La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°299)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°299)
Suite de l'épisode précédent N°298 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –
Le Marquis d’Evans s’approche de Thaïs, ouvre le cadenas, défait la chaine qui lui enserrait la taille et qui retenait la ceinture en métal qui lui passant entre les cuisses la meurtrissait carrément à l’entrejambe. IL sort les deux godes des deux orifices et libère enfin Thaïs dont les parties intimes sont dégoulinantes de cyprine. La prenant par l’anneau de son collier, IL la tire jusque vers l’arrière d’un fauteuil qui se trouve à proximité. IL force Thaïs à se courber sur le dossier, tête vers l’avant posée sur l’assise du siège, lui écarte les jambes pour bien faire ressortir son sexe exposée et suintant. IL en profite pour fourrer ses doigts dans l’anus élargi par le gode, qu’il essuie sur les cuisses de la soumise exposée impudique. Et lui donnant une première tape sur les fesses, IL ajoute :
- Thaïs, Je pense que tu n’as pas mérité pour l’instant les caresses de ton Maître car je crois me souvenir que tu me dois un gage et je ne t’ai pas non plus offert ton cadeau. Tâche de ne pas bouger, tu vas peut-être sentir la morsure de la cravache sur tes fesses, mais je sais que ta sœur aimerait largement mieux être à ta place car la punition que je lui ai imposée va lui sembler beaucoup moins agréable, j’en ai la certitude.
Attendant le retour de Holly avec la cravache qu’elle porte dans ses mains et qu’elle présente en se courbant profondément devant le Châtelain, comme si l’instrument était posé sur un plateau en argent, le Marquis annonce :
- Holly, la cravache c’est pour toi. (Holly hoche la tête ne comprenant pas bien ce que son Maître veut dire puisque c’est à Thaïs qu’IL a fait prendre la position offrant sa croupe aux coups, bien qu’elle sache que son Maître ne cédera pas sur la punition qu’il doit lui imposer). C’est toi qui va devoir administrer les 5 premiers coups, à titre de gage supplémentaire pour Thaïs, mais je veux 5 coups très appuyés de ceux qui laissent une belle zébrure. Si tu fais semblant de taper, ou si tu ne frappes pas avec conviction, cela ne conviendra pas et tu recommenceras à zéro.
Holly n’a jamais tenu de cravache en mains de sa vie et jamais elle n’aurait pu imaginer qu’il lui faudrait frapper sa nouvelle sœur de soumission qui est justement punie par sa faute. Sa culpabilité la déborde, même si elle imagine que Thaïs pourrait prendre tout comme elle un certain plaisir à recevoir ces coups, s’ils étaient portés par le Maître Vénéré. Mais là, dans ces conditions, cela constitue pour elle une punition qu’elle reconnaît avoir mérité mais qui est bien plus dure à supporter que si c’était elle qui devait endurer les 5 coups de cravache sur les fesses. Sa main tremble, et elle ne sait pas du tout quelle force elle doit mettre pour satisfaire son Maître, pour ne pas faire durer le supplice avec des coups qui ne seraient pas validés, et à l’inverse pour ne pas frapper trop fort tant elle craint de martyriser carrément la pauvre soumise sous la violence de son bras. C’est donc un premier coup assez faible qui s’abat sur les fesses de Thaïs qui n’a pas bronché, mais à la place le Marquis a relevé l’insuffisance de l’impact.
- Nul, beaucoup trop faible. Holly, tu dois mettre plus d’énergie dans ta frappe. Ce sont des fesses sur une croupe d’une belle chienne plantureuse et résistante, pas un vase en porcelaine.
Holly prend son courage à deux mains, elle voudrait pouvoir demander pardon à Thaïs pour ce qu’elle lui fait subir, et frappe plus énergiquement cette fois. Rassurée d’avoir entendu le Marquis d’Evans prononcer 1, elle continue sur sa lancée jusqu’à 5, se disant qu’elle est vraiment faite pour être soumise et qu’elle ne comprend pas le plaisir parfois sadique que peut prendre Walter, le Majordome, lorsqu’il applique avec zèle tous les soirs les punitions collectées dans la journée par les esclaves du cheptel. Cette épreuve l’a vraiment remuée plus qu’elle ne l’aurait imaginé et elle ne peut s’empêcher de regarder les fesses zébrées de sa sœur Thaïs. Le Marquis d’Evans qui aime bien éprouver ses soumises pour s’assurer de leur soumission et renforcer aussi son pouvoir et sa Dominance regarde Holly dont le visage s’est décomposé.
