La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 615)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 615)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°614) - Une certaine ressemblance -
Alors, il prit ce chibre plus profondément encore en laissant glisser sa langue sur cette longue et épaisse hampe dressée à son maximum, il allait et venait sur elle, la prenant jusqu’en fond de gorge. Ces mouvements amplifiés par un déhanchement incontrôlable de soumis Erwan, faisait brinqueballer entre ses cuisses, le poids accroché à ses couilles, lui arrachant quelques petits gémissements plaintifs autant que jouissifs. Lui aussi recevait quelques coups de cravache sur ses fesses déjà bien meurtries et finement striées, il devait respecter les ordres et se tenir immobile et impassible. S’il avait à jouir, il devait le faire sans pour autant, en montrer une quelconque expression ! Et c’est ainsi qu’il lâcha une seconde fois son foutre, toujours aussi épais et abondant. Il gicla ainsi plusieurs fois, inondant littéralement la bouche de soumis Endymion MDE qui avait reçu l’ordre de tout avaler sans jamais en omettre une seule goutte, à tel point qu’il en perdit le souffle et fut pris d’un haut le cœur. Ce spasme incontrôlable lui fit régurgiter une petite partie de cette semence ! Maitresse Marina s’en aperçut, sa cravache entra encore en action, elle ne lésina pas sur le nombre de coups portés. soumis Endymion MDE plia sous le coup de semonce, il se recroquevilla en se protégeant la tête de ses deux mains, en serrant les cuisses, pour abriter ses couilles et sa queue toujours tendue tant la situation, fusse-t-elle douloureuse, l’excitait. Il bandait comme un âne…
- Comment oses-tu recracher ce que nous t’offrons ! Reprit calmement et sereinement Maître CharlEd.
Il resta silencieux quelques longues secondes, toisant l’esclave à ses pieds, puis il reprit :
- Nous allons te gaver comme une oie du jus de tes congénères, une chienne de ton espèce doit savoir apprécier le foutre de ces chiens mâles. Lors de la prochaine séance de purge collective, c’est toi qui seras désigné pour bouffer toute la semence du cheptel. Mais pour l’heure, lèche ce que tu as laissé tomber de ta bouche et repositionne toi, à genoux, fessier posé sur tes talons, mains dans le dos et bouche grande ouverte.
Monsieur le Vicomte d’Evans s’était mis juste à côté de soumis Erwan, il lui attrapa la queue et commença une longue masturbation, s’acharna sur cette queue tant et plus, pour le faire gicler une troisième fois. Erwan avait de plus en plus de mal à rester immobile, le poids entre ses cuisses balançait et gigotait dans tous les sens. Il se mordait les lèvres, fermait les yeux, pour mieux se concentrer sur cette éjaculation qui ne venait pas. Il lui fallut un bon quart d’heure avant que son sperme jaillisse de nouveau et s’écrase tout contre le visage de soumis Endymion MDE juste en face, toujours immobile, bouche grande ouverte. Bien que moins abondante mais encore conséquente, l’éjaculation fut projetée sur le nez, les lèvres et les joues de l’esclave agenouillé. Alors sans attendre un quelconque ordre, soumis Endymion MDE se lécha les babines pour récolter un maximum de foutre. Maitresse Marina l’aida, pour cela elle cueillit du bout de son index le sperme hors de portée de sa langue, et lui fit lécher ses doigts.
- Ses couilles sont loin d’être vides, mais le temps m’est compté, je vous le laisse Mesdames, vous n’avez qu’à le mettre à la trayeuse, jusqu’à ce que la source soit tarie. Pensez à bien récolter son foutre, je suis sûr qu’Endymion MDE s’en régalera plus tard.
Monsieur le Vicomte, un sourire vicieux aux lèvres, attrapa soumis Endymion MDE par son collier, le fit se redresser et lui ordonna de le suivre. Il l’entraina ainsi tenu fermement dans les longs couloirs pour le conduire dans une salle de douche commune.
- Tu as dix minutes pour te laver correctement !
Maître CharlEd resta là, bras croisés, regardant attentivement son chien soumis se laver sous cette eau terriblement fraiche. De temps à autre, il ordonnait :
- Ton cul, lave le correctement, glisse toi un doigt savonneux dans ton fion et rince toi bien, petite chienne.
