La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°287)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°287) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°287)
Suite de l'épisode précédent N°286 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Thaïs avait rejoint les bras de Morphée dans un grand état de fatigue émotionnelle après la soirée qu’elle avait vécue en arrivant au château, mais le délicat baiser que son Maître Vénéré avait déposé sur sa bouche avant de s’en aller et les mots tendres qu’IL lui avait murmurés à l’oreille avaient été, non pas de puissants soporifiques pour faire plonger la belle chienne dans un profond sommeil, mais bien au contraire de merveilleux moments de récompense qu’elle avait emportés dans la profondeur de son cœur, tandis que la réalité devenait peu à peu onirique. Aux pays des songes, toute la nuit, elle avait rêvé, encore et encore de Lui, de Celui qu’elle désirait tant servir et Vénérer de toute son âme avec dévotion totale et gratitude.

Pour la première fois de sa vie, Thaïs s’éveille dans un véritable cachot, enfermée et enchaînée. Des bruits dans le couloir l’ont sortie de son profond sommeil, mais elle ignore tout de ce qu’ils représentent, et surtout de ce qu’elle doit faire. Son Maître lui a dit que cette pièce serait son lieu de résidence pendant son séjour au Château, du moins tant qu’IL aurait décidé qu’il en serait ainsi. Elle se trouve plutôt heureuse de son sort, car la veille, elle se rappelle que pendant quelques temps qui lui ont paru une éternité, elle s’était imaginé qu’elle allait devoir rester dans le chenil où elle avait atterri après son arrivée, déjà heureuse de ne pas être cantonnée au milieu des chiens, mais assez perturbée par la forte émanation canine qui y résidait. Elle se rend compte en se rappelant de cela, que l’odeur tenace a imprégné sa peau et qu’elle aimerait bien pouvoir prendre un bain parfumé avec quelques gouttes d’huile essentielle, puis se couvrir le corps d’un voile fin pour réhydrater sa peau. Mais elle réalise à ce moment là que sa vie, son quotidien, ses occupations, ses activités, ses désirs mêmes, ne sont plus entre ses mains mais bien sous la seule Emprise de son Maître Vénéré, car c’est ainsi qu’elle l’a souhaité et même espéré si fort, avec un plaisir sensuel qui la trouble chaque fois qu’elle pense à son désir de soumission.

Se remettre volontairement et librement entre les mains de son Dominant ; abdiquer en Sa faveur tout pouvoir et tout contrôle ; Lui appartenir corps, esprit et âme ; Lui laisser prendre possession de ce qui est déjà et pour toujours Sien sans tenter d’en soustraire la moindre parcelle et de s’opposer à la moindre requête ; se laisser formater et carrément dresser pour être capable de mieux Le servir et Le satisfaire ; obéir à chacun de Ses commandements et s’en tenir aux seuls gestes et rares mots qu’IL autorisera ; se plier à toutes Ses exigences quelles qu’elles soient ; accepter toutes les punitions formatrices qui seront infligées et l’en remercier car elles sont destinées à l’aider à progresser si elle défaille même involontairement ; tolérer avec abnégation toutes les contraintes de sa condition de dominée en profitant du meilleur qui lui sera donné à vivre et en se résignant à supporter le pire qui lui sera imposé ; Le laisser décider seul des plaisirs qu’IL daignera lui octroyer ; devenir de plus en plus la soumise qu’IL attend ; et n’être pour son Maître Vénéré que source de plaisirs et de contentement … C’est ainsi que Thaïs avait imaginé avant, pendant des heures et des heures, sa vie d’esclave-soumise en devenir…. Maintenant, ce n’est plus un rêve, ni un désir, … Mais bien une réalité présente, bien que la soumise enfermée dans son cachot ne sait pas concrètement comment cela va se passer.