- Holly, tu m’as l’air bien tourmenté par un petit jeu qui n’a sûrement pas dû déplaire tant que cela à ta sœur Thaïs. Ce n’était qu’un petit gage et j’ai été bien tendre avec toi dans ma sanction en ne t’imposant que 5 coups. Mais regarde comme tu l’as faite couler un peu plus, ses cuisses sont toutes collantes de cyprine dégoulinante. Et la belle chienne est loin d’être au bout du compte, car j’ai décidé pour fêter l’arrivée de Thaïs au Château et aussi notre association professionnelle de lui offrir un petit cadeau de bienvenue très personnel dont je veux qu’elle puisse se souvenir très longtemps et même avoir un peu de mal à s’asseoir pendant quelques jours. Après cette mise en bouche, c’est à moi que revient la tâche de marquer Ma soumise à ma guise. Holly, tu continueras à compter à ma place.
Le Marquis commence d’un geste régulier à abattre la cravache sur les fesses de Thaïs qui arbore au fil des minutes qui passent et des dizaines qui s’égrènent une couleur de plus en plus rouge foncée. Les coups ne sont pas portés très forts, mais la cadence rapprochée qui laisse peu de temps à Thaïs pour encaisser les différents impacts ont fini par avoir raison de sa résistance physique et de son endurance. Pour ne pas crier, elle se mord la lèvre qui a fini par saigner et ses larmes coulent sur ses joues, malgré le plaisir intense qui la ravage aussi de l’intérieur, mêlant douceur et douleur de ce sublime cadeau de son Maître Vénéré. Holly continue toujours à compter de dizaine en dizaine, « 10, 20, 30, 40 » se demandant quand leur Maître décidera de s’arrêter …. « 48, 49 » …. Le Marquis d’Evans reprend la parole pour annoncer :
- … et 50. C’est bien ma belle Thaïs, je suis très fier de toi, car tu as su accepter mon cadeau sans broncher avec délice pour ce doux supplice qui fait de toi à part entière une esclave digne de rester au Château et de rejoindre mon cheptel… Je sais que les larmes ont coulé de tes yeux, le fauteuil s’en remettra, car les larmes ne tâchent pas. Mais, j’ai surtout constaté qu’il y a maintenant une belle tâche sur ce parquet bicentenaire qui a coulé de ton entrecuisse, pas question qu’une auréole se forme, donc à quatre pattes, toutes les deux, tout de suite, petites femelles en chaleur. Vous avez intérêt à nettoyer cela sans tarder de vos belles langues de chienne mes toutes belles, et à me rejoindre, car j’ai quelque chose pour Vous qui ne demande plus qu’à sortir. Mes sens se sont échauffés en même temps que mon bras, à force de jouer au fouetteur de service. Ce n’est pas de tout repos d’être un Maître généreux qui aime faire de beaux cadeaux à Ses soumises, certains cinglants, d’autres plus jaillissants. Vous allez devoir maintenant apprendre à partager le dessert sucré que je vais vous offrir.
Le Marquis s’est installé confortablement sur un des canapés du salon, regardant ses deux soumises avancer jusqu’à lui à quatre pattes se déplaçant en ondulant d’une grâce animale, emplie toutes deux d’un désir sensuel érotisé et d’une appétence sexuelle évidente. Le Noble déboutonne son pantalon pour en sortir de son boxer sa verge déjà dressée. Puis il dévisage les deux chiennes tandis qu’elles s’approchent côte à côte, si différentes toutes les deux, Holly plus jeune, brune aux cheveux souples et longs et à la peau claire, Thaïs plus âgée, plantureuse et à la poitrine généreuse, blonde aux cheveux plus courts. Les deux soumises qui ne se connaissaient pas encore quelques heures auparavant se retrouvent affairées sur la même grosse verge déjà gonflée et dure du Marquis Edouard d’Evans, tandis que l’une prend le gland en bouche et le suce, l’autre lui lèche les couilles, les prenant tour à tour à pleine bouche pour les gober, et puis remontant pour sucer toute la hampe, forçant très fraternellement l’autre à lui céder la place pendant quelques instants pour inverser les rôles. Le Marquis d’Evans ronronne presque de quelques « ah » ou « C’est bon » qui encouragent les deux soumises à poursuivre leur léchage et leur fellation. Au bout d’un long moment empli de plaisirs si bandants, le Châtelain, arrivé au bord de la jouissance et s’écrie :
- Je vais jouir mes petites chienne-salopes après ce que Vous venez de me faire. Reculez-vous vite, bien à genoux en face de moi, votre bouche ouverte et la langue de chienne bien tirée.
