La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 616)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 616) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 616)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°615) - L’Emir Abdallah et les Princes Arabes -

Le lendemain, juste avant de s’installer au volant de cette superbe limousine noire, Maître CharlEd avait menotté soumis Endymion MDE, mains dans le dos et l’avait fait asseoir, cuisses ouvertes, au centre de la banquette arrière, afin qu’il puisse avoir toujours un œil sur lui, via le rétroviseur intérieur du véhicule. La voiture venait tout juste de sortir du garage que déjà, l’esclave MDE commençait à ressentir les premiers effets de cette crème aphrodisiaque. En lui, une irrépressible chaleur commençait à l’envahir, ses sphincters se contractaient et se relâchaient comme une mécanique finement réglée. Il se mordit les lèvres et serra les dents pour ne pas gémir et essaya de se changer les idées en regardant défiler ces gratte-ciel démesurés. La circulation était dense, bruyante sinon effrayante en plein cœur de New-York. Que ces Terres Beaujolaises, calmes, vallonnées et verdoyantes étaient loin, et ce Noble et magnifique Château, et le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, comme tout ça lui manquait... Comment ces Américains pouvaient-ils vivre ainsi ? L’esprit de soumis Endymion MDE tentait de s’évader, malgré ces lancinants soubresauts ressentis, il avait maintenant vraiment l’impression d’être enculé, mais sans qu’aucune queue ou qu’aucun gode ne force ses chairs intimes, lui provoquant ainsi un manque très frustrant. Sa queue cherchait à s’épanouir, en vain évidemment, son gland s’écrasait contre les parois de cette cage devenue subitement beaucoup trop étroite.

La voiture bifurqua brusquement sur la droite, et au détour de ce virage dans un grand carrefour New-Yorkais, pris rapidement, le chien soumis MDE laissa échapper un râle jouissif incontrôlable. Maître CharlEd, par le rétroviseur, dévisagea sévèrement, Son chien soumis. Puis lorsque la voiture s’immobilisa aux feux tricolores, Monsieur le Vicomte se retourna et donna deux magistrales gifles à Son chien soumis.

- Je t’ai exigé de te tenir salope !

Certains passants avaient vus la scène, l’un d’entre eux, un grand et mince black élancé, d’ailleurs frappa furtivement à la glace de la portière avant droite et leva un pouce en direction de Monsieur le Vicomte en signe d’approbation, puis il partit rapidement en souriant. L’esclave MDE, honteux et humilié, baissa la tête servilement. La voiture reprit sa route et atteignit peu après le cœur de Midtown et remontait Madison Avenue. Elle s’arrêta au numéro 455, juste devant le Lotte New York Palace. Un voiturier habillé impeccablement se précipita et ouvrit la portière du conducteur, tout en ôtant sa casquette avec respect :

- Bonjour Monsieur le Vicomte d’Evans, heureux de vous revoir parmi nous.

Maître CharlEd saluait courtoisement l’employé d’hôtel, et lui demandait de lui accorder quelques minutes. Le voiturier fit quelques pas en arrière pour s’éloigner discrètement du véhicule et de ses passagers afin de ne pas entendre.

- Tu descends chienne ! ordonna le Maître.

soumis Endymion MDE, tant bien que mal s’extirpa du véhicule et sitôt sorti, Monsieur le Vicomte, lui ôta les menottes.

- Tu me suis, un pas derrière moi, et attention à ta conduite !

Le luxueux hôtel était simplement magnifique et somptueux, du marbre de partout, des tentures extraordinaires, des boiseries finement ciselés, des immenses verrières éclairant un hall gigantesque. Un hôtel réservé aux gens très fortunés, à l’évidence lequel Hôtel Monsieur le Vicomte fréquentait régulièrement. Maître CharlEd avança vers le vaste comptoir derrière lequel se trouvait un concierge gracieux, courtois, polis et respectueux.

- Bonjour Monsieur le Vicomte d’Evans, bienvenue au Lotte New York Palace, vous êtes attendu. L’Emir Abdallah a pris la Suite Princière et habituelle au dernier étage, porte 250, il vous attend, nous allons vous accompagner.