C’est d’ailleurs la vulnérabilité de sa situation et l’émotion que cela suscite d’angoisse et de plaisirs mêlés qui l’excitent dès qu’elle se met à penser que son Maître est là haut, au dessus, quelque part dans les appartements privés luxueux ou dans l’une des salles somptueuses du Château, donc tout près, qu’IL sait qu’elle est là à Sa merci et à Sa disposition, dans le cachot où IL l’a assigné et où elle va attendre Son bon vouloir, n’ayant d’ailleurs la possibilité de ne rien faire d’autre que d’attendre et de suivre les ordres, mais n’en espérant surtout pas plus que de ramper aux pieds de son Maître Vénéré. Elle sent son entrecuisse qui vient de se réveiller à son tour, ayant déjà couvert d’un peu de rosée matinale son bouton de rose. Elle voudrait pouvoir se toucher et se caresser pour calmer la douce brûlure de son feu intérieur, mais elle sait que les plaisirs en solitaire qu’elle s’octroyait le matin au réveil dans son lit avant de se lever ne font plus partie que de son passé de femme libre et libérée. Alors, elle contracte ses muscles fessiers et aussi ceux pelviens pour essayer de refermer au mieux sa caverne béante et suintante. Elle n’ose pas serrer les cuisses et les jambes, car c’est une position qui lui est interdite. Sa condition de soumise l’oblige à garder toujours les jambes écartées, même si elle n’est ni attachée, ni contrainte, afin d’être toujours disponible pour son Maître qui doit pouvoir user et abuser de son corps et de tous les orifices dont la nature l’a pourvue…

Thaïs est partie dans ses pensées depuis de longues minutes, ne sachant toujours pas ce qui se passe dans le couloir, mais elle comprend qu’il doit y avoir visiblement d’autres espaces clos alentour, car elle entend plusieurs bruits de serrures, de gonds grinçants, de chaînes, d’ordres scandés de toutes sortes, de « debout vite fait » comme on doit pouvoir en entendre dans les garnisons ou dans les prisons. Elle commence à se demander si elle a été condamnée à rester seule attachée à son anneau pendant des heures, voire des jours, pour lui apprendre la patience, car les bruits autour ont fini par cesser et le silence semble avoir remplacé le brouhaha matinal. Elle s’imagine que des gardes ont dû sortir d’autres esclaves de leurs enclos pour les conduire quelque part, mais les idées qui lui passent pas la tête ne sont que pure invention car en fait, elle ignore tout des habitudes et de la vie au quotidien dans le Château qu’elle n’a découvert que hier soir et encore en apercevant à peine la silhouette de la demeure ancestrale dans la faible clarté nocturne d’un quart de lune derrière les nuages. Elle n’a aucune idée de l’heure qu’il peut être et combien de temps elle a pu dormir, il lui semble assez peu car elle a encore sommeil et elle n’aperçoit aucune lumière qui proviendrait de l’extérieur. Soudain, un bruit de clef dans la serrure de la porte la sort finalement de ses réflexions. Immédiatement elle se redresse sur sa couche, repousse la couverture qui recouvrait son corps nu et instinctivement, elle se met à genoux au pied de sa couche, ne sachant pas qui doit rentrer dans la pièce, en baissant la tête, et posant ses mains sur ses cuisses.

- Bonjour… (dit une voix d’homme mûr que Thaïs ne reconnaît pas)... Bien, bonne position. Je vois que tu connais déjà quelques rudiments élémentaires, mais je suis là pour t’en inculquer quelques autres, plus exactement de très nombreux autres, devrais-je dire. J’ai été chargé par Monsieur le Marquis Edouard d’Evans d’être ton garde pendant ton séjour dans ce château, enfin disons pour aujourd’hui et les autres jours suivants si l’on me maintient à ce poste et si j’ai donné satisfaction au Maître. Il semblerait que tu vas bénéficier d’un traitement spécial de faveur, en accéléré qui plus est, pour parfaire ta formation, ce qui, tu dois bien pouvoir te l’imaginer, ne va pas être un séjour de vacances de tout repos, mais d’autant plus spécial que l’on va exiger plus de toi et t’en imposer plus à supporter.

