La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 531)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 531)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°530) - Intensification du dressage pour le chien soumis MDE -
Sur le matin chaud et lourd par l’atmosphère orageuse sur le Beaujolais, les éclairs et le tonnerre avaient réveillé depuis longtemps soumis Endymion MDE. Il attendait patiemment, douloureusement, toujours maintenu écartelé et en croix, qu’on vienne le détacher. Ce fut Madame Ella qui vint la première à sa rencontre. Elle s’intéressa immédiatement à ses couilles, elles avaient bien diminué de volume, elles étaient de nouveau sensibles et de taille normale. Madame Ella les malmena un instant en les malaxant, les triturant, les pétrissant, non sans perversité. Elle les manipulait sans se préoccuper des sursauts et des gémissements de soumis Endymion MDE. Elle voulait vérifier et contrôler, la souplesse et l’élasticité de ces burnes. Chose faite, elle détacha le chien soumis MDE. Celui-ci eut bien du mal à se redresser, à tenir debout, tant ses muscles étaient tétanisés. Elle emmena le chien soumis debout tenu par son collier en le tirant sans ménagement par la laisse jusqu’à dans la chambre et le poussa contre le mur, dans la même posture que la veille au soir. soumis Endymion MDE comprit qu’il était l’heure de la badine matinale, et cette fois-ci c’était Madame Ella qui allait officier. Monsieur CharlEd était encore couché, il prenait ses aises, s’étirait, baillait mais dès qu’il vit sa femme frapper le cul du chien soumis, il sauta du lit et s’approcha de lui en exhibant sa queue bien raide. Il se branlait doucement devant l’esclave.
- A chacun son plaisir ! lui lança-t-il avec un brin de cynisme.
Les coups portés avaient été donnés avec détermination par Madame Ella, ils avaient été assénés aussi fortement que ceux de la veille au soir. soumis Endymion MDE avait bien tendu son cul, cambré ses reins, et cette impudique posture, fusse-t-elle humiliante, l’avait terriblement excité. Il n’avait pas bronché, pas bougé, pas émis un seul son. Seul son corps supplicié, avait exprimé douleurs et plaisirs mêlés mélangeant toutes ces sensations si excitantes. Son fessier zébré, tuméfié, fut attrapé à pleines mains dès que les coups eurent cessé. Le chien soumis MDE sentit qu’on lui écartait les fesses et qu’on lui dégageait bien sa marge anale. Il ne put que frémir intensément lorsqu’il sentit une langue passer sur son orifice. Sa queue se redressa subitement. Elle fut saisie et branlée deux ou trois fois seulement !
- Tu aimerais bien jouir la salope ! lui lança Monsieur le Vicomte d’Evans.
Le chien soumis MDE ne répondit pas, il savait qu’il n’avait aucun pouvoir de décision, quoi qu’il eut dit, n’aurait eu, en aucune manière, une quelconque influence sur les intentions de Monsieur Le Vicomte CharlEd.
- Tu es bien une salope ? Questionna Monsieur CharlEd
- Oui Monsieur !
- Une grosse salope ayant envie de se faire vider les couilles ?
Le neveu de Monsieur le Marquis s’était de nouveau emparé de la queue du chien soumis MDE et la branlait doucement. soumis Endymion MDE pour toute réponse écarta un peu plus les jambes, releva la tête ouvrit la bouche et haleta. Oui, il souhaitait jouir… Oui, il retenait son éjaculation ! Oui, il souhaitait prendre son temps puisque Monsieur le Vicomte semblait disposé à lui donner du plaisir ! Mais la main du Dominant s’arrêta subitement.
- Crois-tu, petite chienne, que je vais t’autoriser à cracher tes déchets intimes alors que je t’ai promis une sévère punition hier au soir ? Crois-tu qu’une salope de ton espèce ait besoin de se vider les burnes pour prendre du plaisir ? Je vais t’en donner, Moi, du plaisir, mais bien différent de celui que tu avais imaginé. Allonge-toi chien, dépêche-toi, à plat dos, cuisses écartées.
Monsieur le Vicomte avait attrapé une cravache, une belle cravache avec un manche en fer chromé. Il l’exhiba devant les yeux du chien soumis MDE apeuré et couché sur l’épaisse moquette, puis la fit claquer dans la paume de sa main.