Un liftier se tenait à disposition :

- Si Monsieur le Vicomte veut bien se donner la peine de me suivre !

soumis Endymion MDE concentré sur ses pulsions et besoins sexuels n’en menait pas large, il tentait tant bien que mal à les contenir, même si parfois son corps le trahissait. Il n’arrivait pas toujours à dompter quelques secousses, tremblements, ou ondulations scabreuses. Le Maître, ne le lâchait pas des yeux, fronçant parfois les sourcils, avec un regard plus que sévère. Pourquoi l’amenait-on ici, qu’allait-il devoir subir ? Il n’en savait encore rien…. Un homme en djellaba vint ouvrir la porte de la Suite. Il s’inclina très respectueusement devant Monsieur le Vicomte d’Evans et le pria d’entrer. Maître CharlEd ordonna à soumis Endymion MDE d’attendre dans l’antichambre, debout et sans bouger. Il resta ainsi là à attendre pendant plus d’une heure, comme hébété dans une confusion mentale proche d’un état pathologique caractérisé par une désorganisation de tous ses processus psychiques. Sa seule préoccupation : son cul ! Il était de plus en plus bouillant, brulant, affamé et impatient. Incroyables sensations, lui laissant penser que jamais plus il ne serait rassasié. Il était dans ces réflexions perverses et intimes lorsque le Maître réapparu enfin, accompagné d’un homme assez âgé, frêle, mince avec une longue barbe poivre et sel. Il portait une tenue traditionnelle des Emirats Arabes Unis : la dishdash (une longue robe blanche) et un keffieh (foulard) sur la tête, tenu par un agal (sorte de tuyau noir et assez lourd qui maintien le keffieh sur la tête).

- Qu’attends tu, chien pour te prosterner aux Nobles Pieds de son Excellence l’Emir Abdallah ! ordonna Maître Charled.

soumis Endymion MDE plongea immédiatement au sol et se positionna tel qu’on lui avait appris, les épaules au sol, tête plaquée, les reins cambrés et le cul relevé. Son cœur battait, il avait du mal à respirer, il était terriblement angoissé…

- Ecoute-moi bien chiennasse !

L’angoisse le reprit de plus bel, en une fraction de seconde son cerveau se mit en ébullition, il craignait qu’on lui fasse une annonce terrible, sa cession auprès de cet Emir… fini les cachots du Château de Monsieur le Marquis d’Evans, fini cette vie servile auprès de Monsieur le Marquis d’Evans…. Des larmes se mirent à couler sur ses joues, impossible de contenir ses sanglots…

- Ecoute-moi chiennasse, répétait Maître CharlEd.

Cette voix résonnait dans sa tête, serait-ce la dernière fois qu’il l’entendrait ?

- Ecoute-moi chiennasse te dis-je, au lieu de chialer comme tu le fais, tu ferais mieux de te concentrer sur ce que j’ai à te dire. Son Excellence, Monsieur l’Emir Abdallah, grand ami en personne de Monsieur le Marquis d’Evans, a besoin de tes services jusqu’à demain matin. Tu vas lui obéir et le satisfaire en tout point, quoi qu’il te demande de faire, tu feras, quoi qu’il t’ordonne, tu obéiras. Je le veux, Monsieur le Marquis d’Evans le Veut et il compte sur ton asservissement et ta totale docilité, pour satisfaire en tout point Son Excellence. Le Maître te fait entièrement confiance, Il sait que tu es une bonne chienne et qu’il peut compter sur toi. Relève-toi maintenant !

L’esclave MDE se redressait et respirait un grand coup, il se sentait soulager, l’épreuve auprès de cet Emir ne durerait pas trop longtemps…. Maître CharlEd lui passa une main sur son visage pour essuyer ses larmes et lui posa un baiser sur le front, puis il quitta la pièce en compagnie de l’Emir. Son Excellence revint au bout de quelques minutes seulement, accompagné d’un jeune homme en djellaba. L’Emir en langue arabe s’adressa à celui qui devait être un servant. Le jeune homme recula de quelques pas et se tint immobile, le regard bas, juste derrière un prestigieux piano à queue de marque Steinway & Sons. L’Emir, d’un regard sévère s’adressa encore à lui, le jeune arabe inclina un peu plus encore la tête, il posa ses yeux sur la pointe de ses pieds nus dépassant de sa djellaba… Son Excellence s’intéressait désormais à soumis Endymion MDE, il le toisait de la tête aux pieds d’un air hautain et dominant puis d’un pas lent et mesuré, à plusieurs reprises, fit le tour de l’esclave MDE. Lui ne bougeait pas, il gardait les mâchoires serrées, le regard bas, il ne bougea pas non plus d’un iota, lorsqu’il sentit la main vicieuse de l’Emir passer sur son pantalon et lui caresser les fesses. Cette main glissa entre ses cuisses entrouvertes. Un doigt cherchait à titiller le petit trou de soumis Endymion MDE. Il n’en fallait pas plus pour réveiller les sens lubriques de l’esclave MDE, il se laissa aller à un long gémissement tout en se cambrant et en écartant un peu plus les jambes. Mais l’Emir en resta là, il revint face à lui, de sa main gauche il lui souleva le menton pour le regarder droit dans les yeux, de son autre main, il dégrafa lentement la fermeture éclair de son pantalon puis fit glisser le jockstrap sous ses couilles et dégagea ses attributs mâles encagés.

