La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 471)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 471)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°470 - (2/3) - Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte -
Les Maîtres, et leurs deux esclaves à quatre pattes derrière eux, regagnèrent la piscine. On les attacha tous deux, côte à côte au moyen d’une très courte chaine, dix centimètres maximum, de leur collier à un anneau fixé dans une margelle. Les Maîtres se baignèrent longuement, les chiens, culs relevés les regardaient nager avec envie et tentation. Ils restèrent dans cette posture encore très longtemps attendant que les Maîtres finissent de se détendre et de discuter. C’est Alberto qui vint interrompre leur conversation. Il parla dans un français approximatif :
- Pardon moi Monsieur le Comte, les slaves ont entré.
- Bien Alberto, merci, nous arrivons.
Dans une cour près des bâtiments agricoles, le cheptel d’esclaves était réuni. Certains étaient à quatre pattes, trois d’entre eux en attente à genoux. Monsieur le Comte expliqua la situation :
- C’est le moment du rapport, les esclaves sont réunis ainsi tous les jours ici, matin et soir. Le Matin, les ordres sont donnés pour le travail à fournir dans le Domaine, le soir Alberto me fait un compte rendu de la journée et je punis ceux qui ont été négligents et désobéissants.
- Mais pourquoi trois d’entre eux sont à genoux alors que le restant de votre cheptel est en dog, mon Cher Comte.
- Les trois à genoux sont mes chiens soumis dominants, les autres sont les dominés. Les dominants ont ce privilège…- Très intéressant Monsieur le Comte, j’apprécie cette hiérarchie installée chez vous- Ne pensez-vous pas Monsieur le Marquis qu’il serait intéressant que Votre chien-soumis regagne ma meute !
- Bien sûr !
Et soumis compelled MDE s’installa près d’un slave dominé en quadrupédie, accompagné de celui qui l’avait fait jouir. Lui aussi se mit à quatre pattes. Monsieur le Comte monta sur une petite estrade installée au milieu de la cour. Alberto près de lui ordonna le parfait silence. Le Marquis d’Evans resta un peu en retrait pour ne point déranger ce cérémonial. Ça lui était agréable de voir tous ces slaves nus, avec leur collier autour du cou, leurs cages de chasteté fixées à leur queue, sauf pour trois d’entre eux, tous étaient parfaitement alignés et bien rangés, tous étaient à l’écoute, attentifs et silencieux. Alberto, une petite fiche en main se racla la voix pour prendre la parole. Il s’exprimait en espagnol, soumis compelled MDE ne comprit rien. Monsieur le Comte l’écoutait attentivement, hochait la tête de temps à autre. Puis il prit la parole, lui aussi en espagnol. Il parla pendant dix bonnes minutes et pendant son discours, deux esclaves dominés sortaient des rangs en avançant de trois pas à quatre pattes. Soudainement, Monsieur le Comte s’adressa en français :
- Chien soumis compelled MDE, toi aussi avance de trois pas, tu fais partie de ceux qui vont être puni ce soir.
Sur ordre sans doute, le premier esclave avancé se leva, marcha tête basse jusqu’à devant Monsieur le Comte, puis il se remit à genoux, se prosterna et lui baisa les pieds. Il alla ensuite vers Monsieur le Marquis d’Evans et fit de même, il regagna ensuite un portique métallique, sur la gauche, se plaça dessous, Alberto, lui attacha mains et pieds pour le tenir largement écartelé. Monsieur le Comte approcha avec un fouet en main. L’esclave décompta en anglais, chaque coup reçu, soixante-dix au total en hurlant, braillant, beuglant, se tordant, s’agitant dans tous les sens. Dès qu’il fut détaché il se prosterna aux pieds de Monsieur le Comte, les lui baissa, le remercia, puis il alla jusqu’aux pieds de Monsieur le Marquis d’Evans reprit le même cérémonial et regagna les rangs, il paraissait si heureux sur son visage épanoui par ce supplice, que seul un masochiste de sa trempe pouvait apprécier ce genre de traitement. Le second esclave puni eut droit au même traitement, au même nombre de coups, de la même manière installée. Il s’agitait et hurlait de la même façon, il est vrai que les coups portés étaient terriblement appuyés, A l’issue de son supplice, lui aussi exprimait le même visage apaisé que le premier. Le chien soumis compelled MDE n’en menait pas large, il allait subir le même sort que ses congénères. Pourrait-il supporter ? Et lorsque son tour fut venu, il eut bien du mal à tenir debout, ses jambes flageolaient. Lorsqu’il se présenta devant Monsieur le Comte, celui-ci lui demanda d’aller honorer les pieds de Monsieur le Marquis d’Evans avant les siens.