- Voilà ta punition chien soumis, cinq coups sur tes couilles, si tu bouges d’un iota je recommence et recommencerai autant de fois qu’il sera nécessaire. A toi de choisir !
Monsieur le Vicomte s’agenouilla entre les cuisses du chien soumis, il posa et fit glisser la claquette de la cravache sur les génitaux de l’esclave. A son contact, soumis Endymion MDE sursauta par réflexe mais aussi sa bandaison se fit encore plus forte, tant l’excitation mentale de la situation sadomasochiste l’excitait.
- Et bien dit moi chien soumis, une simple caresse te fait sursauter. Je crains que cette punition dure plus longtemps que prévu !
Monsieur Charled portait un regard Dominant et vicieux à l’encontre de soumis Endymion MDE, il souleva la cravache puis feignit la distribution d’un sévère coup. Bien qu’il n’y eut aucun contact avec le corps de l’esclave, soumis Endymion MDE tressaillait, bandant encore de plus belle.
- Tu as bien compris chien, si tu bouges je recommence à zéro !
- Oui Monsieur
- Tu es donc prêt ?
- Oui Monsieur.
soumis Endymion MDE toujours sa verge extrêmement tendue respira un grand coup, serra les poings, avala sa salive, puis souffla longuement quand le premier coup tomba dans une force de frappe que Monsieur Charled sut doser pour que cela reste supportable tout en lui faisant ressentir une forte douleur. Le chien soumis MDE, resta immobile mais laissa échapper un puissant cri rauque et sourd. Le deuxième, un peu plus fort claqua sur sa bite raide et gorgée de sang, le chien ne bougea pas, ne cria pas, le troisième coup cogna dans une force moindre son testicule gauche. La douleur lui fut fulgurante mais aussi si jouissive que le chien soumis se recroquevilla d’un coup car il faillit, à ce moment-là, gicler de tout son foutre (heureusement il réussit in extremis à se retenir sans avoir éjaculé) tant la douleur lui procurait un incompréhensible plaisir masochiste…
- Oh quel dommage nous devons recommencer ! Reprends position chien soumis, sans attendre.
Les cinq coups dosés en puissance s’enchainèrent, tous firent tressaillirent, sursauter et bondir l’esclave, par la douleur mais aussi par le plaisir produite par celle-ci, lui coupant même le souffle. Monsieur le Vicomte se montra indulgent, très indulgent… Il laissa l’esclave là, plié en deux sans châtiment complémentaire ! Le chien soumis MDE reprit rapidement ses esprits, sa bite toujours tendue perlait du liquide, s’approcha à quatre pattes devant les pieds de Monsieur CharlEd, se prosterna et le remercia humblement, servilement, sincèrement. Aucun doute pour le chien soumis, la punition avait été méritée et d’une excitation hors norme.
- Tu es vraiment une grosse salope, regarde toi, tu n’as même pas débandé !
C’était bien vrai, la queue de soumis Endymion MDE non seulement pointait encore fièrement, mais en plus bavait généreusement ; la douleur n’avait qu’exacerbé ses sens et son excitation… Quelqu’un frappait à la porte de la chambre, Monsieur CharlEd alla ouvrit.
