissants défoncent le cul du soumis. Peu à peu l’anus dilaté devient plus accueillant, plus ouvert et plus les coups de reins du Maître sont virils, sauvages, plus l’esclave commence maintenant à trouver et à gémir de plaisir. Plaisir qui fait peu à peu place à la douleur du début qui s’estompe. Alors au bout de longues minutes, le Maître se répand longuement dans le cul dilaté qui se trouve pour la première fois de sa vie inondé par le sperme de son futur Dominant. Autant Thierry avait hurlé de douleur au commencement de la pénétration, autant son cri prend désormais un autre timbre de voix devenu râle de plaisir quand le Marquis se répand en lui, mélange des plaisirs charnels qu’il n’a jamais ressenti auparavant dans sa vie. Il est étonné de ressentir l’effet du liquide chaud qui l’envahit par le bas et se répand en lui allant jusqu’à s’imaginer que toutes ses entrailles en sont dorénavant remplies. Thierry se met soudain à penser que le Marquis vient juste avant de lui dire qu’il n’avait pas encore décidé de son sort de futur soumis, car il n’était pas satisfait de la supplique indélicate qui lui avait eu le malheur de lui adresser. Thierry voudrait pouvoir se jeter aux pieds du Maître pour le supplier encore et encore, mais il n’ose pas bouger, et ceci d’autant plus qu’il est toujours empalé par le sexe du Noble qui ne s’est pas encore retiré de son cul.
- Voilà, tu vas avoir de quoi réfléchir encore plus. Tu portes dans ton fondement Ma semence. Sache que Je ne la distribue pas aussi facilement, mais Je voulais te marquer de Mon empreinte pour te donner matière à penser. Pour que tu ne perdes rien de Mon précieux liquide, Je vais te mettre un plug que tu ne pourras retirer que sur mon ordre quand Je le jugerai bon.
Le Marquis se retire enfin du corps alangui toujours appuyé sur la table et y insère sans la moindre difficulté un plug d’une dizaine de centimètres de long et de taille moyenne, l’anus dilaté se contracte naturellement sur le bout resserré du plug pour le maintenir en position.
- Pour l’instant, ne bouge pas et reste ainsi que J’admire ta croupe pluguée (sur laquelle le Noble abat aussi sec ses deux grandes mains fortement au point de laisser la marque des Ses deux fois cinq doigts sur chaque fesse), croupe maintenant fessée. Je vais me retirer avec Ma belle chienne. Tu vas repartir chez toi, tu devras m’adresser, par écrit et par mail, une nouvelle demande, épistolaire cette fois, pour remplacer les termes de ta première supplique qui ne me satisfont pas. Tu n’auras pas trente six mille possibilités, donc tâche de t’appliquer pour savoir ce qui pourrait me convenir et me décider à t’accepter comme futur esclave à Mes pieds. Disons que tu n’es pas encore un soumis en devenir, mais juste celui que Je pourrais commencer à qualifier de soumis à l’essai, mais n’oublie pas que ce n’est qu’un tout premier petit pas de fourmi. Un seul mail, une page pas plus, Je ne t’autorise rien de plus et Je te laisse 24 heures pour accomplir Ma première exigence de Dominant. Je te ferai part ensuite de Ma décision quand il me plaira de te la faire savoir…
Le Marquis s’arrêta un instant, toisa le soumis en devenir puis reprenant son souffle, il enchaîna :
- … Pour l’instant, Je ne t’autorise pas encore à m’appeler Maître, car Je pense que tu n’as pas encore compris le sens de ce mot, Je ne suis pas à proprement parlé juste un Maître d’école pour un élève qui désire et qui espère s’améliorer en profitant de son précieux enseignement, mais avant tout un Maître Dominant auquel tu devras appartenir corps et âme s’IL accepte que tu deviennes son chien, Celui que tu devras servir de ton mieux, non pour ton plaisir et dans ton intérêt, mais dans le seul but de tout faire pour combler ton futur Maître. Dans ton mail, tu tacheras de me rédiger un paragraphe pour me prouver que tu as perçu la subtilité de la chose qui te dépasse encore un peu trop…
Le Marquis d’Evans profite de ce temps de pause pour imprimer à nouveau la forme de Ses mains sur chaque fesse de Thierry.
