La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 626)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 344 149 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 978 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 626)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°622) - Une belle surprise pour l’esclave MDE ! -
soumis Endymion MDE s’était installé à quatre pattes et avait enfourné sa queue dans cet accessoire branleur de bites et commençait à agiter son bassin par des longs va et vient qui lui faisait du bien, tel un mâle en rut, sans se préoccuper de ceux qui le regardaient. Totalement désinhibé et seulement obsédé à se vidanger les couilles, il faisait fi de son comportement obscène et impudique devant toute la slave Académie réunie. En effet, les chiens soumis mâles avaient appris à ne plus avoir de préjugés, à ne plus éprouver le déshonneur, l’embarras ou le trouble fusse dans la dépravation, tous se comportaient naturellement sans avoir conscience d’une quelconque honte ou humiliation. D’ailleurs les mots ‘’pudeur’’, intimité’’, ‘honte’’ étaient bannis du vocabulaire et ne devaient pas exister pour les esclaves. A la slave Académie BDSM-MDE, l’activité sexuelle, la sexualité en général était un acte courant, banal, vécu au grand jour, seul comptait le désir ardent et immodéré de tous, ce besoin de sexe omniprésent, d’autant plus présent qu’il était contrôlé et réprimé par une chasteté stricte et rigoureuse des chiens soumis mâles stagiaires. La nudité constante permettait à chacun des esclaves d’accepter ce stéréotype imposé.
soumis Endymion MDE s’agitait, forniquait dans cette machine qui lui provoquait une stimulation incroyablement intensive. Par ses mouvements de plus en plus rapides, le masturbateur pivotait, tournait autour de sa queue, l’avalait, la suçait, la massait et l’excitait de manière ciblée lui faisant perdre tout contrôle de lui-même. Dans cette grande salle du conseil, le silence régnait, tous les regards étaient portés sur l’objet esclave MDE copulant et s’accouplant avec l’objet branleur. Au bout de quelques minutes seulement et à grand fracas, brisant le calme, il éjacula intensément en hurlant son plaisir, tout en se cabrant et se tétanisant. A plusieurs reprises, il juta par spasmes, pubis collé à la paroi externe du masturbateur, envoyant une quantité de foutre incroyable au fond de cette machine qui en quelques minutes seulement l’avait conduit vers un orgasme puissant et d’une rare intensité.
- Alors Mon chien, tes burnes se sont-elles libérées de tes ignobles souillures ?
A peine venait-il de reprendre ses esprits et son souffle, qu’une main lui caressait les fesses, un pouce glissait et s’introduisait dans son anus, mais cette voix… soumis Endymion MDE la reconnaissait… Encore sonné, tremblant et frissonnant, il rouvrit les yeux, se retourna un tant soit peu. Cette voix, n’était autre que celle de Monsieur le Marquis d’Evans en personne…
- Oh Maî… Maître, Vénéré Maître ! …Vous ? ici ?
soumis Endymion MDE ne put retenir ces mots, tant il était surpris et si heureux de revoir, enfin, Le Maître. Monsieur le Marquis d’Evans était là en chair et en os, devant lui, un petit sourire aux lèvres, les yeux bleus intenses vifs et brillants, et il regardait son chien soumis d’un air amusé, content de lui avoir réservé une telle et belle surprise… Quelques secondes après, Le Maître se ravisa, son regard devint plus sombre et plus sobre, il dicta à Son esclave MDE :
- Dégage ta nouille de cet objet Mon chien et vient te prosterner à Mes pieds, comme tu dois le faire à chaque fois que tu me vois.
Sans une once d’hésitation, dans une levrette parfaite, soumis Endymion MDE s’exécuta. Il était tellement heureux de revoir celui qui l’avait envoyé ici, son être tout entier tremblait par l’émotion, un doux frisson remontait le long de sa colonne vertébrale. Le Maître s’était accroupi devant lui et lui caressait la tête, ses mains glissaient sur ses épaules posées au sol…
- Tu es devenu une bonne pute, Mon chien, c’est ce que je voulais que tu deviennes en intégrant Ma slave Académie. J’ai suivi via internet et au quotidien tes progrès, j’ai apprécié tes motivations et tes volontés d’abandon. Je suis fier de toi !
Qu’est-ce que pouvait espérer de mieux celui qui était prosterné aux Nobles pieds du Maître. Il était heureux, immensément heureux de revoir le Maître, de l’entendre dire qu’il était fier de Son esclave soumis. L’émotion le submergeait, des larmes de joie et d’émotions glissèrent sur ses joues. Il me pouvait retenir ses larmes de bonheur.