- Tu es Son chien et c’est le Maître que tu dois vénérer, petite salope.
Baisers posés, soumis compelled regagna le portique et se fit attacher les membres par Alberto sous le regard de tous les esclaves immobiles.
- Tenez mon fouet Monsieur le Marquis, c’est Votre chien, punissez le !
Le Maître prit le fouet délicatement tout en saluant son ami et s’approcha de soumis compelled MDE, lui releva le menton, le regarda droit dans les yeux.
- Rappelle moi pourquoi tu es puni salope ?
- Pour avoir juté Maître.
- Et pourquoi as-tu juté alors que tu n’y étais pas autorisé ?
- Je n’ai pas pu et su me retenir Maître Vénéré, je vous prie de me pardonner !
- C’est tout ?
- Heu … Je vous prie aussi de me punir, Maître, je mérite cette punition et je la réclame avec sincérité et repentance - Le fouet va te pardonner. Je serai indulgent avec toi et te donnerai quarante coups seulement, tu as moins d’endurance et d’expérience que ces bâtards- Merci Maître Vénéré.
soumis compelled MDE savait que le châtiment serait dur, très dur, mais il savait aussi qu’il était juste et mérité. Il savait aussi que s’il voulait progresser sur ce long chemin de slavitude, il devait accepter le traitement utile à son éducation. Alors il inspira et souffla un grand coup, ferma les yeux et mis son corps à disposition. Et ce fut terrible et paradoxalement si excitant, si jouissif mentalement pour lui… Il eut l’impression que ses chairs se déchiraient, qu’elles partaient en lambeaux… Ce n’était qu’une impression bien sûr, mais de belles marques rouges et boursoufflées zébraient son cul, ses omoplates, son dos et sa poitrine… Il eut cette jouissance mentale, parce qu’il était conditionné, il subissait là sur le moment un entrainement sadomasochiste via une punition méritée. Et lorsqu’il se prosterna devant le Maître, c’est bien un sincère témoignage de gratitude et de reconnaissance qu’il lui portait. Le Maître venait de le gracier, de le laver de sa faute commise et de le faire grandir dans sa slavitude. Les trois soumis punis durent sortir des rangs une nouvelle fois encore, alors que les autres slaves, sur ordres se positionnèrent tous en levrette. Monsieur le Comte prit la parole et s’exprima en français
- Chien soumis compelled MDE, ici un autre rite existe. Les salopes punies de ton espèce ont une autre obligation envers leurs congénères respectueux des règles établies. Elles doivent s’excuser auprès d’eux de les avoir fait attendre… Tu vas donc précéder à quatre pattes mes deux chiens eux aussi punis et aller lécher et sucer tous les culs de mes autres esclaves offerts. Tu t’attarderas trente seconde sur chacun d’eux. Passe bien ta langue de pute sur leurs trous, cherche même à l’introduire et à la glisser en eux. Allez, à toi l’honneur !...
Et soumis compelled MDE goutta chacun des trous des treize esclaves exposés, certains étaient transpirants d’autres plus odorants. Il léchait, glissait sa langue et à chaque fois qu’il recevait un coup de cravache sur les fesses de la part d’Alberto, il passait au cul suivant… Belle humiliation, belle excitation également ! L’ensemble de la meute regagna ensuite, sous le regard sévère du garde, le bâtiment agricole, pour se laver. La salle de douche était commune, assez grande, toute carrelée. Les esclaves entrèrent en silence et passèrent sous l’eau tiède. Du savon était mis à leur disposition. soumis compelled MDE se lavait consciencieusement, il fermait les yeux tant il lui était agréable de se rafraichir. A un moment donné, il fut un peu bousculé quelque peu chahuté et entrainé dans un angle tout au fond de la salle de douche. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi ? La pièce était grande et il y avait bien de la place pour tout le monde. Mais très vite des mains se posèrent sur ses fesses lui les écartèrent, d’autres lui attrapèrent les bras pour le faire se pencher en avant. Il y avait là près de lui, les trois chiens soumis dominants, manifestement très en forme.
