La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 492)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 492)
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°491 - Quelques tests d’aptitude pour Candice ! -
Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ne se contenta pas de la jouissance de la belle et jeune Candice, il voulait en savoir un peu plus encore quant à sa détermination, son réel désir de soumission.
- Ça suffit chien, redresse toi et position d’offrande.
soumis compelled MDE s’asseyait alors sur ses talons, écartait les cuisses, positionnait ses mains sur ces jambes, paumes vers le ciel, et baissait la tête. Candice dut prendre la même posture, elle examina l’esclave MDE attentivement et se plaça près de lui. Le Maître interrogea la belle soumise en devenir :
- Pourquoi souhaites-tu devenir une bonne et petite chienne ?
- Et ben, parce que…
Dès les premiers mots prononcés, Candice se fit reprendre par Monsieur. Il l’attrapa fermement par les cheveux :
- Exprime-toi correctement et humblement si tu ne veux pas recevoir une bonne dérouillée. On n’est pas dans une cour de récréation ici et tu as devant toi Monsieur le Marquis d’Evans, un très Grand Maître de réputation, alors soit sobre, précise, humble, courtoise et extrêmement respectueuse.
- Pardon Maître répondit-elle poliment.
Elle exprima à Monsieur le Marquis, ses vibrations intimes, ses désirs profonds, ses incompréhensions concernant ses ressentis. Elle aimait perdre pied, elle appréciait d’être humiliée, elle s’excitait à être nue et manipulée, exhibée, à se laisser diriger, à se soumettre. Elle aimait le sexe, faire l’amour, prendre du plaisir, elle aimait la débauche, la perversion… Monsieur le Marquis dans son fond intérieur comprit que cette jeune ingénue n’avait pas tout à fait compris ce qu’était la soumission et plus en amont, l’esclavage ! Mais Il se réjouissait néanmoins de ce qu’il percevait chez cette jeune et belle Candice, il y avait de l’authenticité dans ses propos, de la fraîcheur dans son verbe, une certaine innocence et ça lui plaisait bien. Il l’interrogea ensuite sur ses pratiques et sur sa première expérience sexuelle. Candice répondit franchement, honnêtement, en toute confiance…
Madame toujours installée sur le sofa semblait de plus en plus excitée. Entendre sa jeune soumise se dévoiler sans pudeur l’émoustillait. Elle s’était laissée aller à remonter sa robe à la taille et masturbait sa chatte velue sans la moindre gène, au vu et au su de tous. Le Maître, au cours de son échange avec Candice, ordonna discrètement à son soumis MDE d’approcher de Madame Annick et de tenir sa langue à disposition si tels étaient ses désirs. A quatre pattes il avança vers elle, langue pendante et frétillante. Madame n’hésita pas une seule seconde, elle exigea à soumis compelled MDE de s’allonger sur le divan et de placer sa tête entre ses cuisses. Les effluves intimes qui se dégageaient de ce sexe ruisselant et brûlant de désir, excitèrent l’esclave MDE. Il s’empressa de satisfaire les besoins de Madame avec habileté et efficacité…
- Dis-moi ma belle, il semblerait que ton anus soit encore vierge ?
- Oui Monsieur le Marquis, répondit Candice en affichant une certaine répulsion sur son visage.
- Pourquoi cette grimace, ma belle ?
- C’est sale Monsieur le Marquis, ça fait mal et puis c’est un interdit !
- Que de tabous grand Dieu !
Le Maître expliqua à Candice que la sodomie était une source de plaisir qu’elle ne soupçonnait pas, elle conduisait à des orgasmes différents mais tout autant jouissifs… Mais pour cela, il fallait de la patience et du temps, de la progressivité avec toujours une bonne préparation et une bonne lubrification.