- Bienvenue à toi mon garçon et à ces jolies petites couilles !

L’Emir s’exprimait en Français parfaitement, juste une petite pointe d’accès avec des R roulés. L’esclave MDE inclina la tête un peu plus en guise de respect et de marque de déférence. Il se laissait palper les burnes sans broncher. Son Excellence héla son servant en lui donnant un ordre en arabe. Il s’avança rapidement et ôta la veste de costume de soumis Endymion MDE qu’il posa au dossier d’une chaise, puis reprit place instantanément, exactement au même endroit et dans la même position.

- Chez moi, à cette heure, nous buvons le thé. Tu vas nous le servir ! Mourad, mon sbire ici présent va te montrer comment tu dois faire. Suis-le !

L’Emir relâcha le service trois pièces de soumis Endymion MDE, mais le laissa sorti du pantalon, puis interpella Mourad dans sa langue. Le servant fit comprendre à l’esclave MDE qu’il devait le suivre. Ils arrivèrent dans un office, et préparèrent le thé, le laissèrent infuser. Pendant ce temps, Mourad tendit un grand plateau à soumis Endymion MDE, lui montra comment il devait le tenir, sur une main seulement, puis il posa sept tasses et enfin la théière. Ils regagnèrent ensuite un vaste et somptueux salon rempli d’ornements orientaux. Il y avait là sept hommes arabes, tous vêtus de la même manière que l’Emir. Ils étaient assis par terre, en cercle autour d’une table basse, un immense plateau de cuivre finement décoré, posés sur un trépied. Installés sur un épais et moelleux tapis persan, Ils s’échangeaient une chicha et fumaient le narguilé. Une musique douce et orientale apportait une ambiance de leur Pays. Tous s’arrêtèrent de converser, lorsqu’ils virent entrer Mourad et soumis Endymion MDE.

- Approche mon garçon, tient toi ici, près de moi, Mourad va nous servir, dicta l’Emir

soumis Endymion MDE faisait pâle figure. Sa main portant le plateau tremblait, il se sentait particulièrement ridicule, là, immobile, tout habillé avec seulement sa nouille encagées et ses burnes sorties de sa braguette et exposées aux regards de ceux présents. Les sept hommes reprirent leur conversation, bien évidemment l’esclave MDE ne comprenait rien de ce qu’ils disaient. Il avait seulement l’impression qu’on parlait de lui, qu’on le ridiculisait. Il avait également l’impression que parfois des regards insistants se posaient sur sa bite et ses couilles avec en sus des grands éclats de rire. Concentré, il restait figé, maitrisant ces incessantes sensations, à la fois agréables et douloureuses mais toujours persistantes au niveau de son cul et de ses sphincters. Ce fut qu’au bout d’un certain temps, qu’un des sept hommes se leva et s’approcha de lui. Il se plaça derrière son dos et commença à lui retirer lentement sa chemise de son pantalon puis il dégrafa très tranquillement chacun des boutons. Les six autres, les yeux brulants, regardaient ce striptease imposé. Il s’arrêta près du col, dégagea le dernier bouton mais laissa en place le nœud papillon. Il prononça quelques mots dans sa langue maternelle, à l’intention de Mourad, tout en continuant bien à dégager les deux pans de la chemise ouverte, laissant entrevoir le harnais de cuir porté, puis il pinça délicatement les tétons de soumis Endymion MDE. Mourad partit rapidement et revint aussi vite, bras tendus à l’horizontal, mains offertes sur lesquelles étaient posées un sabre court au manche courbé avec une lame brillante et tranchante. La vue de cet objet terrorisa soumis Endymion MDE. L’homme d’une main s’en saisit, le présenta sous les yeux de l’esclave MDE. De son autre main libre, il entoura à leur base les attributs génitaux du chien soumis et porta la lame du sabre tout près de son pubis.