Le Marquis attrape sa queue fermement et poussant d’un grand coup fait gicler, comme il l’aurait fait d’un tuyau d’arrosage, le jet de sa jouissance sur les visages et les langues de ses deux chiennes qu’IL marque de sa Noble semence dans un dernier râle profond et guttural. IL se redresse pour faire sortir le maximum de nectar de sa queue qu’IL presse jusqu’à la lie et secoue pour en déposer délicatement les dernières gouttes sur les deux langues sorties et tendues, avant de s’affaler sur le canapé le temps de se ressaisir et de reprendre ses esprits après une jouissance qui lui a apporté beaucoup de plaisir. Les deux soumises aux visages largement recouvert de sperme n’ont pas encore osé bouger ni refermer la bouche en rentrant la langue sur laquelle le nectar s’est accumulé. Le Marquis d’Evans se lève à nouveau pour attraper une petite cuillère dans le petit meuble bar qui se trouve à proximité. IL racle à plusieurs reprises le visage de Holly qui est encore recouvert de la blanche semence et lui insère la cuillère pleine dans la bouche la forçant à rentrer la langue, en même temps qu’IL lui précise très dignement :
- Savoure le précieux nectar de ton Vénéré Maître, car il n’est pas question d’en perdre la moindre goutte. Prends le temps de le garder en bouche avant de déglutir pour bien t’imprégner de ce que je viens de t’offrir que je ne distribue qu’avec parcimonie à ceux et celles qui me sont les plus dévoués et les plus méritants. C’est donc un honneur dont tu dois avoir pleinement conscience.
Le Marquis d’Evans recommence le même manège avec Thaïs.
- Ce soir, Vous n’aurez rien d’autre à manger, juste de l’eau à boire à satiété, car je veux que Vous gardiez le goût de mon sperme en bouche, et puis je Vous ai personnellement nourrie toutes les deux d’un plat qui vaut largement toutes les bouillies de Marie, notre cuisinière, sans que cela ne remette en cause ses talents de maitre-queux…
Le Marquis s’arrête un instant de parler, les observe un moment avec attention et reprend :
- Je dois partir pour plusieurs jours pour mes affaires. Je veux avant cela Vous offrir à toutes les deux qui me servez si bien, un petit plaisir jouissif. Vous allez commencer par Vous lécher le visage l’une après l’autre, puis les lèvres, mêlant vos langues, vos salives et ce qu’il reste de ma semence.
Le Marquis excité par les baisers échangés entre les deux femelles ne peut s’empêcher de se mêler à elle deux, dans un baiser pluriel de bouches et de langues entremêlées. Thaïs n’avait jamais été porté sur les plaisirs saphiques qui, avant de devenir la soumise de son Maître Vénéré, n’avait jamais fait partie de sa vie de femme libre. Mais elle est prête à tout pour satisfaire celui à qui elle appartient et elle a surtout appris à faire tout ce qu’IL exige d’elle, le bon et le moins bon, le doux et le dur, le plaisant et le déplaisant, lui ayant fait don de sa vie, son âme, son corps, ses désirs et ses plaisirs. Elle laisse tout naturellement le Marquis bouger et pivoter à sa guise son corps qui se retrouve en 69 aux côtés de Holly. Elle comprend qu’elle doit lui lécher les parties intimes et le clitoris quand elle ressent la main de son Maître qui pousse sur sa tête pour la positionner face à la chatte glabre qu’elle découvre de sa nouvelle sœur de soumission, tout en même temps qu’IL contraint Holly à s’engouffrer entre les cuisses de Thaïs à la recherche de son bouton d’amour. Ne relâchant la pression qu’IL exerce sur les deux crânes que pour leur permettre à l’une comme à l’autre de respirer, le Maître mène de ses deux mains, appuyées avec fermeté, la suite de la partie de plaisirs charnels qui le fascine de voir les corps de ses deux femmes qui commencent sous les caresses buccales à se tordre, à onduler et à frémir.
