La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°297)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°297) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°297)
Suite de l'épisode N°293 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Sur les injonctions de Marie, la cuisinière perverse et sadique, qui les a fait déguerpir presque à coups de pied, le chien-esclave e6942 MDE reprend en main la laisse de la soumise Thaïs pour la conduire dans la salle de soins où elle est attendue pour être préparée afin de pouvoir être présentée au Marquis Edouard d’Evans. A peine ont-ils franchi la porte des cuisines, qu’ils entendent la voix criarde de celle qui s’empresse d’ajouter pour marquer encore plus son emprise sur son territoire :

- Et tâchez demain, d’être à l’heure, car il n’y aura pas deux fois de deuxième service. Quand à toi le chien, si tu croises notre Majordome sur ton chemin, n’oublie pas de lui faire un rapport précis, mentionnant en outre que si vous êtes autant en retard, c’est à cause de cette nouvelle chienne non dressée qui ne connait pas encore les bonnes manières et qui de plus, a sali tout mon carrelage en me faisant renverser la sauce de mon délicieux civet, ce qui m’a obligé à vous contraindre de nettoyer toutes vos saletés…

Thaïs baisse la tête encore plus, cette fois presque de dépit aussi, parce qu’elle sait très bien que ce n’est pas elle qui, de son fait, a sali le carrelage, mais bien la cuisinière qui lui a volontairement versé le liquide presque brûlant sur les fesses pour s’amuser à ses dépens. Mais ni e6942 MDE, ni elle-même, ne se hasarderont à oser prétendre le contraire, et ceci d’autant plus que Thaïs ne regrette pas son premier petit déjeuner au château, car elle n’a pas oublié le plaisir ressenti et l’excitation physique qui lui avait coulé entre les cuisses, malgré le fait qu’elle s’était sentie humiliée par cette femme de tête régentant les cuisines, ou plus exactement parce qu’elle avait été rabrouée, traitée sans ménagement juste comme l’insignifiante dernière acquisition du Maître des lieux et qu’elle avait été également contrainte de lécher les lèvres intimes poisseuses sous les jupes de cette imposante femme, et cela après s’être elle-même fait lécher le cul par le chien docile qu’est et reste à tout instant e6942 MDE… La soumise avance en se disant que le séjour en ce lieu ne doit jamais être de tout repos pour les esclaves qui y restent à demeure, et cela la fait réfléchir sur sa propre capacité à assumer pleinement, tous les jours et toutes les heures dorénavant, sa condition d’esclave-soumise prête à tout pour servir son Maître de son mieux, non comme elle pourrait vouloir le souhaiter, mais comme IL l’exige, attendant de chacun et chacune un dévouement total et une capacité à se plier à ses moindres désirs, même les plus exigeants et les plus pervers.

Sans prononcer le moindre mot e6942 MDE avance à vive allure, et la soumise à quatre pattes qui commencent à sentir la morsure, sous ses genoux et sous ses mains, du dur parquet en chêne verni a du mal à le suivre, en se disant que si forcément avec le temps, de la corne devrait finir par lui permettre de s’adapter à cette nouvelle façon de se déplacer qui semble être la seule qui lui est et lui sera imposée dans ce domaine, pour l’instant ses chairs lui semblent bien trop fragiles et tendres eu égard à la taille gigantesque de cette demeure aux couloirs interminables pour des chiennes malhabiles à se mouvoir. Elles croisent plusieurs esclaves qui semblent s’afférer à des tâches ménagères quelconques, dont elle n’aperçoit parfois qu’un bout de pied dans son champ visuel, craignant une fois de plus de lever la tête. Arrivée au bas d’un escalier, elle reconnaît la voix de Walter, le Majordome, toujours aussi ‘’pète sec’’ et qui est en train de descendre.

- Ah, Vous voilà tous les deux. Vous avez vu l’heure ! (comment auraient-ils pu avoir vu l’heure, aucun des esclaves ne portent de montre et de toute manière, ils ne sont pas maître de leur temps, s’affairant toujours le plus vite possible à exécuter l’ordre qu’ils ont reçus sans qu’il soit permis à qui que ce soit d’y déroger d’un seul instant de son propre chef). Il y a déjà pas mal de minutes que je viens de déposer sa sœur de cachot au premier. Ici personne n’a le droit d’être en retard sans être puni, la liste commence à s’allonger pour Thaïs, je sens que cette nouvelle recrue va me faire passer du bon temps.