- Tu sais Candice, lors de ton stage en Mon Château, tu devras obligatoirement suivre cet entrainement, je te ferai découvrir combien il est bon d’être pénétrée par cet orifice. Je t’ouvrirai et t’élargirait patiemment en utilisant par exemple des petits spéculums. Le but n’étant pas de te faire souffrir inutilement, mais bien de te faire découvrir de nouvelles sensations. Et puis tu sais, si tu veux devenir une bonne soumise, il faudra que tu apprennes à te donner de tous tes trous…
Les propos de Monsieur le Marquis mirent en confiance Candice, et lorsqu’il lui demanda de venir près d’elle et de lui montrer son petit anneau, elle n’hésita point. Elle dégagea son sillon, se pencha un peu en avant et se laissa caresser.
- Jean Michel, auriez-vous un peu de lubrifiant ?
- Bien sûr mon Cher Edouard, je vais vous chercher ça.
Le contact froid du lubrifiant sur son anus la fit sursauter. Ce ne fut pas le cas de soumis compelled MDE, lorsqu’il sentit les doigts lubrifiés de Monsieur sur son trou. Il était bien trop occupé, s’écarta simplement un peu plus, sa langue agile n’en finissait pas, elle cueillait sans cesse ces fluides intimes, titillait le tendre clitoris tendu de Madame avec avidité et plaisir. Il s’arrêta juste une seconde pas plus, lorsqu’il sentit passer entre ses reins, le membre ferme et épais de Monsieur. Mais Madame lui plaqua de nouveau le visage sur son sexe étouffant ainsi ses gémissements de plaisir.
- Regarde Candice comme mon chien apprécie de se faire enculer, entends-le gémir ! Mon chien est une bonne salope, entraîné pour être enculé et donner du plaisir… Allez détends toi bien, décontracte toi !
Délicatement, le Maître pommadait le trou serré de la jeune fille. Il le caressait délicatement, et commençait tout doucement à pousser en elle son auriculaire. Sans doute pour exacerber les sens de Candice, Monsieur Walter était venu lui caresser les seins, lui malaxait ses tétons assez fermement les lui chauffant même ostensiblement.
- Vous me faites mal à mes seins Monsieur !
Monsieur le Marquis la reprit :
- Chuuuuut ma belle, abandonne-toi entre nos mains…
La brûlure sur ses seins lui fit oublier le délicat travail exercé sur son anus. Le petit doigt du Maître était en elle. Il glissait maintenant sans difficulté, générant chez la jeune femme, des soupirs incessants… Bien plus que des soupirs, soumis compelled MDE quant à lui, poussait des râles à chaque coup de butoir profond et viril, Monsieur se déchaînait en lui, le pilonnait sauvagement, faisant claquer ses couilles contre le cul de l’esclave MDE. Madame vibrait, ses muscles se tendaient, se crispaient sous les caresses buccales de ce soumis perverti. Madame se mit à hurler :
- Ah, Ah ouiiii, ouiiii, ce chien va me faire.... il me fait jouir ! … Aaaaaaaaah … que c’est bon … !
Quant à Monsieur, lui s’affaissa sur soumis compelled MDE, lui resserra les jambes et continua encore de se déhancher de tout son poids sur l’esclave MDE offert, se laissant tringler encore et toujours. L’extrême puissance d’un dernier coup de reins le fit hurler… Il sentit son cul se remplir abondamment, une éjaculation nourrie tapissant et inondant ses entrailles… Candice, elle, se perdait dans des sensations délicieuses, maintenant c’était l’index de Monsieur le Marquis qui la possédait par le cul et la queue de Walter qui la pénétrait par la bouche. Elle tremblait de tout son corps. Monsieur, à peine son pantalon réajusté, s’approcha d’elle et passa sa main gauche sur sa vulve, la frotta énergiquement, sa main droite lui pinça un téton. Trois hommes en même temps s’occupaient d’elle. Jamais elle n’avait vécu une telle expérience, elle se sentait humilié mais ses ressentis qui auraient pu lui être pénibles étaient effacés par une excitation grandissante. Elle se cabrait, se cambrait, s’écartait, suçait, se laissait palper, doigter, ce tourbillon l’entraînait inexorablement vers une seconde jouissance qui lui était impossible de maîtriser. Elle n’eut pas le temps de demander l’autorisation, elle prenait son pied en même temps qu’elle ingurgitait la semence épaisse et abondante de Monsieur le Majordome qui éjacula à grands flots dans sa bouche si sensuelle.