- Vous me servez bien toutes les deux. Alors je vous donne le droit de jouir autant l’une que l’autre (ajoute le Maître d’une voix tendre presque aimante, libérant également la maîtrise qu’IL leur avait imposé jusque là poussant sur leur deux têtes)
Il n’en faut pas beaucoup plus pour que les deux femelles partent presque aussitôt dans un orgasme bruyant, chacune haletant et criant sous les coups de langue de l’autre, prenant presque autant de plaisir à lécher qu’à être léchée. Ce n’est que lorsque les jets de Thaïs, qui est une femme fontaine, se mettent à inonder le visage de Holly que celle-ci a un sentiment de dégout et un geste de recul car c’est une sensation nouvelle pour elle, et elle a l’impression que Thaïs lui pisse dessus, ce qui la choque profondément. Le Maître qui regarde la scène avec délectation ajoute :
- Ma belle Holly, tu ne crains rien. Ta sœur est une fontaine et c’est peu de le dire. Tu peux largement aller boire à la source car le liquide translucide qu’elle produit est plus que délicieux, sauf qu’en général, elle a tendance à tâcher tous les parquets qu’il faut ensuite remettre en état…. Bien, je dois maintenant y aller et vous laisser, mes affaires m’appellent… Vous nettoyez tout le plus proprement possible, cela donnera encore un peu de travail à vos petites langues, si habiles à donner du plaisir… Walter va vous ramener d’ici peu dans vos cachots respectifs pour la nuit. Et sachez que je suis fier de Mes deux petites chiennes…
(A suivre…..)
Le Marquis d’Evans s’approche de Thaïs, ouvre le cadenas, défait la chaine qui lui enserrait la taille et qui retenait la ceinture en métal qui lui passant entre les cuisses la meurtrissait carrément à l’entrejambe. IL sort les deux godes des deux orifices et libère enfin Thaïs dont les parties intimes sont dégoulinantes de cyprine. La prenant par l’anneau de son collier, IL la tire jusque vers l’arrière d’un fauteuil qui se trouve à proximité. IL force Thaïs à se courber sur le dossier, tête vers l’avant posée sur l’assise du siège, lui écarte les jambes pour bien faire ressortir son sexe exposée et suintant. IL en profite pour fourrer ses doigts dans l’anus élargi par le gode, qu’il essuie sur les cuisses de la soumise exposée impudique. Et lui donnant une première tape sur les fesses, IL ajoute :
- Thaïs, Je pense que tu n’as pas mérité pour l’instant les caresses de ton Maître car je crois me souvenir que tu me dois un gage et je ne t’ai pas non plus offert ton cadeau. Tâche de ne pas bouger, tu vas peut-être sentir la morsure de la cravache sur tes fesses, mais je sais que ta sœur aimerait largement mieux être à ta place car la punition que je lui ai imposée va lui sembler beaucoup moins agréable, j’en ai la certitude.
Attendant le retour de Holly avec la cravache qu’elle porte dans ses mains et qu’elle présente en se courbant profondément devant le Châtelain, comme si l’instrument était posé sur un plateau en argent, le Marquis annonce :
- Holly, la cravache c’est pour toi. (Holly hoche la tête ne comprenant pas bien ce que son Maître veut dire puisque c’est à Thaïs qu’IL a fait prendre la position offrant sa croupe aux coups, bien qu’elle sache que son Maître ne cédera pas sur la punition qu’il doit lui imposer). C’est toi qui va devoir administrer les 5 premiers coups, à titre de gage supplémentaire pour Thaïs, mais je veux 5 coups très appuyés de ceux qui laissent une belle zébrure. Si tu fais semblant de taper, ou si tu ne frappes pas avec conviction, cela ne conviendra pas et tu recommenceras à zéro.