- Bonjour,
- Bonjour Monsieur le Vicomte, je vous présente mes plus respectueuses salutations Monsieur le Vicomte. Je suis Hector, un des gardiens de Monsieur le Marquis d’Evans, Votre Oncle et je viens chercher le chien soumis à Sa demande pour le conduire à la salle de bain
- Très bien, je vous en prie… Le chien, aux pieds ! dit Monsieur CharlEd en tendant la laisse à Hector
Sitôt dans le large et immense couloir desservant toutes les chambres du second étage du Château, le duo traversa ainsi ce long couloir, le chien soumis à quatre pattes tiré par la laisse maintenue fermement par le gardien pour arriver au fond, avant l’escalier de marbre, et passer devant le fameux tableau placé au-dessus d’une majestueuse corniche murale ornée d’imposantes rosaces, une toile très ancienne et monumentale. En effet, cet immense tableau encadré devait mesurer environ 2,50 mètres de haut sur 2 mètres de large. Deux hommes debout au regard sévère posaient sur cette toile dont le décor de fond était la grande bibliothèque. Ils étaient habillés comme les Nobles l’étaient au XVIII ème siècle, avant la Révolution Française. Soumis Endymion MDE n’eut aucun mal à les reconnaitre. Celui de gauche était, sans aucun doute, le fameux Marquis de Sade tenant en sa main droite un fouet. Le personnage de droite ressemblait fortement au Maître, alors le chien soumis compris vite qu’il s’agissait de son illustre aïeul le Marquis Charles-Edouard d’Evans. Celui-ci tenant dans ses mains une plume et un rouleau de papier… L’esclave MDE réalisa alors que le neveu du Maître, Monsieur le Vicomte Charles-Edouard d’Evans portait le même prénom et nom d’un de ces plus célèbres ancêtres…
Hector, le gardien réalisait que l’avance était trop lente, alors il fit mettre debout l’esclave MDE pour le faire avancer plus rapidement, car le temps pressait. soumis Endymion MDE était tenu par son collier, tête relevée et suivait à grand pas le gardien, un grand molosse aux puissantes et larges épaules. Alors qu’ils s’apprêtaient à descendre ce fastueux escalier de marbre de carrare agrémenté d’une rampe en fer forgée finement travaillée, l’esclave fut subitement pousser contre un mur. Le gardien se plaqua à lui, lui attrapa le visage d’une main lui pressa fortement les joues, se racla la gorge et balança un gros crachat sur son visage, celui-ci s’écrasa sur son nez.
- Ouvre la bouche chien !
Le gardien se racla de nouveau la gorge et renouvela l’humiliation. Cette fois-ci le crachat atteignit la cible et se colla en fond de gorge de l’esclave MDE.
- Avale chien !
La matinée venait tout juste de débuter… et déjà beaucoup d’humiliations, de sévices, d’excitation pour soumis Endymion MDE. Conscient, il l’était, son dressage s’intensifiait d’heure en heure, de minutes en minutes ! Il n'allait certainement pas s'en plaindre, loin de là, il était heureux et de plus en plus fier d'appartenir à Monsieur le Marquis d'EVans.
(A suivre…)
Sur le matin chaud et lourd par l’atmosphère orageuse sur le Beaujolais, les éclairs et le tonnerre avaient réveillé depuis longtemps soumis Endymion MDE. Il attendait patiemment, douloureusement, toujours maintenu écartelé et en croix, qu’on vienne le détacher. Ce fut Madame Ella qui vint la première à sa rencontre. Elle s’intéressa immédiatement à ses couilles, elles avaient bien diminué de volume, elles étaient de nouveau sensibles et de taille normale. Madame Ella les malmena un instant en les malaxant, les triturant, les pétrissant, non sans perversité. Elle les manipulait sans se préoccuper des sursauts et des gémissements de soumis Endymion MDE. Elle voulait vérifier et contrôler, la souplesse et l’élasticité de ces burnes. Chose faite, elle détacha le chien soumis MDE. Celui-ci eut bien du mal à se redresser, à tenir debout, tant ses muscles étaient tétanisés. Elle emmena le chien soumis debout tenu par son collier en le tirant sans ménagement par la laisse jusqu’à dans la chambre et le poussa contre le mur, dans la même posture que la veille au soir. soumis Endymion MDE comprit qu’il était l’heure de la badine matinale, et cette fois-ci c’était Madame Ella qui allait officier. Monsieur CharlEd était encore couché, il prenait ses aises, s’étirait, baillait mais dès qu’il vit sa femme frapper le cul du chien soumis, il sauta du lit et s’approcha de lui en exhibant sa queue bien raide. Il se branlait doucement devant l’esclave.
- A chacun son plaisir ! lui lança-t-il avec un brin de cynisme.
Les coups portés avaient été donnés avec détermination par Madame Ella, ils avaient été assénés aussi fortement que ceux de la veille au soir. soumis Endymion MDE avait bien tendu son cul, cambré ses reins, et cette impudique posture, fusse-t-elle humiliante, l’avait terriblement excité. Il n’avait pas bronché, pas bougé, pas émis un seul son. Seul son corps supplicié, avait exprimé douleurs et plaisirs mêlés mélangeant toutes ces sensations si excitantes. Son fessier zébré, tuméfié, fut attrapé à pleines mains dès que les coups eurent cessé. Le chien soumis MDE sentit qu’on lui écartait les fesses et qu’on lui dégageait bien sa marge anale. Il ne put que frémir intensément lorsqu’il sentit une langue passer sur son orifice. Sa queue se redressa subitement. Elle fut saisie et branlée deux ou trois fois seulement !