Madame avait rabaissé sa robe, fait relever le soumis. Elle le giflait à deux reprises :
- Tiens salope, c’est pour te remercier.
- Merci Madame.
Les deux esclaves se retrouvèrent côte à côte, assis sur leurs talons, mains offertes, écoutant les Dominants parler des prouesses de leurs soumis. Ils prirent un jus de fruit, accordant un simple verre d’eau aux dominés. Monsieur le Marquis s’inquiéta de l’heure avancée. Il fallait rentrer au Château. Il ordonna à compelled MDE de reprendre sa tenue vestimentaire, puis de venir baiser les pieds de Madame et Monsieur.
- Nous nous rappellerons très vite pour organiser l’arrivée de Candice au Château
- Entendu Monsieur le Marquis et surtout merci.
Le Maître accompagna sa chaleureuse poignée de main à Jean-Michel par d’amicales petites tapes sur son épaule pour le remercier et le saluer fort amicalement. Il embrassa aussi chaleureusement Madame Annick. Walter en fit de même.
- A quatre pattes mon chien, file ainsi jusqu’à l’ascenseur.
Le chien resta ainsi jusqu’au rez-de-chaussée, espérant que personne ne monte dans cet ascenseur en cours de route. Chacun reprit sa place dans la voiture.
- Tu vois mon cher Walter, j’ai quelque peu pesté à l’annonce de cette visite. Je le déplore ! J’ai passé grâce à toi, une très bonne journée. Je t’en remercie !
- Merci à vous Monsieur le Marquis.
La voiture démarra, cette fois-ci, direction le Château.
(A suivre…)
Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ne se contenta pas de la jouissance de la belle et jeune Candice, il voulait en savoir un peu plus encore quant à sa détermination, son réel désir de soumission.
- Ça suffit chien, redresse toi et position d’offrande.
soumis compelled MDE s’asseyait alors sur ses talons, écartait les cuisses, positionnait ses mains sur ces jambes, paumes vers le ciel, et baissait la tête. Candice dut prendre la même posture, elle examina l’esclave MDE attentivement et se plaça près de lui. Le Maître interrogea la belle soumise en devenir :
- Pourquoi souhaites-tu devenir une bonne et petite chienne ?
- Et ben, parce que…
Dès les premiers mots prononcés, Candice se fit reprendre par Monsieur. Il l’attrapa fermement par les cheveux :
- Exprime-toi correctement et humblement si tu ne veux pas recevoir une bonne dérouillée. On n’est pas dans une cour de récréation ici et tu as devant toi Monsieur le Marquis d’Evans, un très Grand Maître de réputation, alors soit sobre, précise, humble, courtoise et extrêmement respectueuse.
- Pardon Maître répondit-elle poliment.