Holly n’a jamais tenu de cravache en mains de sa vie et jamais elle n’aurait pu imaginer qu’il lui faudrait frapper sa nouvelle sœur de soumission qui est justement punie par sa faute. Sa culpabilité la déborde, même si elle imagine que Thaïs pourrait prendre tout comme elle un certain plaisir à recevoir ces coups, s’ils étaient portés par le Maître Vénéré. Mais là, dans ces conditions, cela constitue pour elle une punition qu’elle reconnaît avoir mérité mais qui est bien plus dure à supporter que si c’était elle qui devait endurer les 5 coups de cravache sur les fesses. Sa main tremble, et elle ne sait pas du tout quelle force elle doit mettre pour satisfaire son Maître, pour ne pas faire durer le supplice avec des coups qui ne seraient pas validés, et à l’inverse pour ne pas frapper trop fort tant elle craint de martyriser carrément la pauvre soumise sous la violence de son bras. C’est donc un premier coup assez faible qui s’abat sur les fesses de Thaïs qui n’a pas bronché, mais à la place le Marquis a relevé l’insuffisance de l’impact.
- Nul, beaucoup trop faible. Holly, tu dois mettre plus d’énergie dans ta frappe. Ce sont des fesses sur une croupe d’une belle chienne plantureuse et résistante, pas un vase en porcelaine.
Holly prend son courage à deux mains, elle voudrait pouvoir demander pardon à Thaïs pour ce qu’elle lui fait subir, et frappe plus énergiquement cette fois. Rassurée d’avoir entendu le Marquis d’Evans prononcer 1, elle continue sur sa lancée jusqu’à 5, se disant qu’elle est vraiment faite pour être soumise et qu’elle ne comprend pas le plaisir parfois sadique que peut prendre Walter, le Majordome, lorsqu’il applique avec zèle tous les soirs les punitions collectées dans la journée par les esclaves du cheptel. Cette épreuve l’a vraiment remuée plus qu’elle ne l’aurait imaginé et elle ne peut s’empêcher de regarder les fesses zébrées de sa sœur Thaïs. Le Marquis d’Evans qui aime bien éprouver ses soumises pour s’assurer de leur soumission et renforcer aussi son pouvoir et sa Dominance regarde Holly dont le visage s’est décomposé.
- Holly, tu m’as l’air bien tourmenté par un petit jeu qui n’a sûrement pas dû déplaire tant que cela à ta sœur Thaïs. Ce n’était qu’un petit gage et j’ai été bien tendre avec toi dans ma sanction en ne t’imposant que 5 coups. Mais regarde comme tu l’as faite couler un peu plus, ses cuisses sont toutes collantes de cyprine dégoulinante. Et la belle chienne est loin d’être au bout du compte, car j’ai décidé pour fêter l’arrivée de Thaïs au Château et aussi notre association professionnelle de lui offrir un petit cadeau de bienvenue très personnel dont je veux qu’elle puisse se souvenir très longtemps et même avoir un peu de mal à s’asseoir pendant quelques jours. Après cette mise en bouche, c’est à moi que revient la tâche de marquer Ma soumise à ma guise. Holly, tu continueras à compter à ma place.