Et lorsqu’il eut décidé que l’esclave fut propre, il lui tendit une serviette et lui demanda de s’éponger et se sécher. Il profita de cet instant, pour lui réinstaller sa cage de chasteté, puis l’emmena dans une autre pièce, jouxtant la salle de bain. Là, il y avait une femme, qu’il n’avait jamais vue jusqu’ici, elle devait avoir une cinquantaine d’années, bien en chair, les cheveux relevés en chignon, un air méprisant et autoritaire, de grands yeux ronds dominants. Ce qui frappa le soumis c’est que ce visage sévère lui rappelait quelqu’un, une certaine ressemblance avec une de ses connaissances, mais qui ? Pour le moment, il ne savait pas à qui cette femme visiblement dominatrice ressemblait … Sans mot dire, elle attrapa soumis Endymion MDE par son collier et l’entraina au beau milieu de cette pièce quelque peu exiguë et encombrée par des portants sur lesquels pendaient un grand nombre de vêtements. Elle figea son regard sur l’esclave, exigeant de lui qu’il se tienne droit, les épaules relevées et tirées vers l’arrière, les yeux au sol. Avec un mètre de couturière, elle prit quelques mesures : la longueur des bras, des jambes, le tour de son thorax, de son cou et de sa taille. Au passage, elle ne se priva pas de soulever sa cage de chasteté pour lui palper les couilles, comme ça, pour rien, ou tout au moins juste pour le plaisir d’humilier. Elle ne manqua pas d’ailleurs de faire un commentaire :
- Mouais… Ca manque de souplesse tout ça !
Et pour cause, la douche froide avait fait rapetisser le sac du chien soumis. Monsieur le Vicomte, toujours présent devenait impatient, il interrogeait cette femme en lui demandant si elle en avait pour longtemps.
- Ah Charles Edouard, tu me stresse tout le temps, tu sais que je n’aime pas ça ! lui répondit-elle en maugréant et en partant vers un placard mural.
Elle apporta une chemise blanche, parfaitement blanche et particulièrement bien repassée. Elle marmonnait :
- Ca devrait lui convenir !
Elle la déplia, mais juste avant de la passer à soumis Endymion MDE, elle interpella Monsieur le Vicomte.
- Tu ne lui mets rien dessous ?
- Oh ma bonne Juliette, où ai-je la tête ? Mais bien sûr, je veux qu’il porte un harnais de cuir.
Maître CharlEd quitta la pièce précipitamment, Juliette haussa les épaules en déclarant :
- Ah, il faut tout lui dire… ce n’est pas vrai ça !
En attendant que Monsieur le Vicomte revienne, elle en profita pour palper un peu soumis Endymion MDE, elle regarda les traces de cravache et de fouet laissées sur son corps puis elle lui glissa un doigt dans le cul, en imprimant des mouvements rotatif tout en faisant quelques vas et viens pour tester l’élasticité de sa rondelle. Elle marmonna encore :
- Ca vient de se faire enculer ça !
- Tout juste ma bonne Juliette ! Le cul de cette chienne en a pris une, bien longue et bien épaisse, il n’y a pas si longtemps, reprit Maître CharlEd revenant essoufflé et à grands pas.
C’est lui-même qui installa et posa le harnais puis il laissa Juliette enfiler la chemise blanche.
- Cravate ou nœud pap ? interrogea-t-elle encore.
- Un nœud papillon, lui répondit-il.
Elle montra amusée ensuite des boutons de manchettes qu’elle voulait installer pour fermer les manches de cette chemise. En or, ces des boutons de manchettes représentaient des bites érigées !
- Tu as toujours de bonnes idées ! s’esclaffa Maître CharlEd.
- Bon et pour le bas, sous-vêtement ou à poil ?
- Oui un jock strap, noir s’il te plait !
- Très bien et un plug dans le cul, je suppose ?
- Non, mais là encore, ma bonne Juliette, j’allais oublier quelque chose, attends un peu, je reviens !
Juliette rouspéta et râla encore, mais simplement pour le principe :
- Toi qui me demandais de me dépêcher…
Monsieur le Vicomte revint rapidement, tenant en main une seringue mais sans aiguille, contenant un liquide blanchâtre.
- Tourne-toi chienne, pose tes mains sur cette table et tend ton cul ! Le ton était très autoritaire…
Juliette se précipita sur soumis Endymion MDE et s’empressa de lui tenir les deux lobes fessiers pour bien lui dégager la raie. La seringue s’enfonça dans son rectum, Maître Charled poussa sur le piston injecta le liquide.