Deux queues tendues tentèrent de s’introduire au même moment dans sa bouche, une troisième glissait déjà dans ses reins… Pris en sandwich, soumis compelled MDE ne chercha pas à se dégager, c’était peine perdu ! Il glissa doucement au sol et se laissa enculer tout en bouffant un cul assis posé sur son visage ou en dévorant une queue tendue. L’esclave dominant noir qui avait déjà fait connaissance avec son trou s’était relevé et attendait son tour en se masturbant énergiquement… Et son tour arriva sitôt après que le premier eut tapissé de son foutre la cavité intime de soumis compelled MDE. Lui aussi le pénétra avec vigueur et lui tenant bien les jambes relevées, donnant de violents coups de reins et arrachant au chien enculé, des gémissements étouffés, parce qu’une bite en bouche. Le troisième esclave dominant prit soumis compelled MDE debout, mains posées sur le carrelage, cuisses écartées. Il le pénétra d’un trait, de longs vas et viens ramonaient cet anus crémeux et dilaté. Dans un dernier coup de rein, il envoya sa sauce au plus profond des entrailles de l’esclave MDE. Et lorsque les trois esclaves dominants furent rassasiés, ils demandèrent à soumis compelled MDE de nettoyer leurs queues à l’aide de sa bouche. Lorsque soumis compelled MDE reprit ses esprits, il s’aperçut que tous les autres esclaves étaient partis. Le garde Alberto était resté là à regarder le spectacle. Il avait assisté à ce pervers gang bang sans bouger, sans intervenir. Il y avait pris un plaisir certain, s’était même masturbé et avait joui. Il demanda d’ailleurs à soumis compelled MDE de lécher sa semence déposée au sol juste avant de quitter la salle de douche.
L’esclave MDE eut un peu de mal à tenir debout, mais il devait se l’avouer, il venait de prendre grand plaisir à vivre ce moment impensable il y a encore peu. Ce déchainement de sexe à son endroit, ce plaisir immense à se faire prendre de la sorte et par tous les trous resteraient sans doute longtemps gravé dans sa mémoire ! Après le repas du soir pris en commun en gamelle, avec ses congères slaves, soumis compelled MDE fut reconduit, par le Majordome, dans la demeure de Monsieur le Comte. Il retrouva les Maîtres confortablement installées, presque affalés dans deux immenses sofas. Ils fumaient tous les deux un cigare de la Havane et dégustaient un très vieil armagnac du Gers.
- Approche Mon chien ! Lui intima le Maître
soumis compelled MDE avança doucement et se campa devant le Maître en posture d’attente. Celui-ci lui ôta sa cage de chasteté.
- Viens près de moi chien ! lui ordonna ensuite Monsieur le Comte.
Et le chien MDE se déplaça de quelques pas et repris la posture conventionnelle.
- Non viens sur le sofa, allonge toi sur le dos, pose ton cul sur mes jambes et écarte bien les cuisses, montre-moi que tu es une bonne petite pute !
Alors que soumis compelled MDE obéissait strictement à l’ordre, un jeune esclave, amené à quatre pattes, par Alberto, entra dans la pièce. Il était jeune et beau ce soumis, à peine avait-il vingt-cinq ans, très blond, les yeux bleus. Il n’avait rien d’un espagnol. C’était en fait un Danois… Monsieur le Comte s’adressa à lui en Anglais.
- Salope, je veux écouter ce soir la sonate pour piano n°3 de Chopin- Yes Master !