Le Marquis commence d’un geste régulier à abattre la cravache sur les fesses de Thaïs qui arbore au fil des minutes qui passent et des dizaines qui s’égrènent une couleur de plus en plus rouge foncée. Les coups ne sont pas portés très forts, mais la cadence rapprochée qui laisse peu de temps à Thaïs pour encaisser les différents impacts ont fini par avoir raison de sa résistance physique et de son endurance. Pour ne pas crier, elle se mord la lèvre qui a fini par saigner et ses larmes coulent sur ses joues, malgré le plaisir intense qui la ravage aussi de l’intérieur, mêlant douceur et douleur de ce sublime cadeau de son Maître Vénéré. Holly continue toujours à compter de dizaine en dizaine, « 10, 20, 30, 40 » se demandant quand leur Maître décidera de s’arrêter …. « 48, 49 » …. Le Marquis d’Evans reprend la parole pour annoncer :
- … et 50. C’est bien ma belle Thaïs, je suis très fier de toi, car tu as su accepter mon cadeau sans broncher avec délice pour ce doux supplice qui fait de toi à part entière une esclave digne de rester au Château et de rejoindre mon cheptel… Je sais que les larmes ont coulé de tes yeux, le fauteuil s’en remettra, car les larmes ne tâchent pas. Mais, j’ai surtout constaté qu’il y a maintenant une belle tâche sur ce parquet bicentenaire qui a coulé de ton entrecuisse, pas question qu’une auréole se forme, donc à quatre pattes, toutes les deux, tout de suite, petites femelles en chaleur. Vous avez intérêt à nettoyer cela sans tarder de vos belles langues de chienne mes toutes belles, et à me rejoindre, car j’ai quelque chose pour Vous qui ne demande plus qu’à sortir. Mes sens se sont échauffés en même temps que mon bras, à force de jouer au fouetteur de service. Ce n’est pas de tout repos d’être un Maître généreux qui aime faire de beaux cadeaux à Ses soumises, certains cinglants, d’autres plus jaillissants. Vous allez devoir maintenant apprendre à partager le dessert sucré que je vais vous offrir.
Le Marquis s’est installé confortablement sur un des canapés du salon, regardant ses deux soumises avancer jusqu’à lui à quatre pattes se déplaçant en ondulant d’une grâce animale, emplie toutes deux d’un désir sensuel érotisé et d’une appétence sexuelle évidente. Le Noble déboutonne son pantalon pour en sortir de son boxer sa verge déjà dressée. Puis il dévisage les deux chiennes tandis qu’elles s’approchent côte à côte, si différentes toutes les deux, Holly plus jeune, brune aux cheveux souples et longs et à la peau claire, Thaïs plus âgée, plantureuse et à la poitrine généreuse, blonde aux cheveux plus courts. Les deux soumises qui ne se connaissaient pas encore quelques heures auparavant se retrouvent affairées sur la même grosse verge déjà gonflée et dure du Marquis Edouard d’Evans, tandis que l’une prend le gland en bouche et le suce, l’autre lui lèche les couilles, les prenant tour à tour à pleine bouche pour les gober, et puis remontant pour sucer toute la hampe, forçant très fraternellement l’autre à lui céder la place pendant quelques instants pour inverser les rôles. Le Marquis d’Evans ronronne presque de quelques « ah » ou « C’est bon » qui encouragent les deux soumises à poursuivre leur léchage et leur fellation. Au bout d’un long moment empli de plaisirs si bandants, le Châtelain, arrivé au bord de la jouissance et s’écrie :
- Je vais jouir mes petites chienne-salopes après ce que Vous venez de me faire. Reculez-vous vite, bien à genoux en face de moi, votre bouche ouverte et la langue de chienne bien tirée.
Le Marquis attrape sa queue fermement et poussant d’un grand coup fait gicler, comme il l’aurait fait d’un tuyau d’arrosage, le jet de sa jouissance sur les visages et les langues de ses deux chiennes qu’IL marque de sa Noble semence dans un dernier râle profond et guttural. IL se redresse pour faire sortir le maximum de nectar de sa queue qu’IL presse jusqu’à la lie et secoue pour en déposer délicatement les dernières gouttes sur les deux langues sorties et tendues, avant de s’affaler sur le canapé le temps de se ressaisir et de reprendre ses esprits après une jouissance qui lui a apporté beaucoup de plaisir. Les deux soumises aux visages largement recouvert de sperme n’ont pas encore osé bouger ni refermer la bouche en rentrant la langue sur laquelle le nectar s’est accumulé. Le Marquis d’Evans se lève à nouveau pour attraper une petite cuillère dans le petit meuble bar qui se trouve à proximité. IL racle à plusieurs reprises le visage de Holly qui est encore recouvert de la blanche semence et lui insère la cuillère pleine dans la bouche la forçant à rentrer la langue, en même temps qu’IL lui précise très dignement :
- Savoure le précieux nectar de ton Vénéré Maître, car il n’est pas question d’en perdre la moindre goutte. Prends le temps de le garder en bouche avant de déglutir pour bien t’imprégner de ce que je viens de t’offrir que je ne distribue qu’avec parcimonie à ceux et celles qui me sont les plus dévoués et les plus méritants. C’est donc un honneur dont tu dois avoir pleinement conscience.
