La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°273)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°273)
Vanessa au château - Suite de l'épisode précédent -
Vanessa demeure ainsi agenouillée, Walter ferme la porte derrière la belle. Ainsi Vanessa se trouve dans le grand hall d’entrée aux larges carreaux en damier.
- Tu ne crois pas pouvoir entrer chez Monsieur le Marquis ainsi habillée ? dit le Majordome d’un ton hautain
- Mais Monsieur le Marquis m’a simplement dit de venir sans mes sous-vêtements et …
- Tatata, coupa le domestique, Je te donne 1 minute pour te mettre à poil …
- Mais je … non … je …
- Alors, tu ferais mieux de repartir tout de suite …
- Non, je ne veux pas partir, mais je …
Voyant le regard sévère de Walter, Vanessa comprend de suite qu’elle n’a pas le choix si elle veut rester. Et c’est avec un certain mal être à se dévêtir devant cet homme qui la toise, qu’elle s’exécute craintivement à retirer sa petite jupe noire et son chemisier blanc. Sitôt dénudée, elle se remet à genoux quand une porte latérale du grand hall d’entrée, grince et la fait sursauter.... Mais elle garde les yeux baissés, nue, la laisse pendant entre ses seins fixant les dalles de carreaux blancs et noirs, tandis qu'elle sent une soudaine présence s’approcher. Le silence s'est fait plus lourd. Elle entend d’autres pas s’éloigner et Vanessa comprend que Walter quitte le hall, la laissant seule avec Celui qui en toute logique doit être le Maître des lieux. Mais elle n’ose relever la tête pour le vérifier...
- Ainsi je ne m'étais pas trompé, dit la voix neutre qu'elle reconnaît tout de suite, je vois que tu as choisi d'assumer ce que tu es, chose que j’avais depuis longtemps compris et cela bien avant ton mail, poursuit Le Marquis d’Evans avec une légère pointe de satisfaction dans la voix.
Il s'approche, Ses Bottes de cuir verni apparaissent dans le champ de vision de la jeune femme qui soudain se sent emportée par un torrent d'émotions... Une main se pose sur la nuque de Vanessa, la caresse avec douceur. La jeune pompier n'ose pas bouger, ni même esquisser le moindre geste. Mais cette main l'apaise, sa respiration devient plus régulière, moins précipitée. La main descend sur le cou doucement, sûrement, puis vient caresser l'arrondi de l'épaule. Vanessa sait qu'elle a la chair de poule. Mais pas de froid, d'émotion pure plutôt !
- Tu as fait ce premier pas, commente calmement la voix du Marquis, Maintenant je vais guider tes pas et te faire découvrir ce qui se cache au plus profond de ton être, poursuit-Il.
Sa main se saisit de la dragonne, effleurant au passage la partie pubienne de Vanessa qui tressaille... La laisse se tend, contraint la jeune femme à se mettre à quatre pattes pour avancer, lentement, guidée par la laisse que tient Le Marquis d'une Main ferme. Emue, Vanessa avance ainsi avec un naturel qui la surprend. Elle se surprend aussi de sentir une certaine humidité croître dans son bas-ventre. A la suite du Marquis, elle progresse docilement, se sentant parfaitement à l'aise dans cette position que pourtant elle sait profondément humiliante. Mais elle aime ce qu'elle ressent, ce qui l'habite en cet instant, l'évidence qui s'impose à elle... Elle repense à son fantasme dans le bois quand elle promenait son proche chien. C'est ainsi, menée en laisse comme une chienne, son corps ondulant avec grâce au rythme du pas imposé par Le Marquis, qu'ils quittent le grand hall d’entrée, traversent un couloir aux épais tapis douillets sous ses genoux, puis ils pénètrent dans une vaste salle au sol composé de grandes dalles de pierre formant encore un damier noir et blanc. Vanessa avance en suivant le Marquis, n'osant relever la tête et ne découvrant au fil de leur avancée que ce qui est placé au ras du sol. Elle passe ainsi du damier à d'épais tapis Batik iraniens jusqu'à ce qu'elle devine comme une large cheminée toute en pierre taillée et où ne crépite nulle flamme. Elle est si vaste, que c'est à l'intérieur même de l'âtre que Le Marquis la fait mettre à genoux, et lui impose à rester ainsi jambes écartées tout en fixant la dragonne de la laisse à un épais anneau métallique scellé au mur…
Puis Le Maître des Lieux va s'installer dans un fauteuil placé juste en face d'elle. Elle se tient à genoux, les cuisses largement ouvertes, exhibée, offerte.
- Lève les yeux et regarde moi ! ordonne Le Marquis.