Et le jeune esclave se prosterna puis s’installa devant le piano à queue se situant face aux deux sofas et commença à jouer sans partition, cet allegro maestoso d’une manière sublime, avec un touché exceptionnel… Le tempo était parfait, léger, allègre et gai. Les Maîtres se murèrent dans un silence presque religieux, ils prenaient un vrai plaisir à entendre cette œuvre sublimement jouée. Monsieur le Comte, tout en écoutant attentivement, prenait également un autre plaisir, celui de caresser, tripoter, toucher et titiller les attributs mâles laisser à disposition, de soumis compelled MDE. Sa main glissait sur cette nouille tendue, sur les couilles, les effleurant et les câlinant presque. Parfois les deux mains de Monsieur le Comte écartaient un peu plus encore l’entrejambes du chien MDE pour caresser, son périnée, sa raie, pour glisser un doigt dans son trou encore bien dilaté. Cette posture parfaitement indécence au nom de la morale judéo chrétienne, devenait parfaitement naturelle pour soumis compelled MDE. Il s’abandonnait, avait lâché prise et s’épanouissait dans cette parfaite impudeur en y prenant une satisfaction sans limite et une vraie jouissance mentale.
Etait-ce la Sonate de Chopin ou la queue de soumis compelled MDE qui avait ravivé et exacerbé l’excitation de Monsieur le Comte ?
- Vous connaissez sans doute, très cher Marquis, la fameuse marche de Radetzky - Oui bien sur mon cher Juan Antonio, je l’ai entendu jouer à l’opéra de Vienne à la clôture de ce fameux concert du nouvel an - Ah vous aussi très Cher ! Et vous avez noté qu’à ce moment précis, le public viennois se déchainait et battait des mains à chaque mesure ?
- Oui un moment étonnant… tranchant avec la rigueur de ce peuple, Mais quand la grande musique s’exprime tout est permis !! !
- Que diriez-vous si nous écoutions ce morceau et que nous battions tous les deux la mesure sur … sur les fesses de Votre esclave ?
- Excellente idée ! Voilà qui permettrait de bien terminer la soirée, que je pressens délicieusement perverse encore …
(A suivre …)
Les Maîtres, et leurs deux esclaves à quatre pattes derrière eux, regagnèrent la piscine. On les attacha tous deux, côte à côte au moyen d’une très courte chaine, dix centimètres maximum, de leur collier à un anneau fixé dans une margelle. Les Maîtres se baignèrent longuement, les chiens, culs relevés les regardaient nager avec envie et tentation. Ils restèrent dans cette posture encore très longtemps attendant que les Maîtres finissent de se détendre et de discuter. C’est Alberto qui vint interrompre leur conversation. Il parla dans un français approximatif :
- Pardon moi Monsieur le Comte, les slaves ont entré.
- Bien Alberto, merci, nous arrivons.
Dans une cour près des bâtiments agricoles, le cheptel d’esclaves était réuni. Certains étaient à quatre pattes, trois d’entre eux en attente à genoux. Monsieur le Comte expliqua la situation :
- C’est le moment du rapport, les esclaves sont réunis ainsi tous les jours ici, matin et soir. Le Matin, les ordres sont donnés pour le travail à fournir dans le Domaine, le soir Alberto me fait un compte rendu de la journée et je punis ceux qui ont été négligents et désobéissants.
- Mais pourquoi trois d’entre eux sont à genoux alors que le restant de votre cheptel est en dog, mon Cher Comte.
- Les trois à genoux sont mes chiens soumis dominants, les autres sont les dominés. Les dominants ont ce privilège…- Très intéressant Monsieur le Comte, j’apprécie cette hiérarchie installée chez vous- Ne pensez-vous pas Monsieur le Marquis qu’il serait intéressant que Votre chien-soumis regagne ma meute !
- Bien sûr !