Elle exprima à Monsieur le Marquis, ses vibrations intimes, ses désirs profonds, ses incompréhensions concernant ses ressentis. Elle aimait perdre pied, elle appréciait d’être humiliée, elle s’excitait à être nue et manipulée, exhibée, à se laisser diriger, à se soumettre. Elle aimait le sexe, faire l’amour, prendre du plaisir, elle aimait la débauche, la perversion… Monsieur le Marquis dans son fond intérieur comprit que cette jeune ingénue n’avait pas tout à fait compris ce qu’était la soumission et plus en amont, l’esclavage ! Mais Il se réjouissait néanmoins de ce qu’il percevait chez cette jeune et belle Candice, il y avait de l’authenticité dans ses propos, de la fraîcheur dans son verbe, une certaine innocence et ça lui plaisait bien. Il l’interrogea ensuite sur ses pratiques et sur sa première expérience sexuelle. Candice répondit franchement, honnêtement, en toute confiance…
Madame toujours installée sur le sofa semblait de plus en plus excitée. Entendre sa jeune soumise se dévoiler sans pudeur l’émoustillait. Elle s’était laissée aller à remonter sa robe à la taille et masturbait sa chatte velue sans la moindre gène, au vu et au su de tous. Le Maître, au cours de son échange avec Candice, ordonna discrètement à son soumis MDE d’approcher de Madame Annick et de tenir sa langue à disposition si tels étaient ses désirs. A quatre pattes il avança vers elle, langue pendante et frétillante. Madame n’hésita pas une seule seconde, elle exigea à soumis compelled MDE de s’allonger sur le divan et de placer sa tête entre ses cuisses. Les effluves intimes qui se dégageaient de ce sexe ruisselant et brûlant de désir, excitèrent l’esclave MDE. Il s’empressa de satisfaire les besoins de Madame avec habileté et efficacité…
- Dis-moi ma belle, il semblerait que ton anus soit encore vierge ?
- Oui Monsieur le Marquis, répondit Candice en affichant une certaine répulsion sur son visage.
- Pourquoi cette grimace, ma belle ?
- C’est sale Monsieur le Marquis, ça fait mal et puis c’est un interdit !
- Que de tabous grand Dieu !
Le Maître expliqua à Candice que la sodomie était une source de plaisir qu’elle ne soupçonnait pas, elle conduisait à des orgasmes différents mais tout autant jouissifs… Mais pour cela, il fallait de la patience et du temps, de la progressivité avec toujours une bonne préparation et une bonne lubrification.
- Tu sais Candice, lors de ton stage en Mon Château, tu devras obligatoirement suivre cet entrainement, je te ferai découvrir combien il est bon d’être pénétrée par cet orifice. Je t’ouvrirai et t’élargirait patiemment en utilisant par exemple des petits spéculums. Le but n’étant pas de te faire souffrir inutilement, mais bien de te faire découvrir de nouvelles sensations. Et puis tu sais, si tu veux devenir une bonne soumise, il faudra que tu apprennes à te donner de tous tes trous…
Les propos de Monsieur le Marquis mirent en confiance Candice, et lorsqu’il lui demanda de venir près d’elle et de lui montrer son petit anneau, elle n’hésita point. Elle dégagea son sillon, se pencha un peu en avant et se laissa caresser.
- Jean Michel, auriez-vous un peu de lubrifiant ?
- Bien sûr mon Cher Edouard, je vais vous chercher ça.
Le contact froid du lubrifiant sur son anus la fit sursauter. Ce ne fut pas le cas de soumis compelled MDE, lorsqu’il sentit les doigts lubrifiés de Monsieur sur son trou. Il était bien trop occupé, s’écarta simplement un peu plus, sa langue agile n’en finissait pas, elle cueillait sans cesse ces fluides intimes, titillait le tendre clitoris tendu de Madame avec avidité et plaisir. Il s’arrêta juste une seconde pas plus, lorsqu’il sentit passer entre ses reins, le membre ferme et épais de Monsieur. Mais Madame lui plaqua de nouveau le visage sur son sexe étouffant ainsi ses gémissements de plaisir.
- Regarde Candice comme mon chien apprécie de se faire enculer, entends-le gémir ! Mon chien est une bonne salope, entraîné pour être enculé et donner du plaisir… Allez détends toi bien, décontracte toi !
Délicatement, le Maître pommadait le trou serré de la jeune fille. Il le caressait délicatement, et commençait tout doucement à pousser en elle son auriculaire. Sans doute pour exacerber les sens de Candice, Monsieur Walter était venu lui caresser les seins, lui malaxait ses tétons assez fermement les lui chauffant même ostensiblement.
- Vous me faites mal à mes seins Monsieur !
