La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 434)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 434)
Histoire écrite par Reinhold - Chapitre 1 : Un visiteur de marque au Club Libertin –
La nuit était déjà bien avancée quand, sous les réverbères, une fine pluie tombait sur le pavé parisien dans le quartier huppé de ce Club Libertin. Depuis ces débuts et aujourd'hui encore, le vendredi soir est un grand soir pour les clients de marque, des orgies à thème sont fréquemment organisées. Les habitués en sont friands et nombreux. Alors que le seul étage aménagé, l'étage de Carreau se remplissait, une employée sort de l'ascenseur et entre dans l'étage de Pique, la salle privée, composée de deux vastes salons et d'un petit hall, permettant d'accéder à la salle de la Gourmandise puis à celle de la Luxure. Dans celle de la Gourmandise, Reinhold, propriétaire et gérant du Club s'apprêtait à déclamer son speech d'ouverture, reprenant sa respiration afin d’éclaircir sa voix, stoppa subitement en poussant un long soupir quand l'intérimaire se permit de l’interpeller, une carte de visite en main :
-Patron, excusez-moi, mais un homme accompagné d'une femme est devant la porte, il demande l'hospitalité au Maître des lieux, je les ai juste fait entrer dans le hall, je fais quoi ? Voici sa carte…
Le Maître des lieux prend et lit la carte, d’abord surpris il marque un silence et visiblement agréablement étonné relit encore une fois les yeux grands ouverts, puis se tourne vers son oratoire, et s’exclame un large sourire aux lèvres :
- Mesdames, Messieurs, heureusement aujourd'hui, le thème est "Elégance", et pas "Nudité" comme la semaine dernière… Nous avons un visiteur de grande réputation et je suis déjà très honoré de sa visite… Je vais de ce pas l’accueillir avec le plus grand soin…
Il continue pour l'employée :
-Prépares la chambre d'amis, au cas où il daignerait rester pour la nuit et rajoutes deux couverts, mais tu mets ceux en argent, ceux qu’on sort quand le ministre ou le député viennent discrètement chez nous.
Reinhold se dirige dans l'ascenseur central pour rejoindre au plus vite le hall d’entrée. Visiblement impressionné, le patron salut poliment le visiteur :
- Je… Heu … Bonjour Monsieur Le Marquis ... Je suis très honoré de votre présence… Je ne m’attendais pas à vous voir ici… mais soyez-vraiment le bienvenu… Votre grande réputation vous a précédée depuis longtemps…
Le Marquis en question, est assez grand, 1m78, la cinquantaine dépassée et habillé avec grand soin élégamment. Son charisme impressionnait naturellement… Il allait plaire aux femmes du dîner, pensait Reinhold. Le Noble lui sourit et répondit aimablement :
- Bonjour Monsieur… Oui depuis longtemps, Mon vieil ami, Monsieur De Verdier, le Ministre, me parle souvent de votre Club et me conseille de venir vous rendre une petite visite, m’affirmant que le meilleur accueil me serait réservé... Et me trouvant actuellement sur Paris pour affaires, j’ai pensé, pour cette nuit joindre l’utile à l’agréable, alors me voici ! :
- Mais vous avez très bien fait, Monsieur le Marquis… C’est un véritable honneur pour nous …Et comment s'appelle votre suivante ?
-Appelez-la e1417MDE, ne vous gênez pas, ‘e’ comme esclave, 1417 c’est son matricule. Et comme tous mes esclaves, elle a le privilège de porter en fin d’appellation Mes Nobles Initiales : MDE.
e1417MDE portait un imperméable long, une paire d'escarpins, et un sac en cuir tenu fermement entre ses deux mains qu'elle ne quittait pas du regard, regard de toute façon cachée par ses longs cheveux noirs et sa tête baissée. On devinait aisément sous le col de son imper, un épais collier de métal forgé fermement cadenassé.
- Dans ce cas, Monsieur le Marquis et vous e1417MDE, voulez-vous manger ?