- J’espère que tu as bien retenu tout ce que Je viens de te dire et que tu feras tout pour me satisfaire dorénavant. Tu pourras enlever le plug que tu as dans le cul, ce soir vers 20 h mais pas avant, Je te l’interdis ! Reste encore ainsi dans cette position, nu et exhibé pendant 10 bonnes minutes, à savourer l’honneur que Je t’ai déjà fait en daignant t’enculer et à méditer sur cette très belle citation de Nietsche : « La seule vraie liberté qu’à l’homme, c’est de choisir ses chaînes ». Mais, Je te le rappelle aussi, la porte de la sortie est grande ouverte, si tu n’as pas apprécié et aimé ce qui vient de se passer et si tu as la moindre chose à trouver à y redire, Je te conseille de partir tout de suite, tu es, on ne peut plus, libre de choisir ta vie et tes futures chaînes, mais sans mail de ta part dans les 24 heures, Je considérerai que c’est un adieu sans possibilité de retour et J’oublierai tout de toi, hormis nos relations d’affaires jusqu’à la fin de la transaction immobilière…
Et se tournant vers Thaïs dont IL attrape le menton :
- Viens Ma belle chienne, n’avais-Je pas dans l’intention de te remettre quelque chose autour de ton cou bien vide. Je n’aime pas te savoir ainsi nue, sachant que tu ne portes plus sur toi Mes marques d’appartenance et Mes initiales, même si je sais que c’est moi qui t’ai demandé de les enlever. Un jour viendra, où Je marquerai ton corps d’une marque que ni le temps, ni personne ne pourra jamais effacer et que Je ne pourrais même pas renier, même si Je voulais t’oublier, car tu porteras Mes initiales dans ta chair, mais il y a un temps pour chaque chose comme disait l’Ecclésiaste et pour l’instant, il est temps que nous allions découvrir d’autres plaisirs, car J’ai envie de profiter de toi et de toi seule jusqu’à ce soir de mille et une manières. Alors, suis-moi…
Le Marquis quitte la pièce pour s’enfermer dans la chambre, ayant pris soin de reprendre avec lui l’écrin et les différents accessoires de bondage qu’IL avait apporté dans le salon et qu’IL n’avait pas encore trouvé le temps d’utiliser, trop occupé de gérer l’entrée dans le cheptel de sa nouvelle recrue…
(A suivre ….)
Thierry craintivement se positionne correctement à genoux. Il sent, même sans l’apercevoir, le regard puissant du Marquis d’Evans qui s’est posé sur lui et il se met presque à trembler de peur car il sent l’excitation qui est en train de repartir à l’assaut de son corps et de sa virilité d’homme qui de manière incontrôlable se remet à gonfler tout en même temps qu’il en ressent une profonde honte de voir qu’il ne peut rien maîtriser et que son désir de soumission reste tout autant cérébral que physique. Il baisse encore plus la tête, arc-boute son corps vers l’avant pour essayer de dissimuler cette partie de son anatomie de mâle qui darde déjà. Il espère que le Marquis daignera l’écouter jusqu’au bout et ne verra pas trop ce qu’il tente de cacher, à l’aide de son corps, de son torse, de ses bras et de ses mains jointes en prière presque tendues devant lui en direction du Châtelain.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je ne suis qu’une petite chose sans nom, misérable et insignifiante créature qui a tout à apprendre de Vous, qui espère que Vous accepterez de la prendre à Votre service, de la dresser convenablement pour qu’elle devienne un chien fidèle et docile à Vos pieds. J’accepte et espère librement et servilement de devenir Votre soumis, Votre chose, Votre esclave, Votre propriété. Je reconnais que j’ai besoin pour me parfaire de Votre enseignement, et je Vous remercie par avance du temps et de l’énergie que Vous me consacrerez pour que je puisse devenir celui que Vous pourrez accepter dans Votre cheptel. Je reconnais Votre pouvoir absolu sur moi et je ressens intensément la force de Votre regard de Dominant qui me terrifie et m’excite également, je l’avoue avec honte et humilité. J’accepte sans contestation possible toutes les punitions qu’il Vous plaira de m’imposer pour mes défaillances et mes manquements, mais j’espère aussi que Vous serez indulgent et magnanime surtout au début. Je Vous en supplie, Monsieur le Marquis d’Evans, gardez-moi à Vos pieds et devenez le Maître dont j’ai besoin.