Et soumis compelled MDE s’installa près d’un slave dominé en quadrupédie, accompagné de celui qui l’avait fait jouir. Lui aussi se mit à quatre pattes. Monsieur le Comte monta sur une petite estrade installée au milieu de la cour. Alberto près de lui ordonna le parfait silence. Le Marquis d’Evans resta un peu en retrait pour ne point déranger ce cérémonial. Ça lui était agréable de voir tous ces slaves nus, avec leur collier autour du cou, leurs cages de chasteté fixées à leur queue, sauf pour trois d’entre eux, tous étaient parfaitement alignés et bien rangés, tous étaient à l’écoute, attentifs et silencieux. Alberto, une petite fiche en main se racla la voix pour prendre la parole. Il s’exprimait en espagnol, soumis compelled MDE ne comprit rien. Monsieur le Comte l’écoutait attentivement, hochait la tête de temps à autre. Puis il prit la parole, lui aussi en espagnol. Il parla pendant dix bonnes minutes et pendant son discours, deux esclaves dominés sortaient des rangs en avançant de trois pas à quatre pattes. Soudainement, Monsieur le Comte s’adressa en français :
- Chien soumis compelled MDE, toi aussi avance de trois pas, tu fais partie de ceux qui vont être puni ce soir.
Sur ordre sans doute, le premier esclave avancé se leva, marcha tête basse jusqu’à devant Monsieur le Comte, puis il se remit à genoux, se prosterna et lui baisa les pieds. Il alla ensuite vers Monsieur le Marquis d’Evans et fit de même, il regagna ensuite un portique métallique, sur la gauche, se plaça dessous, Alberto, lui attacha mains et pieds pour le tenir largement écartelé. Monsieur le Comte approcha avec un fouet en main. L’esclave décompta en anglais, chaque coup reçu, soixante-dix au total en hurlant, braillant, beuglant, se tordant, s’agitant dans tous les sens. Dès qu’il fut détaché il se prosterna aux pieds de Monsieur le Comte, les lui baissa, le remercia, puis il alla jusqu’aux pieds de Monsieur le Marquis d’Evans reprit le même cérémonial et regagna les rangs, il paraissait si heureux sur son visage épanoui par ce supplice, que seul un masochiste de sa trempe pouvait apprécier ce genre de traitement. Le second esclave puni eut droit au même traitement, au même nombre de coups, de la même manière installée. Il s’agitait et hurlait de la même façon, il est vrai que les coups portés étaient terriblement appuyés, A l’issue de son supplice, lui aussi exprimait le même visage apaisé que le premier. Le chien soumis compelled MDE n’en menait pas large, il allait subir le même sort que ses congénères. Pourrait-il supporter ? Et lorsque son tour fut venu, il eut bien du mal à tenir debout, ses jambes flageolaient. Lorsqu’il se présenta devant Monsieur le Comte, celui-ci lui demanda d’aller honorer les pieds de Monsieur le Marquis d’Evans avant les siens.
- Tu es Son chien et c’est le Maître que tu dois vénérer, petite salope.
Baisers posés, soumis compelled regagna le portique et se fit attacher les membres par Alberto sous le regard de tous les esclaves immobiles.
- Tenez mon fouet Monsieur le Marquis, c’est Votre chien, punissez le !
Le Maître prit le fouet délicatement tout en saluant son ami et s’approcha de soumis compelled MDE, lui releva le menton, le regarda droit dans les yeux.
- Rappelle moi pourquoi tu es puni salope ?
- Pour avoir juté Maître.
- Et pourquoi as-tu juté alors que tu n’y étais pas autorisé ?
- Je n’ai pas pu et su me retenir Maître Vénéré, je vous prie de me pardonner !
- C’est tout ?
- Heu … Je vous prie aussi de me punir, Maître, je mérite cette punition et je la réclame avec sincérité et repentance - Le fouet va te pardonner. Je serai indulgent avec toi et te donnerai quarante coups seulement, tu as moins d’endurance et d’expérience que ces bâtards- Merci Maître Vénéré.