- e1417MDE a déjà mangé sa pitance, mais moi, j'accepte avec plaisir et je vous en remercie par avance.
- C’est moi qui vous remercie de votre honorable visite… Suivez-moi Monsieur le Marquis, si vous voulez bien, c’est par ici...
Et tous les trois entrent dans l'ascenseur. e1417MDE en dernière position, toujours la tête baissée. Arrivé à l’étage de la salle de la Gourmandise, Monsieur le Marquis se dirige vers un siège qu’on lui indique avec respect et va s'asseoir, suivi de son esclave s’agenouillant naturellement sans dire mot, juste derrière lui. Le silence s’installe, car toutes les personnes présentes ressentes la présence d’une haute personnalité et regardent avec intérêt les nouveaux venus. La tête haute, Monsieur le Marquis commence à détailler les différents convives avec un sourire poli. Son élégance et sa prestance impressionnent les convives qui se demandent bien qui est ce personnage important. La table est ovale, Reinhold est placé sur le petit côté, puis le Marquis, ensuite le siège libre de e1417MDE, puis à côté, la superbe Lucie, chef du personnel, elle porte une robe courte de soirée noire, moulante, mettant ses cuisses en valeur, une paire de bas et de talons aiguilles. Ses cheveux noirs attachés en chignon duquel tombent négligemment deux mèches rehaussent son maquillage léger. L'autre place extrême est occupée par la splendide Kayden, femme de Reinhold. Elle porte une robe blanche, bustier attachée à son coup par deux bandes de tissus, permettant un somptueux dos nu, en partie cachée par sa chevelure blonde légèrement bouclée et une paire de talons aiguille. Son maquillage est un peu plus lourd que celui de Lucie, mais ses lèvres sensuelles, ouvertes juste au minimum, lui donnent un air d'extase, surtout aux yeux de son voisin de table, Benjamin, gentiment appelé le magouilleur, référence à son travail mouvant et assez secret. Il est assez banal, chemise et pantalon noir, si ce n'est sa cicatrice à la joue gauche. On dit qu’il y a différentes versions, allant de la bagarre au règlement de compte avec une prostituée qu'il n'aurait pas payé. A côté, il y a Yves, l'archétype du cadre supérieur, bien rasé et coiffé de telle manière qu'aucune mèche ne dépasse, rien de spécial à part son occupation habituelle du vendredi soir chez Reinhold. Pour finir, il y a belle Helena, cheveux bruns-roux, seins magnifiques à peine cachés par son décolleté, longue ouverture dans sa robe rouge descendant jusqu'au nombril, robe ne moulant pas son agréable fessier, mais permettant à quiconque de le voir quand elle se déplace.
A peine Monsieur le Marquis est assis que Reinhold rompt le silence en faisant les présentations de chacun au Marquis puis il présente celui-ci et son esclave, à tous. Il exprime tout l’honneur et le plaisir de recevoir un hôte aussi réputé dans le monde du BDSM français. Il informe aussi l’assemblée que Monsieur le Marquis est venu ici sur les conseils du ministre en personne. La belle Kayden demande alors :
- Nous sommes très émus de vous avoir à notre table Monsieur le Marquis mais quel est votre lien avec e1417MDE ? Reinhold vient de la présenter comme votre esclave.
- C'est exact, très chère ! C'est une de Mes préférées, parmi Mon Cheptel de Mes soumises-chiennes-esclaves. Demandez-lui ce que vous voulez, elle le fera. Car elle a déjà eu pour consignes de Ma part de vous obéir à tous vos caprices, dès que j’aurais donné un claquement de doigts !
A ces mots, Benjamin bondit et dit sans plus attendre :
- Fais-moi une fellation !