Docile, apprivoisée par tout ce qu’elle ressent de si excitant mentalement et même physiquement, telles des sensations si sublimes, Vanessa relève la tête et fixe son regard sur L'Homme qui vient de la traiter comme une chienne et que tout la porte désormais à admirer.
- Je t'avais devinée... Et je m'en réjouis. Mais il te reste beaucoup à apprendre, y es tu prête ? (Vanessa reste silencieuse). Je veux une réponse maintenant, déclare avec calme Le Marquis d'Evans
Le Noble pointe son regard dans les yeux de la jeune femme qui, instinctivement baisse les siens
- J'ai dit regarde moi ! poursuit Le Marquis, je veux voir tes yeux et tu ne les baisseras que si je l'ordonne.
Elle doit se forcer, dépasser ce réflexe et ce sentiment de honte qui l'incitent à pointer son regard vers le sol... Et dans un réel effort, Vanessa, obéissante, fixe Le Regard clair du Marquis qui sourit.
- C'est bien... très bien. J'apprécie ton effort, dit-il en se levant.
Le Marquis d’Evans s'approche sans la quitter les yeux, la forçant ainsi à Le regarder encore. Et c'est toujours les yeux dans les yeux qu'il se penche sur elle, tend un bras et passe sa main entre les cuisses frissonnantes, caresse les lèvres vaginales et pousse un doigt entre les cuisses, pénétrant les chairs humides et frémissantes de la jeune femme qui s'empourpre...
- Je vois que tu es sensible à la situation (Il glisse un deuxième doigt dans l'intimité de Vanessa) je ne puis que t'en féliciter, s'amuse Le Marquis.
Il retire ses doigts et les présente devant les lèvres de Vanessa, sans un mot de plus... Pas besoin de mots et Le Marquis le sait. Vanessa avance à peine la tête et ses lèvres s'entrouvrent, sa langue rose s'avance et commence à lécher les doigts que Le Marquis pousse alors entre les lèvres. Vanessa suce lentement les doigts souillés de sa propre mouille et elle en ressent une formidable excitation. Mais déjà Le Marquis recule et regagne son siège pour l'observer en silence. La bouche entrouverte, le regard dans le vide, elle attend... le coeur battant, l'estomac noué, avec comme une brûlure dans le bas ventre, comme un désir inassouvi qui coule doucement à l'intérieur de ses cuisses. Le Marquis sourit, silencieux, énigmatique...Vanessa ne sait que dire... à cet instant en fait, son esprit n'a qu'une idée... elle brûle du désir d'être prise, elle mouille d'excitation et le désir qui l'envahit dépasse de loin la honte qu'elle ressent d'être ainsi exhibée. Le Marquis s'amuse de cette scène, conscient des pensées qui se disputent dans la tête de sa conquête...
Vanessa d'ailleurs ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure, en proie à un violent désir de serrer ses cuisses et, plus encore, de sentir une verge s'introduire en elle, la forcer, la pénétrer... "Baisez moi !" a-t-elle envie de hurler, de supplier... Mais elle reste muette, adressant un regard suppliant au Marquis qui se lève, lui tourne le dos et va près de la fenêtre, où un petit guéridon supporte quelques flacons... Il se sert un verre, prend deux glaçons et revient vers la cheminée, faisant lentement tourner le liquide ambré dans son verre du plus beau cristal… Dans l’immense cheminée tricentenaire, Vanessa est toujours en proie aux pires tourments. Elle ne parvient plus à retenir son besoin de se tortiller, de serrer ses cuisses... Elle jette un regard désespéré au Marquis qui sourit, s'assied et déguste son whisky par petites gorgées.
- Tttt, ttt ! reste immobile ! lance-t-il d'une voix qui se veut sévère mais ne peut cacher son amusement.
Vanessa se force, tend ses muscles, ralentit sa respiration... enfin, elle s'immobilise. Mais elle respire fort et ses seins blancs et lourds se soulèvent au rythme de son souffle, offrant un agréable spectacle à son Maître. Son verre terminé, Le Marquis se lève avec son calme légendaire et va au centre de la pièce. C’est debout, les bras croisés, bien planté sur ses deux jambes légèrement écartées, la tête relevée, qu’Il lui lance, d’un claquement sec de doigts :
- Il suffit maintenant. Approche toi ici à 4 pattes ! Vient près de Moi, là à Mes pieds au beau milieu de cette pièce …
Vanessa obtempère à cet ordre donné d'un ton autoritaire, dénué de toute indulgence.
- J'ai pu juger de ton attitude... C'est plutôt satisfaisant. Mais ce qui t'a excitée aujourd'hui n'est qu'une étape. Tu n'as fait qu'effleurer l'univers auquel je propose de t'ouvrir...