- Redresse-toi Mon chien et suis moi.
Monsieur le Marquis d’Evans et soumis Endymion MDE quittèrent la salle du conseil pour regagner tout près un bureau, mais pas n’importe lequel, celui qui était réservé au Maître lorsqu’il venait visiter Sa slave Académie BDSM-MDE, ici aux Etats-Unis d’Amérique. Il s’assit derrière une grande et sobre table de marbre et demanda à soumis Endymion MDE de venir se coucher à plat dos sur celle-ci en mettant ses membres en croix. Pendant un long moment, sans mot dire, Monsieur le Marquis caressa et palpa son esclave MDE. Il constata qu’ici dans Sa noble Académie, Son chien soumis avait perdu un peu de graisse mais pris une très bonne musculature suite aux exercices intensifs de culture physique. Puis Il examina de près le tatouage qui désormais ornait sa poitrine. Il appréciait cette marque indélébile laissée par son grand et vieil ami l’Emir Abdallah :
- Bientôt d’autres ornements viendront agrémentés et embellir ton corps, juste en dessous de celui-ci, mais en attendant Mon chien, donne-moi ton cul que j’en reprenne possession.
Sans plus attendre, soumis Endymion MDE fit glisser son corps et posa son fessier tout contre le rebord de la table, écarta largement les cuisses, remonta ses genoux contre sa poitrine et se laissa posséder en agrippant ses mains à cette table, tant les coups de butoirs furent intenses et fermes dès le début de ce furieux coït. Le Maître le limait avec une folle énergie, ses coups de reins étaient d’une intensité inouïe, sa noble queue s’engouffrait et se retirait avec véhémence. Il niquait Son chien soumis ainsi, voulant lui faire admettre qu’il le possédait de nouveau pleinement. Ses mains s’agrippèrent aux cuisses d’Endymion MDE, sa queue se logea au plus profond de lui et déchargea en plusieurs fois ce divin et précieux liquide qui inonda littéralement son anus. Quelques secondes après, la bite à demi-molle d’Endymion MDE gicla à son tour, sans qu’il ait eu la moindre stimulation manuelle, une éjaculation sans le moindre plaisir physique, mais une éjaculation tout de même que son mental avait ordonné tant le plaisir fut immense de se faire prendre par le Vénéré Maître en personne. Alors, l’esclave MDE aussitôt présenta ses plus humbles excuses et demanda au Maître de le pardonner et de le punir s’il le fallait, car il n’avait pas su ni pu se contenir. Celui-ci le regarda attentivement puis rétorqua :
- Pourquoi te punirai-je, Mon chien ? Tu viens simplement de me prouver que tu étais devenu une bonne chienne, une bonne pute. Tu as simplement giclé, sans pour autant avoir d’orgasme, alors… Redresse-toi maintenant et suis-moi.
Monsieur le Marquis d’Evans avait reconduit Son esclave MDE auprès des autres stagiaires soumis. Tous, sauf deux, avaient joui, tous attendaient à genoux, mains sur la tête. soumis Endymion MDE dut se mettre près d’eux, dans la même posture. Monsieur le Vicomte montrait à son cher Oncle, Monsieur le Marquis et à soumis Endymion MDE ce qu’il tenait en main, un bocal en verre, dans lequel avait été récolté le sperme de dix stagiaires. La dose visqueuse et blanchâtre était pour le moins abondante.
- Regarde le chien, de bonnes vitamines pour toi… Ce sera ton apéritif du soir, un bon complément alimentaire…
Le Maître et son neveu rirent avec complicité, comptant humilier un peu plus encore soumis Endymion MDE. Puis sur ordre de Maitre CharlEd, les douze stagiaires mâles avancèrent à quatre pattes et tous vinrent embrasser les nobles pieds de Monsieur le Marquis d’Evans, leur bienfaiteur, le propriétaire de cette slave Académie et donc le généreux mécène sans lequel, ils ne pourraient pas vivre ce qu’ils vivent entre ces murs. Puis ils regagnèrent leur cellule. Là par petit groupe de deux, ils durent nettoyer de fond en comble, et ce dans les moindres recoins, toute la slave Académie. soumis Endymion MDE et un autre chien soumis gagnèrent les appartements de Maîtresse Marina et Madame Lauren. Ils durent tout ranger et tout nettoyer, avec parfois des coups de cravache sur leur postérieur dénudé, distribués à tort et à travers, simplement pour leur rappeler qu’ils n’étaient que des esclaves soumis.