Monsieur le Marquis la reprit :
- Chuuuuut ma belle, abandonne-toi entre nos mains…
La brûlure sur ses seins lui fit oublier le délicat travail exercé sur son anus. Le petit doigt du Maître était en elle. Il glissait maintenant sans difficulté, générant chez la jeune femme, des soupirs incessants… Bien plus que des soupirs, soumis compelled MDE quant à lui, poussait des râles à chaque coup de butoir profond et viril, Monsieur se déchaînait en lui, le pilonnait sauvagement, faisant claquer ses couilles contre le cul de l’esclave MDE. Madame vibrait, ses muscles se tendaient, se crispaient sous les caresses buccales de ce soumis perverti. Madame se mit à hurler :
- Ah, Ah ouiiii, ouiiii, ce chien va me faire.... il me fait jouir ! … Aaaaaaaaah … que c’est bon … !
Quant à Monsieur, lui s’affaissa sur soumis compelled MDE, lui resserra les jambes et continua encore de se déhancher de tout son poids sur l’esclave MDE offert, se laissant tringler encore et toujours. L’extrême puissance d’un dernier coup de reins le fit hurler… Il sentit son cul se remplir abondamment, une éjaculation nourrie tapissant et inondant ses entrailles… Candice, elle, se perdait dans des sensations délicieuses, maintenant c’était l’index de Monsieur le Marquis qui la possédait par le cul et la queue de Walter qui la pénétrait par la bouche. Elle tremblait de tout son corps. Monsieur, à peine son pantalon réajusté, s’approcha d’elle et passa sa main gauche sur sa vulve, la frotta énergiquement, sa main droite lui pinça un téton. Trois hommes en même temps s’occupaient d’elle. Jamais elle n’avait vécu une telle expérience, elle se sentait humilié mais ses ressentis qui auraient pu lui être pénibles étaient effacés par une excitation grandissante. Elle se cabrait, se cambrait, s’écartait, suçait, se laissait palper, doigter, ce tourbillon l’entraînait inexorablement vers une seconde jouissance qui lui était impossible de maîtriser. Elle n’eut pas le temps de demander l’autorisation, elle prenait son pied en même temps qu’elle ingurgitait la semence épaisse et abondante de Monsieur le Majordome qui éjacula à grands flots dans sa bouche si sensuelle.
Madame avait rabaissé sa robe, fait relever le soumis. Elle le giflait à deux reprises :
- Tiens salope, c’est pour te remercier.
- Merci Madame.
Les deux esclaves se retrouvèrent côte à côte, assis sur leurs talons, mains offertes, écoutant les Dominants parler des prouesses de leurs soumis. Ils prirent un jus de fruit, accordant un simple verre d’eau aux dominés. Monsieur le Marquis s’inquiéta de l’heure avancée. Il fallait rentrer au Château. Il ordonna à compelled MDE de reprendre sa tenue vestimentaire, puis de venir baiser les pieds de Madame et Monsieur.
- Nous nous rappellerons très vite pour organiser l’arrivée de Candice au Château
- Entendu Monsieur le Marquis et surtout merci.
Le Maître accompagna sa chaleureuse poignée de main à Jean-Michel par d’amicales petites tapes sur son épaule pour le remercier et le saluer fort amicalement. Il embrassa aussi chaleureusement Madame Annick. Walter en fit de même.
- A quatre pattes mon chien, file ainsi jusqu’à l’ascenseur.
Le chien resta ainsi jusqu’au rez-de-chaussée, espérant que personne ne monte dans cet ascenseur en cours de route. Chacun reprit sa place dans la voiture.
- Tu vois mon cher Walter, j’ai quelque peu pesté à l’annonce de cette visite. Je le déplore ! J’ai passé grâce à toi, une très bonne journée. Je t’en remercie !
- Merci à vous Monsieur le Marquis.
La voiture démarra, cette fois-ci, direction le Château.
(A suivre…)
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