Thaïs n’a toujours pas bougé de sa place, à genoux, tête baissée et les mains posées, paume tournées vers le haut, sur les cuisses. Elle n’a surtout pas osé ouvrir la bouche avant d’y avoir été invitée, même si elle pense qu’il aurait été plus poli de répondre « Bonjour » à son tour, mais elle a fini par comprendre que les règles sociales de politesse, qui régissent le monde extérieur, ne sont pas nécessairement celles qui ont cours dans la relation D/s telle que son Maître l’exige. Elle attend donc que la personne dont elle ignore tout, à quoi elle ressemble et ce qu’elle est venue faire lui pose une question ou lui précise ce que son Maître exige d’elle. Comme s’il sentait le questionnement intérieur de la soumise immobile, l’homme qui ne s’est pas encore présenté ajoute :

- Je suis moi aussi l’un des fidèles et plus anciens chiens-esclaves de notre Noble Maître de ces lieux. Notre Vénéré Maître m’a baptisé e6942 MDE et j’ai le bonheur de faire partie de Son cheptel, vivant ici à temps plein depuis de nombreuses années. Nous n’aurons pas le droit de communiquer pour autre chose que dans le contexte de ta formation, des ordres que je serai juste chargé de te transmettre et des consignes que je devrai te faire appliquer. J’ai l’interdiction de pouvoir prononcer ton nom en te parlant, mais j’ai reçu le droit, et même l’obligation, de prendre toutes les premières mesures en cas de manquement et en particulier de te fesser pour t’apprendre les bonnes manières et les bonnes positions. Ce sera la première règle qu’il te faudra retenir, les échanges entre esclaves ne sont pas autorisés, sauf précision express contraire du Maître des lieux ou de Ses substituts.

D’une voix plus ferme cette fois, il reprit.

- Lève-toi maintenant. Tu te rentres cela dans les fesses, c’est un lavement anal. Tu en as déjà utilisé, je suppose ! Dépêche toi, je n’ai pas de temps à perdre et toi non plus.

Thaïs hoche la tête pour dire oui sans parler, mais ce qu’elle voudrait bien pouvoir ajouter, c’est que, si effectivement, elle avait pris l’habitude avant de rencontrer son Maître Vénéré de s’assurer de la bonne propreté de tous ses orifices, jamais elle n’a utilisé ce type d’équipement devant quelqu’un, et ceci d’autant plus qu’elle sait que l’effet en est presque immédiat et que visiblement l’esclave n’est pas près de vouloir quitter la pièce. Même si elle sait qu’ici plus aucune pudeur n’a lieu d’exister, c’est tout de même terriblement honteuse qu’elle s’enfile dans l’anus, la poire pleine, après s’être mise légèrement accroupie au dessus des WC à la turque complètement ouverts à l’air libre et donc sous le regard embarrassant et pesant de celui qui lui fait face, qui malgré tout, ayant déjà subi en son temps ce genre de traitement, comprend ce que peut ressentir la soumise novice et a pris soin de faire silence pendant tout ce temps. Quelques minutes plus tard, l’esclave reprend :

- Va te positionner dans le coin du cachot que je puisse te laver correctement, car tu empestes vraiment beaucoup. Notre Maître tient absolument à ce que l’on entretienne correctement tout ce qui lui appartient, qu’il s’agisse des très beaux objets d’Art de valeurs inestimables qu’Il affectionne et qui décorent ce magnifique lieu, des jardins que de nombreux esclaves entretiennent jour après jour traquant la moindre mauvaise herbe et s’occupant de toutes les fleurs odorantes que notre Noble et Vénéré Maître affectionne particulièrement, mais aussi de tout ceux et celles qui lui appartiennent et se sont remis entre Ses mains pour le servir et l’honorer.