- Retourne toi maintenant chienne, et tache de garder cette bonne et bienfaitrice crème dans ton cul de lope. Tu connais maintenant ses effets, soit rassuré, tu vas devenir encore une bonne chiennasse ! Une vraie bonne chienne à qui je vais demander de bien se tenir et de bien se comporter, au moins dans un premier temps.
Maître CharlEd souriait, un sourire sibyllin, énigmatique, mais pour autant vicieux. soumis Endymion MDE ne comprenait plus rien… que voulait le Maître, que voulait-il faire de lui. Etrange sensation aussi que de porter des vêtements, depuis le temps qu’il vivait nu, pourquoi l’habillait-on ? Juliette lui enfila son jock trap, s’empressa d’ajuster la cage de chasteté tout en admirant son fessier rebondit et bien dégagé, puis elle lui passa des fines chaussettes noires, un pantalon de costume gris, un gilet ainsi qu’une veste assortie. Enfin elle lui tendit une paire de mocassin verni, mais avant de les lui chausser, elle présenta les chaussures devant la bouche de l’esclave MDE.
- Fais-moi plaisir petite chienne, passe ta langue sur ces semelles !
soumis Endymion MDE lécha avec application les semelles quand Juliette lui dit avec un sourire et sur un ton presque aimable, ce qui trancha du ton employé jusque-là par la couturière :
- Au fait, esclave MDE, comment va ma cousine ? Tu es autorisé à parler pour me répondre …
- Pa… ? … pardon Madame ?... Votre cousine ? … Quelle cousine ? répondit soumis Endymion MDE qui ne comprenait rien à ce que lui demandait la couturière.
- Ma cousine, Marie ! Au Château du Maître, en France !
Ainsi soumis Endymion MDE comprit enfin pourquoi il avait remarqué une certaine ressemblance, tantôt, laquelle il ne pouvait dire à qui ressemblait cette femme couturière. C’était tout simplement à Marie la cuisinière du Château de Monsieur le Marquis d’Evans. Alors, il s’empressa de répondre :
- Elle va bien, je vous remercie pour elle
- Bon, je lui téléphonerai pour lui dire que je me suis occupé d’un des esclaves du Château …
- Aller, assez causé, il faut y aller, coupa court Maitre CharlEd
Alors, CharlEd exigea que l’esclave le suive !
(A suivre…)
Alors, il prit ce chibre plus profondément encore en laissant glisser sa langue sur cette longue et épaisse hampe dressée à son maximum, il allait et venait sur elle, la prenant jusqu’en fond de gorge. Ces mouvements amplifiés par un déhanchement incontrôlable de soumis Erwan, faisait brinqueballer entre ses cuisses, le poids accroché à ses couilles, lui arrachant quelques petits gémissements plaintifs autant que jouissifs. Lui aussi recevait quelques coups de cravache sur ses fesses déjà bien meurtries et finement striées, il devait respecter les ordres et se tenir immobile et impassible. S’il avait à jouir, il devait le faire sans pour autant, en montrer une quelconque expression ! Et c’est ainsi qu’il lâcha une seconde fois son foutre, toujours aussi épais et abondant. Il gicla ainsi plusieurs fois, inondant littéralement la bouche de soumis Endymion MDE qui avait reçu l’ordre de tout avaler sans jamais en omettre une seule goutte, à tel point qu’il en perdit le souffle et fut pris d’un haut le cœur. Ce spasme incontrôlable lui fit régurgiter une petite partie de cette semence ! Maitresse Marina s’en aperçut, sa cravache entra encore en action, elle ne lésina pas sur le nombre de coups portés. soumis Endymion MDE plia sous le coup de semonce, il se recroquevilla en se protégeant la tête de ses deux mains, en serrant les cuisses, pour abriter ses couilles et sa queue toujours tendue tant la situation, fusse-t-elle douloureuse, l’excitait. Il bandait comme un âne…
- Comment oses-tu recracher ce que nous t’offrons ! Reprit calmement et sereinement Maître CharlEd.
Il resta silencieux quelques longues secondes, toisant l’esclave à ses pieds, puis il reprit :
- Nous allons te gaver comme une oie du jus de tes congénères, une chienne de ton espèce doit savoir apprécier le foutre de ces chiens mâles. Lors de la prochaine séance de purge collective, c’est toi qui seras désigné pour bouffer toute la semence du cheptel. Mais pour l’heure, lèche ce que tu as laissé tomber de ta bouche et repositionne toi, à genoux, fessier posé sur tes talons, mains dans le dos et bouche grande ouverte.
