La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 637)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 637)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (2/4) -
Mon éducation de salope commença dès le lendemain. Leur ayant demandé si je pouvais rester le reste du week-end
Le lendemain donc au petit déjeuner, Sir Evans et David firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre, j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était passé la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils être si banals en parlant de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que son compagnon se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
- Un croissant, Auré ? dit David.
- Non, merci, je n’ai pas faim.
Et en plus il m’appelle Auré ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
- Ecoute, ma belle, reprend David, ce qui c’est passé hier, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne t’en rends pas compte, parce que personne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir femmes et hommes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ?
- C’est sur, enchéri le marquis et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois le Maître est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maître Dumont et sa femme ne tarissent pas d’éloges sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance.
Puis, il s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Il me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette. Monsieur le Marquis d'Evans se colle alors à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier. Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de David se font plus pressentes. Il a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me torture le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
- Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste David. Cela fait déjà trois semaines qu’on rentre plus tôt le samedi et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux vers la piscine ou dans le sauna. Sir Evans a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Mais on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes de toutes nos relations. Mais attention, il faudra vraiment nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Monsieur le Marquis d'Evans ou sur le mien. Pour cela, aucun sous-vêtement sur toi, jamais. Tu devras toujours restée nue sous tes vêtements, prête à être prise, quand on veut, où on veut, comme on veut. Dès que tu auras finit ton petit déjeuner, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je vais te poser sur ton lit pendant que tu te laves. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air d’une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries, avec sa copine Rose.
- Tu peux dire partouze, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
- Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire.
- Oui.
- Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, tu devras nous appeler Maître, pour nous deux C’est clair ?
- Oui.
- On dit oui Maître.
- Oui, Maître.
- C’est bien, tu es une bonne femelle. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions…
- Ah, au fait, tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette alors littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de prendre une douche quand on sonne au portail. La cuisinière va ouvrir. C’est Rose la voisine de Marie qui vient parfois l’aider en cuisine. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles sont bras dessus, bras dessous, ce qui me laisse penser qu’elles sont lesbiennes, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie.
- Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur le marquis a prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte allez, vient, pour te détendre, je vais te faire un bon massage.
- Bien …Madame, dis-je hésitante.
- Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maîtres Sir Evans forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
- Vrai, ma chérie. Hummmmmmm ! Oui c’est vraiment vrai !
Et elles s’embrassent de nouveau à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, le marquis m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur.
- Ils ont raison, les patrons ! Tu as un vrai potentiel de salope … à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne … Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons :
- Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui son baiser, enlace-la. Attends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, son con au bord de mes lèvres.
- Lèche-moi, goûte comme c’est bon une chatte de gouine. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? …
Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue.
– Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
- Maître Sir Evans ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sûre qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma petite Aurélia … ou devrais-je dire ma chienne en chaleur !
Je trouve de plus en plus excitant d’entendre parler de moi, devant moi, comme si j’étais un simple objet. Je me sens l’âme d’une soumise. De toute façon qu’est-ce que je pourrais être d’autre, je n’ai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de m’éduquer, de faire de moi une experte de l’amour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine quelques jours, j’étais encore toute naïve comme une oie blanche et aujourd’hui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements sont assez parlants. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles commentent abondamment en compliments sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope… La situation est absolument folle… mais je crois que j’aime ça.
Rose et Marie prennent alors possession de mon corps qu’elles couvrent des caresses jusqu’à déclencher un orgasme torride suite à un ‘’doigtage’’ puissant et profond dans ma chatte trempée. Elles m’embrassent avec fougue. Marie me couche sur le lit, se déshabille et vient s’allonger près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, s’y arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frissons, elle s’empare de mon bijou, pénètre de nouveau ma caverne avec ses doigts et m’embrasse encore avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent de plus en plus entreprenantes…
- Tu apprends vite, oui je pense que tu seras peut-être prête d’ici le prochain dîner dans 15 jours. Tu as l’air d’apprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu t’y prends maintenant ! Allez, viens, mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
- Bien Marie.
Puis on entend une sonnerie
- Je vous laisse un moment, mon portable sonne dit Rose qui s’éloigne en cherchant dans son sac, son mobile
Seule avec Marie, je m’agenouille sur le bord du lit, alors entre ses cuisses et ma langue commence son exploration, je m’applique. En même temps que je la suce, je lui caresse les fesses, puis le ventre avant de m’aventurer vers ses seins. Je commence par les faire rouler doucement entre mes doigts, juste pour les faire durcir. Puis j’accentue la pression jusqu’à les lui pincer, les lui tordre sans ménagement. J’ai beaucoup aimé subir ce doux supplice, et je pense à juste titre que Marie va aussi bien l’apprécier, surtout que ma langue continue à fouiller son intimité, s’amuse avec son clito, s’engouffre dans son corridor d’amour.
