La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 402)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 402) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 402)
Vanessa au Château - (Suite de l'épisode N°398) -

Vanessa dort si bien qu’elle n’entend pas la porte grincer lorsqu’on entre pour venir la chercher. Une main se pose délicatement sur son épaule, elle sursaute et lève les yeux par réflexe sur le Majordome qui vient la réveiller. En le voyant, elle baisse immédiatement son regard.

- Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses Monsieur, je ne voulais pas vous manquer de respect, bredouille-t-elle, le souvenir de la badine encore bien ancré dans son esprit.
- J’accepte tes excuses répond Walter en souriant et bien conscient que son geste tenait plus du réflexe que de la rébellion. Bien, lève-toi, il est 16h, c’est le moment de te préparer pour la soirée de Monsieur le Marquis.

Vanessa obtempère et se présente devant lui, nue, debout, les bras dans le dos. Il la prend par un bras pour la mener vers la large table sur laquelle il a, quelques heures plutôt, fait subir une cuisante sanction à la jeune femme.

- Monte, mets-toi à quatre pattes et écartes tes jambes, fessier relevé afin de me présenter ton cul convenablement.

La jeune femme se met en position sur la table, le dos bien cambrée pour offrir au Majordome la vision de son fondement toujours plugué. Il retire l’objet, puis sans dire un mot le présente entre ses lèvres, Vanessa comprend qu’elle doit le nettoyer. De sa langue, elle en parcourt tous les recoins, puis le prend en bouche pour le sucer telle une verge. Intérieurement, elle remercie l’homme d’avoir effectué consciencieusement le lavement quelques heures plus tôt, car l’objet est très propre. Lorsqu’il juge que cela suffit, Walter se dirige vers le placard, range le plug et se saisit d’un autre légèrement plus petit muni d’une longue queue en son extrémité. Il revient vers la jeune femme et l’introduit dans son fondement sans grande difficulté. Puis le Majordome lui passe son collier et y accroche la laisse avant de lui intimer l’ordre de descendre. Vanessa est à quatre pattes, prête à suivre le Domestique. Sans dire un mot, ils arpentent les couloirs, Walter marche doucement pour laisser le temps à la jeune femme de le suivre, puis ils arrivent devant une large porte de bois massif. Au son qui s’en dégage elle comprend qu’on s’active derrière la porte et que ce doit être les cuisines du château. Avant d’avancer plus, Walter lui rappelle quelques règles.

- Bien, tu vas pouvoir manger pour prendre des forces, surtout ne fais aucune erreur, Marie, la cuisinière attitrée règne en ces lieux en chef absolue. Elle aime sanctionner, et elle en use largement. Certains disent qu’elle est sadique et qu’elle est encore plus sévère que le Maître à qui elle est son deuxième bras droit… comme moi ! Alors fais très attention, elle pourrait bien te punir pour ce qui te paraîtrait anodin comme attitude est qui serait punissable pour elle. Ton Maître te trouve suffisamment marquée pour ce soir, il est donc nécessaire que tu ne fasses pas de fautes pour ne pas l’être d’avantage, afin de ne pas le décevoir. Lorsque tu auras fini de manger tu seras conduite pour être préparée.

La jeune femme enregistre ces paroles et hoche la tête pour signifier qu’elle a compris. Ils entrent donc dans les cuisines, Vanessa n’ose pas lever les yeux mais ressent qu’on travaille vite dans le silence, sous la surveillance accrue de la chef cuisinière.

- Marie, voici la nouvelle chienne de Monsieur Le Marquis, Il veut qu’elle se restaure avant la soirée.
- Parfait Walter, je m’en occupe, dit-elle en prenant la laisse en main.

Walter se retire, laissant la jeune femme seule aux mains de la cuisinière. Elle craint cette femme, elle ressent sa perversité et ne doute pas qu’elle ne perdra pas un instant pour l’humilier.

- Enfin, tu as retrouvé ta véritable place, voilà qui est parfait, il me tardait de te voir sous ton véritable jour, dit-elle d’une voix pleine de promesses. As-tu faim interroge-t-elle d’un ton moqueur.
- Oui, ose timidement Vanessa.

Sans perdre une seconde Marie se saisit d’une large spatule de bois et la fait claquer sur la fesse droite de la jeune femme.

- Oui qui ? grogne-t-elle.
- Oui Madame Marie, s’empresse de rectifier la jeune femme.

Marie sourit, elle sait qu’elle appréciera de sévir cette nouvelle soumise, qui a bénéficié à ses yeux de beaucoup trop de faveurs de la part du Maître, et il lui tarde de pouvoir le faire. Sans dire un mot, elle tire sur la laisse, la dirige vers un coin de la grande cuisine qui fait guise de réfectoire, accroche la dragonne de la laisse à un anneau dans le mur et s’éloigne. Puis elle revient avec deux gamelles, une remplie d’eau et l’autre d’une sorte de bouillie qui n’inspire pas la jeune femme.

- Voilà ce que mange les chiennes en ces lieux, et ne laisse rien, je déteste que l’on gâche la nourriture.