Walter arrache la laisse des mains de e6942 MDE et tire dessus pour forcer Thaïs à se redresser. Elle ne comprend pas ce que l’on attend d’elle, mais elle est bien obligée de se mettre debout pour ne pas se trouver étranglée par le collier qui lui tire sur le cou et la base du crâne. Elle est presque contente de pouvoir enfin faire porter le poids de son corps de femme plantureuse sur ses deux pieds, mais n’ose pas bouger pour se dégourdir les bras et les jambes, craignant beaucoup trop celui qui vient de la prendre en mains, qui sans même lui avoir adressé la parole, commence à remonter l’escalier de pierre qui se trouve au centre même du château. Tête basse, e6942 MDE n’ayant reçu aucune consigne contraire a suivi le pas, un mètre derrière Thaïs, regardant juste les marches pour ne pas trébucher. Accentuant l’allure à peine arrivée au palier, Thaïs a du mal à suivre la marche cadencée de Walter, le majordome à l’imposante carrure qui fait des pas de géant, alors qu’elle est malgré tout plus petite et que ses déplacements sont rendus plus difficile par le plug qui est inséré dans son fondement depuis le matin, et c’est donc avec de nombreux à-coups sur la laisse qu’elle maintient plutôt mal le rythme, se demandant une fois de plus, quelle peut bien être la taille de ce château dont les couloirs n’en finissent jamais, bien qu’elle apprécie grandement pour ses pieds que ceux du premier étage soit couverts d’une moquette épaisse et ou divers et luxueux tapis. Walter s’arrête devant une porte et une fois de plus Thaïs qui ne pense qu’à regarder le sol et l’endroit où elle pose ses pieds ne l’a pas vu faire. De fait, elle lui rentre dedans. Elle retient in extremis un « Pardon » de politesse qui allait sortir instinctivement, se rappelant qu’elle n’est pas autorisée à parler. Mais elle se demande bien ce qu’elle doit faire et pour adoucir la colère du Majordome qui se retourne, elle s’agenouille vite fait. Cependant, Walter n’a pas mis longtemps à attraper la cravache qui pend à sa ceinture pour rougir légèrement de plusieurs coups, la croupe de Thaïs.

- La règle est simple « J’avance, tu avances à la même allure que moi. Je m’arrête, tu t’arrêtes ». Il me semble que je ne devrais pas avoir à expliciter ce genre d’évidence, mais j’oubliais que tu as une petite cervelle de chienne et de blonde. J’ai l’impression que le cabot qui t’a mené ce matin ne t’a pas inculqué grand-chose. Nous réglerons cela plus tard autrement ! Fais-moi confiance pour ne pas oublier, car je n’aime pas être bousculé. Pour l’instant, je ne veux pas te marquer les fesses, pour laisser à Monsieur le Marquis le plaisir de le faire lui-même cet après-midi à sa convenance. Ce sera ton cadeau de bienvenue au château, une petite initiation dont Monsieur le Marquis est parfois friand pour tous les nouveaux, ajoute t-il d’un petit ton très sarcastique, terminant par un rire qui glace d’effroi.

Thaïs à l’idée de ce qui pourrait l’attendre, mais qui en même temps lui procure une immense sensation de chaleur bienfaisante qui se propage dans tout son corps se dirigeant principalement sur son bas-ventre et sur ses autres lèvres moins intimes, que machinalement elle lèche et mordille. Walter ne se gêne cependant pas pour passer sa main dans l’entrecuisse de Thaïs pour vérifier l’effet humidifiant de ces quelques coups de cravache et des propos humiliants qu’il a pris un malin plaisir à rajouter, qui ont excitée la belle autant que les allusions évasives et troublantes pour celle qui ignore tout de ce qui va lui advenir. Sans même lui jeter un œil dessus, le Majordome fourre ses doigts poisseux dans la bouche de la soumise qui s’empresse de le nettoyer de sa langue experte, espérant adoucir un peu le courroux de Walter qu’elle a culbuté, tandis qu’il range sa cravache de l’autre main pour pouvoir ouvrir la porte de la salle de soins dans laquelle se trouve déjà une soumise nue allongée sur une table de massage et une autre soumise qui s’affaire après elle, et qui porte quand à elle une légère robe fluide de voile descendant jusqu’au sol, d’un blanc immaculé, la faisant ressembler presque à une Vestale, sauf qu’elle porte autour du cou, un très large collier de cuir blanc avec un anneau, marqué aux Armoiries de la famille Evans. S’adressant d’abord à e6942 MDE, le majordome ajoute d’un ton directif :