Monsieur le Vicomte d’Evans s’était mis juste à côté de soumis Erwan, il lui attrapa la queue et commença une longue masturbation, s’acharna sur cette queue tant et plus, pour le faire gicler une troisième fois. Erwan avait de plus en plus de mal à rester immobile, le poids entre ses cuisses balançait et gigotait dans tous les sens. Il se mordait les lèvres, fermait les yeux, pour mieux se concentrer sur cette éjaculation qui ne venait pas. Il lui fallut un bon quart d’heure avant que son sperme jaillisse de nouveau et s’écrase tout contre le visage de soumis Endymion MDE juste en face, toujours immobile, bouche grande ouverte. Bien que moins abondante mais encore conséquente, l’éjaculation fut projetée sur le nez, les lèvres et les joues de l’esclave agenouillé. Alors sans attendre un quelconque ordre, soumis Endymion MDE se lécha les babines pour récolter un maximum de foutre. Maitresse Marina l’aida, pour cela elle cueillit du bout de son index le sperme hors de portée de sa langue, et lui fit lécher ses doigts.
- Ses couilles sont loin d’être vides, mais le temps m’est compté, je vous le laisse Mesdames, vous n’avez qu’à le mettre à la trayeuse, jusqu’à ce que la source soit tarie. Pensez à bien récolter son foutre, je suis sûr qu’Endymion MDE s’en régalera plus tard.
Monsieur le Vicomte, un sourire vicieux aux lèvres, attrapa soumis Endymion MDE par son collier, le fit se redresser et lui ordonna de le suivre. Il l’entraina ainsi tenu fermement dans les longs couloirs pour le conduire dans une salle de douche commune.
- Tu as dix minutes pour te laver correctement !
Maître CharlEd resta là, bras croisés, regardant attentivement son chien soumis se laver sous cette eau terriblement fraiche. De temps à autre, il ordonnait :
- Ton cul, lave le correctement, glisse toi un doigt savonneux dans ton fion et rince toi bien, petite chienne.
Et lorsqu’il eut décidé que l’esclave fut propre, il lui tendit une serviette et lui demanda de s’éponger et se sécher. Il profita de cet instant, pour lui réinstaller sa cage de chasteté, puis l’emmena dans une autre pièce, jouxtant la salle de bain. Là, il y avait une femme, qu’il n’avait jamais vue jusqu’ici, elle devait avoir une cinquantaine d’années, bien en chair, les cheveux relevés en chignon, un air méprisant et autoritaire, de grands yeux ronds dominants. Ce qui frappa le soumis c’est que ce visage sévère lui rappelait quelqu’un, une certaine ressemblance avec une de ses connaissances, mais qui ? Pour le moment, il ne savait pas à qui cette femme visiblement dominatrice ressemblait … Sans mot dire, elle attrapa soumis Endymion MDE par son collier et l’entraina au beau milieu de cette pièce quelque peu exiguë et encombrée par des portants sur lesquels pendaient un grand nombre de vêtements. Elle figea son regard sur l’esclave, exigeant de lui qu’il se tienne droit, les épaules relevées et tirées vers l’arrière, les yeux au sol. Avec un mètre de couturière, elle prit quelques mesures : la longueur des bras, des jambes, le tour de son thorax, de son cou et de sa taille. Au passage, elle ne se priva pas de soulever sa cage de chasteté pour lui palper les couilles, comme ça, pour rien, ou tout au moins juste pour le plaisir d’humilier. Elle ne manqua pas d’ailleurs de faire un commentaire :
- Mouais… Ca manque de souplesse tout ça !
Et pour cause, la douche froide avait fait rapetisser le sac du chien soumis. Monsieur le Vicomte, toujours présent devenait impatient, il interrogeait cette femme en lui demandant si elle en avait pour longtemps.
- Ah Charles Edouard, tu me stresse tout le temps, tu sais que je n’aime pas ça ! lui répondit-elle en maugréant et en partant vers un placard mural.
Elle apporta une chemise blanche, parfaitement blanche et particulièrement bien repassée. Elle marmonnait :
- Ca devrait lui convenir !
Elle la déplia, mais juste avant de la passer à soumis Endymion MDE, elle interpella Monsieur le Vicomte.
- Tu ne lui mets rien dessous ?
- Oh ma bonne Juliette, où ai-je la tête ? Mais bien sûr, je veux qu’il porte un harnais de cuir.