- Mais tu es très douée, petite pute… Et dire que tu n’avais même jamais goûté au fruit d’une femme ! Comme tu t’occupes bien de mon bouton, comme tu me tortures bien les nichons. Vois comme je mouille, lape-moi, chienne que tu es. Régale-toi de mon nectar, je sais que tu aimes ça. Je t’ai vu te pourlécher les doigts après que tu te sois masturbée. Hummmmmm… , je vais partir, tu suces trop bien. Hummmmmm…, continue salope ! Ouiiiiiiiiiiiiii…, c’est bon ! … Attends un peu je m’allonge, tu seras mieux sur le lit qu’à quatre pattes sur la moquette. Allez reprend et finis-moi. Fais-moi voir les étoiles. Petite putain, je crois qu’on a gagné le gros lot, avec toi. Ouiiiiiiiiiiiiiiii… ! … Ahhhhhhhhhhh… je pars, continue de bien me martyriser les nibards… Ahhh ! ouiiii ! ouiiii ! Encore ma salope, ouiiiiii !!!....
Marie s’écroule dans un râle, son corps qui était tendu comme une corde de violon, se relâche d’un seul coup et savoure sa jouissance…
- Eh bien ma petite chienne, quel coup de langue. Il y avait bien longtemps qu’une fille ne m’avait pas fait jouir comme toi. Pourtant ce n’est pas faute de me faire astiquer l’abricot par toutes les salopes que je rencontre. Seule Rose arrive à me faire aussi bien jouir, car elle aussi suce comme une reine, la salope.
- Merci Marie. Je suis heureuse que vous soyez contente de mes services.
- Et en plus elle y met de la grâce, cette petite traînée… Tu vas vraiment beaucoup plaire à nos amis du vendredi… Mais j’y pense, à part la bite du Maître Sir Evans, que tu t’es prise dans ta jolie bouche de pute hier soir, tu as passé ton temps qu’à te gouiner ? Ca ne te plairait pas une queue dans ton mignon petit temple du plaisir ?
- Je n’osais pas le demander. J’ai pris beaucoup de plaisir avec vous, mais…
- … Mais, dis plutôt que tu voudrais te faire baiser, salope !. Justement le Maître va arriver d’une minute à l’autre….Ne bouge pas je vais le chercher...
(A suivre ...)
Mon éducation de salope commença dès le lendemain. Leur ayant demandé si je pouvais rester le reste du week-end
Le lendemain donc au petit déjeuner, Sir Evans et David firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre, j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était passé la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils être si banals en parlant de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que son compagnon se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
- Un croissant, Auré ? dit David.
- Non, merci, je n’ai pas faim.
Et en plus il m’appelle Auré ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
- Ecoute, ma belle, reprend David, ce qui c’est passé hier, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne t’en rends pas compte, parce que personne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir femmes et hommes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ?
- C’est sur, enchéri le marquis et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois le Maître est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maître Dumont et sa femme ne tarissent pas d’éloges sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance.
Puis, il s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Il me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette. Monsieur le Marquis d'Evans se colle alors à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier. Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de David se font plus pressentes. Il a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me torture le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
- Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste David. Cela fait déjà trois semaines qu’on rentre plus tôt le samedi et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux vers la piscine ou dans le sauna. Sir Evans a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Mais on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes de toutes nos relations. Mais attention, il faudra vraiment nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Monsieur le Marquis d'Evans ou sur le mien. Pour cela, aucun sous-vêtement sur toi, jamais. Tu devras toujours restée nue sous tes vêtements, prête à être prise, quand on veut, où on veut, comme on veut. Dès que tu auras finit ton petit déjeuner, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je vais te poser sur ton lit pendant que tu te laves. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air d’une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries, avec sa copine Rose.
- Tu peux dire partouze, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
- Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire.
- Oui.
- Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, tu devras nous appeler Maître, pour nous deux C’est clair ?
- Oui.
- On dit oui Maître.
- Oui, Maître.
- C’est bien, tu es une bonne femelle. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions…
- Ah, au fait, tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette alors littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de prendre une douche quand on sonne au portail. La cuisinière va ouvrir. C’est Rose la voisine de Marie qui vient parfois l’aider en cuisine. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles sont bras dessus, bras dessous, ce qui me laisse penser qu’elles sont lesbiennes, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie.
- Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur le marquis a prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte allez, vient, pour te détendre, je vais te faire un bon massage.
- Bien …Madame, dis-je hésitante.
- Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maîtres Sir Evans forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
- Vrai, ma chérie. Hummmmmmm ! Oui c’est vraiment vrai !
Et elles s’embrassent de nouveau à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, le marquis m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur.