(A suivre… )
Vanessa demeure ainsi agenouillée, Walter ferme la porte derrière la belle. Ainsi Vanessa se trouve dans le grand hall d’entrée aux larges carreaux en damier.
- Tu ne crois pas pouvoir entrer chez Monsieur le Marquis ainsi habillée ? dit le Majordome d’un ton hautain
- Mais Monsieur le Marquis m’a simplement dit de venir sans mes sous-vêtements et …
- Tatata, coupa le domestique, Je te donne 1 minute pour te mettre à poil …
- Mais je … non … je …
- Alors, tu ferais mieux de repartir tout de suite …
- Non, je ne veux pas partir, mais je …
Voyant le regard sévère de Walter, Vanessa comprend de suite qu’elle n’a pas le choix si elle veut rester. Et c’est avec un certain mal être à se dévêtir devant cet homme qui la toise, qu’elle s’exécute craintivement à retirer sa petite jupe noire et son chemisier blanc. Sitôt dénudée, elle se remet à genoux quand une porte latérale du grand hall d’entrée, grince et la fait sursauter.... Mais elle garde les yeux baissés, nue, la laisse pendant entre ses seins fixant les dalles de carreaux blancs et noirs, tandis qu'elle sent une soudaine présence s’approcher. Le silence s'est fait plus lourd. Elle entend d’autres pas s’éloigner et Vanessa comprend que Walter quitte le hall, la laissant seule avec Celui qui en toute logique doit être le Maître des lieux. Mais elle n’ose relever la tête pour le vérifier...
- Ainsi je ne m'étais pas trompé, dit la voix neutre qu'elle reconnaît tout de suite, je vois que tu as choisi d'assumer ce que tu es, chose que j’avais depuis longtemps compris et cela bien avant ton mail, poursuit Le Marquis d’Evans avec une légère pointe de satisfaction dans la voix.
Il s'approche, Ses Bottes de cuir verni apparaissent dans le champ de vision de la jeune femme qui soudain se sent emportée par un torrent d'émotions... Une main se pose sur la nuque de Vanessa, la caresse avec douceur. La jeune pompier n'ose pas bouger, ni même esquisser le moindre geste. Mais cette main l'apaise, sa respiration devient plus régulière, moins précipitée. La main descend sur le cou doucement, sûrement, puis vient caresser l'arrondi de l'épaule. Vanessa sait qu'elle a la chair de poule. Mais pas de froid, d'émotion pure plutôt !
- Tu as fait ce premier pas, commente calmement la voix du Marquis, Maintenant je vais guider tes pas et te faire découvrir ce qui se cache au plus profond de ton être, poursuit-Il.
Sa main se saisit de la dragonne, effleurant au passage la partie pubienne de Vanessa qui tressaille... La laisse se tend, contraint la jeune femme à se mettre à quatre pattes pour avancer, lentement, guidée par la laisse que tient Le Marquis d'une Main ferme. Emue, Vanessa avance ainsi avec un naturel qui la surprend. Elle se surprend aussi de sentir une certaine humidité croître dans son bas-ventre. A la suite du Marquis, elle progresse docilement, se sentant parfaitement à l'aise dans cette position que pourtant elle sait profondément humiliante. Mais elle aime ce qu'elle ressent, ce qui l'habite en cet instant, l'évidence qui s'impose à elle... Elle repense à son fantasme dans le bois quand elle promenait son proche chien. C'est ainsi, menée en laisse comme une chienne, son corps ondulant avec grâce au rythme du pas imposé par Le Marquis, qu'ils quittent le grand hall d’entrée, traversent un couloir aux épais tapis douillets sous ses genoux, puis ils pénètrent dans une vaste salle au sol composé de grandes dalles de pierre formant encore un damier noir et blanc. Vanessa avance en suivant le Marquis, n'osant relever la tête et ne découvrant au fil de leur avancée que ce qui est placé au ras du sol. Elle passe ainsi du damier à d'épais tapis Batik iraniens jusqu'à ce qu'elle devine comme une large cheminée toute en pierre taillée et où ne crépite nulle flamme. Elle est si vaste, que c'est à l'intérieur même de l'âtre que Le Marquis la fait mettre à genoux, et lui impose à rester ainsi jambes écartées tout en fixant la dragonne de la laisse à un épais anneau métallique scellé au mur…
Puis Le Maître des Lieux va s'installer dans un fauteuil placé juste en face d'elle. Elle se tient à genoux, les cuisses largement ouvertes, exhibée, offerte.
- Lève les yeux et regarde moi ! ordonne Le Marquis.