- Toi le chien, tu restes là et tu surveilles cette bande de femelles, pour qu’elles ne perdent pas de temps et qu’il ne leur prenne pas l’envie de papoter. (puis se rapprochant de Thaïs dont il enlève la laisse qui pend à son collier pour la jeter en direction d’e6942 MDE chargé de la récupérer au vol). Voilà, tu vas être présentée officiellement juste après le repas à Monsieur le Marquis Edouard d’Evans qui daigne te recevoir dans son grand salon privé. Tu y seras conduite par ta sœur de soumission, qui est là juste à tes côtés, soumise Holly MDE. Si tu es la dernière à entrer dans le cheptel, elle est l’avant-dernière et c’est donc à elle qu’incombe cette tâche suivant les ordres de Monsieur le Marquis. Tâche de faire honneur à ton Maître, car IL renvoie aussi sec toutes les chiennes qui ne sont pas assez racées et domptées pour pouvoir être autorisées à poser leur misérables pattes sur le sol qu’ont foulé Ses Nobles ancêtres et en particulier celui dont IL est si fier car IL a marqué l’Histoire de ce Château familial, le fameux Marquis Charles-Edouard d’Evans qui y avait reçu le célèbre Marquis de Sade en personne (voir les Origines de la Saga) en 1784, selon les écrits hérités des archives familiales et transmises de génération en génération… Alors comme tu vois, ce n’est pas n’importe quel sol que tu foules ici, ne l’oublie jamais …

Sans un mot de plus, Walter ressort, sachant très bien que chacun et chacune a reçu toutes les consignes qui lui sont nécessaires pour accomplir leur tâche. La soumise debout qui semble la plus âgée des trois, porte le nom d’Emeline MDE, inscrit sur la plaque ronde qui pend à son collier. Elle s’approche de Thaïs qui l’entrevoit à peine car elle n’a pas encore osé lever la tête, lui dit délicatement près de l’oreille en la prenant par le bras et lui relevant le menton :

- Approche, n’ai pas peur. Je me nomme Emeline MDE. Je vais m’occuper de toi pour que tu sois la plus belle possible. J’ai toute la fin de la matinée pour cela et même presque jusqu’à 14h, heure à laquelle tu es attendue dans le Grand Salon par notre Maître à toutes et à tous. Nous n’avons pas vraiment le droit de papoter entre nous, mais faisant partie des plus anciennes ici, je suis malgré tout autorisée à prendre le temps de t’expliquer de nombreuses choses pour que tout se passe le mieux possible. C’est un moment très émouvant pour chacune d’être reçue pour la première fois par le Maître dans son château, et tu as vraiment de la chance de pouvoir vivre un moment que tu n’oublieras jamais plus, même si ce n’est pas la première fois que tu te trouveras aux pieds de ton Maître. Sache qu’ici ce sera encore plus émouvant et que tu n’auras droit à aucune erreur, ni à aucune défaillance quelque soit ce qu’IL exigera de toi, car tu lui appartiens et tu es son esclave-soumise, volontairement asservie, comme nous tous ici, mâles et femelles :

Thaïs savoure chacune des paroles qu’elle entend et elle sent que son cœur s’est mis à battre si fort qu’il lui semble qu’on doit pouvoir l’entendre à 10 lieux. 14h lui semble être à la fois si lointain car elle voudrait déjà être en présence de son Maître, mais aussi si proche car elle pense qu’elle n’est pas présentable après une nuit passée dans le cachot presque à même le sol, une douche glacée qui a aplati ses cheveux et qui s’est terminé sans le moindre soin de beauté, sans parler du petit passage dans la cuisine dont elle garde encore sur les lèvres et les joues l’onctueuse cyprine de l’orgasme de Marie qui lui a collé à la peau.

- Tu vas t’allonger là sur la table de massage, mais il est préférable d’abord que tu passes par la douche. Ici, c’est le seul endroit où les douches sont chaudes pour les soumises, tâche d’en profiter, ce ne sera pas tous les jours fête. Tu en as plus que besoin, tu as le visage qui est si sale que je me demande bien où tu as été fourrer ton museau. Quant à ton corps, je pensais qu’on devait te donner une douche ce matin dans ta cellule, mais tu es pleine de tâches sombres partout sur les fesses. Et puis, tu ne sens pas la rose, dis-moi !