L’esclave Axel, quant à lui, fut occupé une grande partie de la journée à faire du repassage. A chaque faux pli, il recevait deux coups de paddle en bois sur ces fesses, un moyen bien utile pour garantir un travail parfait, mais son postérieur ne ressemblait plus à rien, Il était terriblement tuméfié. Quant à soumis Endymion MDE, Madame Lauren dans un excès de zèle, lui avait demandé de nettoyer entièrement la salle de bain et les toilettes. Il dut frotter le carrelage et les faïences murales avec une brosse à dents, ses couilles enserrées dans un carcan l’empêchant de se tenir droit. A chaque manquement, Madame Lauren claquait ses couilles comprimées, pour le remettre sur le droit chemin. Toute la journée fut consacrée à ces tâches ménagères et d’entretien, et lorsqu’arriva 17 heures, les stagiaires durent prendre une bonne douche sous le regard sévère de leurs Educatrices. Il se tramait quelque chose à la slave Académie BDSM-MDE, les esclaves n’étaient pas dupe, mais ils ignoraient tous, ce qu’on leur réservait. Ils allaient bientôt le savoir ! Les douches prises, une Educatrice les passa en revu, leur ôta leur dispositif de chasteté et grommela sévèrement :
- Si j’en vois un seul se toucher la nouille, je vous garantis à tous, une dérouillée générale !
Les esclaves savaient à quoi s’en tenir… surtout que cette Dominante était l’une des plus sévères de toutes. Sur ordres, ils se mirent tous à quatre pattes, les uns derrière les autres, nez au cul, selon l’expression utilisée ici. Le troupeau se mit en route ainsi, ils longèrent le long couloir et regagnèrent ainsi, l’escalier conduisant à l’étage. Ils montèrent les marches à quatre pattes, avec pour certains des coups de martinets appuyés sur leurs flancs, pour leur rappeler que leur museau ne devait pas quitter le trou du cul de celui qui le précédait. La montée des marches, dans cet escalier en colimaçon, ne ressemblait en rien à celle de Cannes, elle fut pour le moins fastidieuse, si bien qu’arrivés à l’étage, les Educatrices semblaient furieuses. Elles houspillaient toutes :
- Vous n’êtes que des incapables, vous ne savez même pas obéir strictement, qu’allons-nous faire de vous bande de chiens ?
Les coups redoublaient, mais au même moment une Educatrice eut une idée autant géniale que perverse. Elle fit stopper le cheptel le long du couloir. Elle redescendit en hâte l’escalier et remonta précipitamment peu après avec un petit carton sous le bras. De ce carton, elle sortit onze double godes. Chaque dildo fut inséré profondément dans le cul des stagiaires, sauf pour le dernier bien sûr, lui eut droit à un plug se terminant en forme de queue de chien. Avec le bout de plug dépassant leur trou, elle exigea alors que les esclave placés juste derrière, le prirent en bouche et le tinrent ainsi serré entre les dents. La caravane pouvait reprendre sa route… Tous entrèrent ainsi, bouches et culs empalés dans une pièce où seule le centre était éclairé par des spots diffusant une lumière extrêmement intense. Les Educatrices firent faire trois fois le tour du centre de la pièce aux chiens soumis en les frappant de leur cravaches et en les humiliants systématiquement par des mots d’une vulgarité sans nom.