Docile, apprivoisée par tout ce qu’elle ressent de si excitant mentalement et même physiquement, telles des sensations si sublimes, Vanessa relève la tête et fixe son regard sur L'Homme qui vient de la traiter comme une chienne et que tout la porte désormais à admirer.
- Je t'avais devinée... Et je m'en réjouis. Mais il te reste beaucoup à apprendre, y es tu prête ? (Vanessa reste silencieuse). Je veux une réponse maintenant, déclare avec calme Le Marquis d'Evans
Le Noble pointe son regard dans les yeux de la jeune femme qui, instinctivement baisse les siens
- J'ai dit regarde moi ! poursuit Le Marquis, je veux voir tes yeux et tu ne les baisseras que si je l'ordonne.
Elle doit se forcer, dépasser ce réflexe et ce sentiment de honte qui l'incitent à pointer son regard vers le sol... Et dans un réel effort, Vanessa, obéissante, fixe Le Regard clair du Marquis qui sourit.
- C'est bien... très bien. J'apprécie ton effort, dit-il en se levant.
Le Marquis d’Evans s'approche sans la quitter les yeux, la forçant ainsi à Le regarder encore. Et c'est toujours les yeux dans les yeux qu'il se penche sur elle, tend un bras et passe sa main entre les cuisses frissonnantes, caresse les lèvres vaginales et pousse un doigt entre les cuisses, pénétrant les chairs humides et frémissantes de la jeune femme qui s'empourpre...
- Je vois que tu es sensible à la situation (Il glisse un deuxième doigt dans l'intimité de Vanessa) je ne puis que t'en féliciter, s'amuse Le Marquis.
Il retire ses doigts et les présente devant les lèvres de Vanessa, sans un mot de plus... Pas besoin de mots et Le Marquis le sait. Vanessa avance à peine la tête et ses lèvres s'entrouvrent, sa langue rose s'avance et commence à lécher les doigts que Le Marquis pousse alors entre les lèvres. Vanessa suce lentement les doigts souillés de sa propre mouille et elle en ressent une formidable excitation. Mais déjà Le Marquis recule et regagne son siège pour l'observer en silence. La bouche entrouverte, le regard dans le vide, elle attend... le coeur battant, l'estomac noué, avec comme une brûlure dans le bas ventre, comme un désir inassouvi qui coule doucement à l'intérieur de ses cuisses. Le Marquis sourit, silencieux, énigmatique...Vanessa ne sait que dire... à cet instant en fait, son esprit n'a qu'une idée... elle brûle du désir d'être prise, elle mouille d'excitation et le désir qui l'envahit dépasse de loin la honte qu'elle ressent d'être ainsi exhibée. Le Marquis s'amuse de cette scène, conscient des pensées qui se disputent dans la tête de sa conquête...
Vanessa d'ailleurs ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure, en proie à un violent désir de serrer ses cuisses et, plus encore, de sentir une verge s'introduire en elle, la forcer, la pénétrer... "Baisez moi !" a-t-elle envie de hurler, de supplier... Mais elle reste muette, adressant un regard suppliant au Marquis qui se lève, lui tourne le dos et va près de la fenêtre, où un petit guéridon supporte quelques flacons... Il se sert un verre, prend deux glaçons et revient vers la cheminée, faisant lentement tourner le liquide ambré dans son verre du plus beau cristal… Dans l’immense cheminée tricentenaire, Vanessa est toujours en proie aux pires tourments. Elle ne parvient plus à retenir son besoin de se tortiller, de serrer ses cuisses... Elle jette un regard désespéré au Marquis qui sourit, s'assied et déguste son whisky par petites gorgées.
- Tttt, ttt ! reste immobile ! lance-t-il d'une voix qui se veut sévère mais ne peut cacher son amusement.
Vanessa se force, tend ses muscles, ralentit sa respiration... enfin, elle s'immobilise. Mais elle respire fort et ses seins blancs et lourds se soulèvent au rythme de son souffle, offrant un agréable spectacle à son Maître. Son verre terminé, Le Marquis se lève avec son calme légendaire et va au centre de la pièce. C’est debout, les bras croisés, bien planté sur ses deux jambes légèrement écartées, la tête relevée, qu’Il lui lance, d’un claquement sec de doigts :
- Il suffit maintenant. Approche toi ici à 4 pattes ! Vient près de Moi, là à Mes pieds au beau milieu de cette pièce …
Vanessa obtempère à cet ordre donné d'un ton autoritaire, dénué de toute indulgence.
- J'ai pu juger de ton attitude... C'est plutôt satisfaisant. Mais ce qui t'a excitée aujourd'hui n'est qu'une étape. Tu n'as fait qu'effleurer l'univers auquel je propose de t'ouvrir...
(A suivre… )
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