Thaïs entendant cela, se met à rougir car elle repense au passage sous les jupes de Marie la cuisinière, dont l’odeur forte et tenace est encore imprégnée dans ses narines, et si elle ne sent pas «la Rose», elle pense qu’elle pourrait bien sentir « la Marie», ce qui la gêne considérablement devant cette soumise qui a l’air aussi propre dans sa tenue blanche qu’une infirmière. Comment pourrait-elle aussi faire comprendre sans ouvrir la bouche que son postérieur a été trempé par de la sauce de civet et léché tant bien que mal par la langue du chien e6942 MDE. En même temps, Thaïs est étonnée du contraste qui règne entre ce lieu qui serait digne d’un vrai salon de beauté ultra chic et le reste de ce qu’elle a vécu depuis son arrivée au Château.

- Mais juste avant, il est temps que je te présente ta voisine. Je suis en train de lui faire un soin du visage et j’allais lui poser un masque hydratant dans quelques secondes. Plus tard ce sera ton tour. Mais ne t’attends pas à ce que tu sois traité ainsi tous les jours, c’est très exceptionnel pour quelques grandes occasions et sorties exceptionnelles de Notre Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, quand il daigne faire l’honneur à l’une de ses soumises de l’accompagner et qu’elle doit être présentable à Ses côtés pour Lui faire grandement honneur. La vie des esclaves du cheptel au quotidien se passe beaucoup moins dans le raffinement, mais elle n’en est pas moins enviable car tous sont là pour servir le Maître, quelque soit leurs dures conditions de vie au quotidien et les multiples tâches qu’ils doivent accomplir, ils lui en savent gré et le vénère tous avec ferveur.

- soumise Holly MDE, ouvre les yeux. Je te présente ta sœur de soumission, Thaïs, que tu as été chargé de conduire à Notre Maître cet après-midi. Tu peux lui dire Bonjour.
- Bonjour Thaïs. Enchantée de faire ta connaissance.
- soumise Thaïs MDE, tu peux rendre son bonjour à ta sœur, Holly, et la remercier car c’est elle qui va t’accompagner tout à l’heure auprès du Maître et elle restera d’ailleurs avec toi pendant tout le temps qu’il plaira à Notre Maître qui a réclamé votre présence à toutes les deux.
- Bonjour Holly. Enchantée aussi de faire ta connaissance et avec tous mes remerciements.

Thaïs n’a pas osé se lancer dans de plus grandes phrases, pourtant ce n’est pas l’envie qui lui manque de parler et de faire connaissance. Elle aurait tant de questions qu’elle voudrait poser car elle se sent bien novice, ne sachant pas du tout ce que son Maître va exiger d’elle, mais elle a préféré respecter au plus vite la règle du silence imposée aux esclaves, se limitant à ce qui lui a été précisé et autorisé explicitement. Thaïs docile se laisse faire pendant des heures par les mains expertes d’Emeline MDE. La soumise qui semble aussi expérimentée qu’une esthéticienne ne se gêne cependant pas d’avoir des mains baladeuses qui s’immiscent assez souvent dans les parties les plus intimes des deux soumises allongées, notamment lors de l’épilation qui est terminée à la pince à épiler jusque dans l’intérieur des grandes lèvres et tout autour de l’anus. Thaïs se sent terriblement gênée et tout autant excitée par les intromissions diverses dans son intimité et les massages sensuels qui lui sont prodiguées sur tout le corps, mais surtout sur les fesses longuement massées pour adoucir la peau déjà marquée de plusieurs zébrures, les cuisses, l’intérieur des cuisses. Une pommade est appliquée jusque dans son intimité vaginale et anale, dont les effets ne tarde pas à se faire sentir, car Thaïs se met à lubrifier tandis que le désir de se caresser et de jouir la prend terriblement. Elle aurait bien aimé que les massages ne se terminent pas ainsi, aussi vite, à peine commencé, la laissant humide, excitée, gonflée de désir inassouvi, mais elle sait qu’il ne lui ait pas permis d’en espérer plus.

- Notre Maître va bien s’amuser à ce que je vois, Vous êtes de vraies petites chiennes en chaleur toutes les deux qui mouillent à peine on leur touche le corps et qu’on s’approche du sexe. Mais attention tantôt à ne pas jouir avant d’y avoir été autorisée, la sanction serait terrible pour toutes les deux si vous gâchiez le plaisir de Notre Maître…

(A suivre…..)

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