- Tu aimerais bien jouir la salope ! lui lança Monsieur le Vicomte d’Evans.
Le chien soumis MDE ne répondit pas, il savait qu’il n’avait aucun pouvoir de décision, quoi qu’il eut dit, n’aurait eu, en aucune manière, une quelconque influence sur les intentions de Monsieur Le Vicomte CharlEd.
- Tu es bien une salope ? Questionna Monsieur CharlEd
- Oui Monsieur !
- Une grosse salope ayant envie de se faire vider les couilles ?
Le neveu de Monsieur le Marquis s’était de nouveau emparé de la queue du chien soumis MDE et la branlait doucement. soumis Endymion MDE pour toute réponse écarta un peu plus les jambes, releva la tête ouvrit la bouche et haleta. Oui, il souhaitait jouir… Oui, il retenait son éjaculation ! Oui, il souhaitait prendre son temps puisque Monsieur le Vicomte semblait disposé à lui donner du plaisir ! Mais la main du Dominant s’arrêta subitement.
- Crois-tu, petite chienne, que je vais t’autoriser à cracher tes déchets intimes alors que je t’ai promis une sévère punition hier au soir ? Crois-tu qu’une salope de ton espèce ait besoin de se vider les burnes pour prendre du plaisir ? Je vais t’en donner, Moi, du plaisir, mais bien différent de celui que tu avais imaginé. Allonge-toi chien, dépêche-toi, à plat dos, cuisses écartées.
Monsieur le Vicomte avait attrapé une cravache, une belle cravache avec un manche en fer chromé. Il l’exhiba devant les yeux du chien soumis MDE apeuré et couché sur l’épaisse moquette, puis la fit claquer dans la paume de sa main.
- Voilà ta punition chien soumis, cinq coups sur tes couilles, si tu bouges d’un iota je recommence et recommencerai autant de fois qu’il sera nécessaire. A toi de choisir !
Monsieur le Vicomte s’agenouilla entre les cuisses du chien soumis, il posa et fit glisser la claquette de la cravache sur les génitaux de l’esclave. A son contact, soumis Endymion MDE sursauta par réflexe mais aussi sa bandaison se fit encore plus forte, tant l’excitation mentale de la situation sadomasochiste l’excitait.
- Et bien dit moi chien soumis, une simple caresse te fait sursauter. Je crains que cette punition dure plus longtemps que prévu !
Monsieur Charled portait un regard Dominant et vicieux à l’encontre de soumis Endymion MDE, il souleva la cravache puis feignit la distribution d’un sévère coup. Bien qu’il n’y eut aucun contact avec le corps de l’esclave, soumis Endymion MDE tressaillait, bandant encore de plus belle.
- Tu as bien compris chien, si tu bouges je recommence à zéro !
- Oui Monsieur
- Tu es donc prêt ?
- Oui Monsieur.
soumis Endymion MDE toujours sa verge extrêmement tendue respira un grand coup, serra les poings, avala sa salive, puis souffla longuement quand le premier coup tomba dans une force de frappe que Monsieur Charled sut doser pour que cela reste supportable tout en lui faisant ressentir une forte douleur. Le chien soumis MDE, resta immobile mais laissa échapper un puissant cri rauque et sourd. Le deuxième, un peu plus fort claqua sur sa bite raide et gorgée de sang, le chien ne bougea pas, ne cria pas, le troisième coup cogna dans une force moindre son testicule gauche. La douleur lui fut fulgurante mais aussi si jouissive que le chien soumis se recroquevilla d’un coup car il faillit, à ce moment-là, gicler de tout son foutre (heureusement il réussit in extremis à se retenir sans avoir éjaculé) tant la douleur lui procurait un incompréhensible plaisir masochiste…
- Oh quel dommage nous devons recommencer ! Reprends position chien soumis, sans attendre.