Maître CharlEd quitta la pièce précipitamment, Juliette haussa les épaules en déclarant :
- Ah, il faut tout lui dire… ce n’est pas vrai ça !
En attendant que Monsieur le Vicomte revienne, elle en profita pour palper un peu soumis Endymion MDE, elle regarda les traces de cravache et de fouet laissées sur son corps puis elle lui glissa un doigt dans le cul, en imprimant des mouvements rotatif tout en faisant quelques vas et viens pour tester l’élasticité de sa rondelle. Elle marmonna encore :
- Ca vient de se faire enculer ça !
- Tout juste ma bonne Juliette ! Le cul de cette chienne en a pris une, bien longue et bien épaisse, il n’y a pas si longtemps, reprit Maître CharlEd revenant essoufflé et à grands pas.
C’est lui-même qui installa et posa le harnais puis il laissa Juliette enfiler la chemise blanche.
- Cravate ou nœud pap ? interrogea-t-elle encore.
- Un nœud papillon, lui répondit-il.
Elle montra amusée ensuite des boutons de manchettes qu’elle voulait installer pour fermer les manches de cette chemise. En or, ces des boutons de manchettes représentaient des bites érigées !
- Tu as toujours de bonnes idées ! s’esclaffa Maître CharlEd.
- Bon et pour le bas, sous-vêtement ou à poil ?
- Oui un jock strap, noir s’il te plait !
- Très bien et un plug dans le cul, je suppose ?
- Non, mais là encore, ma bonne Juliette, j’allais oublier quelque chose, attends un peu, je reviens !
Juliette rouspéta et râla encore, mais simplement pour le principe :
- Toi qui me demandais de me dépêcher…
Monsieur le Vicomte revint rapidement, tenant en main une seringue mais sans aiguille, contenant un liquide blanchâtre.
- Tourne-toi chienne, pose tes mains sur cette table et tend ton cul ! Le ton était très autoritaire…
Juliette se précipita sur soumis Endymion MDE et s’empressa de lui tenir les deux lobes fessiers pour bien lui dégager la raie. La seringue s’enfonça dans son rectum, Maître Charled poussa sur le piston injecta le liquide.
- Retourne toi maintenant chienne, et tache de garder cette bonne et bienfaitrice crème dans ton cul de lope. Tu connais maintenant ses effets, soit rassuré, tu vas devenir encore une bonne chiennasse ! Une vraie bonne chienne à qui je vais demander de bien se tenir et de bien se comporter, au moins dans un premier temps.
Maître CharlEd souriait, un sourire sibyllin, énigmatique, mais pour autant vicieux. soumis Endymion MDE ne comprenait plus rien… que voulait le Maître, que voulait-il faire de lui. Etrange sensation aussi que de porter des vêtements, depuis le temps qu’il vivait nu, pourquoi l’habillait-on ? Juliette lui enfila son jock trap, s’empressa d’ajuster la cage de chasteté tout en admirant son fessier rebondit et bien dégagé, puis elle lui passa des fines chaussettes noires, un pantalon de costume gris, un gilet ainsi qu’une veste assortie. Enfin elle lui tendit une paire de mocassin verni, mais avant de les lui chausser, elle présenta les chaussures devant la bouche de l’esclave MDE.
- Fais-moi plaisir petite chienne, passe ta langue sur ces semelles !
soumis Endymion MDE lécha avec application les semelles quand Juliette lui dit avec un sourire et sur un ton presque aimable, ce qui trancha du ton employé jusque-là par la couturière :
- Au fait, esclave MDE, comment va ma cousine ? Tu es autorisé à parler pour me répondre …
- Pa… ? … pardon Madame ?... Votre cousine ? … Quelle cousine ? répondit soumis Endymion MDE qui ne comprenait rien à ce que lui demandait la couturière.
- Ma cousine, Marie ! Au Château du Maître, en France !
Ainsi soumis Endymion MDE comprit enfin pourquoi il avait remarqué une certaine ressemblance, tantôt, laquelle il ne pouvait dire à qui ressemblait cette femme couturière. C’était tout simplement à Marie la cuisinière du Château de Monsieur le Marquis d’Evans. Alors, il s’empressa de répondre :
- Elle va bien, je vous remercie pour elle
- Bon, je lui téléphonerai pour lui dire que je me suis occupé d’un des esclaves du Château …
- Aller, assez causé, il faut y aller, coupa court Maitre CharlEd
Alors, CharlEd exigea que l’esclave le suive !
(A suivre…)
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