Monsieur le Marquis pense : "Classique, je m'attendais à mieux". Celui-ci claque des doigts et sans dire un seul mot à sa chienne. e1417MDE s'avance alors à quatre pattes vers Benjamin, lequel a déjà ouvert son pantalon et sorti un sexe prêt à gonfler. Elle le prend en bouche sans croiser son regard et commence à l’absorber par de voluptueux vas-et-viens tout en le pompant. Benjamin ne se fait pas attendre, e1417MDE a été bien dressée, elle ne cille pas, quand au bout de quelques minutes, il s’exclame :
- Aaaah… ! Hummmmmm… !... Attention… Je… Je vais jouiiiiiir……. Aaaah… !
Elle continue avec encore plus d’ardeur sa sublime pipe et ce qui devait arriver arriva , Benjamin éjacule abondement dans cette bouche si chaude et accueillante et c’est par petite gorgée , comme pour mieux s'en délecter, que la belle esclave avale tout en passant sa langue sur la hampe encore dure . Elle lèche et lèche de nouveau et même avec gourmandise la goutte qui a perlé à l'embrasure de ses lèvres... Benjamin satisfait ne peut s’empêcher de lui caresser les cheveux en signe de remerciements. Excitée par la scène, Kayden prend l'initiative, à son tour en se déchaussant pour laisser apparaître ses magnifiques pieds tout en écartant bien jambes et cuisses, exhibant une chatte largement ouverte aux plaisirs :
- Viens me lécher les pieds, remontes doucement vers ma chatte en me léchant les jambes et donne-moi du plaisir, petite chienne !
Tous les convives se sont tournés vers l’esclave pour la voir lécher en premier les pieds de la belle puis remonter le long des jambes tout en douceur pour finir par l’entrecuisses où elle s’attarde sur la chatte laquelle elle passe et repasse sa langue avec une lenteur très excitante sur les lèvres intimes et trempées. Puis la femelle se met à enfoncer sa langue lentement mais sûrement dans l’intimité de la Domina. Kayden se met à gémir de plaisir tout en empoignant la tête d’e1417MDE pour mieux ressentir ses divins coups de langue …
-Stop !, dit Reinhold, si tu nous montrait ce qu'il y a dans ce sac que tu serres si fort.
C'est vrai, e1417MDE n'avait pas encore lâché son sac.
(A suivre …)
La nuit était déjà bien avancée quand, sous les réverbères, une fine pluie tombait sur le pavé parisien dans le quartier huppé de ce Club Libertin. Depuis ces débuts et aujourd'hui encore, le vendredi soir est un grand soir pour les clients de marque, des orgies à thème sont fréquemment organisées. Les habitués en sont friands et nombreux. Alors que le seul étage aménagé, l'étage de Carreau se remplissait, une employée sort de l'ascenseur et entre dans l'étage de Pique, la salle privée, composée de deux vastes salons et d'un petit hall, permettant d'accéder à la salle de la Gourmandise puis à celle de la Luxure. Dans celle de la Gourmandise, Reinhold, propriétaire et gérant du Club s'apprêtait à déclamer son speech d'ouverture, reprenant sa respiration afin d’éclaircir sa voix, stoppa subitement en poussant un long soupir quand l'intérimaire se permit de l’interpeller, une carte de visite en main :
-Patron, excusez-moi, mais un homme accompagné d'une femme est devant la porte, il demande l'hospitalité au Maître des lieux, je les ai juste fait entrer dans le hall, je fais quoi ? Voici sa carte…
Le Maître des lieux prend et lit la carte, d’abord surpris il marque un silence et visiblement agréablement étonné relit encore une fois les yeux grands ouverts, puis se tourne vers son oratoire, et s’exclame un large sourire aux lèvres :
- Mesdames, Messieurs, heureusement aujourd'hui, le thème est "Elégance", et pas "Nudité" comme la semaine dernière… Nous avons un visiteur de grande réputation et je suis déjà très honoré de sa visite… Je vais de ce pas l’accueillir avec le plus grand soin…
Il continue pour l'employée :
-Prépares la chambre d'amis, au cas où il daignerait rester pour la nuit et rajoutes deux couverts, mais tu mets ceux en argent, ceux qu’on sort quand le ministre ou le député viennent discrètement chez nous.