Elle se retire juste après lui avoir donné une forte claque sur les fesses pour bien marquer on autorité et laissant la jeune femme devant la gamelle qui commence par laper à quatre pattes un peu d’eau pour se désaltérer. Vanessa se rend compte qu'il n'est pas aisé de se désaltérer, elle a très soif, mais ne peut prendre avec sa langue que de petite quantité d'eau. Sa soif étanchée, elle tourne la tête vers la deuxième gamelle, et consciente qu'il ne faut pas qu'elle tarde si elle ne veut pas attirer l'attention de la cuisinière perverse, elle trempe sa langue dans la bouillie d'un aspect verdâtre. A sa grande surprise, le goût n'est pas désagréable, elle y reconnait de la viande hachée avec certainement des pommes de terres et des épinards, c’est même d’un goût succulent. Finalement, tous ce qu'il faut pour se rassasier, et tenir la soirée qui s'annonce. Elle comprend que malgré l'humiliation de manger à même le sol comme une vulgaire chienne, les repas sont équilibrés et adaptés à la dépense énergétique de sa condition. Une fois la gamelle terminée, elle boit encore un peu et patiente. Elle ne sait pas si elle doit signifier qu'elle a terminé, mais elle craint tellement Marie qu'elle n'ose pas bouger. Elle attend à quatre pattes la tête au-dessus des deux gamelles qu'on daigne s'intéresser à elle. Soudain, elle sent un instrument s'abattre sur ses fesses, elle ne sait de quoi il s'agit.

- Eh bien on ne t'a pas enseigné la position d'attente ?, accuse Marie.

Aussitôt elle se met à genoux, les mains dans le dos, buste droit et le regard toujours au sol et patiente, espérant ne pas attiser la colère de la cuisinière.
- Voilà c'est beaucoup mieux, tu as besoin d'être dressée, ne t'inquiètes pas, je m'en occuperai à chaque fois que tu seras en ces lieux.

Puis, sans apporter plus d'attention à la jeune femme, Marie siffle un esclave MDE qui s'afférait à la plonge. Le jeune homme s'approche de Vanessa, prend la laisse et l'amène derrière lui à quitter les cuisines. Il avance sans dire un mot et la tête baissée, faisant attention à ne pas marcher trop vite. Il porte une cage de chasteté. La jeune femme voudrait lui parler pour faire connaissance et savoir qui il est, mais elle sent bien dans son silence de religieux qu'il ne doit pas prononcer une seule parole, et elle se retient donc, le suivant sans vraiment réfléchir. Ils arrivent dans une des chambres du Château, le soumis MDE s'agenouille devant Vanessa toujours à quatre pattes et délicatement lui retire son collier pour le poser sur une petite commode à côté.

- Tu dois te laver dans la salle de bain à côté, il y a tous les produits nécessaires, ensuite tu devras attendre à genoux devant le miroir de la coiffeuse, on viendra te préparer. Tu as seulement quinze minutes, ça ira ? s'inquiète-t-il espérant ne pas avoir fait perdre trop de temps à la jeune femme en la menant en ces lieux.
- Oui, sourit Vanessa qui a l'habitude des douches très courtes, parfois même écourtées par son bip de pompier.

Sans ajouter un mot, il se retire, Vanessa ne sachant pas trop si elle peut se relever, décide de se diriger à quatre pattes jusqu'à la salle de bain, elle entre dans la douche, se redresse et ouvre le robinet. L'eau chaude n'arrive pas, elle comprend qu'il ne lui ait pas permis d'en bénéficier et se douche donc à l'eau froide. Ses cheveux et son corps lavés, elle quitte la douche et se saisit d'une serviette pour se sécher. Puis ayant encore du temps, elle décide d'utiliser le sèche-cheveux posé sur le petit meuble pour s'avancer dans sa préparation. La chaleur de l'appareil la réchauffe et elle apprécie ce contraste avec l'eau froide de la douche. Les quinze minutes sont passées, elle est sèche, nue, à genoux devant la coiffeuse, les mains dans le dos, le regard rivé sur le sol et elle attend. Avec la précision d'un horloger, une jeune soumise MDE passe la porte, la tête baissée, elle pose une valisette sur la coiffeuse et s'agenouille devant Vanessa. Elle se saisit d'un petit pot de crème et fait le tour de son corps, l'appliquant sur chacune des marques laissées par Walter. Elle insiste sur les fesses que la badine a sévèrement marquées, Monsieur Le Marquis a demandé à ce que ces marques soient atténuées mais la tâche s'avère compliquée. D'ailleurs la jeune soumise MDE s'interroge à propos de cette demande, en général Le Maître aime montrer les marques sur le corps de ses soumis et soumises, il aime même les regarder telle une œuvre d'art, alors pourquoi cacher celle-ci... Mais elle ne cherche pas à comprendre, elle masse consciencieusement le fessier de Vanessa avant de décider d'utiliser un maquillage pour atténuer ce que la crème ne peut faire disparaitre.