Les cinq coups dosés en puissance s’enchainèrent, tous firent tressaillirent, sursauter et bondir l’esclave, par la douleur mais aussi par le plaisir produite par celle-ci, lui coupant même le souffle. Monsieur le Vicomte se montra indulgent, très indulgent… Il laissa l’esclave là, plié en deux sans châtiment complémentaire ! Le chien soumis MDE reprit rapidement ses esprits, sa bite toujours tendue perlait du liquide, s’approcha à quatre pattes devant les pieds de Monsieur CharlEd, se prosterna et le remercia humblement, servilement, sincèrement. Aucun doute pour le chien soumis, la punition avait été méritée et d’une excitation hors norme.
- Tu es vraiment une grosse salope, regarde toi, tu n’as même pas débandé !
C’était bien vrai, la queue de soumis Endymion MDE non seulement pointait encore fièrement, mais en plus bavait généreusement ; la douleur n’avait qu’exacerbé ses sens et son excitation… Quelqu’un frappait à la porte de la chambre, Monsieur CharlEd alla ouvrit.
- Bonjour,
- Bonjour Monsieur le Vicomte, je vous présente mes plus respectueuses salutations Monsieur le Vicomte. Je suis Hector, un des gardiens de Monsieur le Marquis d’Evans, Votre Oncle et je viens chercher le chien soumis à Sa demande pour le conduire à la salle de bain
- Très bien, je vous en prie… Le chien, aux pieds ! dit Monsieur CharlEd en tendant la laisse à Hector
Sitôt dans le large et immense couloir desservant toutes les chambres du second étage du Château, le duo traversa ainsi ce long couloir, le chien soumis à quatre pattes tiré par la laisse maintenue fermement par le gardien pour arriver au fond, avant l’escalier de marbre, et passer devant le fameux tableau placé au-dessus d’une majestueuse corniche murale ornée d’imposantes rosaces, une toile très ancienne et monumentale. En effet, cet immense tableau encadré devait mesurer environ 2,50 mètres de haut sur 2 mètres de large. Deux hommes debout au regard sévère posaient sur cette toile dont le décor de fond était la grande bibliothèque. Ils étaient habillés comme les Nobles l’étaient au XVIII ème siècle, avant la Révolution Française. Soumis Endymion MDE n’eut aucun mal à les reconnaitre. Celui de gauche était, sans aucun doute, le fameux Marquis de Sade tenant en sa main droite un fouet. Le personnage de droite ressemblait fortement au Maître, alors le chien soumis compris vite qu’il s’agissait de son illustre aïeul le Marquis Charles-Edouard d’Evans. Celui-ci tenant dans ses mains une plume et un rouleau de papier… L’esclave MDE réalisa alors que le neveu du Maître, Monsieur le Vicomte Charles-Edouard d’Evans portait le même prénom et nom d’un de ces plus célèbres ancêtres…
Hector, le gardien réalisait que l’avance était trop lente, alors il fit mettre debout l’esclave MDE pour le faire avancer plus rapidement, car le temps pressait. soumis Endymion MDE était tenu par son collier, tête relevée et suivait à grand pas le gardien, un grand molosse aux puissantes et larges épaules. Alors qu’ils s’apprêtaient à descendre ce fastueux escalier de marbre de carrare agrémenté d’une rampe en fer forgée finement travaillée, l’esclave fut subitement pousser contre un mur. Le gardien se plaqua à lui, lui attrapa le visage d’une main lui pressa fortement les joues, se racla la gorge et balança un gros crachat sur son visage, celui-ci s’écrasa sur son nez.
- Ouvre la bouche chien !
Le gardien se racla de nouveau la gorge et renouvela l’humiliation. Cette fois-ci le crachat atteignit la cible et se colla en fond de gorge de l’esclave MDE.
- Avale chien !
La matinée venait tout juste de débuter… et déjà beaucoup d’humiliations, de sévices, d’excitation pour soumis Endymion MDE. Conscient, il l’était, son dressage s’intensifiait d’heure en heure, de minutes en minutes ! Il n'allait certainement pas s'en plaindre, loin de là, il était heureux et de plus en plus fier d'appartenir à Monsieur le Marquis d'EVans.
(A suivre…)
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