Le Marquis d’Evans recommence le même manège avec Thaïs.
- Ce soir, Vous n’aurez rien d’autre à manger, juste de l’eau à boire à satiété, car je veux que Vous gardiez le goût de mon sperme en bouche, et puis je Vous ai personnellement nourrie toutes les deux d’un plat qui vaut largement toutes les bouillies de Marie, notre cuisinière, sans que cela ne remette en cause ses talents de maitre-queux…
Le Marquis s’arrête un instant de parler, les observe un moment avec attention et reprend :
- Je dois partir pour plusieurs jours pour mes affaires. Je veux avant cela Vous offrir à toutes les deux qui me servez si bien, un petit plaisir jouissif. Vous allez commencer par Vous lécher le visage l’une après l’autre, puis les lèvres, mêlant vos langues, vos salives et ce qu’il reste de ma semence.
Le Marquis excité par les baisers échangés entre les deux femelles ne peut s’empêcher de se mêler à elle deux, dans un baiser pluriel de bouches et de langues entremêlées. Thaïs n’avait jamais été porté sur les plaisirs saphiques qui, avant de devenir la soumise de son Maître Vénéré, n’avait jamais fait partie de sa vie de femme libre. Mais elle est prête à tout pour satisfaire celui à qui elle appartient et elle a surtout appris à faire tout ce qu’IL exige d’elle, le bon et le moins bon, le doux et le dur, le plaisant et le déplaisant, lui ayant fait don de sa vie, son âme, son corps, ses désirs et ses plaisirs. Elle laisse tout naturellement le Marquis bouger et pivoter à sa guise son corps qui se retrouve en 69 aux côtés de Holly. Elle comprend qu’elle doit lui lécher les parties intimes et le clitoris quand elle ressent la main de son Maître qui pousse sur sa tête pour la positionner face à la chatte glabre qu’elle découvre de sa nouvelle sœur de soumission, tout en même temps qu’IL contraint Holly à s’engouffrer entre les cuisses de Thaïs à la recherche de son bouton d’amour. Ne relâchant la pression qu’IL exerce sur les deux crânes que pour leur permettre à l’une comme à l’autre de respirer, le Maître mène de ses deux mains, appuyées avec fermeté, la suite de la partie de plaisirs charnels qui le fascine de voir les corps de ses deux femmes qui commencent sous les caresses buccales à se tordre, à onduler et à frémir.
- Vous me servez bien toutes les deux. Alors je vous donne le droit de jouir autant l’une que l’autre (ajoute le Maître d’une voix tendre presque aimante, libérant également la maîtrise qu’IL leur avait imposé jusque là poussant sur leur deux têtes)
Il n’en faut pas beaucoup plus pour que les deux femelles partent presque aussitôt dans un orgasme bruyant, chacune haletant et criant sous les coups de langue de l’autre, prenant presque autant de plaisir à lécher qu’à être léchée. Ce n’est que lorsque les jets de Thaïs, qui est une femme fontaine, se mettent à inonder le visage de Holly que celle-ci a un sentiment de dégout et un geste de recul car c’est une sensation nouvelle pour elle, et elle a l’impression que Thaïs lui pisse dessus, ce qui la choque profondément. Le Maître qui regarde la scène avec délectation ajoute :
- Ma belle Holly, tu ne crains rien. Ta sœur est une fontaine et c’est peu de le dire. Tu peux largement aller boire à la source car le liquide translucide qu’elle produit est plus que délicieux, sauf qu’en général, elle a tendance à tâcher tous les parquets qu’il faut ensuite remettre en état…. Bien, je dois maintenant y aller et vous laisser, mes affaires m’appellent… Vous nettoyez tout le plus proprement possible, cela donnera encore un peu de travail à vos petites langues, si habiles à donner du plaisir… Walter va vous ramener d’ici peu dans vos cachots respectifs pour la nuit. Et sachez que je suis fier de Mes deux petites chiennes…
(A suivre…..)
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