- Bande de salopes, dites-vous bien que vous n’êtes que des putes, allez pousser sur ces godes, enfilez-vous et engodez-vous copieusement les uns les autres…
Puis soudainement le silence se fut, la lumière s’éteignit, l’obscurité était totale, plus un bruit, plus rien… Les esclaves restèrent immobiles aux aguets jusqu’au moment où, au bout de deux bonnes et longues minutes, des applaudissements retentirent… La pièce cette fois-ci s’éclaira… Les stagiaires soumis éblouis s’aperçurent qu’étaient assis sur des petits gradins, une trentaine de personnes. Les Maîtresses et Maîtres de tous les stagiaires soumis et tout le personnel de l’Académie BDSM-MDE étaient réunis. Tous étaient venus assister à la remise des diplômes des slaves formés. Mais avant ça, un dernier round était programmé… Monsieur le Marquis d’Evans trônait majestueusement, lui seul assis sur un confortable fauteuil surélevé et placé en avant et au centre des gradins sur une haute estrade. Le Noble allait présider cette ultime cérémonie …
(A suivre…)
soumis Endymion MDE s’était installé à quatre pattes et avait enfourné sa queue dans cet accessoire branleur de bites et commençait à agiter son bassin par des longs va et vient qui lui faisait du bien, tel un mâle en rut, sans se préoccuper de ceux qui le regardaient. Totalement désinhibé et seulement obsédé à se vidanger les couilles, il faisait fi de son comportement obscène et impudique devant toute la slave Académie réunie. En effet, les chiens soumis mâles avaient appris à ne plus avoir de préjugés, à ne plus éprouver le déshonneur, l’embarras ou le trouble fusse dans la dépravation, tous se comportaient naturellement sans avoir conscience d’une quelconque honte ou humiliation. D’ailleurs les mots ‘’pudeur’’, intimité’’, ‘honte’’ étaient bannis du vocabulaire et ne devaient pas exister pour les esclaves. A la slave Académie BDSM-MDE, l’activité sexuelle, la sexualité en général était un acte courant, banal, vécu au grand jour, seul comptait le désir ardent et immodéré de tous, ce besoin de sexe omniprésent, d’autant plus présent qu’il était contrôlé et réprimé par une chasteté stricte et rigoureuse des chiens soumis mâles stagiaires. La nudité constante permettait à chacun des esclaves d’accepter ce stéréotype imposé.
soumis Endymion MDE s’agitait, forniquait dans cette machine qui lui provoquait une stimulation incroyablement intensive. Par ses mouvements de plus en plus rapides, le masturbateur pivotait, tournait autour de sa queue, l’avalait, la suçait, la massait et l’excitait de manière ciblée lui faisant perdre tout contrôle de lui-même. Dans cette grande salle du conseil, le silence régnait, tous les regards étaient portés sur l’objet esclave MDE copulant et s’accouplant avec l’objet branleur. Au bout de quelques minutes seulement et à grand fracas, brisant le calme, il éjacula intensément en hurlant son plaisir, tout en se cabrant et se tétanisant. A plusieurs reprises, il juta par spasmes, pubis collé à la paroi externe du masturbateur, envoyant une quantité de foutre incroyable au fond de cette machine qui en quelques minutes seulement l’avait conduit vers un orgasme puissant et d’une rare intensité.
- Alors Mon chien, tes burnes se sont-elles libérées de tes ignobles souillures ?
A peine venait-il de reprendre ses esprits et son souffle, qu’une main lui caressait les fesses, un pouce glissait et s’introduisait dans son anus, mais cette voix… soumis Endymion MDE la reconnaissait… Encore sonné, tremblant et frissonnant, il rouvrit les yeux, se retourna un tant soit peu. Cette voix, n’était autre que celle de Monsieur le Marquis d’Evans en personne…
- Oh Maî… Maître, Vénéré Maître ! …Vous ? ici ?
soumis Endymion MDE ne put retenir ces mots, tant il était surpris et si heureux de revoir, enfin, Le Maître. Monsieur le Marquis d’Evans était là en chair et en os, devant lui, un petit sourire aux lèvres, les yeux bleus intenses vifs et brillants, et il regardait son chien soumis d’un air amusé, content de lui avoir réservé une telle et belle surprise… Quelques secondes après, Le Maître se ravisa, son regard devint plus sombre et plus sobre, il dicta à Son esclave MDE :
- Dégage ta nouille de cet objet Mon chien et vient te prosterner à Mes pieds, comme tu dois le faire à chaque fois que tu me vois.
Sans une once d’hésitation, dans une levrette parfaite, soumis Endymion MDE s’exécuta. Il était tellement heureux de revoir celui qui l’avait envoyé ici, son être tout entier tremblait par l’émotion, un doux frisson remontait le long de sa colonne vertébrale. Le Maître s’était accroupi devant lui et lui caressait la tête, ses mains glissaient sur ses épaules posées au sol…
- Tu es devenu une bonne pute, Mon chien, c’est ce que je voulais que tu deviennes en intégrant Ma slave Académie. J’ai suivi via internet et au quotidien tes progrès, j’ai apprécié tes motivations et tes volontés d’abandon. Je suis fier de toi !
Qu’est-ce que pouvait espérer de mieux celui qui était prosterné aux Nobles pieds du Maître. Il était heureux, immensément heureux de revoir le Maître, de l’entendre dire qu’il était fier de Son esclave soumis. L’émotion le submergeait, des larmes de joie et d’émotions glissèrent sur ses joues. Il me pouvait retenir ses larmes de bonheur.