- Ils ont raison, les patrons ! Tu as un vrai potentiel de salope … à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne … Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons :
- Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui son baiser, enlace-la. Attends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, son con au bord de mes lèvres.
- Lèche-moi, goûte comme c’est bon une chatte de gouine. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? …
Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue.
– Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
- Maître Sir Evans ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sûre qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma petite Aurélia … ou devrais-je dire ma chienne en chaleur !
Je trouve de plus en plus excitant d’entendre parler de moi, devant moi, comme si j’étais un simple objet. Je me sens l’âme d’une soumise. De toute façon qu’est-ce que je pourrais être d’autre, je n’ai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de m’éduquer, de faire de moi une experte de l’amour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine quelques jours, j’étais encore toute naïve comme une oie blanche et aujourd’hui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements sont assez parlants. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles commentent abondamment en compliments sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope… La situation est absolument folle… mais je crois que j’aime ça.
Rose et Marie prennent alors possession de mon corps qu’elles couvrent des caresses jusqu’à déclencher un orgasme torride suite à un ‘’doigtage’’ puissant et profond dans ma chatte trempée. Elles m’embrassent avec fougue. Marie me couche sur le lit, se déshabille et vient s’allonger près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, s’y arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frissons, elle s’empare de mon bijou, pénètre de nouveau ma caverne avec ses doigts et m’embrasse encore avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent de plus en plus entreprenantes…
- Tu apprends vite, oui je pense que tu seras peut-être prête d’ici le prochain dîner dans 15 jours. Tu as l’air d’apprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu t’y prends maintenant ! Allez, viens, mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
- Bien Marie.
Puis on entend une sonnerie
- Je vous laisse un moment, mon portable sonne dit Rose qui s’éloigne en cherchant dans son sac, son mobile
Seule avec Marie, je m’agenouille sur le bord du lit, alors entre ses cuisses et ma langue commence son exploration, je m’applique. En même temps que je la suce, je lui caresse les fesses, puis le ventre avant de m’aventurer vers ses seins. Je commence par les faire rouler doucement entre mes doigts, juste pour les faire durcir. Puis j’accentue la pression jusqu’à les lui pincer, les lui tordre sans ménagement. J’ai beaucoup aimé subir ce doux supplice, et je pense à juste titre que Marie va aussi bien l’apprécier, surtout que ma langue continue à fouiller son intimité, s’amuse avec son clito, s’engouffre dans son corridor d’amour.
- Mais tu es très douée, petite pute… Et dire que tu n’avais même jamais goûté au fruit d’une femme ! Comme tu t’occupes bien de mon bouton, comme tu me tortures bien les nichons. Vois comme je mouille, lape-moi, chienne que tu es. Régale-toi de mon nectar, je sais que tu aimes ça. Je t’ai vu te pourlécher les doigts après que tu te sois masturbée. Hummmmmm… , je vais partir, tu suces trop bien. Hummmmmm…, continue salope ! Ouiiiiiiiiiiiiii…, c’est bon ! … Attends un peu je m’allonge, tu seras mieux sur le lit qu’à quatre pattes sur la moquette. Allez reprend et finis-moi. Fais-moi voir les étoiles. Petite putain, je crois qu’on a gagné le gros lot, avec toi. Ouiiiiiiiiiiiiiiii… ! … Ahhhhhhhhhhh… je pars, continue de bien me martyriser les nibards… Ahhh ! ouiiii ! ouiiii ! Encore ma salope, ouiiiiii !!!....
Marie s’écroule dans un râle, son corps qui était tendu comme une corde de violon, se relâche d’un seul coup et savoure sa jouissance…
- Eh bien ma petite chienne, quel coup de langue. Il y avait bien longtemps qu’une fille ne m’avait pas fait jouir comme toi. Pourtant ce n’est pas faute de me faire astiquer l’abricot par toutes les salopes que je rencontre. Seule Rose arrive à me faire aussi bien jouir, car elle aussi suce comme une reine, la salope.
- Merci Marie. Je suis heureuse que vous soyez contente de mes services.
- Et en plus elle y met de la grâce, cette petite traînée… Tu vas vraiment beaucoup plaire à nos amis du vendredi… Mais j’y pense, à part la bite du Maître Sir Evans, que tu t’es prise dans ta jolie bouche de pute hier soir, tu as passé ton temps qu’à te gouiner ? Ca ne te plairait pas une queue dans ton mignon petit temple du plaisir ?
- Je n’osais pas le demander. J’ai pris beaucoup de plaisir avec vous, mais…
- … Mais, dis plutôt que tu voudrais te faire baiser, salope !. Justement le Maître va arriver d’une minute à l’autre….Ne bouge pas je vais le chercher...
(A suivre ...)
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