- Je t’ai écouté avec attention, créature misérable et insignifiante à mes yeux, car tu n’as encore mérité aucun autre titre. Je vais prendre le temps de réfléchir avant de te donner ma réponse, car je ne suis pas à ton service, cela doit toujours être l’inverse. Je n’ai donc aucune obligation de répondre sur le champ à ta requête. La patience est une qualité requise pour celui qui veut espérer pouvoir rentrer dans mon cheptel. Mais je dois t’avouer que ta supplique ne me satisfait pas entièrement pour l’instant. Tu as parlé beaucoup trop de toi, de ta petite personne, de ce que tu attendais, de ce que tu espérais, de ce que tu demandais et bien peu de ce que tu offrais, de ce que tu comptais m’apporter. Un soumis n’est pas là pour prendre de son Maître mais bien pour donner à ce dernier et pour se donner entièrement. Qu’est ce que cela signifie « le Maître dont tu as besoin », crois-tu que je sois là pour répondre à tes besoins !!! Sache aussi qu’on ne parle pas à son Dominant à l’impératif car tu n’as aucun ordre à me donner et surtout pas celui de me garder à tes pieds. Moi seul pourrait décider ou non de cela, et de toutes autres choses d’ailleurs !
Thierry a baissé la tête écoutant avec attention, mais un peu désemparé, les propos du Marquis Edouard d’Evans comprenant peu à peu effectivement le bien fondé et la sagesse concernant lesdits propos, et se rendant compte que sa demande n’a pas eu du tout l’effet escompté car il est bien novice en la matière. Effectivement, le jeune businessman est encore imbu de lui-même, dirigeant dans l’âme, et il comprend que son désir de soumission n’est encore que le fruit de son excitation fantasmée et non un véritable désir de se soumettre au point de ne plus s’appartenir et d’appartenir corps et âme au vrai sens du terme à un Autre, ainsi qu’une profonde envie de se remettre entre les mains de cet Autre à qui il abandonnerait le pouvoir de le diriger et le maîtriser, en reconnaissant toute la force et la puissance d’un Grand Maître. Il n’ose pas bouger et reste immobile les mains jointes avec malgré tout le regard suppliant et humblement baissé, espérant que tout ne soit pas déjà perdu pour la suite qu’il a cependant commencé à espérer, mais dont il mesure à peine le long et pénible chemin scabreux qu’il lui reste à parcourir.
- Et puis, je dois avouer que j’en ai marre de te voir bander à tout bout de champ, dès que j’ouvre la bouche. Tu devais m’adresser une supplique avec un minimum de respect et d’humilité. Et ta queue semble encore vouloir me narguer d’une virilité bien mal placée dans ta situation de suppliant. Certes, il me sera assez facile de l’encager par la suite pour éviter que ta nouille ne tente de vouloir se dresser à tout instant, mais il est temps que tu apprennes que, si tu veux espérer un jour entrer dans mon cheptel, il va te falloir un peu plus de docilité dans ta tête et aussi dans ton corps qui ne t’appartiendra plus.
Tandis que la belle Thaïs continue encore à sucer son Maître, le Marquis d’Evans toujours vautré sur le fauteuil, se penche sur celle-ci et lui glisse à l’oreille avec tendresse.
- Merci Ma belle chienne. J’adore ta bouche si suave et si accueillante. Tu as bien œuvré une fois de plus, je sens que Ma verge est bien dure et plus gonflée que jamais. Je vais prendre possession de ce qui va m’appartenir dans peu de temps. Tu peux te reculer et pendant que je vais enculer ce chien-soumis en devenir pour le marquer de mon empreinte et le baptiser de mon nectar, va vite me chercher un plug anal. Un ordinaire en plastique, car il n’est pas question de le laisser repartir avec un rosebud dans le cul, les bijoux à facettes colorées sont réservés pour Mes belles chiennes. Tu en trouveras dans le carton. Prends ce que tu trouves de forme allongée en plastique noir, de petite ou de moyenne taille, car je suppose qu’il doit être encore très étroit; je choisirai au dernier moment.
Thaïs se détache de son Maître en déposant en remerciements un dernier baiser sur le sexe qu’elle a léché et sucé avec application et Vénération. Se mettant à quatre pattes, d’une marche animale ondulante, elle se dirige vers la chambre du Noble. Le Marquis d’Evans se lève, remontant son pantalon sur la taille, mais laissant toujours la braguette ouverte et le boxer baissé à l’intérieur. Son pieu majestueux turgescent et proéminant le précède presque dans sa démarche vers Thierry qui se tient toujours à genoux les mains jointes à quelques pas devant lui. S’approchant, IL l’attrape sans mot dire par l’oreille, comme on l’aurait fait d’un tout jeune enfant désobéissant et IL l’oblige sans ménagement à se mettre debout.
- Lève-toi un peu maintenant et tâche d’avoir le courage de nous montrer ton tuyau d’arrosage que tu as bien du mal à maintenir fermé et recroquevillé.