- Ici, les chiens désobéissants on leur coupe les couilles… ici, les chiens qui se touchent la bite sans autorisation, on leur coupe et la queue et les couilles. As-tu bien compris salope ? Le ton était ferme et dominant.

soumis Endymion MDE tremblant et apeuré hocha bien vite de la tête pour acquiescer. Alors l’Emir se leva et intervint à son tour :

- Si tu as bien compris alors je peux libérer ta queue de cette cage car, moi j’aime voir des bites, fussent-elles celles d’un chien comme toi.

Sitôt la cage déverrouillée et ôtée, soumis Endymion MDE présenta une queue en grande forme. Elle s’érigeait fièrement presque orgueilleusement, présomptueusement ! L’Emir appela son servant, qui s’agenouilla devant la bite du chien soumis MDE, puis déposa quelques doux baisers sur son gland violacé et totalement décalotté. Il reçut un nouvel ordre, se redressa aussitôt, se retourna, releva sa djellaba, sous laquelle il était nu, se pencha en avant en s’écartant les fesses et en s’appuyant contre le chibre de l’esclave MDE. L’Emir prit en main cette arrogante queue, la dirigea tout contre la rondelle de son servant, puis prestement, passa derrière soumis Endymion MDE, attrapa le haut des cuisses de Mourad le tira alors qu’au même moment il poussait l’esclave MDE d’un coup sec pour que les deux chiens s’emboitent d’un trait. Mourad gueula, tant la pénétration fut brutale et sans préparation mais en guise de consolation, il reçut deux violentes gifles sur chacune de ses joues, avec en sus quelques mots injurieux moitié arabes, moitié français.

- A quatre pattes les salopes, vite ! et restez emboités sans bouger ! dicta l’Emir dans les deux langues

Alors que soumis Endymion MDE, tant bien que mal chevauchait Mourad, il sentit la lame du sabre fendre l’arrière de son pantalon dans l’axe de la couture et de son sillon anal. Des mains finirent d’arracher les pans découpés pour dégager son cul. Et là, sans aucun autre préambule, l’Emir à genoux, releva sa dishdash et pointa sa verge érigée, tout contre le trou du chien soumis MDE et l’encula sauvagement. Les coups de butoirs étaient violents, énergiques un brin agressifs sinon farouches, les couilles de l’Emir claquaient tout contre les fesses de soumis Endymion MDE, qui maintenant avait la tête sous une autre dishdash et suçait une queue d’une belle taille. Des mains s’étaient glissées entre sa poitrine et le dos de Mourad, des doigts s’agrippaient à ses tétons et les pinçaient activement, allègrement. Mourad, lui aussi suçait un hôte de l’Emir assis en tailleur, lui aussi se faisant travailler les mamelons, tout en percevant activement l’enculade de soumis Endymion MDE. La pénétration était telle qu’elle projetait en avant le bassin de l’esclave MDE de telle sorte qu’elle rythmait la sodomie subie par le servant. En quelques secondes, tout au plus, le salon bien tranquille s’était transformé en une fresque orgiastique, où les mâles en rut s’affichaient sans pudeur ni vergogne ! soumis Endymion MDE se pâmait, enculeur et enculé en même temps, il s’imposait, non sans mal, à retenir sa jouissance pendant tout le temps de ces coïts successifs, où chacun leur tour, les sept Princes Arabes se déchargèrent en lui, déversant leur flot de foutre.

En loque, à moitié nu, vêtements froissés et déchirés, soumis Endymion MDE, n’eut pas le temps de reprendre ses esprits. Il était maintenant à quatre pattes, immobile, au centre du tapis. On venait de lui poser sur le dos un lourd fardeau, une plaque de verre épaisse servant de table. Les Princes Arabes s’étaient de nouveau assis en tailleur tout autour et reprenait un thé vert en attendant de passer à des choses beaucoup plus sérieuses.

(A suivre…)

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