Reinhold se dirige dans l'ascenseur central pour rejoindre au plus vite le hall d’entrée. Visiblement impressionné, le patron salut poliment le visiteur :
- Je… Heu … Bonjour Monsieur Le Marquis ... Je suis très honoré de votre présence… Je ne m’attendais pas à vous voir ici… mais soyez-vraiment le bienvenu… Votre grande réputation vous a précédée depuis longtemps…
Le Marquis en question, est assez grand, 1m78, la cinquantaine dépassée et habillé avec grand soin élégamment. Son charisme impressionnait naturellement… Il allait plaire aux femmes du dîner, pensait Reinhold. Le Noble lui sourit et répondit aimablement :
- Bonjour Monsieur… Oui depuis longtemps, Mon vieil ami, Monsieur De Verdier, le Ministre, me parle souvent de votre Club et me conseille de venir vous rendre une petite visite, m’affirmant que le meilleur accueil me serait réservé... Et me trouvant actuellement sur Paris pour affaires, j’ai pensé, pour cette nuit joindre l’utile à l’agréable, alors me voici ! :
- Mais vous avez très bien fait, Monsieur le Marquis… C’est un véritable honneur pour nous …Et comment s'appelle votre suivante ?
-Appelez-la e1417MDE, ne vous gênez pas, ‘e’ comme esclave, 1417 c’est son matricule. Et comme tous mes esclaves, elle a le privilège de porter en fin d’appellation Mes Nobles Initiales : MDE.
e1417MDE portait un imperméable long, une paire d'escarpins, et un sac en cuir tenu fermement entre ses deux mains qu'elle ne quittait pas du regard, regard de toute façon cachée par ses longs cheveux noirs et sa tête baissée. On devinait aisément sous le col de son imper, un épais collier de métal forgé fermement cadenassé.
- Dans ce cas, Monsieur le Marquis et vous e1417MDE, voulez-vous manger ?
- e1417MDE a déjà mangé sa pitance, mais moi, j'accepte avec plaisir et je vous en remercie par avance.
- C’est moi qui vous remercie de votre honorable visite… Suivez-moi Monsieur le Marquis, si vous voulez bien, c’est par ici...
Et tous les trois entrent dans l'ascenseur. e1417MDE en dernière position, toujours la tête baissée. Arrivé à l’étage de la salle de la Gourmandise, Monsieur le Marquis se dirige vers un siège qu’on lui indique avec respect et va s'asseoir, suivi de son esclave s’agenouillant naturellement sans dire mot, juste derrière lui. Le silence s’installe, car toutes les personnes présentes ressentes la présence d’une haute personnalité et regardent avec intérêt les nouveaux venus. La tête haute, Monsieur le Marquis commence à détailler les différents convives avec un sourire poli. Son élégance et sa prestance impressionnent les convives qui se demandent bien qui est ce personnage important. La table est ovale, Reinhold est placé sur le petit côté, puis le Marquis, ensuite le siège libre de e1417MDE, puis à côté, la superbe Lucie, chef du personnel, elle porte une robe courte de soirée noire, moulante, mettant ses cuisses en valeur, une paire de bas et de talons aiguilles. Ses cheveux noirs attachés en chignon duquel tombent négligemment deux mèches rehaussent son maquillage léger. L'autre place extrême est occupée par la splendide Kayden, femme de Reinhold. Elle porte une robe blanche, bustier attachée à son coup par deux bandes de tissus, permettant un somptueux dos nu, en partie cachée par sa chevelure blonde légèrement bouclée et une paire de talons aiguille. Son maquillage est un peu plus lourd que celui de Lucie, mais ses lèvres sensuelles, ouvertes juste au minimum, lui donnent un air d'extase, surtout aux yeux de son voisin de table, Benjamin, gentiment appelé le magouilleur, référence à son travail mouvant et assez secret. Il est assez banal, chemise et pantalon noir, si ce n'est sa cicatrice à la joue gauche. On dit qu’il y a différentes versions, allant de la bagarre au règlement de compte avec une prostituée qu'il n'aurait pas payé. A côté, il y a Yves, l'archétype du cadre supérieur, bien rasé et coiffé de telle manière qu'aucune mèche ne dépasse, rien de spécial à part son occupation habituelle du vendredi soir chez Reinhold. Pour finir, il y a belle Helena, cheveux bruns-roux, seins magnifiques à peine cachés par son décolleté, longue ouverture dans sa robe rouge descendant jusqu'au nombril, robe ne moulant pas son agréable fessier, mais permettant à quiconque de le voir quand elle se déplace.