Les joues de Thierry prennent aussi sec une couleur écarlate. Il est plus honteux que ne le serait un gamin que l’on aurait surpris en train de bander pour la première fois et à qui son Maître d’école serait en train de tirer l’oreille pour lui faire comprendre sa vilaine bêtise indécente. Le Marquis se déplace en direction du bureau qui se trouve dans la pièce, entraînant à sa suite le soumis en devenir qu’IL traîne toujours par l’oreille le forçant à marcher presque courbé en deux. D’un geste de l’autre main libre, IL fait signe à Thaïs pour qu’elle débarrasse le plateau du bureau de tous les objets décoratifs et autres accessoires qui s’y trouvent. Le Châtelain plaque contre la table dans le sens de la longueur son futur soumis qui se retrouve allongé sur à cette table la face plaquée contre elle. Il lui écarte les jambes pour les positionner de chaque côté des pieds du bureau. IL attrape ensuite la queue de ce dernier qu’IL rabat vers le bas pour ne pas la laisser coincée entre la table et le corps nu allongé dont il va prendre possession.
- Tend tes bras vers l’avant et accroche-toi avec les mains au plateau du bureau. Surtout ne bouge pas, même si tu n’apprécies pas particulièrement. Le but n’est pas que tu apprécies mais que tu puisses savourer l’immense honneur que te fais Celui qui pourrait peut-être accepter de devenir un jour prochain ton Maître en t’honorant dès à présent de sa Divine Queue et de Sa semence. Tu m’appartiens déjà avant même que Je décides si Je t’accepte dans Mon cheptel, et chaque partie de ton corps m’appartient; je peux donc décider d’en user et d’en abuser comme IL me plait.
Le Marquis d’Evans se positionne juste derrière les fesses bombées de son futur soumis. Prêt pour la saillie, Sa verge se trouve juste près de la rondelle si étroite qui n’a jamais été forcée par un sexe d’homme et à sec d’un coup lent mais puissant, IL force et déflore l’orifice étroit de l’anus de Thierry, qui ne peut s’empêcher de pousser un hurlement sous la douleur, car il a eu l’impression que son fondement a été fendu en deux par le pieu qui le pénétrait sans ménagement. Le Marquis attend sans bouger que le corps du soumis se détende et s’habitue à la forme qui vient d’assaillir sa partie la plus intime. Puis IL se retire doucement et recommence par trois fois une lente et profonde pénétration. Comme IL est particulièrement excité par la prise de possession de ce nouveau sujet qui va certainement rejoindre Son cheptel d’esclaves, même si pour marquer encore plus Son pouvoir et Sa Domination, le Marquis n’a pas encore voulu faire part officiellement de Son acceptation.
Puis de longs vas et vient de plus en plus puissants défoncent le cul du soumis. Peu à peu l’anus dilaté devient plus accueillant, plus ouvert et plus les coups de reins du Maître sont virils, sauvages, plus l’esclave commence maintenant à trouver et à gémir de plaisir. Plaisir qui fait peu à peu place à la douleur du début qui s’estompe. Alors au bout de longues minutes, le Maître se répand longuement dans le cul dilaté qui se trouve pour la première fois de sa vie inondé par le sperme de son futur Dominant. Autant Thierry avait hurlé de douleur au commencement de la pénétration, autant son cri prend désormais un autre timbre de voix devenu râle de plaisir quand le Marquis se répand en lui, mélange des plaisirs charnels qu’il n’a jamais ressenti auparavant dans sa vie. Il est étonné de ressentir l’effet du liquide chaud qui l’envahit par le bas et se répand en lui allant jusqu’à s’imaginer que toutes ses entrailles en sont dorénavant remplies. Thierry se met soudain à penser que le Marquis vient juste avant de lui dire qu’il n’avait pas encore décidé de son sort de futur soumis, car il n’était pas satisfait de la supplique indélicate qui lui avait eu le malheur de lui adresser. Thierry voudrait pouvoir se jeter aux pieds du Maître pour le supplier encore et encore, mais il n’ose pas bouger, et ceci d’autant plus qu’il est toujours empalé par le sexe du Noble qui ne s’est pas encore retiré de son cul.
- Voilà, tu vas avoir de quoi réfléchir encore plus. Tu portes dans ton fondement Ma semence. Sache que Je ne la distribue pas aussi facilement, mais Je voulais te marquer de Mon empreinte pour te donner matière à penser. Pour que tu ne perdes rien de Mon précieux liquide, Je vais te mettre un plug que tu ne pourras retirer que sur mon ordre quand Je le jugerai bon.
Le Marquis se retire enfin du corps alangui toujours appuyé sur la table et y insère sans la moindre difficulté un plug d’une dizaine de centimètres de long et de taille moyenne, l’anus dilaté se contracte naturellement sur le bout resserré du plug pour le maintenir en position.