- Redresse-toi Mon chien et suis moi.
Monsieur le Marquis d’Evans et soumis Endymion MDE quittèrent la salle du conseil pour regagner tout près un bureau, mais pas n’importe lequel, celui qui était réservé au Maître lorsqu’il venait visiter Sa slave Académie BDSM-MDE, ici aux Etats-Unis d’Amérique. Il s’assit derrière une grande et sobre table de marbre et demanda à soumis Endymion MDE de venir se coucher à plat dos sur celle-ci en mettant ses membres en croix. Pendant un long moment, sans mot dire, Monsieur le Marquis caressa et palpa son esclave MDE. Il constata qu’ici dans Sa noble Académie, Son chien soumis avait perdu un peu de graisse mais pris une très bonne musculature suite aux exercices intensifs de culture physique. Puis Il examina de près le tatouage qui désormais ornait sa poitrine. Il appréciait cette marque indélébile laissée par son grand et vieil ami l’Emir Abdallah :
- Bientôt d’autres ornements viendront agrémentés et embellir ton corps, juste en dessous de celui-ci, mais en attendant Mon chien, donne-moi ton cul que j’en reprenne possession.
Sans plus attendre, soumis Endymion MDE fit glisser son corps et posa son fessier tout contre le rebord de la table, écarta largement les cuisses, remonta ses genoux contre sa poitrine et se laissa posséder en agrippant ses mains à cette table, tant les coups de butoirs furent intenses et fermes dès le début de ce furieux coït. Le Maître le limait avec une folle énergie, ses coups de reins étaient d’une intensité inouïe, sa noble queue s’engouffrait et se retirait avec véhémence. Il niquait Son chien soumis ainsi, voulant lui faire admettre qu’il le possédait de nouveau pleinement. Ses mains s’agrippèrent aux cuisses d’Endymion MDE, sa queue se logea au plus profond de lui et déchargea en plusieurs fois ce divin et précieux liquide qui inonda littéralement son anus. Quelques secondes après, la bite à demi-molle d’Endymion MDE gicla à son tour, sans qu’il ait eu la moindre stimulation manuelle, une éjaculation sans le moindre plaisir physique, mais une éjaculation tout de même que son mental avait ordonné tant le plaisir fut immense de se faire prendre par le Vénéré Maître en personne. Alors, l’esclave MDE aussitôt présenta ses plus humbles excuses et demanda au Maître de le pardonner et de le punir s’il le fallait, car il n’avait pas su ni pu se contenir. Celui-ci le regarda attentivement puis rétorqua :
- Pourquoi te punirai-je, Mon chien ? Tu viens simplement de me prouver que tu étais devenu une bonne chienne, une bonne pute. Tu as simplement giclé, sans pour autant avoir d’orgasme, alors… Redresse-toi maintenant et suis-moi.
Monsieur le Marquis d’Evans avait reconduit Son esclave MDE auprès des autres stagiaires soumis. Tous, sauf deux, avaient joui, tous attendaient à genoux, mains sur la tête. soumis Endymion MDE dut se mettre près d’eux, dans la même posture. Monsieur le Vicomte montrait à son cher Oncle, Monsieur le Marquis et à soumis Endymion MDE ce qu’il tenait en main, un bocal en verre, dans lequel avait été récolté le sperme de dix stagiaires. La dose visqueuse et blanchâtre était pour le moins abondante.
- Regarde le chien, de bonnes vitamines pour toi… Ce sera ton apéritif du soir, un bon complément alimentaire…
Le Maître et son neveu rirent avec complicité, comptant humilier un peu plus encore soumis Endymion MDE. Puis sur ordre de Maitre CharlEd, les douze stagiaires mâles avancèrent à quatre pattes et tous vinrent embrasser les nobles pieds de Monsieur le Marquis d’Evans, leur bienfaiteur, le propriétaire de cette slave Académie et donc le généreux mécène sans lequel, ils ne pourraient pas vivre ce qu’ils vivent entre ces murs. Puis ils regagnèrent leur cellule. Là par petit groupe de deux, ils durent nettoyer de fond en comble, et ce dans les moindres recoins, toute la slave Académie. soumis Endymion MDE et un autre chien soumis gagnèrent les appartements de Maîtresse Marina et Madame Lauren. Ils durent tout ranger et tout nettoyer, avec parfois des coups de cravache sur leur postérieur dénudé, distribués à tort et à travers, simplement pour leur rappeler qu’ils n’étaient que des esclaves soumis.