A peine Monsieur le Marquis est assis que Reinhold rompt le silence en faisant les présentations de chacun au Marquis puis il présente celui-ci et son esclave, à tous. Il exprime tout l’honneur et le plaisir de recevoir un hôte aussi réputé dans le monde du BDSM français. Il informe aussi l’assemblée que Monsieur le Marquis est venu ici sur les conseils du ministre en personne. La belle Kayden demande alors :
- Nous sommes très émus de vous avoir à notre table Monsieur le Marquis mais quel est votre lien avec e1417MDE ? Reinhold vient de la présenter comme votre esclave.
- C'est exact, très chère ! C'est une de Mes préférées, parmi Mon Cheptel de Mes soumises-chiennes-esclaves. Demandez-lui ce que vous voulez, elle le fera. Car elle a déjà eu pour consignes de Ma part de vous obéir à tous vos caprices, dès que j’aurais donné un claquement de doigts !
A ces mots, Benjamin bondit et dit sans plus attendre :
- Fais-moi une fellation !
Monsieur le Marquis pense : "Classique, je m'attendais à mieux". Celui-ci claque des doigts et sans dire un seul mot à sa chienne. e1417MDE s'avance alors à quatre pattes vers Benjamin, lequel a déjà ouvert son pantalon et sorti un sexe prêt à gonfler. Elle le prend en bouche sans croiser son regard et commence à l’absorber par de voluptueux vas-et-viens tout en le pompant. Benjamin ne se fait pas attendre, e1417MDE a été bien dressée, elle ne cille pas, quand au bout de quelques minutes, il s’exclame :
- Aaaah… ! Hummmmmm… !... Attention… Je… Je vais jouiiiiiir……. Aaaah… !
Elle continue avec encore plus d’ardeur sa sublime pipe et ce qui devait arriver arriva , Benjamin éjacule abondement dans cette bouche si chaude et accueillante et c’est par petite gorgée , comme pour mieux s'en délecter, que la belle esclave avale tout en passant sa langue sur la hampe encore dure . Elle lèche et lèche de nouveau et même avec gourmandise la goutte qui a perlé à l'embrasure de ses lèvres... Benjamin satisfait ne peut s’empêcher de lui caresser les cheveux en signe de remerciements. Excitée par la scène, Kayden prend l'initiative, à son tour en se déchaussant pour laisser apparaître ses magnifiques pieds tout en écartant bien jambes et cuisses, exhibant une chatte largement ouverte aux plaisirs :
- Viens me lécher les pieds, remontes doucement vers ma chatte en me léchant les jambes et donne-moi du plaisir, petite chienne !
Tous les convives se sont tournés vers l’esclave pour la voir lécher en premier les pieds de la belle puis remonter le long des jambes tout en douceur pour finir par l’entrecuisses où elle s’attarde sur la chatte laquelle elle passe et repasse sa langue avec une lenteur très excitante sur les lèvres intimes et trempées. Puis la femelle se met à enfoncer sa langue lentement mais sûrement dans l’intimité de la Domina. Kayden se met à gémir de plaisir tout en empoignant la tête d’e1417MDE pour mieux ressentir ses divins coups de langue …
-Stop !, dit Reinhold, si tu nous montrait ce qu'il y a dans ce sac que tu serres si fort.
C'est vrai, e1417MDE n'avait pas encore lâché son sac.
(A suivre …)
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