- Pour l’instant, ne bouge pas et reste ainsi que J’admire ta croupe pluguée (sur laquelle le Noble abat aussi sec ses deux grandes mains fortement au point de laisser la marque des Ses deux fois cinq doigts sur chaque fesse), croupe maintenant fessée. Je vais me retirer avec Ma belle chienne. Tu vas repartir chez toi, tu devras m’adresser, par écrit et par mail, une nouvelle demande, épistolaire cette fois, pour remplacer les termes de ta première supplique qui ne me satisfont pas. Tu n’auras pas trente six mille possibilités, donc tâche de t’appliquer pour savoir ce qui pourrait me convenir et me décider à t’accepter comme futur esclave à Mes pieds. Disons que tu n’es pas encore un soumis en devenir, mais juste celui que Je pourrais commencer à qualifier de soumis à l’essai, mais n’oublie pas que ce n’est qu’un tout premier petit pas de fourmi. Un seul mail, une page pas plus, Je ne t’autorise rien de plus et Je te laisse 24 heures pour accomplir Ma première exigence de Dominant. Je te ferai part ensuite de Ma décision quand il me plaira de te la faire savoir…
Le Marquis s’arrêta un instant, toisa le soumis en devenir puis reprenant son souffle, il enchaîna :
- … Pour l’instant, Je ne t’autorise pas encore à m’appeler Maître, car Je pense que tu n’as pas encore compris le sens de ce mot, Je ne suis pas à proprement parlé juste un Maître d’école pour un élève qui désire et qui espère s’améliorer en profitant de son précieux enseignement, mais avant tout un Maître Dominant auquel tu devras appartenir corps et âme s’IL accepte que tu deviennes son chien, Celui que tu devras servir de ton mieux, non pour ton plaisir et dans ton intérêt, mais dans le seul but de tout faire pour combler ton futur Maître. Dans ton mail, tu tacheras de me rédiger un paragraphe pour me prouver que tu as perçu la subtilité de la chose qui te dépasse encore un peu trop…
Le Marquis d’Evans profite de ce temps de pause pour imprimer à nouveau la forme de Ses mains sur chaque fesse de Thierry.
- J’espère que tu as bien retenu tout ce que Je viens de te dire et que tu feras tout pour me satisfaire dorénavant. Tu pourras enlever le plug que tu as dans le cul, ce soir vers 20 h mais pas avant, Je te l’interdis ! Reste encore ainsi dans cette position, nu et exhibé pendant 10 bonnes minutes, à savourer l’honneur que Je t’ai déjà fait en daignant t’enculer et à méditer sur cette très belle citation de Nietsche : « La seule vraie liberté qu’à l’homme, c’est de choisir ses chaînes ». Mais, Je te le rappelle aussi, la porte de la sortie est grande ouverte, si tu n’as pas apprécié et aimé ce qui vient de se passer et si tu as la moindre chose à trouver à y redire, Je te conseille de partir tout de suite, tu es, on ne peut plus, libre de choisir ta vie et tes futures chaînes, mais sans mail de ta part dans les 24 heures, Je considérerai que c’est un adieu sans possibilité de retour et J’oublierai tout de toi, hormis nos relations d’affaires jusqu’à la fin de la transaction immobilière…
Et se tournant vers Thaïs dont IL attrape le menton :
- Viens Ma belle chienne, n’avais-Je pas dans l’intention de te remettre quelque chose autour de ton cou bien vide. Je n’aime pas te savoir ainsi nue, sachant que tu ne portes plus sur toi Mes marques d’appartenance et Mes initiales, même si je sais que c’est moi qui t’ai demandé de les enlever. Un jour viendra, où Je marquerai ton corps d’une marque que ni le temps, ni personne ne pourra jamais effacer et que Je ne pourrais même pas renier, même si Je voulais t’oublier, car tu porteras Mes initiales dans ta chair, mais il y a un temps pour chaque chose comme disait l’Ecclésiaste et pour l’instant, il est temps que nous allions découvrir d’autres plaisirs, car J’ai envie de profiter de toi et de toi seule jusqu’à ce soir de mille et une manières. Alors, suis-moi…
Le Marquis quitte la pièce pour s’enfermer dans la chambre, ayant pris soin de reprendre avec lui l’écrin et les différents accessoires de bondage qu’IL avait apporté dans le salon et qu’IL n’avait pas encore trouvé le temps d’utiliser, trop occupé de gérer l’entrée dans le cheptel de sa nouvelle recrue…
(A suivre ….)
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