L’esclave femelle MDE continue en maquillant les tétons de Vanessa d'un brun sombre, la jeune femme s'étonne qu'on lui maquille ainsi la poitrine, elle ne pensait pas que cette pratique pouvait exister. Mais il est vrai, se dit-elle qu'elle a rarement l'occasion de montrer sa poitrine en dehors de certaines visites médicales. Enfin la jeune soumise MDE s'attarde sur le maquillage de son visage et sa coiffure. Puis sans dire un mot, ni orienter Vanessa sur ce qu'elle doit faire, la soumise MDE quitte la pièce, toujours en baissant la tête et laissant la jeune femme nue, apprêtée, toujours à genoux et les mains dans le dos. Dans le doute, elle n'ose bouger, mais lève les yeux sur le tic-tac de l'horloge qu'elle entend pour s'apercevoir qu'il est déjà 18h. Elle se doute que la soirée va bientôt commencer et alors qu'elle ne s'était pas trop inquiétée de savoir si elle sera à la hauteur des attentes de son Maître, Vanessa commence à s'interroger sur cet ami qui lui est si cher, et sur ce qu'elle devra faire pour lui plaire. Après de longues minutes rythmées par la lourde horloge de la chambre, Walter fait son apparition, il s'approche de Vanessa et lui pose le masque qu'elle a porté lors des dernières soirées chez son Maître.

- Bien, tu auras compris, le Maître souhaite dévoiler ton visage seulement plus tard dans la soirée, donc aucune gaffe, aucun son, tu ne parleras que lorsqu'il t'en donnera l'ordre, en attendant tu répondras aux questions par un signe de tête. Il souhaite aussi te présenter sans laisse ni collier, tu vas donc devoir marcher aux pieds sans attaches, Il pense que tu es suffisamment dressée pour ça. Monsieur le Marquis dévoilera ton visage dans son salon privé au moment du thé après le repas. Cependant, Il souhaite te laisser une dernière chance de renoncer à ta condition, si tu ne souhaites pas être dévoilée, il te suffira de ne pas Le suivre lorsqu’Il quittera la table, alors tu resteras à genoux, je viendrais te chercher, je te rendrais tes habits et tu pourras quitter à tout jamais le Château.

Vanessa s’étonne de cette proposition, elle pensait avoir prouvé qu’elle souhaitait réellement sa condition, elle pensait avoir prouvé qu’elle en était digne, et elle est déçue et même frustrée que son Maître puisse penser autrement.

- As-tu bien tout compris ?

Sans dire un mot comme on le lui a ordonné, la jeune femme hoche la tête puis attend les yeux toujours rivés au sol le bon vouloir du Majordome. Il passe un doigt dans ses chairs intimes, la découvre encore une fois très humide, sourit, puis se relève et tape sur sa propre cuisse. Vanessa comprend que c’est le signal pour qu’elle le suive, elle se met à quatre pattes, dévoilant sa croupe toujours ornée de la queue sortant du plug et le suit ses épaules à hauteur du genou gauche du Majordome, telle une chienne parfaitement dressée. Ils arrivent devant la porte du salon privé du Maître des lieux, Walter frappe à la porte et y pénètre à la réponse ‘’Entrez’’ du Noble.

- Monsieur le Marquis, voici Votre chienne préparée comme Vous l’avez ordonné.
- Bien, bien, parfait Walter, dit-il tout en claquant des doigts.

Vanessa comprend immédiatement et quitte les pieds du Majordome pour se présenter à la gauche du Marquis, toujours à quatre pattes. Il caresse légèrement sa croupe puis la délaisse pour continuer sa conversation avec son Majordome.

- Bien, autre chose ?
- Oui Monsieur le Marquis, Votre ami a appelé, il va avoir un peu de retard, son travail l’a retenu, Il souhaitait s’en excuser d’avance.
- Aucun problème, tu le feras venir directement ici lorsqu’il sera arrivé.
- Bien Monsieur le Marquis.

Le Majordome se retire laissant Vanessa toujours à quatre pattes à côté du fauteuil de son Maître. Le feu d’une grosse bûche crépite doucement dans la grande cheminée qui réchauffe convenablement la petite pièce, la jeune femme ressent la chaleur des flammes qu’elle apprécie grandement. Mais en dehors de ce crépitement, le silence est grand, et elle se demande combien de temps son Maître la laissera ainsi avant de daigner s’occuper d’elle. Il ne dit rien, l’ignore parfaitement, son esprit plongé dans un livre qu’il tient de la main droite, utilisant sa main gauche de temps en temps pour tourner les pages. Il semble absorbé par Sa lecture et Vanessa qui espérait obtenir quelques attentions de Sa part sent la déception monter. Mais paradoxalement cette déception l’excite, et elle ressent avec honte la chaleur envahir son bas ventre. Soudain le silence est brisé par le bruit du Majordome qui frappe de nouveau à la porte.

- Oui, répond simplement le Marquis.
- Monsieur le Marquis, Votre Invité est arrivé, annonce Walter laissant l’homme entrer tout en se retirant…

(A suivre…)

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