soumis compelled MDE savait que le châtiment serait dur, très dur, mais il savait aussi qu’il était juste et mérité. Il savait aussi que s’il voulait progresser sur ce long chemin de slavitude, il devait accepter le traitement utile à son éducation. Alors il inspira et souffla un grand coup, ferma les yeux et mis son corps à disposition. Et ce fut terrible et paradoxalement si excitant, si jouissif mentalement pour lui… Il eut l’impression que ses chairs se déchiraient, qu’elles partaient en lambeaux… Ce n’était qu’une impression bien sûr, mais de belles marques rouges et boursoufflées zébraient son cul, ses omoplates, son dos et sa poitrine… Il eut cette jouissance mentale, parce qu’il était conditionné, il subissait là sur le moment un entrainement sadomasochiste via une punition méritée. Et lorsqu’il se prosterna devant le Maître, c’est bien un sincère témoignage de gratitude et de reconnaissance qu’il lui portait. Le Maître venait de le gracier, de le laver de sa faute commise et de le faire grandir dans sa slavitude. Les trois soumis punis durent sortir des rangs une nouvelle fois encore, alors que les autres slaves, sur ordres se positionnèrent tous en levrette. Monsieur le Comte prit la parole et s’exprima en français
- Chien soumis compelled MDE, ici un autre rite existe. Les salopes punies de ton espèce ont une autre obligation envers leurs congénères respectueux des règles établies. Elles doivent s’excuser auprès d’eux de les avoir fait attendre… Tu vas donc précéder à quatre pattes mes deux chiens eux aussi punis et aller lécher et sucer tous les culs de mes autres esclaves offerts. Tu t’attarderas trente seconde sur chacun d’eux. Passe bien ta langue de pute sur leurs trous, cherche même à l’introduire et à la glisser en eux. Allez, à toi l’honneur !...
Et soumis compelled MDE goutta chacun des trous des treize esclaves exposés, certains étaient transpirants d’autres plus odorants. Il léchait, glissait sa langue et à chaque fois qu’il recevait un coup de cravache sur les fesses de la part d’Alberto, il passait au cul suivant… Belle humiliation, belle excitation également ! L’ensemble de la meute regagna ensuite, sous le regard sévère du garde, le bâtiment agricole, pour se laver. La salle de douche était commune, assez grande, toute carrelée. Les esclaves entrèrent en silence et passèrent sous l’eau tiède. Du savon était mis à leur disposition. soumis compelled MDE se lavait consciencieusement, il fermait les yeux tant il lui était agréable de se rafraichir. A un moment donné, il fut un peu bousculé quelque peu chahuté et entrainé dans un angle tout au fond de la salle de douche. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi ? La pièce était grande et il y avait bien de la place pour tout le monde. Mais très vite des mains se posèrent sur ses fesses lui les écartèrent, d’autres lui attrapèrent les bras pour le faire se pencher en avant. Il y avait là près de lui, les trois chiens soumis dominants, manifestement très en forme.
Deux queues tendues tentèrent de s’introduire au même moment dans sa bouche, une troisième glissait déjà dans ses reins… Pris en sandwich, soumis compelled MDE ne chercha pas à se dégager, c’était peine perdu ! Il glissa doucement au sol et se laissa enculer tout en bouffant un cul assis posé sur son visage ou en dévorant une queue tendue. L’esclave dominant noir qui avait déjà fait connaissance avec son trou s’était relevé et attendait son tour en se masturbant énergiquement… Et son tour arriva sitôt après que le premier eut tapissé de son foutre la cavité intime de soumis compelled MDE. Lui aussi le pénétra avec vigueur et lui tenant bien les jambes relevées, donnant de violents coups de reins et arrachant au chien enculé, des gémissements étouffés, parce qu’une bite en bouche. Le troisième esclave dominant prit soumis compelled MDE debout, mains posées sur le carrelage, cuisses écartées. Il le pénétra d’un trait, de longs vas et viens ramonaient cet anus crémeux et dilaté. Dans un dernier coup de rein, il envoya sa sauce au plus profond des entrailles de l’esclave MDE. Et lorsque les trois esclaves dominants furent rassasiés, ils demandèrent à soumis compelled MDE de nettoyer leurs queues à l’aide de sa bouche. Lorsque soumis compelled MDE reprit ses esprits, il s’aperçut que tous les autres esclaves étaient partis. Le garde Alberto était resté là à regarder le spectacle. Il avait assisté à ce pervers gang bang sans bouger, sans intervenir. Il y avait pris un plaisir certain, s’était même masturbé et avait joui. Il demanda d’ailleurs à soumis compelled MDE de lécher sa semence déposée au sol juste avant de quitter la salle de douche.