L’esclave Axel, quant à lui, fut occupé une grande partie de la journée à faire du repassage. A chaque faux pli, il recevait deux coups de paddle en bois sur ces fesses, un moyen bien utile pour garantir un travail parfait, mais son postérieur ne ressemblait plus à rien, Il était terriblement tuméfié. Quant à soumis Endymion MDE, Madame Lauren dans un excès de zèle, lui avait demandé de nettoyer entièrement la salle de bain et les toilettes. Il dut frotter le carrelage et les faïences murales avec une brosse à dents, ses couilles enserrées dans un carcan l’empêchant de se tenir droit. A chaque manquement, Madame Lauren claquait ses couilles comprimées, pour le remettre sur le droit chemin. Toute la journée fut consacrée à ces tâches ménagères et d’entretien, et lorsqu’arriva 17 heures, les stagiaires durent prendre une bonne douche sous le regard sévère de leurs Educatrices. Il se tramait quelque chose à la slave Académie BDSM-MDE, les esclaves n’étaient pas dupe, mais ils ignoraient tous, ce qu’on leur réservait. Ils allaient bientôt le savoir ! Les douches prises, une Educatrice les passa en revu, leur ôta leur dispositif de chasteté et grommela sévèrement :
- Si j’en vois un seul se toucher la nouille, je vous garantis à tous, une dérouillée générale !
Les esclaves savaient à quoi s’en tenir… surtout que cette Dominante était l’une des plus sévères de toutes. Sur ordres, ils se mirent tous à quatre pattes, les uns derrière les autres, nez au cul, selon l’expression utilisée ici. Le troupeau se mit en route ainsi, ils longèrent le long couloir et regagnèrent ainsi, l’escalier conduisant à l’étage. Ils montèrent les marches à quatre pattes, avec pour certains des coups de martinets appuyés sur leurs flancs, pour leur rappeler que leur museau ne devait pas quitter le trou du cul de celui qui le précédait. La montée des marches, dans cet escalier en colimaçon, ne ressemblait en rien à celle de Cannes, elle fut pour le moins fastidieuse, si bien qu’arrivés à l’étage, les Educatrices semblaient furieuses. Elles houspillaient toutes :
- Vous n’êtes que des incapables, vous ne savez même pas obéir strictement, qu’allons-nous faire de vous bande de chiens ?
Les coups redoublaient, mais au même moment une Educatrice eut une idée autant géniale que perverse. Elle fit stopper le cheptel le long du couloir. Elle redescendit en hâte l’escalier et remonta précipitamment peu après avec un petit carton sous le bras. De ce carton, elle sortit onze double godes. Chaque dildo fut inséré profondément dans le cul des stagiaires, sauf pour le dernier bien sûr, lui eut droit à un plug se terminant en forme de queue de chien. Avec le bout de plug dépassant leur trou, elle exigea alors que les esclave placés juste derrière, le prirent en bouche et le tinrent ainsi serré entre les dents. La caravane pouvait reprendre sa route… Tous entrèrent ainsi, bouches et culs empalés dans une pièce où seule le centre était éclairé par des spots diffusant une lumière extrêmement intense. Les Educatrices firent faire trois fois le tour du centre de la pièce aux chiens soumis en les frappant de leur cravaches et en les humiliants systématiquement par des mots d’une vulgarité sans nom.
- Bande de salopes, dites-vous bien que vous n’êtes que des putes, allez pousser sur ces godes, enfilez-vous et engodez-vous copieusement les uns les autres…
Puis soudainement le silence se fut, la lumière s’éteignit, l’obscurité était totale, plus un bruit, plus rien… Les esclaves restèrent immobiles aux aguets jusqu’au moment où, au bout de deux bonnes et longues minutes, des applaudissements retentirent… La pièce cette fois-ci s’éclaira… Les stagiaires soumis éblouis s’aperçurent qu’étaient assis sur des petits gradins, une trentaine de personnes. Les Maîtresses et Maîtres de tous les stagiaires soumis et tout le personnel de l’Académie BDSM-MDE étaient réunis. Tous étaient venus assister à la remise des diplômes des slaves formés. Mais avant ça, un dernier round était programmé… Monsieur le Marquis d’Evans trônait majestueusement, lui seul assis sur un confortable fauteuil surélevé et placé en avant et au centre des gradins sur une haute estrade. Le Noble allait présider cette ultime cérémonie …
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...