Thaïs se redresse sans perdre une seconde. Elle a les gestes malhabiles ne sachant pas ce qu’elle doit faire de ses bras. Elle comprend bien qu’il ne s’agit pas de les croiser sur son bas-ventre ou sur sa poitrine par une pudeur qui, comme déjà dit, serait mal placée dans sa situation et en ce lieu. Alors elle laisse ses bras tomber le long du corps et avance, laissant traîner sa grosse et lourde chaîne sur le sol, celle qui pend à son cou et qui est toujours attachée dans l’un des anneaux scellés dans le mur au dessus du lit. L’esclave e6942 MDE s’approche de Thaïs et commence par lui badigeonner tout le corps avec une éponge naturelle qu’il a humidifiée et imprégnée de savon légèrement parfumé. Il passe avec minutie sur l’ensemble du corps à l’exception du visage, n’ignorant aucun des plis, s’attardant sous les aisselles, faisant tourner l’éponge à plusieurs reprises sur les auréoles ce qui a eu pour effet de faire durcir les deux tétons excités par l’effleurement, soulevant à pleine main tour à tour ses lourdes mamelles pour bien passer dessous. Il descend peu à peu sur la longueur des jambes, passe ses doigts un à un entre chaque doigt de pieds de Thaïs, et remonte ensuite sur l’entrejambe la forçant à ouvrir encore plus les cuisses. C’est à main nue maintenant qu’il savonne de tous ses doigts la chatte de Thaïs, se promenant sans retenue entre ses lèvres intimes, dans la raie des fesses jusqu’à s’enfoncer presque de manière inquisitrice dans la petite rondelle de la soumise.

Thaïs n’en peut plus de ce lavage voluptueux qui a éveillé tous ses sens. Elle sait que son entrejambe est certes mouillé par le savon imprégné d’eau qui ruisselle sur son corps, mais elle est persuadée qu’une bonne dose de cyprine a aussi tenu lieu de savon liquide sur la main de l’esclave et sur l’éponge qu’il continue à promener partout sur son corps. Elle voudrait pouvoir se laisser aller à pousser des petits cris de plaisirs mais elle serre les dents pour ne pas ronronner plus que cela à la suite de toutes ces caresses si expertes et si lascives. e6942MDE reste impassible et continue avec application son labeur. Un homme normal devrait logiquement être excité par ses attouchements sensuels sur une jolie femelle comme Thaïs, mais les esclaves du Marquis d’Evans ont été formatés pour ne pas montrer toute excitation en leurs corps dans de pareille situation, d’où cette impassibilité affichée du mâle. Elle tente d’oublier les sensations corporelles et concentre ses pensées sur son Maître Vénéré, se forçant à L’imaginer juste là sur le seuil de la porte la regardant de ses grands yeux bleus et surveillant qu’elle ne se vautre pas dans la luxure pour le plaisir d’apaiser son désir sexuel et son besoin de jouissance dont elle a été sevrée depuis quelques jours. C’est un autre calmant qui va apaiser ses inspirations charnelles. L’esclave vient d’ouvrir le robinet de la douche et un jet d’eau froide presque glacial tombe en pluie sur le corps savonné de Thaïs, la refroidissant aussi sec dans ses ardeurs les plus hédonistes. La soumise se met à grelotter et son corps se couvre d’une bonne chair de poule, mais elle n’ose toujours pas bouger pour tenter de se soustraire au puissant déluge glacial qui a fait disparaître en quelques secondes toute trace de savon.

- Ne bouge pas et arrête de trembler, je n’ai pas terminé. Demain, je ne veux pas le même cirque, sinon je serai tenu de le signaler. Il va falloir t’habituer à l’eau froide, tu n’auras que cela ici. Les bains chauds et relaxants de bourgeoise, ce n’est pas l’habitude de la maison et surtout pas pour nous les esclaves. Mais surtout, tu dois apprendre à contrôler tes émotions et tes réactions. Je vais te faire un gommage, c’est bon pour enlever toutes les cellules mortes, cela rend la peau toute douce, et cela enlèvera toute trace de ta vie d’avant et de ton passé que tu as dû abandonner en franchissant, ici, les grilles du Château du Marquis d’Evans pour t’offrir pleinement à ta nouvelle vie.

L’esclave s’applique à passer sur l’ensemble du corps de Thaïs un produit qui est plein de petites particules fermes qui lui donne un sentiment d’être presque frottée à la toile émeri. Elle a déjà utilisé des laits exfoliants, mais jamais quelque chose qui lui parait aussi rustre et aussi désagréable. Mais au moins, cet onguent presque irritant qui lui est appliqué sur tout le corps et même sur ses parties intimes, ce qui la fait un peu serrer les dents quand il en vient à frotter son pubis et ses grandes lèvres, a permis à la soumise d’arrêter de trembler de froid. Par contre, elle n’a pas arrêté de mouiller, car même si la texture du produit est peu plaisante en sensation sur la peau, les multiples caresses, qui lui sont prodiguées par l’esclave qui s’applique à la tâche avec rigueur et toujours sans rien laisser apparaître physiquement comme une éventuelle érection qu’il n’a pas à cause de son dressage, ont une fois de plus réveillé l’excitation de la belle. e6942 MDE ne peut tout de même pas s’empêcher de lui dire :