L’esclave MDE eut un peu de mal à tenir debout, mais il devait se l’avouer, il venait de prendre grand plaisir à vivre ce moment impensable il y a encore peu. Ce déchainement de sexe à son endroit, ce plaisir immense à se faire prendre de la sorte et par tous les trous resteraient sans doute longtemps gravé dans sa mémoire ! Après le repas du soir pris en commun en gamelle, avec ses congères slaves, soumis compelled MDE fut reconduit, par le Majordome, dans la demeure de Monsieur le Comte. Il retrouva les Maîtres confortablement installées, presque affalés dans deux immenses sofas. Ils fumaient tous les deux un cigare de la Havane et dégustaient un très vieil armagnac du Gers.
- Approche Mon chien ! Lui intima le Maître
soumis compelled MDE avança doucement et se campa devant le Maître en posture d’attente. Celui-ci lui ôta sa cage de chasteté.
- Viens près de moi chien ! lui ordonna ensuite Monsieur le Comte.
Et le chien MDE se déplaça de quelques pas et repris la posture conventionnelle.
- Non viens sur le sofa, allonge toi sur le dos, pose ton cul sur mes jambes et écarte bien les cuisses, montre-moi que tu es une bonne petite pute !
Alors que soumis compelled MDE obéissait strictement à l’ordre, un jeune esclave, amené à quatre pattes, par Alberto, entra dans la pièce. Il était jeune et beau ce soumis, à peine avait-il vingt-cinq ans, très blond, les yeux bleus. Il n’avait rien d’un espagnol. C’était en fait un Danois… Monsieur le Comte s’adressa à lui en Anglais.
- Salope, je veux écouter ce soir la sonate pour piano n°3 de Chopin- Yes Master !
Et le jeune esclave se prosterna puis s’installa devant le piano à queue se situant face aux deux sofas et commença à jouer sans partition, cet allegro maestoso d’une manière sublime, avec un touché exceptionnel… Le tempo était parfait, léger, allègre et gai. Les Maîtres se murèrent dans un silence presque religieux, ils prenaient un vrai plaisir à entendre cette œuvre sublimement jouée. Monsieur le Comte, tout en écoutant attentivement, prenait également un autre plaisir, celui de caresser, tripoter, toucher et titiller les attributs mâles laisser à disposition, de soumis compelled MDE. Sa main glissait sur cette nouille tendue, sur les couilles, les effleurant et les câlinant presque. Parfois les deux mains de Monsieur le Comte écartaient un peu plus encore l’entrejambes du chien MDE pour caresser, son périnée, sa raie, pour glisser un doigt dans son trou encore bien dilaté. Cette posture parfaitement indécence au nom de la morale judéo chrétienne, devenait parfaitement naturelle pour soumis compelled MDE. Il s’abandonnait, avait lâché prise et s’épanouissait dans cette parfaite impudeur en y prenant une satisfaction sans limite et une vraie jouissance mentale.
Etait-ce la Sonate de Chopin ou la queue de soumis compelled MDE qui avait ravivé et exacerbé l’excitation de Monsieur le Comte ?
- Vous connaissez sans doute, très cher Marquis, la fameuse marche de Radetzky - Oui bien sur mon cher Juan Antonio, je l’ai entendu jouer à l’opéra de Vienne à la clôture de ce fameux concert du nouvel an - Ah vous aussi très Cher ! Et vous avez noté qu’à ce moment précis, le public viennois se déchainait et battait des mains à chaque mesure ?
- Oui un moment étonnant… tranchant avec la rigueur de ce peuple, Mais quand la grande musique s’exprime tout est permis !! !
- Que diriez-vous si nous écoutions ce morceau et que nous battions tous les deux la mesure sur … sur les fesses de Votre esclave ?
- Excellente idée ! Voilà qui permettrait de bien terminer la soirée, que je pressens délicieusement perverse encore …
(A suivre …)
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