- J’ai l’impression que tu es une sacrée chienne-femelle en chaleur. Monsieur Walter, le majordome, m’avait prévenu, mais je dois avouer que j’attendais de voir. Il va te falloir apprendre à contrôler aussi la montée de ton plaisir seulement quand tu y seras autorisé, il ne s’agit pas seulement de contrôler ta jouissance suivant les autorisations de ton Maître, mais bien de contrôler toutes les réactions et excitations de ton corps qui ne t’appartient plus. Ce sera donc la deuxième règle pour aujourd’hui. Mais ne t’inquiète pas, j’ai un moyen très efficace pour faire baisser l’ardeur lascive qui semble déjà te submerger. Est-ce que tu crois que, moi, je bande à tout bout de champ, sans ordre et sans autorisation, simplement parce que je serais en train de te savonner et de te laver même tes parties les plus intimes ?

Thaïs entendant ces mots est devenue rouge écarlate, comme si une partie de sa chaleur interne s’était focalisée sur ses joues. Elle a baissé encore plus la tête, mais furtivement et impulsivement, elle a jeté un coup d’œil sur l’homme qui se tient devant elle pour s’apercevoir qu’effectivement il est nu, portant au cou un épais collier de métal duquel pend une médaille gravée qu’elle ne peut lire. Et elle a bien vu que le mâle malgré le fait qu’il est bien pourvu par la nature de beaux attributs virils a su conserver son pénis à l’état de repos. Chose si évidente quand elle fixe son regard sur la belle cage de chasteté qu’il porte. Une impressionnante cage de grand luxe entourant aussi bien ses testicules que la queue et toute en acier brillant inoxydable avec directement gravée en lettres dorées sur la partie se trouvant sur le dessus de la verge ‘’e6942 MDE - PROPRIETE DE MDE’’. Mais elle n’a pas le temps de s’épancher plus longtemps sur ses réflexions qu’elle reçoit sur le corps un jet assez puissant et concentré, projeté à l’horizontale sur tout son corps provenant d’un tuyau que l’esclave promène sur tout son corps pour la débarrasser du gommage. L’eau est toujours aussi froide et en plus le jet est tellement fort qu’il martèle carrément le corps de Thaïs, surtout sur les parties les plus sensibles.

- Lève les bras et écarte les jambes que je puisse te rincer partout et faire disparaître tout le produit. Tu auras la peau toute douce après et l’eau froide a aussi l’avantage de raffermir les tissus et de refermer les pores de la chair.

Thaïs s’empresse de s’exécuter autant pour obéir que parce qu’elle s’est remise à trembler de manière presque incontrôlable et qu’elle n’espère qu’une seule chose, c’est de voir le jet glacial s’arrêter enfin. Reprenant au bout de quelques secondes de bon rinçage de la face avant, l’esclave poursuit

- Retourne-toi maintenant …… et penche-toi vers l’avant, pas question que tu gardes du produit entre les fesses, lors de l’inspection, on ne me le pardonnerait pas.

Thaïs sent le jet s’immiscer dans son intimité anale et vaginale de manière très indécente et indiscrète. Elle se sent offerte au regard de celui qui la nettoie, presque gênée elle qui n’est pas si pudique que cela mais qui est loin d’avoir des désirs exhibitionnistes. Elle ressent cette inquisition avec d’autant plus d’agressivité et de passivité, sentiments ambivalents, qu’elle se laisse totalement faire sans bouger même pas du petit doigt, laissant juste son corps en proie aux tremblements de froid incontrôlables qui secouent son corps. Elle se sent soulagée quand le jet s’arrête enfin de couler.

- Ne t’inquiètes pas, je vais te réchauffer maintenant. Tu vas voir, c’est très efficace ! …

(A suivre …)

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